Autre époque, autre manière de porter les bijoux. Ici, la reine Mary, épouse du roi George V, grand-mère de le reine Elizabeth II portant un diadème de perles et diamants ainsi que des colliers de diamants et perles.
Autre style autre époque… C était joli a L époque ! Too much aujourd hui ! Imaginez un instant les coffres forts au palais pour stocker tout cela ! Des réserves inépuisables ! Des bijoux qui dorment depuis plus de 60 ans ! Qui pourra un jour les reporter ?
Les bijoux sont portés, mais de manière plus sobre. La reine Elizabeth 2 n’a pas hérité de tout les bijoux de sa grand-mère, lest cousins de la reine Elizabeth aussi, ainsi que la princesse Margaret..certaines pièces ont été transformées ou vendues. .En tout cas ceux de Margaret
Ça n’est pas ce que j’ai toujours lu et au vue des différents commentaires je ne suis pas la seule.
Il me semble même que le contentieux sur le prix des bijoux a durer longtemps que c’est la reine Elisabeth II qui a finit par devoir payer le bon prix pour ces bijoux.
A la grande honte de cette femme, kleptomane notoire, avide, alors qu’elle possédait tant, de déposséder autrui autant qu’elle le pouvait…(et elle le pouvait beaucoup!)
Elle etàit,paraît -t-il,très avide de jolis objets au point que les maîtresses de maison qui attendaient sa visite mettaient hors de vue leurs plus jolis bibelots : la technique de la reine consistant à s’extasier à tel point devant » le cher petit objet » que la malchanceuse propriétaire devait se résoudre à » l’offrir » à la reine !
Les bijoux sont magnifiques, et la reine Mary avait le port de tête et les toilettes pour porter tous ces joyaux.
On a vu précédemment la reine Letizia porter une petite robe noire pour aller au théâtre. Pourrait-on imaginer de tels bijoux portés sur une telle robe ?
Autre temps – autre époque.
Quant au devenir de ces pièces ? Les bijoux peuvent être retravaillés, offerts, exposés, dispersés. En attendant, ils ne mangent pas de pain.
effectivement, elle adorait les bijoux et sa petite fille a fini par regler de la part de sa granny le contentieux bijoux avec les Romanoff
dont cette tiare des plus fabuleuses ,avec perles ou émeraudes( que Mary a réussi à récuperer, une autre histoire)
une autre époque royale s’il en est la Grande Bretagne regnait sur tous les océans donc une opulence qu’il fallait monter
Il ne faut pas oublier que c’était la parente pauvre de la famille d’Angleterre (sa mère étant cousine germaine de la Reine Victoria et son père étant issu d’un mariage morganatique, comme il y en avait en Allemagne), qui, telle Cendrillon, a épousé le « prince charmant », en l’occurrence le roi Georges V, cela peut expliquer certaines choses…. Malgré tout, d’autres qualités, notamment sa dignité, ont primé sur sa naissance et peut-être aussi sur quelques défauts qu’elle pouvait avoir….
J’ai peur que le roi Georges V n’ait pas été très intéressant, ayant à cœur d’avoir une femme soumise, et des fils à sa botte, ces derniers semblant pas être peu épanouis ou complexés….
Quelle accumulation
Et encore en noir et blanc le rendu est assez sobre
Elle devait être une veritable apparition ainsi parée
Elle porte le diadème de la mère du tsar
La Reine ElisabethII a été obligée de dédommager les descendants
Par rapport à ce diadème
En effet il y eut apres la première guerre une entente entre tous les joaillers
quant aux prix à donner aux exilés sur les restes de leurs fortunes englouties
La Reine Mary quant à elle alla plus loin
Elle expliqua ensuite que c’était à cause des frais occasionnés etccc
Le plus triste demeure tout de même que les exilés russes durent se contenter de bien peu
Quand des intérêts sont en jeux il n’existe plus de solidarités ni de rien
il n’y avait aucun intérêts en jeu pour la reine Mary. Elle l’a fait parce qu’elle adore les bijoux et les diamants en particulier et peut-être aussi pour « rendre service » à une population qu’elle n’a pas pu aider de son plein gré (on ne le saura jamais) ; et si on regarde le verre à moitié plein, c’était bien mieux pour les exilés russes de passer par la reine Mary que directement par les bijoutiers qui auraient acheté les bijoux encore moins chers.
Oui mais la reine Mary n’a donné que la moitié de la somme par elle même proposée
Quand les grandes duchesses revinrent elles ne furent plus reçues
D’où un conflit
Et ceci en plus du prix bas
Merci de votre commentaire, aujourd’hui on taxerait cet excès de bling bling, sauf que c’est du vrai et pas du toc, mais je serais intéressée de savoir où vous avez pu lire cette information du partage que la reine Elisabeth a dédommagé les descendants ? Je croyais qu’ils avaient été assassinés.
Qui seraient donc ces descendants ? Ce dédommagement est-il mentionné dans un livre et si oui, lequel ?
Et quel frais la reine Mary peut-elle avoir invoqué ?
Les descendants sont les descendants des nièces du tsar
A la mort de la mère du tsar ses bijoux furent partages entre ses enfants survivants
La Reone Mary a achete certains bijoux à deux des files donc sœurs du tsar
Les descendants de celles ci ont obtenu tres tard gain de cause
Je l’ai lu deux fois
Toute la famille impériale n’a pas été assassinee
Au dernier moment là mère du tsar a pu fuir avec beaucoup d’autres dont
les Youssoupov
Le prince Félix Youssoupov etait marié à une nièce du tsar donc une petite fille
de la propriétaire de beaucoup de bijoux
C’est l’Angleterre qui a envoyé un bateau pour les sauver in extremis
D autres membres ont eu moins de chance certains sont mort affreusement et lentement au fond d’un puit de mine ……
La mère du Tsar Nicolas a été épargnée et a vécu un temps en Grande Bretagne après la guerre, elle a fini ses jours dans sa patrie d’origine le Danemark. Certains grands-ducs ont également survécu. S’il n’y a plus de descendants directs du dernier Tsar il reste des branches collatérales issues de ces grands ducs.
Très honnêtement, marielouise, les frisottis de lz Reine Mary ne me dérangent pas du tout, certaines de ses attitudes me défrisent davantage !
Quant à la mode elle va et vient en permanence, n’étant qu’un éternel recommencement avec quelques variantes de ci de là. Je suis d’accord avec vous concernant le style et l’élégance, toutefois en ce qui concerne la Reine Mary il semble que ce fut sa nature de cheveux, et contre cela pas grand chose à faire !
Je parlais de 100 ans pour avoir le recul nécessaire, comme celui que nous avons aujourd’hui sur la coiffure de la Reine Mary, quant aux cheveux qui « pendouillent » je ne les trouve pas particulièrement seyants, toutefois il semble que ce soit un style qu’affectionnent certaines souveraines, les autres ayant des coiffures plus apprêtées étant taxées de ringardes, coincées etc
On ne peut pas plaire à tout le monde ni chez les têtes couronnées, ni ailleurs.
La Reine Mary avait en effet la réputation de se faire offrir ce qui lui plaisait dans les demeures où elle était reçue. Ses hôtes « planquaient » ce qui était susceptible de lui plaire avant son arrivée.
Elle a aussi enrichi sa cassette en rachetant certains des bijoux Romanov certainement en dessous de leur valeur Vincent Meylan pourrait nous renseigner plus précisément à ce sujet.
Le seul avantage que je trouve dans cet amoncellement de colliers de chien en perles et diamants, c’est qu’il cache les rides du cou et oblige à tenir la tête droite.
Nos aïeules roturières connaissaient ce subterfuge mais elles se contentaient d’un ruban de velours …
Avons-nous sur ce site un(e) psy qui pourrait nous expliquer à quoi correspond ce besoin de se couvrir de bijoux. J’ai vu la même chose sur une photo de la reine Emma qui avait épousé à 20 ans sans y être forcée, un vieillard de plus de 60 ans roi des Pays-Bas. Est-ce par besoin de compensation ? Mais compenser quoi, dans le cas de Mary ? Dans le cas d’Emma, je peux comprendre.
Mary est né dans une famille appartenant, certes, à la galaxie royale, mais quand même pas très proche du soleil, et un peu déclassée. Elle manquait un peu de sang bleu, son père étant issu d’un mariage morganatique. Ses parents avaient eu des problèmes d’argent.
Peut-être y a t-il eu chez elle un désir de revanche sur l’adversité qui l’a poussé à être plus reine que reine, si je puis dire; à amasser des trésors et en rajouter dans l’apparat et la majesté.
La réponse est peut être dans ce qu’elle disait concernant le devoir conjugal : « on ferme les yeux et on pense à l’Angleterre » elle a au moins cinq fois pensé à l’Angleterre !
Oui François, et bien pire que les bijoux il y a eu le refus de Georges V d’accueillir la Famille Impériale Russe en Angleterre pendant la Révolution Bolchévique, refus qu’il a du certainement prendre à contre coeur, car je crois qu’il était proche du Tsar Nicolas, de par leurs liens familiaux, mais aussi parce qu’ils avaient une grande complicité et alors ! un « air de famille » incontestable.
Le Prince Michael de Kent a d’ailleurs hérité de cette ressemblance, ressemblance qu’il accentue volontairement je pense.
Les liens familiaux doubles pour le roi George V avec le couple impérial; en effet le tsar Nicolas était son cousin germain du côté maternel (Alexandra soeur de Dagmar : tsarine Maria mère de Nicolas). La tsarine Alexandra née Alix de Hesse était la fille de sa tante Alice soeur de son père Edward VII.
Oui Robespierre en psychanalyse les bijoux sont très importants
C’est un comblement de manque affectif terrible
Certainement qui remonte au manque d’amour maternel
Lorsque cela prénd les proportions prises chez la reine Mary
Là c’était pathologique
Les joyaux sont éternels rassurent
De plus on s’en couvre
Voir la pathologie de la Paiva qui parlait à ses pierres
De plus il en faut toujours davantage
C ´est un manque de sécurité
Certaines femmes disent se sentir nues si elles sortent sans bijoux
Amusant de voir que le fils de la reine Mary Duc de Windsor se jeta dans les bras
d’une femme éprise de bijoux davantage que de lui à n’en pas douter
Beaucoup d’hommes aiment voir leurs épouses parées et aussi offrent des bijoux
sour se faire pardonner une incartade
Il y a un côté tres sensuel voire plus dans le fait de devoir se parer ,posséder
Combien de femmes disent se sentir rassurées en ouvrant leur écrin fût il modeste
Pour la Reine Mary il y avait un besoin de revanche par rapport à une enfance
pas tres rose .des difficultés financières aboutissant à la mise en vente de l’argenterie
des Tek et un séjour à Florence etcc
Une revanche aussi d’être née dans une branche cadette
Et je pense en plus compenser une vie de femme pas très amusante
Robespierre, les collectionneurs et les acheteurs excessifs souffrent souvent de troubles obsessifs compulsifs. La kleptomanie de la reine est un trouble de l’impulsion qui rentre aussi dans cette catégorie. Ces pathologies, qui sont en fait des névroses, sont des mécanismes de défense contre l’angoisse. Tout comme les compulsions alimentaires ( boulimie).
Cette femme hautaine, imbue de son rang et de sa cassette m’a toujours déplu par sa rapacité. Du sang bleu peut-être mais peu de noblesse de cœur, la principale.
Je me demande si la reine était vraiment kleptomane. Je pense qu’elle était avide à l’excès et très mal éduquée malgré son pedigree. Et comme par hasard, ce n’était même pas une bonne mère J’ai dis plus bas que j’avais plus d’estime pour un kleptomane que pour une femme pareille, et je dis la même chose pour un boulimique.
Robespierre, je ne suis pas psy. Mais chacun sait que la reine Mary avait eu une enfance triste dans une famille désargentée, branche cadette et morganatique de la maison de Wurtemberg. Elle a probablement manqué de beaucoup de choses (certains historiens disent même qu’elle n’aurait pas toujours mangé à sa faim) dans son enfance. Ceci explique peut-être ce besoin d’accumuler pour qui a souffert dans son jeune âge de ne pas avoir le nécessaire.
A une époque je trouvais que la reine Elisabeth avait dans le regard une expression tout à fait identique à celle de sa grand-mère.
Il en court des histoires sur la reine Mary….
Mais elle n’était pas la seule à être très attachée à ses bijoux , l’ impératrice Maria Feodorovna veuve du tsar Alexandre III eut paraît il quelques réticences à se séparer de sa cassette de joyaux au profit de sa bru , l’impératrice Alexandra Feodorovna , il fallut l’intervention du Tsar pour qu’elle s’y résolve.
Je viens d’ailleurs de découvrir un très beau reportage que lui a consacré N§R : http://www.noblesseetroyautes.com/portrait-dagmar-de-danemark-tsarine-maria-feodorovna-de-russie/
Très intéressant car il nous montre des photos de l’impératrice à tout âge , y compris dans son exil.
Ce devait être au demeurant une femme charmante et très sensée.
Cette reine consort était beaucoup plus attachée à ses joyaux qu’à ses enfants qu’elle abandonnait aux »bon soins »des gouvernantes. L’une d’elles s’appliqua avec sadisme à affamer le futur Georges VI . Ce malheureux enfant devint bègue en raison des sévices qu’il avait subis. Il paraît que ses parents mirent trois ans à s’apercevoir du calvaire que vivait leur enfant…
Curieux, ce mental de pie klepto.
Une question façon psychologie de bazar – c’est le cas de le dire – :
Mary de Teck avait été fiancée à Albert-Victor, duc de Clarence, fils aîné du Prince de Galles de l’époque. Lequel s’empressa de décéder, le souffle coupé ( pneumonie) avant d’avoir pu conclure, comme dirait Michel Blanc dans « Les Bronzés font du ski » ( ben oui, chacun ses références).
Aussitôt, la fiancée-veuve fut repassée au suivant, càd.le frère du précédent ( vous suivez ?) , autrement dit George – prononcer Djooorje – le frère de feu le fiancé, et futur George V. Dont la petite histoire dit qu’il n’attendait que ça . Vrai ou faux, à voir.
Toujours est-il, si vous m’avez bien suivie, que Mary épousa le frère de son ex-fiancé.
On ne sait si elle s’en trouva bien. Mais elle se trouva reine. Et embijoutée .
La même histoire est arrivée à sa consœur ,la princesse Dagmar,future tsarine Marie : avant d’épouser le futur Alexandre III,elle était fiancée à son frère aîné , qui est mort avant la noce. Il paraît,là aussi,que le second frère était ravi de l’aubaine .
Perso,je crois plutôt que tout étant conclu entre les 2 familles,tout le monde s’est simplifié la vie. Dans les deux cas,la fiancée était plutôt pas mal,alors ma foi…
Dagmar de Danemark surtout semblait très jolie.
La famille de la reine Mary (de Teck) était très désargentée. La mort de son 1er fiancé royal a du porter un coup a ses espérances financières, quand l’autre s’est présenté, elle a sauté sur l’occasion !!!!
Je pense aussi que Georges V d’après les témoignages de proches était très amoureux de son épouse et fustigeait les maris volages !
Ce ne fut donc certainement pas par devoir qu’il honora la Reine..
Lors de visites chez des « amis », elle ne pouvait s’empêcher d’admirer LOURDEMENT les petits objets précieux pour qu’évidemment par politesse, ses hôtes lui disent de l’emporter… Ou alors elle prétendait avoir le « jumeau » d’un chandelier ou autre objet à la « maison » pour que là encore, on le lui « offre ».
On a aussi parlé d’un problème de kleptomanie… ??
j’ai plus d’estime pour un kleptomane qui un peu dérangé du grenier, que pour une personne censée avoir de l’éducation et qui mise sur sa situation sociale pour se faire offrir les choses qui lui plaisent. Mais ce que je vomis le plus, ce sont des gens très haut placés qui font des promenades chez les libraires, regardent des éditions originales coûteuses et se les font payer par l’ami friqué qui par hasard accompagne la promenade . Les mêmes s’arrangent toujours pour se faire inviter au resto et n’ont pas d’argent sur eux. On aura saisi de qui je parle.
Oui. On a saisi, Robespierre. ( j’ai bien ri à l’expression » un peu dérangé du grenier » ! )
Autre » exemple », du même bord : certaine dame avait, en sa Région, l’habitude de se lever fort opportunément au moment de l’addition au restau, au café, au bar , laissant ses collaborateurs et hôtes s’occuper de l’ardoise. Pourtant pas encore réputée énurésique, elle éprouvait aussi un besoin pressant d’aller aux toilettes au moment de payer le plein d’essence .
Elle évitait même de payer sa collaboratrice, qui avait déjà payé une partie de tout ça sur ses petits deniers. . Mais elle n’en mit pas moins les finances de la Région en sale état. Qu’il faut payer, maintenant que la Dame a été appelée à d’encore plus hautes destinées.
Si la ponctualité est la politesse des rois, apparemment, payer ce qu’on doit n’est pas très Royal.
Je crois même que ladite Dame a omis de payer deux de ses collaboratrices ce qui fit grand bruit pour peu de résultats, car « trainée » devant les Prud’hommes, elle a réussi si je me souviens bien à faire débouter tout au moins en partie ces deux femmes, en produisant des témoignages de proches ayant des vues sur quelques officines que SR pouvaient leur faire attribuer prioritairement.
En ce qui concerne la gestion de nos dirigeants et notamment par le premier d’entre eux, concernant la Corrèze, son département d’élection et non d’origine, il a réussi en tant que Président du Conseil Déparemental à en faire le département le plus endetté de France, suivi de près par Charentes Poitou en tant que Région, et tout ça a fait… » d’excellents gestionnaires de la France »
Certains des quais de Seine également ainsi que nombre de bouquinistes et libraires d’art ou de bouquins anciens.
Il est loin le temps ou le Général De Gaulle payait sa note d’électricité à l’Elysée ainsi que les repas de famille qu’il y organisait lorsqu’il n’était pas à La Boisserie
Dans une semblable circonstance un aristocrate dont elle admirait ostensiblement je ne sais plus quel meuble lui aurait déclaré en substance : » j’en aurais très volontiers fait présent à votre Majesté , malheureusement c’est une copie «
C’est en 1913 que la reine Mary demande au joaillier Garrard de créer un diadème caractérisé par une succession de « nœuds d’amour » (traduction de l’expression anglaise « lover’s knots »), inspiré de celui de sa grand-mère maternelle, la princesse Augusta de Hesse-Kassel, duchesse de Cambridge, et datant de 1818. En 1935, la reine Mary fait retirer les 18 perles poires pour lui donner son aspect actuel, un diadème qui est hérité par sa petite fille, la reine Elizabeth II en 1953 .
Au décès de la reine Mary, c’est sa petite-fille Elizabeth qui en hérite et le porte.
En 1981 Diana le reçoit en cadeau de mariage: le trouvant « trop lourd » et lui donnant des maux de tête, selon ses dires, elle ne l’a que très peu porté, et à son décès, il est retourné aux Collections Royales.
Etait-ce elle qui avait répondu à une de ses dames d’honneur qui lui avait dit que c’était bien trop de bijoux pour visiter les personnes malades et blessées de guerre « Puisqu’ils veulent voir une Reine, il verront une Reine ! » ?
La reine Mary quittât Londres pendant la guerre et visitât des usines et des camps militaires .Cette phrase peut lui appartenir ,mais aussi à sa belle fille la reine Elisabeth .
personnalité peu sympathique cette reine Mary ; d’une façon générale j’apprécie très peu les Windsor sauf le show royal qu’ils sont les seuls à nous offrir
La royauté devait ainsi se montrer , opulente, brillante et apparition quasi surnaturelle .Oui , mais …la reine a l’air d’une châsse ambulante , ce qui n’est pas un compliment , et, d’après ce que l’on dit , ornée de biens mal acquis .
je préfère ce diadème avec les émeraudes, la reine Elizabeth l’a souvent porté. il est sublime. En accord avec la fonction royale et peu fait pour l’exil.
Ses parents avaient du fuir leur pays car ils étaient pourchassés par les créanciers et ils se sont retrouvés « protégés » à la cour bien que d’une famille mineure selon le terme utilisé à l’époque car son père était né d’un mariage morganatique.
il me semble que déjà on peut voir les prémices du « 3 Row Festoon Jubilee Necklace » : le collier à trois rangs de diamants que la reine Elizabeth II arbore très souvent à l’ouverture du parlement. Ici seulement deux rangs (les deux derniers colliers du bas). Puis The Duchess of Teck’s Collet Necklace (entre les deux colliers de perles) que Mary a hérité de sa mère et The Queen Alexandra’s Collet Necklace (entre le choker de diamants/perles -un de ses préférés- et le premier de perles) : la reine EII a hérité des deux.
La mère de la future reine Mary souhaitait vivement que sa fille devienne un jour reine du Royaume – Uni ;à cette époque Victoria à qui rien n’échappait lui aurait dit ,ne vous inquiétez pas votre fille sera reine !
cela dit ,ce diadème est superbe ,la reine Elizabeth le porte souvent avec des émeraudes-poires ,c’est du plus bel effet,d’ailleurs presque tous les diadèmes portés par la reine Mary sont portés par sa petite-fille .
Sauf erreur, la reine Mary porte ici la diadème de la grande duchesse Wladimir que sa petite fille aime porter sous ses trois formes :
avec perles, avec émeraudes ou avec rien.
Il me semble que ce bijou extraordinaire fut sorti à l’ccasion du dîner d’Etat offert au président de la Républiqe d’Irlande par la souveraine au château de Windsor en avril 1974. Cette visite – qui répondait à celle de la reine en Irlande – avait marqué d’une manière éclatante la réconciliation entre les deux Pays.
Il était naturellement dans sa version avec émeraudes, le vert étant, comme chacun sait, la couleur de l’Irlande.
Elle le porta également pour le sommet du Commonwealth à Malte en novembre 2015, chaque fois avec un incroyable collier d’émeraudes.
Bah… il s’agit du style propre à une époque où il était de bon ton de se couvrir lourdement de bijoux. De nos jours, une plus grande sobriété est de mise.
Il n’en demeure pas moins que la reine Mary s’est approprié les joyaux des Romanov par des moyens détournés qui flirtent avec l’escroquerie. Quant à sa manie de se faire offrir des bibelots chez les aristos : no comment !
Georges V et sa conjointe = le couple royal le moins intéressant de l’histoire de la Monarchie britannique.
Vous avez en partie raison, mais le roi Georges V s’est tout de même acquis le respect de son peuple en se rendant de multiples fois sur les lignes de front dans la Somme et dans les hôpitaux militaires durant la Première Guerre Mondiale.
Pour la Reine Mary c’est une autre histoire
Elle est controversée même à l’intérieur de sa famille : on trouve à travers les correspondances de ses enfants des avis contradictoires et changeants au gré du temps.
Le père d’Elisabeth II conclura à la mort de sa mère négativement sur elle dans une lettre à sa femme.
Mais aucun être humain n’est noir complètement. Elle avait ses bons côtés mais ses troubles du comportement, son franc déséquilibre, et son avidité étaient particulièrement gênants en société.
Anne Cécile, je ne voudrais pas vous contredire, mais le Roi Georges VI est mort avant sa mère. Alors peut être avait il écrit sur elle de leur vivant à eux deux.
Pour avoir vu une photo noir et blanc de la princesse Mary princesse royale, et fille de la reine Mary et de George V, j’avais noté la ressemblance frappante de cette princesse, tante des princesses Elisabeth et Margaret, avec la future reine actuelle. Plus de ressemblance avec la tante, et Elisabeth, qu’Anne avec sa mère.
La reine Mary a décliné beaucoup de ses traits et de son allure, chez sa fille Mary et son second fils, Albert d’York devenu ensuite George VI, et le Duc de Kent époux de Marina de Grèce.. Les autres fils , David, et le duc de Gloucester ressemblaient à leur père.
Outre aussi, la ressemblance les faisant prendre pour des jumeaux, entre le roi George V, et son cousin le tsar Nicolas II de Russie, cousins entre eux, leurs mères étant deux soeurs, nées princesses de Danemark.
Les mencheviks, avant que les bolcheviks ne prennent le pouvoir, avaient demandé aux anglais de recevoir en exil Nicolas II et sa famille. Refus des anglais (la famille royale apparemment).
Pas glorieuse l’attitude des souverains anglais envers leurs famille russe,Georges V et
Nicolas II étaient cousins germains;la reine Mary en a profité pour acheter des bijoux à un prix inférieur à leur valeur;je pense aussi que le prince Mickaël de Kent accentue sa
ressemblance avec Nicolas II.
La reine Charlotte aimait tout autant les bijoux et ne donnât jamais à sa belle fille certains joyaux de la cassette royale qui lui revenaient en tant que nouvelle reine .Mary dût attendre le décès de sa belle mére . Elle devait avoir peur que Charlotte vienne les lui » piquer » ,c’est pourquoi elle en portait tant à la fois !
A propos des deux dernières impératrices de Russie, il faut savoir qu’au décès d’Alexandre III sa veuve demeura la « 1ère dame de Russie » car selon le protocole russe la mère de l’empereur avait la préséance sur l’épouse de l’empereur . D’ailleurs Maria Feodorovna fut offusquée que cela n’était pas le cas à la cour St James. Elle ne supportait pas que sa sœur, la veuve d’Edouard VII, passe après sa belle-fille Mary de Teck !
De mémoire il ya une photo de la Fürstin Taxis née Autriche prise à l’occasion des cérémonies de ses noces de diamant où elle est encore plus « enchassée » que la reine Mary….il faut dire qu’à la cour de Ratisbonne on portait le diadème même pour jouer aux quilles :
» Certaines monarchies à panache………………………………
……On les voyait conserver imperturbablement leurs pompes
traditionnelles. Telle était la petite cour de Tour et Taxis, à
Regensburg, qui sous ce rapport était bien la plus pittoresque et
la plus amusante que j’ai connue.
On y jouait aux quilles, mais en quel équipage ! Nous étions au
jeu en diadème et en robe à traîne ! Etiquette imprévue pour
manier une énorme boule et la lancer. Plus d’un diadème chancelait
et plus d’une joueuse gémissait dans ses soies, broderies et
garnitures, sans parler du corset.
Heureusement qu’alors les étoffes avaient quelque importance et
solidité. Si cela se passait en un temps où les femmes sont
vêtues de transparences aussi écourtées que possible que ne
verrait on pas ?
Et je ne pense pas que c’était par hasard que j’ai joué aux quilles
en toilette de cour. C’était toujours ainsi. On allait à la partie
en cortège, et précédé d’un maître de cérémonies.
Parce que ou quoique, ainsi que dit quelque part Victor Hugo,
c’était très drôle.
La vie ne manquait pas d’agrément à Regensburg. Le Prince et la
Princesse recevaient avec faste. Le palais s’y prêtait, meublé
royalement, et entouré de jardins tenus avec amour. La cuisine
égalait celle de Ferdinand de Bulgarie. Et, l’amusant, c’était,
partout un cérémonial suranné, mais si bien réglé que l’on
arrivait vite à oublier certaines outrances pour ne plus
sentir que la beauté d’une sorte de rythme et d’arrangements
où revivait la dignité des temps passés.
On allait aux courses en calèches d’apparat, excellemment
attelées, précédées de piqueurs brillants. Le comte de
Stauffenberg, chef des écuries , ancien officier autrichien,
cavalcadait autour de la voiture princière, et les
gentilhommes du service étaient si empressés que, si l’on eut
manqué de marchepied pour descendre de carrosse, tous
auraient voulu galamment y suppléer de leur personne.
Si nous allions au théâtre, c’était en toilette, et précédés
de porteurs de flambeaux, jusque dans la loge princière.
Une telle étiquette obligeait à être constamment en
représentation. Mais cela plaisait au Prince et à sa femme;
ils ne vivaient que pour continuer les siècles abolis.
La princesse Marguerite de Tour et Taxis, archiduchesse
d’Autriche, avait dit on un faux air de Marie Antoinette. Or
le prince, inspiré par la ressemblance accordée à sa
femme, voulut offrir à celle ci une parure qui avait
appartenu à l’infortunée reine de France. Il la trouva,
et la princesse la portait. J’aurais craint qu’il y fût
resté quelque chose de funeste. Mais on n’avait point de
ces superstitions à la cour de Tour et Taxis. On voyait la vie en
rose….. »
in Princess Louise de Belgique, « Autour des trônes que j’ai vus tomber » 1921
Ludovic
19 septembre 2016 @ 06:27
Autre style autre époque… C était joli a L époque ! Too much aujourd hui ! Imaginez un instant les coffres forts au palais pour stocker tout cela ! Des réserves inépuisables ! Des bijoux qui dorment depuis plus de 60 ans ! Qui pourra un jour les reporter ?
Muscate-Valeska de Lisabé.
19 septembre 2016 @ 07:48
Tout le monde,si les pierres sont démontées et bien resserties…c’est sûrement le cas…
Augustine
19 septembre 2016 @ 09:40
la reine le porte très souvent, il est sublime !
Ladot fabian
19 septembre 2016 @ 20:46
Les bijoux sont portés, mais de manière plus sobre. La reine Elizabeth 2 n’a pas hérité de tout les bijoux de sa grand-mère, lest cousins de la reine Elizabeth aussi, ainsi que la princesse Margaret..certaines pièces ont été transformées ou vendues. .En tout cas ceux de Margaret
Jacqueline
19 septembre 2016 @ 06:56
N’est-ce pas cette reine qui a acheté à vil prix des bijoux de la famille impériale russe alors dans le besoin?
Damien B.
19 septembre 2016 @ 07:08
Non Jacqueline, elle les a achetés à un prix correct.
Ellen
19 septembre 2016 @ 15:08
Damien :
c’est faux ! le mari de la grand duchesse Xénia l’a raconté dans un livre
Les anglais ont été infects envers les russes
arwen
19 septembre 2016 @ 16:41
Ça n’est pas ce que j’ai toujours lu et au vue des différents commentaires je ne suis pas la seule.
Il me semble même que le contentieux sur le prix des bijoux a durer longtemps que c’est la reine Elisabeth II qui a finit par devoir payer le bon prix pour ces bijoux.
amaia
19 septembre 2016 @ 07:34
J’ai lu quelque chose de semblable !!!
Muscate-Valeska de Lisabé.
19 septembre 2016 @ 07:49
On appelle ça faire une affaire ;-)).
Jacqueline
19 septembre 2016 @ 18:05
Ou un abus de faiblesse :-))
Stella
19 septembre 2016 @ 08:04
Bien sûr que si! bien sûr que si…
A la grande honte de cette femme, kleptomane notoire, avide, alors qu’elle possédait tant, de déposséder autrui autant qu’elle le pouvait…(et elle le pouvait beaucoup!)
amaia
19 septembre 2016 @ 16:19
J’ai lu que si elle allait chez vous et qu’un meuble ou bibelot lui plaisait, elle s’arrangeait pour repartir avec !!!!
*Gustave de Montréal
19 septembre 2016 @ 17:25
Tout à fait, pingre et profiteuse c’est bien connu
Ladot fabian
19 septembre 2016 @ 20:41
Il paraît que la reine Elizabeth 2 a par la suite remboursé les héritiers Russes et payer les joyaux au juste prix
Mary
19 septembre 2016 @ 11:54
Elle etàit,paraît -t-il,très avide de jolis objets au point que les maîtresses de maison qui attendaient sa visite mettaient hors de vue leurs plus jolis bibelots : la technique de la reine consistant à s’extasier à tel point devant » le cher petit objet » que la malchanceuse propriétaire devait se résoudre à » l’offrir » à la reine !
Baboula
19 septembre 2016 @ 06:58
Totalement addicte aux bijoux ,à ce qui brille ,telle la pie .Il était difficile de lui refuser un objet qui l’avait séduite .
Robespierre
19 septembre 2016 @ 07:33
Les gens qui aiment entasser, entasser, sont rarement des gens intéressants sur un plan humain
Baboula
19 septembre 2016 @ 14:15
Ses enfants ont moins de caresses et de soins de sa part que ces morceaux de carbone .
amaia
19 septembre 2016 @ 16:21
Il n’y a qu’a voir le résultat de l’éducation donner à ses fils …..
JAusten
20 septembre 2016 @ 17:01
c’est vrai. Il n’y que Gloucester qui a grandi sans trop de dommages.
Christine
19 septembre 2016 @ 07:44
Il paraît même qu’elle avait un petit côté cleptomane…
l'Alsacienne
19 septembre 2016 @ 07:12
Les bijoux sont magnifiques, et la reine Mary avait le port de tête et les toilettes pour porter tous ces joyaux.
On a vu précédemment la reine Letizia porter une petite robe noire pour aller au théâtre. Pourrait-on imaginer de tels bijoux portés sur une telle robe ?
Autre temps – autre époque.
Quant au devenir de ces pièces ? Les bijoux peuvent être retravaillés, offerts, exposés, dispersés. En attendant, ils ne mangent pas de pain.
chanchan
19 septembre 2016 @ 07:17
effectivement, elle adorait les bijoux et sa petite fille a fini par regler de la part de sa granny le contentieux bijoux avec les Romanoff
dont cette tiare des plus fabuleuses ,avec perles ou émeraudes( que Mary a réussi à récuperer, une autre histoire)
une autre époque royale s’il en est la Grande Bretagne regnait sur tous les océans donc une opulence qu’il fallait monter
will34
19 septembre 2016 @ 17:54
Il ne faut pas oublier que c’était la parente pauvre de la famille d’Angleterre (sa mère étant cousine germaine de la Reine Victoria et son père étant issu d’un mariage morganatique, comme il y en avait en Allemagne), qui, telle Cendrillon, a épousé le « prince charmant », en l’occurrence le roi Georges V, cela peut expliquer certaines choses…. Malgré tout, d’autres qualités, notamment sa dignité, ont primé sur sa naissance et peut-être aussi sur quelques défauts qu’elle pouvait avoir….
J’ai peur que le roi Georges V n’ait pas été très intéressant, ayant à cœur d’avoir une femme soumise, et des fils à sa botte, ces derniers semblant pas être peu épanouis ou complexés….
Francois
19 septembre 2016 @ 08:18
Quelle accumulation
Et encore en noir et blanc le rendu est assez sobre
Elle devait être une veritable apparition ainsi parée
Elle porte le diadème de la mère du tsar
La Reine ElisabethII a été obligée de dédommager les descendants
Par rapport à ce diadème
En effet il y eut apres la première guerre une entente entre tous les joaillers
quant aux prix à donner aux exilés sur les restes de leurs fortunes englouties
La Reine Mary quant à elle alla plus loin
Elle expliqua ensuite que c’était à cause des frais occasionnés etccc
Le plus triste demeure tout de même que les exilés russes durent se contenter de bien peu
Quand des intérêts sont en jeux il n’existe plus de solidarités ni de rien
Nicolette
19 septembre 2016 @ 14:24
C’est le diadème Wladimir qui appartint à la grande duchesse Maria Pavlovna l’aînėe (épouse du grand-duc Wladimir) et non å la mère du Tsar.
JAusten
19 septembre 2016 @ 17:57
il n’y avait aucun intérêts en jeu pour la reine Mary. Elle l’a fait parce qu’elle adore les bijoux et les diamants en particulier et peut-être aussi pour « rendre service » à une population qu’elle n’a pas pu aider de son plein gré (on ne le saura jamais) ; et si on regarde le verre à moitié plein, c’était bien mieux pour les exilés russes de passer par la reine Mary que directement par les bijoutiers qui auraient acheté les bijoux encore moins chers.
Francois
20 septembre 2016 @ 21:57
Oui mais la reine Mary n’a donné que la moitié de la somme par elle même proposée
Quand les grandes duchesses revinrent elles ne furent plus reçues
D’où un conflit
Et ceci en plus du prix bas
Marie Alice
19 septembre 2016 @ 18:13
Bonjour,
Merci de votre commentaire, aujourd’hui on taxerait cet excès de bling bling, sauf que c’est du vrai et pas du toc, mais je serais intéressée de savoir où vous avez pu lire cette information du partage que la reine Elisabeth a dédommagé les descendants ? Je croyais qu’ils avaient été assassinés.
Qui seraient donc ces descendants ? Ce dédommagement est-il mentionné dans un livre et si oui, lequel ?
Et quel frais la reine Mary peut-elle avoir invoqué ?
Francois
20 septembre 2016 @ 13:21
Les descendants sont les descendants des nièces du tsar
A la mort de la mère du tsar ses bijoux furent partages entre ses enfants survivants
La Reone Mary a achete certains bijoux à deux des files donc sœurs du tsar
Les descendants de celles ci ont obtenu tres tard gain de cause
Je l’ai lu deux fois
Toute la famille impériale n’a pas été assassinee
Au dernier moment là mère du tsar a pu fuir avec beaucoup d’autres dont
les Youssoupov
Le prince Félix Youssoupov etait marié à une nièce du tsar donc une petite fille
de la propriétaire de beaucoup de bijoux
C’est l’Angleterre qui a envoyé un bateau pour les sauver in extremis
D autres membres ont eu moins de chance certains sont mort affreusement et lentement au fond d’un puit de mine ……
AnneLise
20 septembre 2016 @ 15:24
La mère du Tsar Nicolas a été épargnée et a vécu un temps en Grande Bretagne après la guerre, elle a fini ses jours dans sa patrie d’origine le Danemark. Certains grands-ducs ont également survécu. S’il n’y a plus de descendants directs du dernier Tsar il reste des branches collatérales issues de ces grands ducs.
marielouise
19 septembre 2016 @ 09:01
Terribles, terriblement hideux…ces frisottis!
ml
AnneLise
19 septembre 2016 @ 12:10
Oui mais c’était à la mode… dans 100 ans que pensera t on des coiffures d’aujourd’hui ?
marielouise
20 septembre 2016 @ 12:48
La mode se démode,Annelise mais le style et l’élégance ne sont pas une histoire de mode…bien au contraire!!!
ml
AnneLise
21 septembre 2016 @ 12:00
Très honnêtement, marielouise, les frisottis de lz Reine Mary ne me dérangent pas du tout, certaines de ses attitudes me défrisent davantage !
Quant à la mode elle va et vient en permanence, n’étant qu’un éternel recommencement avec quelques variantes de ci de là. Je suis d’accord avec vous concernant le style et l’élégance, toutefois en ce qui concerne la Reine Mary il semble que ce fut sa nature de cheveux, et contre cela pas grand chose à faire !
Leonor
20 septembre 2016 @ 12:55
Pas besoin d’attendre cent ans, AnneLise :
les cheveux qui pendouillent , c’est, simplement, moche.
AnneLise
21 septembre 2016 @ 12:07
Je parlais de 100 ans pour avoir le recul nécessaire, comme celui que nous avons aujourd’hui sur la coiffure de la Reine Mary, quant aux cheveux qui « pendouillent » je ne les trouve pas particulièrement seyants, toutefois il semble que ce soit un style qu’affectionnent certaines souveraines, les autres ayant des coiffures plus apprêtées étant taxées de ringardes, coincées etc
On ne peut pas plaire à tout le monde ni chez les têtes couronnées, ni ailleurs.
Muscate-Valeska de Lisabé.
19 septembre 2016 @ 13:38
On retrouve des traits de Mary dans ceux de la reine Élisabeth. Cela m’a sauté aux yeux,sur ce portrait.
Baboula
20 septembre 2016 @ 15:07
la reine Mary a gardé un beau visage toute sa vie.
Nathetvoila
21 septembre 2016 @ 08:07
Et ceux de la jeune Louise!
Baboula
19 septembre 2016 @ 14:32
marielouise soyez charitable pour celles qui ont les cheveux frisés mais je plains les coquettes qui s’imposaient ces frisottis avec un fer à friser .
AnneLise
19 septembre 2016 @ 09:24
La Reine Mary avait en effet la réputation de se faire offrir ce qui lui plaisait dans les demeures où elle était reçue. Ses hôtes « planquaient » ce qui était susceptible de lui plaire avant son arrivée.
Elle a aussi enrichi sa cassette en rachetant certains des bijoux Romanov certainement en dessous de leur valeur Vincent Meylan pourrait nous renseigner plus précisément à ce sujet.
Le seul avantage que je trouve dans cet amoncellement de colliers de chien en perles et diamants, c’est qu’il cache les rides du cou et oblige à tenir la tête droite.
Nos aïeules roturières connaissaient ce subterfuge mais elles se contentaient d’un ruban de velours …
Robespierre
19 septembre 2016 @ 09:43
Avons-nous sur ce site un(e) psy qui pourrait nous expliquer à quoi correspond ce besoin de se couvrir de bijoux. J’ai vu la même chose sur une photo de la reine Emma qui avait épousé à 20 ans sans y être forcée, un vieillard de plus de 60 ans roi des Pays-Bas. Est-ce par besoin de compensation ? Mais compenser quoi, dans le cas de Mary ? Dans le cas d’Emma, je peux comprendre.
Pierre-Yves
19 septembre 2016 @ 11:43
Mary est né dans une famille appartenant, certes, à la galaxie royale, mais quand même pas très proche du soleil, et un peu déclassée. Elle manquait un peu de sang bleu, son père étant issu d’un mariage morganatique. Ses parents avaient eu des problèmes d’argent.
Peut-être y a t-il eu chez elle un désir de revanche sur l’adversité qui l’a poussé à être plus reine que reine, si je puis dire; à amasser des trésors et en rajouter dans l’apparat et la majesté.
AnneLise
19 septembre 2016 @ 12:11
La réponse est peut être dans ce qu’elle disait concernant le devoir conjugal : « on ferme les yeux et on pense à l’Angleterre » elle a au moins cinq fois pensé à l’Angleterre !
AnneLise
19 septembre 2016 @ 12:29
Oui François, et bien pire que les bijoux il y a eu le refus de Georges V d’accueillir la Famille Impériale Russe en Angleterre pendant la Révolution Bolchévique, refus qu’il a du certainement prendre à contre coeur, car je crois qu’il était proche du Tsar Nicolas, de par leurs liens familiaux, mais aussi parce qu’ils avaient une grande complicité et alors ! un « air de famille » incontestable.
Le Prince Michael de Kent a d’ailleurs hérité de cette ressemblance, ressemblance qu’il accentue volontairement je pense.
Lili.M
20 septembre 2016 @ 14:57
Les liens familiaux doubles pour le roi George V avec le couple impérial; en effet le tsar Nicolas était son cousin germain du côté maternel (Alexandra soeur de Dagmar : tsarine Maria mère de Nicolas). La tsarine Alexandra née Alix de Hesse était la fille de sa tante Alice soeur de son père Edward VII.
AnneLise
19 septembre 2016 @ 12:30
Pardon 6 fois, j’avais oublié John mort avant d’être titré.
Claire
20 septembre 2016 @ 13:06
Sans oublier les « coups » d’essai… non fructueux AnneLise !
AnneLise
21 septembre 2016 @ 11:48
C’est vrai je n’ai comptabilisé que les « essais transformés » !
Francois
19 septembre 2016 @ 14:07
Oui Robespierre en psychanalyse les bijoux sont très importants
C’est un comblement de manque affectif terrible
Certainement qui remonte au manque d’amour maternel
Lorsque cela prénd les proportions prises chez la reine Mary
Là c’était pathologique
Les joyaux sont éternels rassurent
De plus on s’en couvre
Voir la pathologie de la Paiva qui parlait à ses pierres
De plus il en faut toujours davantage
C ´est un manque de sécurité
Certaines femmes disent se sentir nues si elles sortent sans bijoux
Amusant de voir que le fils de la reine Mary Duc de Windsor se jeta dans les bras
d’une femme éprise de bijoux davantage que de lui à n’en pas douter
Beaucoup d’hommes aiment voir leurs épouses parées et aussi offrent des bijoux
sour se faire pardonner une incartade
Il y a un côté tres sensuel voire plus dans le fait de devoir se parer ,posséder
Combien de femmes disent se sentir rassurées en ouvrant leur écrin fût il modeste
Pour la Reine Mary il y avait un besoin de revanche par rapport à une enfance
pas tres rose .des difficultés financières aboutissant à la mise en vente de l’argenterie
des Tek et un séjour à Florence etcc
Une revanche aussi d’être née dans une branche cadette
Et je pense en plus compenser une vie de femme pas très amusante
Corsica
19 septembre 2016 @ 17:18
Robespierre, les collectionneurs et les acheteurs excessifs souffrent souvent de troubles obsessifs compulsifs. La kleptomanie de la reine est un trouble de l’impulsion qui rentre aussi dans cette catégorie. Ces pathologies, qui sont en fait des névroses, sont des mécanismes de défense contre l’angoisse. Tout comme les compulsions alimentaires ( boulimie).
Cette femme hautaine, imbue de son rang et de sa cassette m’a toujours déplu par sa rapacité. Du sang bleu peut-être mais peu de noblesse de cœur, la principale.
Robespierre
20 septembre 2016 @ 12:34
Je me demande si la reine était vraiment kleptomane. Je pense qu’elle était avide à l’excès et très mal éduquée malgré son pedigree. Et comme par hasard, ce n’était même pas une bonne mère J’ai dis plus bas que j’avais plus d’estime pour un kleptomane que pour une femme pareille, et je dis la même chose pour un boulimique.
Antoine
19 septembre 2016 @ 17:35
Robespierre, je ne suis pas psy. Mais chacun sait que la reine Mary avait eu une enfance triste dans une famille désargentée, branche cadette et morganatique de la maison de Wurtemberg. Elle a probablement manqué de beaucoup de choses (certains historiens disent même qu’elle n’aurait pas toujours mangé à sa faim) dans son enfance. Ceci explique peut-être ce besoin d’accumuler pour qui a souffert dans son jeune âge de ne pas avoir le nécessaire.
Robespierre
20 septembre 2016 @ 12:00
Ah d’accord ! It makes sense !
Pascal
19 septembre 2016 @ 10:22
A une époque je trouvais que la reine Elisabeth avait dans le regard une expression tout à fait identique à celle de sa grand-mère.
Il en court des histoires sur la reine Mary….
Mais elle n’était pas la seule à être très attachée à ses bijoux , l’ impératrice Maria Feodorovna veuve du tsar Alexandre III eut paraît il quelques réticences à se séparer de sa cassette de joyaux au profit de sa bru , l’impératrice Alexandra Feodorovna , il fallut l’intervention du Tsar pour qu’elle s’y résolve.
Je viens d’ailleurs de découvrir un très beau reportage que lui a consacré N§R :
http://www.noblesseetroyautes.com/portrait-dagmar-de-danemark-tsarine-maria-feodorovna-de-russie/
Très intéressant car il nous montre des photos de l’impératrice à tout âge , y compris dans son exil.
Ce devait être au demeurant une femme charmante et très sensée.
Otma
19 septembre 2016 @ 10:22
Coucou la voleuse !!!!
Duchesse
19 septembre 2016 @ 21:59
Cette reine consort était beaucoup plus attachée à ses joyaux qu’à ses enfants qu’elle abandonnait aux »bon soins »des gouvernantes. L’une d’elles s’appliqua avec sadisme à affamer le futur Georges VI . Ce malheureux enfant devint bègue en raison des sévices qu’il avait subis. Il paraît que ses parents mirent trois ans à s’apercevoir du calvaire que vivait leur enfant…
Leonor
19 septembre 2016 @ 10:36
Curieux, ce mental de pie klepto.
Une question façon psychologie de bazar – c’est le cas de le dire – :
Mary de Teck avait été fiancée à Albert-Victor, duc de Clarence, fils aîné du Prince de Galles de l’époque. Lequel s’empressa de décéder, le souffle coupé ( pneumonie) avant d’avoir pu conclure, comme dirait Michel Blanc dans « Les Bronzés font du ski » ( ben oui, chacun ses références).
Aussitôt, la fiancée-veuve fut repassée au suivant, càd.le frère du précédent ( vous suivez ?) , autrement dit George – prononcer Djooorje – le frère de feu le fiancé, et futur George V. Dont la petite histoire dit qu’il n’attendait que ça . Vrai ou faux, à voir.
Toujours est-il, si vous m’avez bien suivie, que Mary épousa le frère de son ex-fiancé.
On ne sait si elle s’en trouva bien. Mais elle se trouva reine. Et embijoutée .
Moi je me dis qu’il y a kèk chose là-d’ssous.
Mary
19 septembre 2016 @ 12:12
La même histoire est arrivée à sa consœur ,la princesse Dagmar,future tsarine Marie : avant d’épouser le futur Alexandre III,elle était fiancée à son frère aîné , qui est mort avant la noce. Il paraît,là aussi,que le second frère était ravi de l’aubaine .
Perso,je crois plutôt que tout étant conclu entre les 2 familles,tout le monde s’est simplifié la vie. Dans les deux cas,la fiancée était plutôt pas mal,alors ma foi…
Dagmar de Danemark surtout semblait très jolie.
amaia
19 septembre 2016 @ 16:28
La famille de la reine Mary (de Teck) était très désargentée. La mort de son 1er fiancé royal a du porter un coup a ses espérances financières, quand l’autre s’est présenté, elle a sauté sur l’occasion !!!!
*Gustave de Montréal
19 septembre 2016 @ 17:39
kek’chose la dessous = il lui a fait 6 enfants
Leonor
20 septembre 2016 @ 13:06
Oui, d’accord, mais à l’époque, ça ne voulait pas dire grand’chose, à moins d’une abstention permanente !
Baboula
20 septembre 2016 @ 15:05
Georges V était trés épris de son épouse ,ce ne fût pas un devoir .
AnneLise
21 septembre 2016 @ 11:51
Je pense aussi que Georges V d’après les témoignages de proches était très amoureux de son épouse et fustigeait les maris volages !
Ce ne fut donc certainement pas par devoir qu’il honora la Reine..
Danielle
19 septembre 2016 @ 10:39
Ce diadème que l’on voit régulièrement est superbe.
beji
19 septembre 2016 @ 10:52
Même question que celle de Jacqueline.
plume
19 septembre 2016 @ 10:53
comme la reine elizabeth lui ressemble
Isa C
19 septembre 2016 @ 11:14
Lors de visites chez des « amis », elle ne pouvait s’empêcher d’admirer LOURDEMENT les petits objets précieux pour qu’évidemment par politesse, ses hôtes lui disent de l’emporter… Ou alors elle prétendait avoir le « jumeau » d’un chandelier ou autre objet à la « maison » pour que là encore, on le lui « offre ».
On a aussi parlé d’un problème de kleptomanie… ??
Robespierre
19 septembre 2016 @ 11:57
j’ai plus d’estime pour un kleptomane qui un peu dérangé du grenier, que pour une personne censée avoir de l’éducation et qui mise sur sa situation sociale pour se faire offrir les choses qui lui plaisent. Mais ce que je vomis le plus, ce sont des gens très haut placés qui font des promenades chez les libraires, regardent des éditions originales coûteuses et se les font payer par l’ami friqué qui par hasard accompagne la promenade . Les mêmes s’arrangent toujours pour se faire inviter au resto et n’ont pas d’argent sur eux. On aura saisi de qui je parle.
AnneLise
20 septembre 2016 @ 13:10
Ben non ! précisez ! j’ai une petite idée mais…est ce politiquement correct ?
it eu
20 septembre 2016 @ 13:15
Oui. On a saisi, Robespierre. ( j’ai bien ri à l’expression » un peu dérangé du grenier » ! )
Autre » exemple », du même bord : certaine dame avait, en sa Région, l’habitude de se lever fort opportunément au moment de l’addition au restau, au café, au bar , laissant ses collaborateurs et hôtes s’occuper de l’ardoise. Pourtant pas encore réputée énurésique, elle éprouvait aussi un besoin pressant d’aller aux toilettes au moment de payer le plein d’essence .
Elle évitait même de payer sa collaboratrice, qui avait déjà payé une partie de tout ça sur ses petits deniers. . Mais elle n’en mit pas moins les finances de la Région en sale état. Qu’il faut payer, maintenant que la Dame a été appelée à d’encore plus hautes destinées.
Si la ponctualité est la politesse des rois, apparemment, payer ce qu’on doit n’est pas très Royal.
AnneLise
21 septembre 2016 @ 14:19
Je crois même que ladite Dame a omis de payer deux de ses collaboratrices ce qui fit grand bruit pour peu de résultats, car « trainée » devant les Prud’hommes, elle a réussi si je me souviens bien à faire débouter tout au moins en partie ces deux femmes, en produisant des témoignages de proches ayant des vues sur quelques officines que SR pouvaient leur faire attribuer prioritairement.
En ce qui concerne la gestion de nos dirigeants et notamment par le premier d’entre eux, concernant la Corrèze, son département d’élection et non d’origine, il a réussi en tant que Président du Conseil Déparemental à en faire le département le plus endetté de France, suivi de près par Charentes Poitou en tant que Région, et tout ça a fait… » d’excellents gestionnaires de la France »
Antoine
21 septembre 2016 @ 18:03
Merci it eu (?) pour cette anecdote savoureuse et ses indices…
aubert
20 septembre 2016 @ 13:15
les restaurateurs de Solutré partagent votre commentaire
AnneLise
21 septembre 2016 @ 14:22
Certains des quais de Seine également ainsi que nombre de bouquinistes et libraires d’art ou de bouquins anciens.
Il est loin le temps ou le Général De Gaulle payait sa note d’électricité à l’Elysée ainsi que les repas de famille qu’il y organisait lorsqu’il n’était pas à La Boisserie
Pascal
19 septembre 2016 @ 14:39
Dans une semblable circonstance un aristocrate dont elle admirait ostensiblement je ne sais plus quel meuble lui aurait déclaré en substance : » j’en aurais très volontiers fait présent à votre Majesté , malheureusement c’est une copie «
amaia
20 septembre 2016 @ 12:41
Bonne présence d’esprit !!!
June
20 septembre 2016 @ 13:34
Bravo, bien répondu ! :)))
Elise
19 septembre 2016 @ 11:32
C’est en 1913 que la reine Mary demande au joaillier Garrard de créer un diadème caractérisé par une succession de « nœuds d’amour » (traduction de l’expression anglaise « lover’s knots »), inspiré de celui de sa grand-mère maternelle, la princesse Augusta de Hesse-Kassel, duchesse de Cambridge, et datant de 1818. En 1935, la reine Mary fait retirer les 18 perles poires pour lui donner son aspect actuel, un diadème qui est hérité par sa petite fille, la reine Elizabeth II en 1953 .
Au décès de la reine Mary, c’est sa petite-fille Elizabeth qui en hérite et le porte.
En 1981 Diana le reçoit en cadeau de mariage: le trouvant « trop lourd » et lui donnant des maux de tête, selon ses dires, elle ne l’a que très peu porté, et à son décès, il est retourné aux Collections Royales.
Ps : Précisions trouver sur le net .
Ghislaine
19 septembre 2016 @ 13:04
Isa elle n’est pas la seule de la famille royale anglaise à avoir eu ce penchant inélégant.
JOSEPHINE
19 septembre 2016 @ 13:43
A lire tous vos commentaires, personnage bien peu intéressant !
JOSEPHINE
19 septembre 2016 @ 13:44
Diadème porté par Lady Diana, ou je me trompe ?
Francois
20 septembre 2016 @ 22:00
C’est un autre diadème celui là bien acquis car commandé par la Reone Mary
Un peu porte par Elisabeth II
Différent car non en cercles
Ontheroadagain
19 septembre 2016 @ 14:08
Etait-ce elle qui avait répondu à une de ses dames d’honneur qui lui avait dit que c’était bien trop de bijoux pour visiter les personnes malades et blessées de guerre « Puisqu’ils veulent voir une Reine, il verront une Reine ! » ?
Baboula
20 septembre 2016 @ 15:13
La reine Mary quittât Londres pendant la guerre et visitât des usines et des camps militaires .Cette phrase peut lui appartenir ,mais aussi à sa belle fille la reine Elisabeth .
Myriam
19 septembre 2016 @ 14:12
Pour Stella:
Cette femme m’est et m’a toujours été froidement antipathique.
aggie
19 septembre 2016 @ 14:23
personnalité peu sympathique cette reine Mary ; d’une façon générale j’apprécie très peu les Windsor sauf le show royal qu’ils sont les seuls à nous offrir
ciboulette
19 septembre 2016 @ 14:32
La royauté devait ainsi se montrer , opulente, brillante et apparition quasi surnaturelle .Oui , mais …la reine a l’air d’une châsse ambulante , ce qui n’est pas un compliment , et, d’après ce que l’on dit , ornée de biens mal acquis .
Ellen
19 septembre 2016 @ 15:05
Les anglais, non contents de ne pas secourir leurs cousins russe en détresse,les ont spoliés de leur bijoux
Triste famille !
Anna Claudia
19 septembre 2016 @ 15:32
je préfère ce diadème avec les émeraudes, la reine Elizabeth l’a souvent porté. il est sublime. En accord avec la fonction royale et peu fait pour l’exil.
olivier Kell
19 septembre 2016 @ 15:38
Ses parents avaient du fuir leur pays car ils étaient pourchassés par les créanciers et ils se sont retrouvés « protégés » à la cour bien que d’une famille mineure selon le terme utilisé à l’époque car son père était né d’un mariage morganatique.
Jean Pierre
19 septembre 2016 @ 16:07
J’ai pensé à Jezabel dans le songe d’Athalie….plus contemporain une princesse du Brunei…
À quoi servent ces bijoux : à avoir la nuque raide !
JAusten
19 septembre 2016 @ 17:49
il me semble que déjà on peut voir les prémices du « 3 Row Festoon Jubilee Necklace » : le collier à trois rangs de diamants que la reine Elizabeth II arbore très souvent à l’ouverture du parlement. Ici seulement deux rangs (les deux derniers colliers du bas). Puis The Duchess of Teck’s Collet Necklace (entre les deux colliers de perles) que Mary a hérité de sa mère et The Queen Alexandra’s Collet Necklace (entre le choker de diamants/perles -un de ses préférés- et le premier de perles) : la reine EII a hérité des deux.
clement
19 septembre 2016 @ 18:07
La mère de la future reine Mary souhaitait vivement que sa fille devienne un jour reine du Royaume – Uni ;à cette époque Victoria à qui rien n’échappait lui aurait dit ,ne vous inquiétez pas votre fille sera reine !
cela dit ,ce diadème est superbe ,la reine Elizabeth le porte souvent avec des émeraudes-poires ,c’est du plus bel effet,d’ailleurs presque tous les diadèmes portés par la reine Mary sont portés par sa petite-fille .
Zeugma
19 septembre 2016 @ 18:30
Sauf erreur, la reine Mary porte ici la diadème de la grande duchesse Wladimir que sa petite fille aime porter sous ses trois formes :
avec perles, avec émeraudes ou avec rien.
Il me semble que ce bijou extraordinaire fut sorti à l’ccasion du dîner d’Etat offert au président de la Républiqe d’Irlande par la souveraine au château de Windsor en avril 1974. Cette visite – qui répondait à celle de la reine en Irlande – avait marqué d’une manière éclatante la réconciliation entre les deux Pays.
Il était naturellement dans sa version avec émeraudes, le vert étant, comme chacun sait, la couleur de l’Irlande.
Elle le porta également pour le sommet du Commonwealth à Malte en novembre 2015, chaque fois avec un incroyable collier d’émeraudes.
Actarus
19 septembre 2016 @ 19:24
Bah… il s’agit du style propre à une époque où il était de bon ton de se couvrir lourdement de bijoux. De nos jours, une plus grande sobriété est de mise.
Il n’en demeure pas moins que la reine Mary s’est approprié les joyaux des Romanov par des moyens détournés qui flirtent avec l’escroquerie. Quant à sa manie de se faire offrir des bibelots chez les aristos : no comment !
Georges V et sa conjointe = le couple royal le moins intéressant de l’histoire de la Monarchie britannique.
AnneLise
21 septembre 2016 @ 14:39
Vous avez en partie raison, mais le roi Georges V s’est tout de même acquis le respect de son peuple en se rendant de multiples fois sur les lignes de front dans la Somme et dans les hôpitaux militaires durant la Première Guerre Mondiale.
Pour la Reine Mary c’est une autre histoire
Jacqueline
23 septembre 2016 @ 20:05
Sans doute que son peuple aurait davantage profité d’une tournée à ses cousins sur les trônes européens en 1914 pour empêcher cette stupide boucherie.
Marie de Cessy
19 septembre 2016 @ 22:38
Impressionnant ces bijoux !
Anne-Cécile
20 septembre 2016 @ 04:27
Elle est controversée même à l’intérieur de sa famille : on trouve à travers les correspondances de ses enfants des avis contradictoires et changeants au gré du temps.
Le père d’Elisabeth II conclura à la mort de sa mère négativement sur elle dans une lettre à sa femme.
Mais aucun être humain n’est noir complètement. Elle avait ses bons côtés mais ses troubles du comportement, son franc déséquilibre, et son avidité étaient particulièrement gênants en société.
Jean Pierre
20 septembre 2016 @ 13:55
Elle est morte après son fils Geirges VI, je ne vois donc pas à quoi vous faites allusion.
Anne-Cécile
21 septembre 2016 @ 12:19
Alors c’était un autre fils. Pardon.
Je vais rechercher la bio que j’avais acheté il y a plusieurs années. De mémoire elle en avait 3?
Baboula
21 septembre 2016 @ 22:10
Le couple royal a eu 5 fils et une fille.
AnneLise
21 septembre 2016 @ 14:40
Anne Cécile, je ne voudrais pas vous contredire, mais le Roi Georges VI est mort avant sa mère. Alors peut être avait il écrit sur elle de leur vivant à eux deux.
Anne-Cécile
22 septembre 2016 @ 17:11
Gérard en effet me l’a confirmé et Baboula écrit qu’elle avait 5 fils alors que je me souvenais de 3.
Je vais rechercher sa bio et la relire.
Anne-Cécile
22 septembre 2016 @ 17:24
Voilà la bio de Mary par Pope-Hennessy, il s’agit non du père d’Elisabeth mais du futur duc de Windsor.
Sylvie-Laure
20 septembre 2016 @ 06:15
Pour avoir vu une photo noir et blanc de la princesse Mary princesse royale, et fille de la reine Mary et de George V, j’avais noté la ressemblance frappante de cette princesse, tante des princesses Elisabeth et Margaret, avec la future reine actuelle. Plus de ressemblance avec la tante, et Elisabeth, qu’Anne avec sa mère.
La reine Mary a décliné beaucoup de ses traits et de son allure, chez sa fille Mary et son second fils, Albert d’York devenu ensuite George VI, et le Duc de Kent époux de Marina de Grèce.. Les autres fils , David, et le duc de Gloucester ressemblaient à leur père.
Outre aussi, la ressemblance les faisant prendre pour des jumeaux, entre le roi George V, et son cousin le tsar Nicolas II de Russie, cousins entre eux, leurs mères étant deux soeurs, nées princesses de Danemark.
agnes
20 septembre 2016 @ 06:50
Les mencheviks, avant que les bolcheviks ne prennent le pouvoir, avaient demandé aux anglais de recevoir en exil Nicolas II et sa famille. Refus des anglais (la famille royale apparemment).
JAusten
20 septembre 2016 @ 17:02
par peur d’activer le bolchévisme latent en Grande Bretagne certainement
aa
20 septembre 2016 @ 10:00
C’est lady Louise qui ressemble à la reine Mary.
amaia
20 septembre 2016 @ 12:04
Exact, il y a quelque chose !!!
Actarus
20 septembre 2016 @ 12:48
La princesse Louise de Wessex ressemble à sa grand-mère qui ressemble elle-même à sa grand-mère. Miracle logique de la génétique.
aubert
20 septembre 2016 @ 13:19
Soyons gentils, cette photographie n’est pas prise au petit déjeuner.
beji
20 septembre 2016 @ 14:25
Pas glorieuse l’attitude des souverains anglais envers leurs famille russe,Georges V et
Nicolas II étaient cousins germains;la reine Mary en a profité pour acheter des bijoux à un prix inférieur à leur valeur;je pense aussi que le prince Mickaël de Kent accentue sa
ressemblance avec Nicolas II.
Baboula
20 septembre 2016 @ 15:22
La reine Charlotte aimait tout autant les bijoux et ne donnât jamais à sa belle fille certains joyaux de la cassette royale qui lui revenaient en tant que nouvelle reine .Mary dût attendre le décès de sa belle mére . Elle devait avoir peur que Charlotte vienne les lui » piquer » ,c’est pourquoi elle en portait tant à la fois !
Dominique Charenton
20 septembre 2016 @ 21:13
Pascal
A propos des deux dernières impératrices de Russie, il faut savoir qu’au décès d’Alexandre III sa veuve demeura la « 1ère dame de Russie » car selon le protocole russe la mère de l’empereur avait la préséance sur l’épouse de l’empereur . D’ailleurs Maria Feodorovna fut offusquée que cela n’était pas le cas à la cour St James. Elle ne supportait pas que sa sœur, la veuve d’Edouard VII, passe après sa belle-fille Mary de Teck !
Dominique Charenton
20 septembre 2016 @ 21:28
De mémoire il ya une photo de la Fürstin Taxis née Autriche prise à l’occasion des cérémonies de ses noces de diamant où elle est encore plus « enchassée » que la reine Mary….il faut dire qu’à la cour de Ratisbonne on portait le diadème même pour jouer aux quilles :
» Certaines monarchies à panache………………………………
……On les voyait conserver imperturbablement leurs pompes
traditionnelles. Telle était la petite cour de Tour et Taxis, à
Regensburg, qui sous ce rapport était bien la plus pittoresque et
la plus amusante que j’ai connue.
On y jouait aux quilles, mais en quel équipage ! Nous étions au
jeu en diadème et en robe à traîne ! Etiquette imprévue pour
manier une énorme boule et la lancer. Plus d’un diadème chancelait
et plus d’une joueuse gémissait dans ses soies, broderies et
garnitures, sans parler du corset.
Heureusement qu’alors les étoffes avaient quelque importance et
solidité. Si cela se passait en un temps où les femmes sont
vêtues de transparences aussi écourtées que possible que ne
verrait on pas ?
Et je ne pense pas que c’était par hasard que j’ai joué aux quilles
en toilette de cour. C’était toujours ainsi. On allait à la partie
en cortège, et précédé d’un maître de cérémonies.
Parce que ou quoique, ainsi que dit quelque part Victor Hugo,
c’était très drôle.
La vie ne manquait pas d’agrément à Regensburg. Le Prince et la
Princesse recevaient avec faste. Le palais s’y prêtait, meublé
royalement, et entouré de jardins tenus avec amour. La cuisine
égalait celle de Ferdinand de Bulgarie. Et, l’amusant, c’était,
partout un cérémonial suranné, mais si bien réglé que l’on
arrivait vite à oublier certaines outrances pour ne plus
sentir que la beauté d’une sorte de rythme et d’arrangements
où revivait la dignité des temps passés.
On allait aux courses en calèches d’apparat, excellemment
attelées, précédées de piqueurs brillants. Le comte de
Stauffenberg, chef des écuries , ancien officier autrichien,
cavalcadait autour de la voiture princière, et les
gentilhommes du service étaient si empressés que, si l’on eut
manqué de marchepied pour descendre de carrosse, tous
auraient voulu galamment y suppléer de leur personne.
Si nous allions au théâtre, c’était en toilette, et précédés
de porteurs de flambeaux, jusque dans la loge princière.
Une telle étiquette obligeait à être constamment en
représentation. Mais cela plaisait au Prince et à sa femme;
ils ne vivaient que pour continuer les siècles abolis.
La princesse Marguerite de Tour et Taxis, archiduchesse
d’Autriche, avait dit on un faux air de Marie Antoinette. Or
le prince, inspiré par la ressemblance accordée à sa
femme, voulut offrir à celle ci une parure qui avait
appartenu à l’infortunée reine de France. Il la trouva,
et la princesse la portait. J’aurais craint qu’il y fût
resté quelque chose de funeste. Mais on n’avait point de
ces superstitions à la cour de Tour et Taxis. On voyait la vie en
rose….. »
in Princess Louise de Belgique, « Autour des trônes que j’ai vus tomber » 1921