C’est le privilège des jeunes femmes de l’aristocratie anglaise d’inspirer des peintres. Voici celui de lady Amelia Windsor par Hermione Gibbs. L’artiste écossaise qualifie sa peinture de « réalisme magique ». (Merci à Bertrand Meyer)
C’est le privilège des jeunes femmes de l’aristocratie anglaise d’inspirer des peintres. Voici celui de lady Amelia Windsor par Hermione Gibbs. L’artiste écossaise qualifie sa peinture de « réalisme magique ». (Merci à Bertrand Meyer)
Avel
21 octobre 2020 @ 06:49
Oups! Pauvre Amelia, elle a pris 20 ans !
Muscate-Valeska de Lisabé
21 octobre 2020 @ 16:38
Le peintre lui a fait des yeux d’alcoolique,c’est regrettable.
Léa 33
21 octobre 2020 @ 07:13
Bonjour
Ce n’est pas le genre de portrait que j’apprécie mais cela peut plaire au modèle ! Trop de couleurs vives mais je vois bien ce genre de peinture dans le domaine « Art street » !
Cette artiste peint des paysages plus agréables à regarder.
Baboula
21 octobre 2020 @ 07:38
Plus flamboyante qu’au naturel !
Anne de Bretagne
21 octobre 2020 @ 07:57
Comme les traits sont grossiers. Je n’aime pas du tout ce portrait.
Vasco2
21 octobre 2020 @ 08:17
bon ! je ne connais pas ce brillant artiste mais je lui conseille de retourner prendre des cours aux beaux arts.
Pierre-Yves
21 octobre 2020 @ 08:18
Privilège, pas toujours, la preuve. Parfois, ce serait plutôt un mauvais coup.
septentrion
21 octobre 2020 @ 08:23
Je trouve ce portrait très réussi, l’expression de la bouche est très bien rendue.
Roxane
21 octobre 2020 @ 09:50
Je ne comprends pas l’intérêt que suscite le physique de cette jeune femme : personnellement, je le trouve banal voire laid.
Pistounette
21 octobre 2020 @ 09:53
Parfait pour Halloween
Catherine
21 octobre 2020 @ 10:43
Privilège ?
Ça se discute 😜
Nivolet
21 octobre 2020 @ 10:46
Bouh, Bouh!!!
luigi
21 octobre 2020 @ 10:48
😁
Helme12
21 octobre 2020 @ 10:50
Chez moi, on dit : une croûte… Mais, bon, des goûts et des couleurs ( ! )… C’est peut-être magique (réaliste j’espère pas trop : le teint fait un peu brûlé au troisième degré et le fond de l’œil est assez inquiétant ! ).
ladycat's
21 octobre 2020 @ 11:05
heureusement que l’artiste qualifie elle même sa peinture , pas sûr que j’aurai dit la même chose
Numérobis.
21 octobre 2020 @ 11:44
hum !!
ciboulette
21 octobre 2020 @ 17:55
Affreuse !
Cosmo
21 octobre 2020 @ 11:46
Oh My God ! Réalisme magique, la belle blague. Horreur patentée.
Elle aurait du l’acheter et le mettre dans un placard, ou mieux le détruire.
miloumilou
21 octobre 2020 @ 12:15
Horrrrrrible!
Baia
21 octobre 2020 @ 13:00
La pauvre, la voilà qui louche …
Leonor
21 octobre 2020 @ 13:17
Le modèle est moche. La peinture est moche.
Rien à sauver.
Cosmo
23 octobre 2020 @ 06:54
Il est dommage que Lucian Freud ne soit plus de ce monde car à défaut de la rendre belle, il en aurait enrichi la légende et faite passer à la postérité de son vivant.
Gatienne
21 octobre 2020 @ 13:27
« Réalisme magique » moi, je veux bien; il n’empêche qu’Amelia, lorsqu’elle s’approche trop près des braises, elle est comme tout le monde: elle rougit et ses yeux larmoient. Faut pas se voiler la face !
Nivolet
21 octobre 2020 @ 13:53
Pauvre lady Amelia Windsor, ce portrait la fait ressembler à une vieille alcoolique, comme on peut en croiser au détour d’un croquis de Toulouse Lautrec (le talent en moins), mais dois-je le préciser…
Vitabel
21 octobre 2020 @ 14:16
« Réalisme magique » c’est pas un peu tordu comme qualificatif ?
marianne
21 octobre 2020 @ 17:14
Pauvre Amelia ! Plutôt mignonne au naturel , elle n’ avait pas besoin de ça !
plume
21 octobre 2020 @ 18:19
Bof bof pas terrible tout cela.
Gérard
21 octobre 2020 @ 19:35
J’espère que Lady Amelia n’est pas la commanditaire du portrait.
particule
21 octobre 2020 @ 21:46
Un portrait qui flatte …