Voici sous la plume de Palatine un week-end pas comme les autres pour les lecteurs et commentateurs de Noblesse et Royautés. Je vous renvoie à la rubrique du 12 janvier 2016 avec le week-end de Noblesse et Royautés dans un château anglais, Witch Hall, pour être précis, où s’était déroulée une nuit échevelée avec fantômes et comédiens de toutes sortes, sous la houlette de Régine, Jausten et Leonor.

JAusten à son habitude s’était occupée de la logistique et Leonor avait orienté les festivités. Tout cela bien sûr aux frais de la princesse, en l’occurrence Porky Porky  le milliardaire danois roi du cochon dans tous ses états et inventeur du Mac Porky, le hamburger de jambon.  Et tout cela aussi, pour célébrer le culte que le riche homme d’affaire vouait depuis des années à Agnès, la belle photographe de N&R.

Après un week-end en Angleterre en 2016, un autre en Russie en 2015 et un séjour à Elseneur en 2014, Jane Austen s’était creusé les méninges pour créer l’événement, mettre l’adorateur d’Agnès en présence de sa dulcinée et en faire profiter, comme toujours les intervenants de N&R.

C’était bien la seule raison pour laquelle Agnès daignait descendre de son Olympe familial, négliger mari et enfants le temps d’un week-end parfois prolongé.  L’amoureux transi  n’en demandait pas plus.

Après le week-end mémorable en Angleterre,  où bon nombre d’intervenants avaient été harcelés par des fantômes,  Agnès avait envoyé à son adorateur des photos de groupe.  Une montrait les intervenants, une autre les  fantômes, et même une photo du personnel dans la grande tradition de Downton Abbey.  Elle espérait que ces touchants souvenirs feraient tenir Porky Porky un an de plus dans l’attente d’une nouvelle rencontre.

Mais Porky Porky avait tout fait pour garder le contact avec les amis d’Agnès. Il avait envoyé au Liban son Gulfstream pour chercher Muscate. Celle-ci devait lui aménager une volière avec toutes sortes d’oiseaux exotiques. Il avait continué ses leçons de français avec Bernard Hivert et  de savoir-vivre avec Michèle.

Et les Belges qu’il avait trouvés trop turbulents, bons princes, lui avaient envoyé des gaufres de Bruxelles.  Leonor n’avait pas été en reste qui lui avait fait parvenir des friandises alsaciennes. Corsica était venue un jour l’ausculter pour une grippe, accompagnée par Philippe Gain  d’Enquin, qui pour le réconforter lui avait fait un tas de pitreries. Cela le remit vite sur pied. Quand il se disputait avec son régisseur, il faisait venir Pierre-Yves pour trouver un compromis.

Lady Chattehurlante, déjà lassée de son nouveau mari avait essayé de s’inviter au Danemark. Mais Porky Porky lui dit qu’il n’aimait pas les femmes multidivorcées.

Par video conférence, il se fit admonester par Gerard qui lui dit que Jésus avait pardonné à la Samaritaine et qu’il devait se montrer plus charitable et tolérant dans ses jugements.  Pour se faire pardonner, Porky Porky envoya un chat Angora hors de prix à notre Lady mais celle-ci fut très dépitée quand elle s’aperçut que le collier scintillant du chat était en strass.

De son côté,  Jane Austen consultait à tout va pour trouver un endroit de réunion pour la grande fête annuelle de N&R. Cela prit des mois.  Palatine lui suggéra la villa Pisani, ancienne résidence d’été du vice-roi d’Italie, Eugène de Beauharnais. Ce palais palladien est situé entre Venise et Padoue dans un patelin appelé Stra, au bord de la Brenta, le canal qui relie Padoue à Venise.

La villa Pisani était devenue un musée d’Etat, mais avec des espèces sonnantes et trébuchantes, la Région Vénète, accepterait probablement de la louer quelques jours à Porky Porky.  Celui-ci avait définitivement délaissé les USA où il avait fait fortune et s’était établi dans son pays natal, sur les conseils de la reine de Danemark.  Margrethe voyait avec satisfaction pleuvoir les bienfaits du milliardaires sur son pays : crèches, maisons de retraite,  maisons de la culture.  Elle lui avait décerné toutes les décorations imaginables, dont celle de l’Eléphant mais se lassait souvent de l’entendre se plaindre de l’absence d’Agnès ou énumérer les nombreuses qualités de celle-ci.

La Région de Vénétie accepta de louer le palais qui comportait énormément de chambres à coucher. Leonor proposa qu’on fasse un  immense buffet de cuisine vénitienne car après le porc, Porky Porky adorait le canard et les produits de la mer. Ensuite,  il fallait organiser des activités culturelles, trouver un thème  et ce ne fut pas facile. Marie de Béarn proposa de décorer les chambres. Elle mettrait des photos sympathiques un peu partout. Par exemple celle de Letizia dans la chambre de Charles, celle des ducs d’Anjou dans celle d’Aramis. Une photo de Clotilde Courau au Crazy Horse dans la chambre de Luise, très attachée aux Savoie.  Une photo du premier mari de la reine Letizia dans la chambre de Patricio.  Et une photo de la duchesse de Cornouailles dans la chambre de Bianca.  Je ne sais plus qui hérita de la photo de la fiancée américaine du prince Harry.

Sarita, par une indiscrétion de Francky,  avait appris qu’Actarus écrivait une pièce de théâtre.  Une sorte de vaudeville,  qui s’inspirait de l’Hôtel du Libre Echange de Feydeau et de Boeing Boing de Marc  Camoletti.  Cela se passait à la fin du 19e Siècle et mettait en scène un grand-duc russe.  Le titre de la pièce était d’ailleurs « La tournée du grand-duc », ce n’était pas original mais c’était explicite.

Un grand-duc très coureur, Igor, était piégé par un de ses rivaux, très riche, qui avait organisé un séjour dans un palace parisien où se trouveraient en présence  l’épouse légitime  (et vertueuse)  et les maîtresses occasionnelles ou régulières du mari.   Cocottes et femmes du monde titrées et bijoutées.  Poutine, charmé qu’on évoque la Russie pré-soviétique dans ses mœurs décadentes, envoya à Actarus un tonnelet de caviar.  Je ne peux expliquer ici par quels stratagèmes  le rival du grand-duc Igor avait réussi à faire venir tous ces gens censés ne jamais se rencontrer, mais cela c’était le génie d’Actarus.

On projetait de confier le casting à Philippe Gain d’Enquin et, pour contrebalancer ses idées parfois  farfelues,  Milena K.  Comme beaucoup de portes claqueraient, on pensa tout de suite à Dradomir comme client insupportable.  Tout le monde était d’accord pour confier le rôle central, celui du Séducteur à Antoine.  On connaissait son succès et son savoir faire avec les dames, et d’ailleurs il s’en était vanté en janvier 2016. On lui fit faire un beau costume de général russe, chamarré d’or et de brandebourgs,  et on le frisa au fer car il était très vain de sa chevelure. Il avait si fière allure qu’on comprenait que les  femmes séduites avaient des circonstances atténuantes.

La reine Margrethe proposa d’envoyer des caisses de pommes de son verger pour le dessert mais Leonor lui opposa un refus poli mais ferme.  Elle fit pareil avec le prince Henrik qui exigeait que Gibbs lise un de ses poèmes au dessert ( de pommes).

François Hollande n’eut pas plus succès quand il demanda que Julie Gayet reçoive le rôle de la Grande Duchesse, épouse vertueuse et irréprochable. Leonor et Jane Austen étaient très vigilantes.  Seuls les intervenants de N&R seraient invités à la Villa Pisani et basta !

On se heurta tout de même à un sacré écueil. Instruit  sur le thème de la pièce, Porky Porky, luthérien convaincu et pratiquant, se récria.  Il ne voulait pas que les chastes yeux d’Agnès voient de telles turpitudes dans une pièce qui bafouait les bonnes mœurs,  bref la morale !

Il fallut dépêcher au Danemark Cosmo et Philippe pour expliquer au milliardaire danois que c’était pour montrer les ravages de l’immoralité sur les peuples  que cette pièce devait être montée. On parvint péniblement à le convaincre et après maints pourparlers, le Danois sortit son carnet de chèques et Caroline et Framboiz qui ont une très belle écriture  se mirent à calligraphier  des cartons d’invitation.

Neoclassique et Nemausus furent pressentis pour jouer les maîtres d’hôtel de grande maison et Aubert le concierge facétieux qui met en présence des dames qui ne devraient jamais se rencontrer. Les costumes coûtèrent très cher mais c’était le Mécène danois qui payait tout…

Robespierre suggéra une excursion à Venise dans un « burchiello » , le petit bateau qui fait la navette entre Padoue et Venise.  Il demanda à  Marielouise et Muscate de l’accompagner et de veiller sur lui, car il avait attrapé une bronchite  et voulait être chouchouté par des dames gentilles. Marielouise trouva dans son emploi du temps un créneau.  Vert de jalousie, Ogier le Danois dit qu’il avait des engelures et devait aussi être chouchouté.  On lui trouva un rôle de valet de pied dans la pièce. Avec culotte à la française et escarpins vernis et il fut satisfait.

Cosmo qui a beaucoup de contacts utiles suggéra qu’on prenne Charles-Antoine de Malbrézé pour jouer l’agent de sécurité, vu son physique de videur de boite de nuit. Ce fut une idée de génie. Car Donald Trump, assoiffé d’honneurs, voulait que sa fille aînée, Ivanka, qu’il considérait comme une princesse, soit invitée et dorme dans la chambre de Napoléon. Devant le refus de Jane Austen, ulcéré et vindicatif, il envoya en Vénétie deux hommes de main censés mettre de l’huile de ricin dans les plats du festin qui suivrait la pièce. Mais Charles-Antoine de M. les repéra très vite, et les balança dans la pièce d’eau derrière le Château.  L’idée de l’huile de ricin avait été suggérée à Trump par un conseiller d’origine italienne, petit-fils d’un opposant de Mussolini.

Le casting fut un terrible casse-tête. Les Belges voulaient jouer les clients genre parvenus avec des rouflaquettes, des gourmettes en or,  de gros cigares et des chaussures blanches. Mais Neoclassique fit valoir qu’on était dans un établissement huppé où ce genre de clients ne venaient pas.  Et dûment chapitrés, les Belges, des deux régions linguistiques,  joueraient les clients pleins de morgue et taiseux. Un rôle de composition.  Parmi les clients, il y avait un nonce apostolique, Gérard, et un riche homme d’affaires américain : Pierre-Yves,  querelleur comme pas deux.  Un vrai énergumène.

On affréta plusieurs wagons de l’Orient Express pour faire venir de Paris les participants à la fête de la Villa Pisani. Les Belges étaient venus de Bruxelles en Thalys et quelques Anglais avaient pris l’Eurostar.  Comme pour le voyage en Russie, ce fut une belle pagaille avec les Belges déchaînés qui ouvraient des tas de bouteilles de Mort Subite et demandaient s’il y aurait des frites à Stra.  Mais ils savaient que la cuisine vénète n’en sert pas et en fait c’était pour provoquer les Français qu’ils disaient cela.  Les Français qu’ils ne trouvaient pas drôles du tout. Gibbs essaya de calmer ses compatriotes en récitant des fables de La Fontaine et Damien B  improvisa une conférence sur la dynastie belge.  En vain.  En passant la frontière italienne, les Belges étaient déjà éméchés et survoltés. Régine n’était pas là, elle venait en limousine avec Agnès et Porky Porky. Nanou 1 rata le train parce qu’on lui indiqua une heure et un jour erronés.

Jane Austen donna à Agnès la chambre de Napoleon et Régine eut une belle chambre avec vue sur les jardins et la pièce d’eau.

Toujours aussi perfide, Jane mit dans la même chambre Cosmo, Neoclassique et Nemausus, qui firent leur bataille de polochon … classique.  Aramis et Actarus furent logés ensemble et allèrent faire des lits portefeuille aux dames qu’ils n’aimaient pas, des dames très querelleuses .

Il fallait choisir les cocottes et les aristocrates  « proches » du grand-duc Igor.  Mission impossible !  Aucune intervenante ne voulait jouer les dames de petite vertu.  On décida de tirer les rôles au sort. C’était plus sage. Kalistea se retrouva en bourgeoise  entretenue et  très vénale  des beaux quartiers et chargée de bijoux  mais pour se refaire une vertu, elle promit de chanter le grand air de Casta Diva au dessert.

Antinea devint  une  femme fatale  d’origine imprécise et interlope, mais sachant décliner le mot « argent » en dix langues.  Affublée d’un long porte-cigarette d’ivoire, outrageusement maquillée, elle subjuga les messieurs de tous bords. Trianon faisait la lady anglaise déclassée, qui hante les villes d’eau et de jeu et brise les ménages, accumulant les protecteurs et riches amants.

Arielle joua d’une façon très convaincante une comtesse parisienne  qui s’encanaille avec le grand-duc  russe, notre Antoine,  quand son mari passe ses après-midi au Jockey Club. DEB et Clementine 1  furent de ravissantes cocottes avec des dessous affriolants et battant des paupières comme de vraies ingénues.

Vassili tomba sous leur charme. Mary obtint le rôle de la gouvernante stylée et distinguée tandis que Stella se retrouvait soubrette un peu olé olé.  Aramis demanda le rôle de night manager et on le lui accorda. Il avait vu à la télévision une série tirée du livre éponyme de John Le Carré et trouvé l’acteur principal irrésistible. Il prit un accent anglais upper class derrière son comptoir.

On chercha longtemps la personne qui  jouerait l’Epouse Vertueuse. On discuta beaucoup et on tomba d’accord pour donner ce rôle à une dame de haut lignage, Anne Bougerol. Robespierre viendrait avec des sels pour la faire revenir à elle quand elle s’évanouirait devant la révélation des  nombreuses  incartades  et conquêtes de son mari.  Conquêtes qui se vantaient et n’épargnaient aucun détail salace, Actarus y avait veillé.  Aramis l’avait aidé  à mettre le texte au point, pour le rendre encore plus croustillant.

Le seul problème, c’était Porky Porky.  Comme il restait un peu de somnifère du week-end en Angleterre, on décida de le verser dans le champagne du pauvre riche Danois au premier entracte pour qu’il s’endorme pendant les deux derniers actes. Flanqué d’Agnes à droite et de Régine à gauche, il piqua du nez en réintégrant son fauteuil. Aubert qui s’était chargé du champagne avait un peu forcé la dose et le milliardaire danois ne put participer au festin qui succéda à la pièce. Charles-Antoine de M.  le porta dans sa chambre. Encore une fois, le roi du cochon dans tous ses états  avait gaspillé malgré lui le temps à passer avec Agnès.  Les Belges profitèrent du sommeil de Porky Porky pour chanter des chansons paillardes au dessert. Foin des poèmes du prince Henrik !

Actarus fut  très applaudi et les acteurs et actrices furent  ovationnés. Le vaudeville est un genre convenu et il avait épicé l’histoire en imaginant la grande-duchesse, Madame Igor , ex-femme vertueuse,  s’enfuyant avec l’agent de sécurité,  dont elle admirait les biceps et la prestance.Une passion fulgurante ! Charles-Antoine de Malbrézé était très convaincant, jouant des biscotos et lorgnant les dames de façon insolente. Leonor n’était pas trop contente de la fin de la pièce où l’on voit le grand-duc Igor, grand cavaleur devant l’Eternel,  rencontrer la Grâce,  faire pénitence et se retirer dans un monastère bénédictin catholique où il est tonsuré,  à la fureur du tsar qui n’avait pas l’esprit oecuménique.  Oui, Igor en tombant dans l’escalier de service à la recherche d’une soubrette avait eu l’Illumination, son chemin de Damas, quoi !

Pendant le repas qui suivit la représentation, Leonor traita Actarus d’opportuniste. Actarus protesta de ses bonnes intentions, il trouvait que Porky Porky avait tout à fait raison de prôner  la morale. Les Belges trouvèrent là une bonne occasion de boire à la santé de … la morale.   Kalistea fit des vocalises et Robespierre qui avait une voix de crécelle coupa court à toutes ces chamailleries en menaçant de chanter le grand air de la Calomnie. Il trouvait qu’Actarus avait été diplomate.

Gérard fit un discours pour célébrer l’amitié des peuples et la paix dans le monde, le monde d’amour, de justice  et de fraternité qui est le nôtre comme chacun sait. Corsica distribua à titre préventif des pastilles d’alka selzer aux Belges.

Clément, éméché, voulut chanter la Marseillaise, et Charles surprit tout le monde en entonnant  l’Internationale.  On demanda à Aubert ce qu’il avait mis dans son verre.  La Lutte Finale émoustilla les Belges qui voulurent boire un verre final  à la santé de Charles, qui montrait un côté inattendu  mais tout à fait rafraîchissant  de sa personne

La pièce ne plut pas à tout le monde, loin de là. Jean-Pierre fit la fine bouche et regretta l’absence dans la pièce d’Actarus d’un personnage aussi attachant que la Môme Crevette. N’est pas Feydeau qui veut, conclut-il avec dédain.

Anne Bougerol était assez contente de son casting et apprécia le fait d’être enlevée par Charles-Antoine qui avait un beau nom à particule.  La particule faisait toute la différence.  Il lui raconta qu’il descendait de Philippe le Bel par la main gauche et elle fut comblée.

Le lendemain,  les participants qui n’avaient pas trop bu participèrent à l’excursion proposée par Robespierre et Milena K.

Philippe G d’E distribuait les billets et Marie-Françoise du café pour se réchauffer. A Venise,  Porky Porky affréta une gondole pour promener Agnès sur le Grand Canal et il la quitta tout content quand elle reprit le train à la gare de Padoue.  Il avait eu son quart d’heure de nirvana.

Le voyage finit encore une fois abruptement.  Mais les lendemains de fêtes sont tristes et doivent être écourtés.  Et puis les Belges avaient mal aux cheveux,  Porky Porky était mélancolique et Leonor avait hâte de retrouver son paradis alsacien. Actarus fut félicité pour son esprit  et sa belle plume. Roch, Hélène, Louise Marie le louèrent pour sa belle âme.  Cosmo et Gérard repartirent ensemble dans la  limousine.  Ils voulaient faire non la tournée des grands-ducs mais celle des monastères car la fin de la pièce d’Actarus les avaient profondément ébranlés sur les  vanités de ce monde et le  sens de la Vie.

Le  gardien en chef de la Villa Pisani qui avait eu de beaux pourboires leur donna un  chapelet de nacre qui avait trempé dans de l’eau bénite du Vatican.

Aubert qui était venu dans sa propre  voiture proposa un passage à une dame qui accepta, mais la discrétion m’empêche de dire son nom. Ils ne firent pas le tour des monastères.

Regine accompagna le gros de la troupe dans l’Orient Express et Porky Porky décolla de l’aéroport de Venise en pensant à Agnès qu’il trouvait plus merveilleuse et sans doute plus inaccessible que jamais.

Il avait proposé à Régine de l’emmener au Danemark pour voir son élevage dernier cri  de cochons de lait  rose bonbon, mais Régine avait décliné l’honneur car ses affaires l’attendaient à Bruxelles .

Bonne année 2017 à tous les amis de Noblesse et Royautés.

Palatine