Ce pendentif est en or et argent, en forme d’astre rayonnant formé par une améthyste taillée en ovale bordée de roses diamantées, entourée de rayons également sertis de roses diamantées, aux quatre points cardinaux des émeraudes de taille poire, la bélière sertie de deux diamants taillés en roses entourant une émeraude de taille rectangulaire.
L’ensemble surmonte une perle fine en pampille sertie de roses diamantées. L’améthyste est appliquée au centre du chiffre du couple impérial serti de roses diamantées : le double E d’Eugénie centré du N de Napoléon III surmontés de la couronne impériale.
Il s’agit du lot 36 qui est estimé entre 10.000 et 15.000 €. (merci à Charles)
Mary
19 novembre 2020 @ 05:18
Si même les Rothschild vendent leurs bijoux , c’est vraiment la crise …
Pastelin
19 novembre 2020 @ 13:43
😀
Guizmo
19 novembre 2020 @ 08:06
Espérons que le Louvre, Compiègne ou Fontainebleau pourrons l’acquérir;
Nico
19 novembre 2020 @ 12:17
Fontainebleau n’est pas concerné par le Second Empire.
Compiègne n’a pas de crédits, mais cela corespond à leurs collections.
Le Louvre rachète uniquement les anciens Diamants de la Couronne, dont ce bijou ne faisait pas partie.
Laurent F
19 novembre 2020 @ 13:52
Pas uniquement les anciens Diamants de la Couronne, les saphirs de Marie-Amélie et le collier et les boucles d’oreilles émeraudes de Marie-Louise en sont la meilleure preuve !
Nico
20 novembre 2020 @ 12:49
Certes mais ce sont des achats anciens qui ne reflètent plus la politique d’acquisition actuelle. De plus on reste sur des parures, privées, de souveraines. Ce pendant n’en faisait pas partie.
Val
19 novembre 2020 @ 16:24
Nico,
Détrompez vous mon ami !!
Nico
20 novembre 2020 @ 12:50
Non Val, cela n’intéressera pas Fontainebleau …
Celia72
19 novembre 2020 @ 08:30
Merci Charles. Quel beau travail d artiste
Gérard
19 novembre 2020 @ 10:27
Le catalogue de la vente dit : « En or 750 millièmes et argent 800 millièmes, pouvant former un devant de corsage […],
« Ce rare témoignage des fastes du Second Empire – notamment en matière de bijoux – pourrait être attribué à l’atelier d’Alexandre-Gabriel Lemonnier, joaillier de la Couronne à partir du 31 mai 1853 et ayant réalisé notamment la couronne de l’Impératrice aujourd’hui conservée au Louvre [on lui devait aussi celle de l’Empereur]. En effet, le couple impérial, qui décida d’utiliser les Joyaux de la Couronne et d’en transformer certains, passa commande à divers joailliers de multiples parures et bijoux destinés à Eugénie mais également pour servir de présents. Outre Lemonnier, François Kramer, joaillier de l’impératrice, ou encore la maison Bapst, qui fournissait l’Empereur sans en avoir le titre officiel, ont notamment fourni la Couronne pendant tout le Second Empire.
Si les tabatières destinées avant tout aux hommes ont été beaucoup offertes (notamment fabriquées par Louis-François Tronquoy pour Lemonnier), rares sont les présents faits aux femmes et en particulier dotés du double chiffre impérial NE à nous être parvenus. On retrouve ce double chiffre sur des présents en porcelaine de Sèvres ou encore sur des pièces d’orfèvrerie, mais il n’existe à notre connaissance aucun bijou de cette importance en collection privée ou publique qui témoigne du système des présents impériaux sous le règne de Napoléon III. »
Ghislaine G-L-P-B
19 novembre 2020 @ 11:16
Belle facture et historique de surcroît , les enchères devraient s’envoler
Nico
19 novembre 2020 @ 12:04
Comme indiqué dans le catalogue cité plus haut, ce n’est en aucun cas un bijou ayant appartenu Eugenie mais bien un cadeau de l’Empereur et de l’Impératrice à un membre de la famille Rotschild, dont ils étaient familiers. Ce n’est pas du tout la même chose …
Régine
19 novembre 2020 @ 12:34
Exact, c’est moi qui ai mal interpreté l’historique du bijou, je rectifie. merci
Nico
19 novembre 2020 @ 13:06
Merci de votre vigilance et de votre réactivité Régine ! Toujours très appréciées.
Léa 33
19 novembre 2020 @ 12:10
Bonjour
Beau bijou, c’est un témoignage des fastes du second empire. Les collectionneurs devraient faire monter les enchères !
Claude MARON
19 novembre 2020 @ 12:10
Ah, l’améthyste, ma pierre préférée… elle va bien avec les émeraudes !
ciboulette
19 novembre 2020 @ 15:30
C’est bien dommage que de si beaux bijoux disparaissent ainsi dans les mains , certainement , de richissimes inconnus .
Marie-Hélène de Rothschild avait pourtant une descendance qui a priori est riche , pourquoi se séparer de souvenirs de famille ?
COLETTE C.
19 novembre 2020 @ 15:49
Un beau bijou.
Muscate-Valeska de Lisabé
19 novembre 2020 @ 16:13
Trop personnalisé,avec ces initiales,pour être beau.
aubepine
19 novembre 2020 @ 16:56
Bijou précieux certes mais qui date un peu !
Danielle
19 novembre 2020 @ 18:32
Pour moi, la perle est de trop.
Baboula
20 novembre 2020 @ 20:41
C’est la perle qui a de la valeur, les autres pierres ont peu d’intérêt .Seul un collectionneur peut être intéressé,je vois mal une femme élégante acheter ce pendentif. On le porte s’il est dans la famille mais de là à l’acheter .
Agnese
19 novembre 2020 @ 19:34
Mais qui vend? Ses fils?
beji
19 novembre 2020 @ 23:47
Et encore ce n’est pas la branche la plus riche des Rothschild, la plus riche est celle du défunt baron Edmond de Rothschild époux de Nadine.
JALINE
20 novembre 2020 @ 13:55
JE N’APPRECIE PAS – JE NE TROUVE PAS JOLI – çà n’engage que moi –