En 1950, la maison Van Cleef & Arpels a créé ce collier et cette paire de boucles d’oreilles en émeraudes et diamants pour la maharani de Baroda. Cette parure fait désormais partie d’une collection particulière.
Je me souviens de certaines photos sur le « jours de France » qui arrivait toutes les semaines a la maison.
La maharani de Baroda portait cette parure avec panache et cela faisait rever l adolescente que j etais…
Que sont devenus les gens de cette famille ?
Les Boucles d’oreilles sont énormes. On se demande qui a « hérité » de la parure …
Je pense que si j’avais eu ces pierres , j’aurais dessiné – avec le bijoutier – quelque chose de plus occidental et plus élégant, car c’est quand même lourd ,on ne fait plus ce genre de choses pour européennes .
Framboiz 07, le fils issu du mariage de la Maharani et de son deuxième époux est décédé à 40 ans des suites d’addiction diverses. Son héritage a été dévolu à sa nièce qui vit à Assam.
Quand l’époux de la Maharani, sur demande de l’Inde, a été déposé par un Conseil de famille, c’est le fils issu de son première mariage, Fatehsinh Râo Gâekwâr, qui devint le nouveau chef de la maison royale. À son décès en 1988, c’est son fils, Ranjitsinh Râo Gâekwâr qui lui succédât. La famille habite toujours le gigantesque palais royal de Laximi Vila à Vadodara. On dit qu’il est quatre fois plus grand que Buckingham.
On admire. J’admire. Les pierres sont magnifiques, le travail admirable. J’aime la beauté.
Mais, mais …
Toutes ces merveilles, ces richesses, comme celles d’autres pays, reposent sur la misère des pauvres gens. Et Dieu sait ( ou Vischnou ou Shiva) que la misère était encore intense en Inde, en 1950.
La première qui écrira que c’est très beau mais qu’elle ne se voit pas le porter pour aller faire ses courses sera fusillée .
Plus sérieusement , les deux diamants centraux sur les pendants d’oreille sont d’une forme très intéressante et me semblent légèrement différents (comme certaines émeraudes même taillées ) ce qui ajoute au charme de l’ensemble sinon à sa perfection.
Il s’agit bel et bien d’un médecin comme un autre. (Et de plus si cela m’évite d’être fusiller.. .)
Allons allons ne soyez pas aussi prude très chère. ..ce n’était qu’un trait d’humour!
Mais il semblerait qu’il vous aurait dépassé.
Les deux diamants des BO sont taillés en briolette. Aucune pierre n’a jamais la même taille qu’une autre qui semble pourtant identique au premier regard.
Merci beaucoup pour ces précisions Laurent F .
Je connaissais le terme briolette (que je trouvais charmant ) sans savoir exactement ce qu’il représentait .
Grâce à vous je le sais désormais!
Le collier est superbe. Les boucles, un peu lourdes peut-être, me feraient hésiter, sinon je suis d’accord, la beauté absolue de ces bijoux me confond.
Il y a peu de tailles différentes pour les émeraudes : la taille émeraude qui est rectangulaire, ovale ,coussin et poire comme ici . L’émeraude est extrêmement fragile,la taille est risquée,moins il y a de facettes à tailler mieux le tailleur respire .
Pour répondre à la première question, j’ai un peu côtoyé le fils de la maharané, le prince de Baroda dit « Bambi ». juste extravagant à une soirée sur la plage de Pampelonne où il est arrivé avec une escorte de -très- beaux garçons vêtu d’un sari et boucles d’oreilles en diamants jaunes énormes pendantes en « goutte d’eau ». Il vivait entre autres endroits un peu sur la Côte et lorsqu’il était à court d’argent, il demandait à sa maman de lui envoyer un caillou qu’elle puisait allègrement dans une grande malle pleine de pierres qu’elle avait ramené avec elle de Baroda.
Il s’est suicidé très jeune (ca 30ans?) j’ai appris sa mort en ouvrant Nice-Matin dans l’avion pour L.A. où je vivais un peu à cette époque (1977).
Je ne sais ce qu’est devenu tout cela ainsi que l’appart où elle vivait à Paris (Av Foch où voisinage)..
Je viens de lire que Sita Davi fut surnommée la Wallis Simpson indienne car elles raffolaient toutes deux des bijoux sauf que la Maharani a eu la chance de puiser à pleines mains dans le trésor de la maison royale de son deuxième époux, le Maharaja de Baroda. Plaisir que ne connut pas Wallis.
La Maharani a fait réaliser 300 parures avec les pierres de Baroda dont ce magnifique collier nommé Lotus. D’après Van Cleef et Arpels qui le réalisa en 1950, il est composé de 13 émeraudes de Colombie taille poire, pour un poids total de 154 carats, chacune suspendue à un motif en fleur de lotus serti d’un pavage de diamants. Le corps du collier est également serti d’une douzaine d’émeraudes et de diamants. Des années plus tard, en difficultés financières, la maharani a mis en gage ce collier et d’autres bijoux au crédit Mobilier de Monaco, en d’autres mots la « tante » de la principauté. Non récupérés, ils furent dispersés en 1976 lors d’une vente aux enchères. La dernière fois qu’il fut remis sur le marché c’est lors de la vente Christie du 15 mai 2002.
Pour ceux que cela intéresse je viens de regarder la biographie de cette dame. Fille du Maharaja de Pithapuram, elle est déjà mariée quand elle rencontre le Maharaja de Baroda, l’un des hommes les plus riches du monde (parmi les 8 premiers au classement général et le second en Inde). Qu’à cela ne tienne, sur conseils de ses avocats, elle se convertit à l’islam et peut ainsi devenir la seconde épouse de son mari. Le tour est joué, et elle redeviendra rapidement hindoue, mais les Anglais sont furieux car les amoureux contreviennent à une loi qui interdit la bigamie. Réponse de l’époux, Pratapsinh Râo Gâekwâr, » cette loi ne s’applique pas au prince mais à ses sujets ». Of course.
Après son divorce en 56, la maharani a tenu à garder son titre et les armoiries de son époux, notamment sur ses voitures. Le Prince Rainier lui attribua ainsi qu’à son fils unique la citoyenneté monégasque et elle continua à mener grand train entre la principauté, Paris et les endroits où la menait sa vie de jet setteuse. Sa fin de vie fut moins heureuse car manquant d’argent elle dut se séparer d’une partie de ses bijoux et son fils âgé de 40 ans mourut de complications liées à ses addictions. Minée par le chagrin, elle décéda quatre ans plus tard.
Des années après la mort de la Maharani, son héritière (sa nièce) eut la surprise de voir réapparaître certains joyaux. Le collier de perles, trouvé dans un coffre de Genève, a ainsi été vendu à un prince arabe pour 31 millions de dollars. Il est exposé au Musée d’art islamique de Doha, au Qatar.
Shrimant Maharaja Sir Pratapsinhrao Gaekwad (1908-1968), fut le dernier maharajah régnant de Baroda. Baroda entra dans l’Union indienne en 1949.
Le gouvernement central de l’Inde le destitua pour comportement irresponsable (prodigalité, alcool) mais il conserva son titre, son fils aîné Fatehsinghrao Gaekwad lui succédant dans la conduite des affaires de l’État, et il se retira avec sa deuxième épouse à Monaco, il mourut à Londres en 1968.
De son premier mariage avec la fille d’un sardar de Kolhapur, Shanta Devi (1914-2002), il avait eu trois fils et cinq filles.
Bien que son grand-père ait fait adopter des dispositions contre la bigamie, il se maria une deuxième fois avec une mère de famille appartenant elle aussi à une grande famille par la naissance et par un premier mariage dont elle était divorcée, Sita Devi. Née en 1917, elle devait mourir à Paris le 15 février 1989. Fille du maharaja de Pithapuram, divorcée du zamindar de Vuyyuru et mère du rajah Viduth Kumar Apparao, elle fut connue pour son élégance et son originalité. De ce deuxième mariage elle divorça en 1956.
Une partie de ses biens et des services est allée à sa nièce Anangarekha Devi qui vit actuellement en Assam avec sa famille.
Le fils né du deuxième mariage en 1945 Sayaji Rao Gaekwad est mort le 8 mai 1985 à Cagnes. Il s’était suicidé. Surnommé Princie il était l’amour de sa mère, il mena en Europe une vie extravagante et ne se maria pas.
Fatehsinghrao Gaekwad II (1930-1988), qui avait succédé à son père n’a pas eu d’enfant de son mariage avec la fille du maharajah de Jodhpur. Son frère Ranjitsinh lui a succédé en tant que maharajah de Baroda. À la mort de ce dernier en 2012 son fils lui a succédé Samarjitsinh Ranjitsinh Gaekwad. Il a deux filles.
Silvîa
16 avril 2018 @ 05:38
Jolie…mais pas très discrete. Bon lundi sous le soleil ?
Annmaule
16 avril 2018 @ 08:12
Je me souviens de certaines photos sur le « jours de France » qui arrivait toutes les semaines a la maison.
La maharani de Baroda portait cette parure avec panache et cela faisait rever l adolescente que j etais…
framboiz 07
16 avril 2018 @ 19:48
Que sont devenus les gens de cette famille ?
Les Boucles d’oreilles sont énormes. On se demande qui a « hérité » de la parure …
Je pense que si j’avais eu ces pierres , j’aurais dessiné – avec le bijoutier – quelque chose de plus occidental et plus élégant, car c’est quand même lourd ,on ne fait plus ce genre de choses pour européennes .
Corsica
17 avril 2018 @ 22:37
Framboiz 07, le fils issu du mariage de la Maharani et de son deuxième époux est décédé à 40 ans des suites d’addiction diverses. Son héritage a été dévolu à sa nièce qui vit à Assam.
Quand l’époux de la Maharani, sur demande de l’Inde, a été déposé par un Conseil de famille, c’est le fils issu de son première mariage, Fatehsinh Râo Gâekwâr, qui devint le nouveau chef de la maison royale. À son décès en 1988, c’est son fils, Ranjitsinh Râo Gâekwâr qui lui succédât. La famille habite toujours le gigantesque palais royal de Laximi Vila à Vadodara. On dit qu’il est quatre fois plus grand que Buckingham.
Corsica
17 avril 2018 @ 22:38
AddictionS.
Alinéas
16 avril 2018 @ 08:20
Comme toujours, j’adore l’harmonie entre les diamants et les émeraudes.. Là, ce sont surtout les boucles d’oreilles..!
Leonor
16 avril 2018 @ 10:08
On admire. J’admire. Les pierres sont magnifiques, le travail admirable. J’aime la beauté.
Mais, mais …
Toutes ces merveilles, ces richesses, comme celles d’autres pays, reposent sur la misère des pauvres gens. Et Dieu sait ( ou Vischnou ou Shiva) que la misère était encore intense en Inde, en 1950.
Pascal
16 avril 2018 @ 11:09
La première qui écrira que c’est très beau mais qu’elle ne se voit pas le porter pour aller faire ses courses sera fusillée .
Plus sérieusement , les deux diamants centraux sur les pendants d’oreille sont d’une forme très intéressante et me semblent légèrement différents (comme certaines émeraudes même taillées ) ce qui ajoute au charme de l’ensemble sinon à sa perfection.
DUCHESSE
16 avril 2018 @ 12:43
Je trouve que c’est très beau…Mais je ne vois pas les porter pour me rendre chez mon gynécologue. ..
Pas assez discret !
gone
18 avril 2018 @ 13:26
est-ce bien discret – pour une duchesse – de citer son gynécologue ?
DUCHESSE
19 avril 2018 @ 17:42
Il s’agit bel et bien d’un médecin comme un autre. (Et de plus si cela m’évite d’être fusiller.. .)
Allons allons ne soyez pas aussi prude très chère. ..ce n’était qu’un trait d’humour!
Mais il semblerait qu’il vous aurait dépassé.
Laurent F
16 avril 2018 @ 12:51
Les deux diamants des BO sont taillés en briolette. Aucune pierre n’a jamais la même taille qu’une autre qui semble pourtant identique au premier regard.
Leonor
17 avril 2018 @ 17:41
Merci pour vos commentaires professionnels, Laurent F. Je ne pense pas toujours à le dire.
Pascal
18 avril 2018 @ 18:15
Merci beaucoup pour ces précisions Laurent F .
Je connaissais le terme briolette (que je trouvais charmant ) sans savoir exactement ce qu’il représentait .
Grâce à vous je le sais désormais!
Corsica
17 avril 2018 @ 22:17
On peut le porter pour aller faire ses courses …Place Vendôme. Surtout si on se fait ouvrir les boutiques en nocturne. :):)
Corsica
17 avril 2018 @ 22:40
AddictionS
septentrion
16 avril 2018 @ 11:32
Je n’ai pas envie d’être fusillée… je trouve les boucles d’oreilles, superbes.
Baboula
16 avril 2018 @ 18:14
Pascal,je trouve les boucles d’ oreilles trop importantes, je crains qu’on pense que ce soit du toc !
Mary
16 avril 2018 @ 12:30
Splendeur absolue…
Laurent
16 avril 2018 @ 16:26
C’est particulièrement hideux
Anna Claudia
16 avril 2018 @ 17:31
Le collier est superbe. Les boucles, un peu lourdes peut-être, me feraient hésiter, sinon je suis d’accord, la beauté absolue de ces bijoux me confond.
Michèle Lobre
16 avril 2018 @ 20:34
Rien qu’une boucle en pendentif me suffirait! Ceci dit ces joyaux sont une splendeur, sait on a quelle mystérieuse personne ils appartiennent ?
Caroline
16 avril 2018 @ 22:31
Cette parure me rappelle celle de la reine Anne-Marie de Grèce assez lourde en émeraudes !
marianne
17 avril 2018 @ 06:49
Je trouve que cette forme ovale/polie ne met pas les émeraudes en valeur .
Baboula
17 avril 2018 @ 13:22
Il y a peu de tailles différentes pour les émeraudes : la taille émeraude qui est rectangulaire, ovale ,coussin et poire comme ici . L’émeraude est extrêmement fragile,la taille est risquée,moins il y a de facettes à tailler mieux le tailleur respire .
FILOSIN
17 avril 2018 @ 19:31
Pour répondre à la première question, j’ai un peu côtoyé le fils de la maharané, le prince de Baroda dit « Bambi ». juste extravagant à une soirée sur la plage de Pampelonne où il est arrivé avec une escorte de -très- beaux garçons vêtu d’un sari et boucles d’oreilles en diamants jaunes énormes pendantes en « goutte d’eau ». Il vivait entre autres endroits un peu sur la Côte et lorsqu’il était à court d’argent, il demandait à sa maman de lui envoyer un caillou qu’elle puisait allègrement dans une grande malle pleine de pierres qu’elle avait ramené avec elle de Baroda.
Il s’est suicidé très jeune (ca 30ans?) j’ai appris sa mort en ouvrant Nice-Matin dans l’avion pour L.A. où je vivais un peu à cette époque (1977).
Je ne sais ce qu’est devenu tout cela ainsi que l’appart où elle vivait à Paris (Av Foch où voisinage)..
Corsica
17 avril 2018 @ 22:26
Je viens de lire que Sita Davi fut surnommée la Wallis Simpson indienne car elles raffolaient toutes deux des bijoux sauf que la Maharani a eu la chance de puiser à pleines mains dans le trésor de la maison royale de son deuxième époux, le Maharaja de Baroda. Plaisir que ne connut pas Wallis.
La Maharani a fait réaliser 300 parures avec les pierres de Baroda dont ce magnifique collier nommé Lotus. D’après Van Cleef et Arpels qui le réalisa en 1950, il est composé de 13 émeraudes de Colombie taille poire, pour un poids total de 154 carats, chacune suspendue à un motif en fleur de lotus serti d’un pavage de diamants. Le corps du collier est également serti d’une douzaine d’émeraudes et de diamants. Des années plus tard, en difficultés financières, la maharani a mis en gage ce collier et d’autres bijoux au crédit Mobilier de Monaco, en d’autres mots la « tante » de la principauté. Non récupérés, ils furent dispersés en 1976 lors d’une vente aux enchères. La dernière fois qu’il fut remis sur le marché c’est lors de la vente Christie du 15 mai 2002.
Pour ceux que cela intéresse je viens de regarder la biographie de cette dame. Fille du Maharaja de Pithapuram, elle est déjà mariée quand elle rencontre le Maharaja de Baroda, l’un des hommes les plus riches du monde (parmi les 8 premiers au classement général et le second en Inde). Qu’à cela ne tienne, sur conseils de ses avocats, elle se convertit à l’islam et peut ainsi devenir la seconde épouse de son mari. Le tour est joué, et elle redeviendra rapidement hindoue, mais les Anglais sont furieux car les amoureux contreviennent à une loi qui interdit la bigamie. Réponse de l’époux, Pratapsinh Râo Gâekwâr, » cette loi ne s’applique pas au prince mais à ses sujets ». Of course.
Après son divorce en 56, la maharani a tenu à garder son titre et les armoiries de son époux, notamment sur ses voitures. Le Prince Rainier lui attribua ainsi qu’à son fils unique la citoyenneté monégasque et elle continua à mener grand train entre la principauté, Paris et les endroits où la menait sa vie de jet setteuse. Sa fin de vie fut moins heureuse car manquant d’argent elle dut se séparer d’une partie de ses bijoux et son fils âgé de 40 ans mourut de complications liées à ses addictions. Minée par le chagrin, elle décéda quatre ans plus tard.
Des années après la mort de la Maharani, son héritière (sa nièce) eut la surprise de voir réapparaître certains joyaux. Le collier de perles, trouvé dans un coffre de Genève, a ainsi été vendu à un prince arabe pour 31 millions de dollars. Il est exposé au Musée d’art islamique de Doha, au Qatar.
Gérard
18 avril 2018 @ 11:26
Shrimant Maharaja Sir Pratapsinhrao Gaekwad (1908-1968), fut le dernier maharajah régnant de Baroda. Baroda entra dans l’Union indienne en 1949.
Le gouvernement central de l’Inde le destitua pour comportement irresponsable (prodigalité, alcool) mais il conserva son titre, son fils aîné Fatehsinghrao Gaekwad lui succédant dans la conduite des affaires de l’État, et il se retira avec sa deuxième épouse à Monaco, il mourut à Londres en 1968.
De son premier mariage avec la fille d’un sardar de Kolhapur, Shanta Devi (1914-2002), il avait eu trois fils et cinq filles.
Bien que son grand-père ait fait adopter des dispositions contre la bigamie, il se maria une deuxième fois avec une mère de famille appartenant elle aussi à une grande famille par la naissance et par un premier mariage dont elle était divorcée, Sita Devi. Née en 1917, elle devait mourir à Paris le 15 février 1989. Fille du maharaja de Pithapuram, divorcée du zamindar de Vuyyuru et mère du rajah Viduth Kumar Apparao, elle fut connue pour son élégance et son originalité. De ce deuxième mariage elle divorça en 1956.
Une partie de ses biens et des services est allée à sa nièce Anangarekha Devi qui vit actuellement en Assam avec sa famille.
Le fils né du deuxième mariage en 1945 Sayaji Rao Gaekwad est mort le 8 mai 1985 à Cagnes. Il s’était suicidé. Surnommé Princie il était l’amour de sa mère, il mena en Europe une vie extravagante et ne se maria pas.
Fatehsinghrao Gaekwad II (1930-1988), qui avait succédé à son père n’a pas eu d’enfant de son mariage avec la fille du maharajah de Jodhpur. Son frère Ranjitsinh lui a succédé en tant que maharajah de Baroda. À la mort de ce dernier en 2012 son fils lui a succédé Samarjitsinh Ranjitsinh Gaekwad. Il a deux filles.