Voici un portrait de lady Edwina Mountbatten par le comte Uberto Pallastrelli di Celleri, qui fait partie des 350 objets qui seront mis en vente chez Sotheby’s le 24 mars prochain et qui font partie de la collection de lady Patricia, fille aînée de lady Edwina.
Linda Tousignant
29 janvier 2021 @ 02:26
C’est incroyable le nombre de mise aux enchères depuis un certain temps… Il serait peut-être temps de se mettre au travail et de cesser de se laisser vivre.
Pierre-Yves
29 janvier 2021 @ 08:35
Je ne pense pas qu’il y ait plus de ventes en ce moment qu’il y a deux, cinq ou dix ans. Et puis vendre est loin d’être toujours un réflexe de paresse. C’est d’ailleurs souvent nécessaire pour couvrir les droits de succession.
JAY
29 janvier 2021 @ 13:21
Elle avait 7 ou 8 enfants je crois …. un héritage compliqué :!
Leonor
29 janvier 2021 @ 19:39
Non, elle avait deux filles, Patricia et Pamela.
Une multitude d’amants et d’amantes, mais deux enfants seulement .
Jackie
30 janvier 2021 @ 18:51
Il s’agit de l’héritage de Lady Patricia, Leonor qui, elle, avait bien 8 enfants.
Leonor
31 janvier 2021 @ 11:02
Ah oui, c’est vrai. Je n’avais pas bien compris. Merci pour la rectification, Jackie .
Michel Maillet
29 janvier 2021 @ 02:28
Je possède un tableau d’Uberto Pallastrelli qui vient de ma famille et C’est très rare qu’on entende parler de ce peintre.
Jean Pierre
29 janvier 2021 @ 17:41
Je découvre son nom grâce à Régine.
Michel Maillet
29 janvier 2021 @ 21:15
Non elle a eu deux filles Patricia née en 1924 et Pamela née en 1929 .C’est sa fille ainée qui a eu 7 enfants.
Robespierre
30 janvier 2021 @ 15:18
Je me demande qui est le vrai père de Pamela… bon je sors !
Phil de Sarthe
29 janvier 2021 @ 06:33
Elle est fauchée à ce point?
3 portraits si différents…celui qui est le moins » fort » peut être ?
J’adore Lazlo, mais le Dali m’a surpris… agréablement…qu’elle intensité !
Robespierre
29 janvier 2021 @ 10:20
C’est très opaque tout ça .Qui vend ces souvenirs ? Je parierais pour quelqu’un de la descendance qui ne travaille pas et a vu diminuer ses revenus. Parfois comme ça, on oublie de payer un manteau, tant on est distrait par l’effritement de son capital…
Laurent F
29 janvier 2021 @ 13:51
Elle est surtout morte, ce sont les héritiers qui vendent !
ciboulette
29 janvier 2021 @ 16:50
Je préfère celui de Lazslo , mais celui-ci est beau aussi .
Bambou
29 janvier 2021 @ 06:48
Quel dommage pour une famille de se séparer d’aussi beaux souvenirs….
j21
29 janvier 2021 @ 08:56
Dans PDV, les enfants de Lady Patricia expliquent que la succession avait été discutée et préparée avec leur mère .
Jackie
30 janvier 2021 @ 12:22
Donc, rien à dire. Nous devrions tous en faire autant
Gatienne
29 janvier 2021 @ 10:29
Ce dernier portrait ne présente pas un intérêt pictural aussi évident que les deux précédents évoqués : le Dali et celui de Laszlo qui ne sont de toute façon plus dans la famille depuis longtemps.
Caroline
29 janvier 2021 @ 10:45
Ce tableau est plus réussi que ceux de Lazlo et de Dali !
Cosmo
29 janvier 2021 @ 11:35
Surtout quand on connait la fortune des actuels tenants du titre.
Muscate-Valeska de Lisabé
29 janvier 2021 @ 11:49
Assez terne celui-ci.
Leonor
29 janvier 2021 @ 19:42
Lady Edwina était une beauté, et une fameuse pétroleuse. Or, cette peinture est d’une nullité telle qu’il ne rend aucun compte de sa personnalité .
l'Alsacienne
29 janvier 2021 @ 08:27
Malheureusement, pour le commun des mortels, la séparation de souvenirs, de biens peut être difficile, mais nécessaire du fait de partages, de frais de succession ou autres.
Nadine Marie G
29 janvier 2021 @ 20:41
Lorsque les droits remportent sur les devoirs et la reconnaissance.. Aie
Antoine
29 janvier 2021 @ 10:32
Il faut être vraiment aux abois pour vendre des portraits de sa mère ! Ou alors c’est une revanche sur le souvenir que l’on en conserve…
Jean Pierre
29 janvier 2021 @ 17:42
Une grand-mère et en plus qu’ils n’ont que très peu connu.
DEB
29 janvier 2021 @ 11:36
Je ne comprends pas qu’on puisse se séparer d’un portrait de ses parents.
Je suis émue quand je vois, dans des brocantes, des photos de personnes qui, apparemment, ne comptent plus pour personne.
Actarus
29 janvier 2021 @ 13:20
Autant je peux comprendre que l’on puisse se séparer de vieux bibelots dont on n’a plus l’usage, par exemple de la vaisselle, des meubles, etc., autant la vente des « bijoux de famille », y compris des portraits, m’est inconcevable. Bon, je sais bien que quiconque aurait les moyens d’acheter ici des diadèmes autrefois portés par des aristochats légendaires ne manquerait pas d’en faire l’acquisition, et cela vaut aussi pour les toiles de maîtres mais les portraits, allons donc ! Vous voyez-vous acheter l’un des portraits de Lady Edwina, l’accrocher dans votre salon et dire à vos invités « c’est ma grand-mère » ? ;-)
Noëlle Gaël
29 janvier 2021 @ 13:44
Celui-ci et celui du peintre Laszlo ont ma préférence.
Celui de Dali ne me plaît pas vraiment. Lady Edwina y ressemble un peu à une vampire…
Je trouve aussi dommage de se séparer de si beaux souvenirs de famille.
Danielle
29 janvier 2021 @ 17:05
C’est étonnant de vendre de tels souvenirs familiaux.
Robespierre
30 janvier 2021 @ 00:54
Ils sont riches ? Avec tous ces enfants pour diluer l’héritage ?
Robespierre
30 janvier 2021 @ 00:55
Reponse , mal placée, à Cosmo
Robespierre
30 janvier 2021 @ 00:55
Reponse , mal placée, à Cosmo
Silvia 2
31 janvier 2021 @ 21:27
Moi ça ne me gène pas de vendre. On ne peut plus tout garder. Les enfants, déjà établis, et les petits enfants gardent les meilleures pièces et puis le reste il faut le vendre sinon on accumule. Et ça monte au grenier pour les générations futures qui n’en voudront pas.
Gérard
1 février 2021 @ 19:25
La famille Pallastrelli se trouve à Plaisance depuis 1093. Elle a reçu le titre de comte de Celleri et Sbarrata pour les mâles de la famille en 1680. Les hommes et les femmes étaient cependant patriciens de Plaisance depuis le XIVe siècle.
Les armoiries sont d’or au lion de sable accompagné en orle de six flammes de gueules.
Uberto était fils de Guiseppe lui-même fils d’Alfonso, fils de Bernardo.
Né à Plaisance en 1904, il mourut à Santa Margherita Ligure en 1991. Il étudia la peinture très tôt d’abord à Plaisance puis à l’Académie des beaux-arts de Brera à Milan puis à Paris. Il se fit connaître aux biennales vénitiennes de 1938 et 1942 où il exposa un portrait de la princesse de Piémont avec son fils Vittorio Emmanuele. Il peignit aussi Barbara Hutton et la maharani Indira de Kapurthala. En Angleterre où il vécut ensuite il eut pour clients le duc et la duchesse de Marlborough, lord et lady Mountbatten, la comtesse de Jersey ou la duchesse de Westminster. Il séjourna aussi à Buenos Aires, à Palm Beach, à Nice et on lui doit des portraits aussi de Gianni Agnelli, de l’Aga Khan et de la reine Élisabeth en 1953. Il fut invité sur son yacht à Portofino par Aristote Onassis et il représenta ses enfants Alexander et Christina.
Il a fait l’objet d’une grande exposition à Plaisance en 2016.
C’était un homme très pointilleux qui ne se tâchait jamais et n’utilisait que des couleurs naturelles.
Il fallait cependant à ses clients une certaine patience et prévoir de 20 à 25 pauses de 30 minutes.