Jusque sous le règne du roi Louis XV, il était d’usage à la cour de France de servir un agneau entier à Pâques. La recette était alors une Pascaline d’agneau à la Royale se composant d’un agneau désossé, farci de sa propre chair mêlée de jaunes d’oeufs durs, de mie de pain aux fines herbes et d’épices. il était ensuite rôti et servi généralement avec un ragoût de truffes, une sauce aux pistaches ou un coulis de jambon. (Source : « L’histoire à table. Si la cuisine m’était contée », André Castelot, Perrin, Réédition 2015, p.13)
Juliette d
13 février 2017 @ 03:25
Je souhaite ne jamais être obligée de goûter un tel mets.
clementine1
13 février 2017 @ 06:32
Voilà un plat qui me plairait bien, accompagné de la sauce aux pistaches. Plus modestement un de mes plats préférés est une volaille entièrement désossée (par mes blanches mains) et farcie de viende d’agneau hachée, d’amandes effilées et de raisins secs, rôtie au four.
Pascal
15 février 2017 @ 13:53
C’est du grand art culinaire !
Mes compliments .
Cette recette de Pascaline me fait songer aux recettes que Jean-François Parot aime parsemer dans ses romans de la série N Le Floch.
Dans votre recette j’aime cette idée d’allier deux viandes très différentes .
Mary
15 février 2017 @ 13:59
Waouh Clementine ! Vous avez l’air drôlement douée !
Mary
15 février 2017 @ 14:00
Votre recette a-t-elle un nom ? Je la chercherais volontiers sur le net.
Corsica
13 février 2017 @ 07:22
Je me demande ce que l’on entendait par coulis de jambon qui, de toute façon, me semble bien superflu.
Robespierre
13 février 2017 @ 09:11
Tout cela est bien beau et bon, mais je doute qu’un restaurant même hors de prix nous serve une pascaline d’agneau de nos jours.
Cosmo
13 février 2017 @ 10:06
La photo est très appétissante. J’aimerais bien avoir la recette.
Danielle
13 février 2017 @ 11:17
L’agneau est si bon qu’il ne faut pas attendre Pâques pour en manger.
Muscate-Valeska de Lisabé
13 février 2017 @ 11:34
Je pense que là,on sera presque tous d’accord….Si…Même pour celles et ceux qui ne mangent plus de viande,ce rôti semble…épatant.Il suffit d’y avoir goûté un jour pour s’en souvenir toujours.Une variante serbe s’oriente sur le cochon de lait,cuisiné pareil.
J’aime bien ici notre Pascal,maintenant je découvre:la Pascaline! ;-))
framboiz07
14 février 2017 @ 02:00
La Pascaline, première machine à calculer, inventée par Pascal ! Aussi !
Pascal
15 février 2017 @ 13:49
Muscate
Je découvre aujourd’hui votre commentaire …
Je vous remercie de votre indulgence et de votre sympathie .
J’aime les gens sincères , sensibles et « originaux » , ceux qui font des commentaires que l’on n’aurait pu prévoir .
Donc moi aussi je vous aime bien !
Amicalement ,
Pascal
Caroline
13 février 2017 @ 12:01
C’est une recette de cuisine de luxe, mais je m’entète à vous dire que je n’aime pas l’agneau ! En plus, quel dégout pour moi, vu mon aversion envers les oeufs!
Je laisse aux autres dire leur critique positive!
clement
13 février 2017 @ 14:42
Pascal ou Pascaline , l’idée d’exploiter l’animal sous quelque forme que ce soit me rebute beaucoup ! Plus je vieillis ,plus je suis sensible au sort animal ,au point de renvoyer un manteau qui me plaisait beaucoup parce que fabriqué en laine et ANGORA !
Muscate-Valeska de Lisabé
14 février 2017 @ 10:49
Je partage ,Clément. ..mais les habitudes culinaires familiales sont très ancrées,alors j’ai diminué ma conso de viande mais pas réussi encore à totalement stopper.
Deux fois par semaine, c’est encore trop….je parle de viande^^ ;-).
Carole 007
13 février 2017 @ 14:56
Tout me plait dans cet énoncé de recette sauf le coulis de jambon.
JAusten
13 février 2017 @ 19:15
Coulis de jambon : je n’ai trouvé que ça
Couper le jambon en très petits morceaux et faites revenir à la poêle pour les griller.
Dans une casserole, faites mijoter un quart d’heure la crème, le fond de veau dilué dans l’eau et le Xeres/vin.
Ajouter les morceaux de jambon, le persil haché, et poivrer fortement.
Vous pouvez épaissir le coulis avec de la farine ou fécule.
Robespierre
13 février 2017 @ 20:47
En attendant, la photo montre un délicieux gigot d’agneau, caramélisé à point et aromatisé au romarin. C’est bien aussi, vu que la Pascaline, c’est l’Arlésienne.
Muscate-Valeska de Lisabé
14 février 2017 @ 10:50
Joliiiii cher Ami!!♡
Blouin
14 février 2017 @ 13:20
J’ai déjà goûté un gigot d’agneau en croûte, mais pas à la Pascaline; par contre la grand-mère de mon mari qui était cuisinière se servait de cette composition pour en farcir une carpe-cuir (ou miroir) et le résultat est parfait; cela va très bien aussi avec une vieille de mer, je l’ai déjà expérimenté.