Le 6 octobre 2018, le comte de Paris sera au château royal d’Amboise à l’occasion de la remise de son portrait réalisé par l’artiste-peintre malaisien Ken Yang, et qui intègrera la collection du château. (Merci à Anne – Source : Blog La Couronne)
Portrait du comte de Paris à Amboise
83 Comments
Laisser un commentaire
Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.
14 septembre 2018 @ 02:59
Il ne se ressemble pas beaucoup.
14 septembre 2018 @ 15:19
Au contraire,Juliette, personnellement, je le trouve tellement ressemblant que j’y vois clairement des traits de son fils Jean également. Bizarre,la subjectivité. Ici on le reconnaît au premier regard. Magnifié, unifié, mais bien fidèle à l’original.
Ce tableau mérite sa place.
14 septembre 2018 @ 03:18
Beau portrait au regard vif mais l’ombre portée sur le buste me donne l’impression que la tête « flotte ».
14 septembre 2018 @ 13:11
Justement cette tête qui « flotte » me met mal à l’aise !
Elle me donne l’impression d’être dissociée du buste…
En réalité, ce portrait ne me plait pas beaucoup, son front me paraît démesuré en rapport avec le reste du visage, seul le regard me paraît intéressant.
Quant au costume qu’il semble porter…!
14 septembre 2018 @ 16:07
Chère Baboula,
Vous avez parfaitement raison et dplus ses épaules sont particulièrement étroites.
Ridicule
14 septembre 2018 @ 03:43
Il a le front moins dégarni, pas de peintre français ?
Son père y est-il ?
Sa mère, aussi ?
Quitte à exposer,il faut représenter la lignée , le Duc de Guise aussi, j’ai visité le château et ne me souviens pas trop des portraits …
14 septembre 2018 @ 06:21
Je n’ai aucune animosité envers le comte de Paris, mais ce portrait est affreux et assez dérangeant…ce n’est que mon avis.
14 septembre 2018 @ 13:55
Un avis que je partage, Louise…
15 septembre 2018 @ 22:39
Moi aussi Bernadette …
14 septembre 2018 @ 08:17
Quel tableau curieux.
Et que de prétention avec ces grandes armes de France plaquées sur la toile et largement déployées comme du temps de Louis XIV.
Décidément la prétention côtoie souvent le ridicule…
Pauvre prince Henri d Orleans qui, étouffé par un père tyrannique, n aura jamais réussi à laisser la moindre trace dans l histoire…
Au moins ce tableau aussi quelconque que prétentieux gardera-t-il la trace de ce prince « nobody ». .
14 septembre 2018 @ 08:23
Ciel ! Encore une croûte. C’est à peu près » digne » des rapins qui gribouillent des portraits à touristes sur les sites touristiques. Décidément, le comte de Paris n’a pas de regard critique sur les productions plastiques. Et pourtant, il » oeuvre » lui-même. Qu’en penser ?
Je sais, je sais, nombre d’entre vous crieront au chef d’oeuvre, que ce portrait est merveilleusement ressemblant, etc etc.
Les caves et greniers des musées sont pleins de portraits ressemblants, et parfaitement nuls.
Et cette distinction-là n’est pas une question de » goût » personnel, comme il a été argumenté auparavant. Un film de Visconti n’est pas un nanar de catégorie B. Un roman de Tolstoï, ce n’est pas un sirop de Barbara Cartland. C’est tout, et ce n’est pas une question de goût, mais de savoir évaluer la QUALITE de ce qu’on regarde , lit ou écoute.
14 septembre 2018 @ 15:15
comme vous avez raison Leonor , on sent l’esthète dans vos propos , peignez-vous vous-même ? êtes-vous romancière ? Critique d’art ? On sent la signature de la patte dans votre commentaire .
Notez bien qu’un portrait par Arcimboldo n’eût pas été plus ressemblant mais plus porteur si je puis m’exprimer ainsi .
Picasso aurait surement pu rendre toute la personnalité du Comte de Paris mais cela aurait été évidemment moins ressemblant.
16 septembre 2018 @ 06:55
Sans doute G-Perrynn , je me le représente bien avec un nez au carré et un oeil au milieu du front
16 septembre 2018 @ 17:30
Merci, Ghislaine, vous me flattez, et vous tapez plutôt juste, en partie.
Mais permettez que je ne vous réponde que partiellement, pour raison d’anonymat que je dois préserver.
Disons que dans la fonction professionnelle que j’ai exercée le plus longtemps, une compétence à la fois vaste et pointue en matière d’art, et dûment certifiée, était indispensable. Non, je ne peins pas moi-même. Mais j’ai un regard laser qui s’est constitué par les études, l’expérience, et l’exercice de la fonction, ainsi qu’une mémoire visuelle peu souvent prise en défaut.
Pardonnez-moi de ne pas vous en dire plus; ce serait une faute professionnelle, même si je ne suis plus en exercice.
Cordialement
L.
19 septembre 2018 @ 18:21
Leonor , effectivement vous vous exprimez en professionnelle . J’aurais tendance à vous dire que l’on peut tomber en arrêt devant un tableau et le recevoir intérieurement comme un cadeau de vie qui ne vous quittera plus . Mais il est vrai aussi que j’ai eu la chance de visiter le Musée Dali à Figueiras en compagnie de jeunes étudiants espagnols qui m’ont expliqué de façon précise le génie de ce peintre . C’était un plus évident .
Cordialement
14 septembre 2018 @ 18:36
Tout à fait.
15 septembre 2018 @ 14:18
Leonor, vous voulez définir la qualité d’ une peinture ? Donnez donc les critères objectifs de cette qualité ! Comme toutes celles et ceux qui jugent du « bon goût » et du « mauvais goût » en matière de mode vestimentaire , vous en serez incapable .
16 septembre 2018 @ 17:40
Marianne, un oeil, c’est un oeil, et l’expérience, c’est l’expérience.
Comme écrit en toutes lettres plus haut, ce n’est pas une question de goût. C’est la qualité de l’oeuvre qui est déterminante.
Et la qualité tout autant que la médiocrité, , pour un oeil averti, ça se voit instantanément.
Tiens, un autre exemple que ceux déjà donnés : un repas soigné élaboré par un vrai chef avec d’excellents produits, c’est autre chose que le sandwich certes roboratif, mais sandwich quand même, de la boutique du coin.
Si vous ne comprenez pas cela, je n’y peux rien, et ne vais certainement pas passer des heures à vous expliquer l’évidence.
Une suggestion : allez dans les galeries, dans les musées ; allez aussi sur Internet, regardez des livres d’art dans les bibliothèques, participez à des visites guidées, etc, lisez, étudiez. Et dans quelques années, alors, on en reparlera.
Encouragements ;
14 septembre 2018 @ 08:24
Le 6 octobre prochain, le château Royal d’Amboise, recevra lors d’une prestigieuse soirée le Chef de la Maison royale de France, Monseigneur le comte de Paris, à l’occasion de la remise d’un portrait du Chef de la Maison royale réalisé par l’artiste-peintre malaisien, Ken Yang.
Ce portrait de l’héritier des Rois de France, entrera dans la collection permanente du Château royal d’Amboise et sera ainsi exposé au grand public.
14 septembre 2018 @ 16:37
« prestigieuse » 😄
14 septembre 2018 @ 19:06
J’espère que l’on pourra y déguster la fameuse cuvée « Héritage » !
15 septembre 2018 @ 14:40
Moi aussi !
16 septembre 2018 @ 08:01
Commentaire mal placé qui se veut en réponse à Louise k @ 06:21, ci-dessus.
16 septembre 2018 @ 08:26
Que vous êtes drôle Quentin ! Merci !
14 septembre 2018 @ 08:49
Je préfère le portrait qu’avait réalisé il y a quelques années sa fille Marie. Celui-ci me paraît bien fade.
14 septembre 2018 @ 08:59
Bonjour,
Est-ce un événement public ou strictement privé ?
Je souhaiterais rencontrer Monseigneur.
Merci
14 septembre 2018 @ 09:14
mon Dieu, les armoiries qui font la taille des 3/4 de la tête, au cas où l’on aurait oublié la prestigieuse ascendance de monseigneur, des réflexes de parvenu…
Enfin, c’est déjà mieux que la statue de Saint Louis…
14 septembre 2018 @ 14:17
:))))
14 septembre 2018 @ 09:19
Un portrait raté, comme beaucoup de ces chromos kitch qui nous ont été montrés sur le site: le comte de Paris a la tête d’un petit garçon auquel on aurait rajouté quelques rides pour faire bonne mesure.
14 septembre 2018 @ 12:41
En effet, cette tête faussement juvénile est dérangeante, au même titre que le non-respect des proportions. Les armes sont trop imposantes et, sous cet angle, le prince paraît avoir des épaules minuscules ; lorsque l’on peint, on prévoit l’hypothèse que le tableau soit vu de biais et l’on adapte donc ses proportions de telle sorte que le rend reste le meilleur possible, en comparaison d’une vue de face.
Je vous rejoins à 100%. Vous et tant d’autres.
14 septembre 2018 @ 09:27
Affreux.
Je veux bien qu’un chef de maison laisse une trace, sous diverses formes – ça me paraît même essentiel. Mais pas au travers d’oeuvres comme celle-ci, qu’un enfant de CE2 est capable de produire.
C’est artistique mais ce n’est pas fameux. Peut-être est-ce voulu ?
14 septembre 2018 @ 13:16
Dans la droite ligne de la carafe voyageuse de Claude, donc ! 😎
15 septembre 2018 @ 14:50
Karabakh, je vous trouve bien charitable de trouver cette croute artistique !
Elle est moche, et ce portrait me fiche la trouille tant il est atrocement raté.
15 septembre 2018 @ 23:55
Les enfants de CE2 sont artistes à leur manière.
Après, c’est sûr que venant d’un adulte, cette croûte mérite difficilement qu’on y décèle une quelconque fibre artistique. Après, je crois que le sujet du portrait est aussi discutable dans sa dimension artistique, donc bon… qui se ressemble, etc. 😉
15 septembre 2018 @ 23:56
@Gatienne,
J’avoue que la carafe de la princesse Claude m’avait bien amusé. Cela m’a confirmé que l’on peut vendre beaucoup de choses avec un nom qui fait rêver petits et grands ; même du vent.
14 septembre 2018 @ 09:37
J’aime l’expression un peu pensive et attentive du prince sur ce portrait.
14 septembre 2018 @ 09:37
Nul doute que cet homme ne rentre ainsi dans la
Grande Histoire de son vivant
14 septembre 2018 @ 09:38
Le moins que l’on peut dire, c’est que le Prince n’est pas flatté !
14 septembre 2018 @ 19:08
Non, mais tant qu’il y aura des flatteurs !
16 septembre 2018 @ 09:57
Je préfère qu’il soit ta quiné
14 septembre 2018 @ 09:45
Portrait ressemblant…et amusant car le prince s ‘ y retrouve avec un petit air asiatique. La « patte » du peintre ?
14 septembre 2018 @ 11:52
Et encore on ne voit pas le bas de l « oeuvre » qui doit être surchargé de dentelles et fanfreluches comme Monseigneur aime à s en vêtir. ..
Ah ridicule quand tu nous tiens….
14 septembre 2018 @ 13:55
Lol
14 septembre 2018 @ 15:21
C’est vraiment drôle, moi je le trouve très bien,visage ressemblant et bien rendu,avec sensibilité et justesse. Je n’ai pas vu le reste, mais ce que je vois me plaît.
15 septembre 2018 @ 23:39
Je suis d’accord avec vous , Muscate! Portrait très réussi qui avantage énormément Mr le comte!
14 septembre 2018 @ 18:02
Le visage lui-même n’est pas mal mais les armoiries sont trop grandes et la disposition est un peu kitsch.
16 septembre 2018 @ 06:15
Tout à fait.Comme il le fait de manière exagérée, on se dit que sa prétention est exagérée et qu’il doit sentir qu’il doit s’authentifier aux yeux du public. Quelqu’un de bien assuré n’en aurait pas besoin.
C’était pareil avec le « duc de France » qu’il a pris, le « duc d’Anjou » et « comte de Dreux » à ses neveux. Toujours dans le style dérisoirement « c’est à moi » et pas à Louis, pas à Marie Thérèse et pas à Jean.
16 septembre 2018 @ 14:52
Ça il est certain que si l’on ne marque pas un peu le temps en temps sa propriété le voisin peut croire qu’il est chez lui, c’est un grand classique.
Mais enfin ce n’est pas un autoportrait et le prince a pu respecter la liberté artistique.
19 septembre 2018 @ 09:31
Tout à fait exact Gérard ce que vous dites !
15 septembre 2018 @ 01:23
J’aurais préféré voir le côté , un château , à coté ?
Question trace, c’est l’action , qui compte , pas les tableaux , pour les gens , qui veulent tutoyer l’Histoire !
14 septembre 2018 @ 12:12
Affreux et avec des grandes grandes armoiries qui ne sont pas les siennes… Je ne parlerais pas du… costume !
14 septembre 2018 @ 13:00
Le sourire et des kilos en moins, il a un petit air de Norodom Sihanouk…
14 septembre 2018 @ 13:01
Comme l’a déclaré un tribunal français il y a environ trente ans, Henri d’Orléans n’a aucun droit à porter les armoiries de la famille de Bourbon (d’azur à trois fleurs de lys d’or). Au-delà du ridicule, ce portrait est donc un faux héraldique. La branche hypercadette descendante du régicide doit s’en tenir à son lambel.
15 septembre 2018 @ 08:16
À ma connaissance la seule décision qui ait porté sur les armes pleines de France est une ordonnance de référé du président du tribunal de grande instance de Paris du 5 janvier 2009 qui au contraire confirme au comte de Paris l’usage de ces armoiries et fait interdiction à une marque commerciale de les prendre.
15 septembre 2018 @ 19:24
Je parle du procès en appel de 1989 dont les attendus déboutent définitivement Henri d’Orléans de ses prétentions à faire usage des armoiries de la famille de Bourbon. Henri d’Orléans ne peut pas se prévaloir de ce qui ne lui appartient pas. Les armoiries sont un attribut du nom. Aux Orléans, le lambel. Aux Bourbons, les fleurs de lys.
16 septembre 2018 @ 11:36
Non pas du tout. En dernier ressort il a été jugé que la justice française n’était pas compétente pour statuer sur cette question dynastique en raison de la séparation des pouvoirs.
16 septembre 2018 @ 00:21
Le Sénat s’est prononcé bien avant 2009, sur l’usage d’armoiries familiales comme logo commercial. (https://www.senat.fr/questions/base/2006/qSEQ061024591.html) La jurisprudence que vous citez n’a fait que reprendre les grandes lignes de la position du Sénat.
Chambordien fait allusion à la décision rendue le 21/12/1988 par le TGI de Paris, à propos du port des « armes pleine de France » ; l’intimant, M. Henri d’Orléans reprochait alors à l’intimé, M. Alphonse de Bourbon, l’usage des fameuses pleines armes et souhaitait que le tribunal interdise cela. Henri d’Orléans (actuel chef de la famille éponyme) avait été débouté aux motifs suivants :
– les armoiries en question ne sont plus que des emblèmes privés et non un symbole de la France, comme les qualifiait le conseil de l’intimant ;
– « il n’appartient pas à une juridiction de la République d’arbitrer la rivalité dynastique qui sous-tend en réalité cette querelle héraldique ».
La décision intégrale se référait notamment à une décision du 28 janvier 1897, rendue par le Tribunal civil de la Seine (Paris) sur action de M. Marie-François de Bourbon y Castellvy (qui est ici qualifié de « Bourbon d’Espagne ») ; laquelle statuait – après avoir relevé que tant Louis-Philippe d’Orléans, petit-fils du roi des Français éponyme, que Charles de Bourbon, duc de Madrid, s’étaient chacun attribué les pleines armes de France – que « ces armoiries pleines à trois fleurs de lys d’or, qui étaient jadis attachées à la qualité de Roi de France, avaient disparu avec elle. »
Par contre, le Tribunal s’est reconnu compétent sur le litige héraldique et a reconnu :
– l’appartenance de ces armes à la Maison de Bourbon, dont les princes de la Maison d’Orléans (ne) forment (que) la branche cadette ;
– que, selon les anciennes coutumes, l’usage de ces armes était réservé aux aînés, alors que les cadets devaient y ajouter un lambel ;
– que les Bourbons d’Espagne les ont portées pleines (sans brisure) depuis la fin du XIXème siècle, sans protestation des Orléans ;
– que le premier comte de Paris en a fait de même et au même moment, suite au décès du comte de Chambord ;
– qu’Henri d’Orléans n’a pu apporter la preuve qu’il ait subi un préjudice et ne justifie pas d’un intérêt à faire interdire le port de ces armoiries aux Bourbons d’Espagne.
Fin de l’histoire.
Mais apparemment, votre orléanisme (primaire ou secondaire, peu me chaut) n’a pas retenu cela. Il est vrai que le désavantage est certain pour ce brave Henri VII…
C’est mieux d’oublier.
16 septembre 2018 @ 11:41
C’est exactement ce que j’ai dit. La justice française n’a pas statué sur cette question qui ne relève pas du droit privé. Lire avec intérêt les réquisitions du procureur général Alzuyeta qui connaissait magnifiquement toutes ces questions et en privé ne se gênait pas pour dire ce qu’il pensait des prétentions bourboniennes.
17 septembre 2018 @ 15:20
Peut-être que votre compréhension juridique, plus encore héraldique est limitée mais cet arrêt, s’il n’interdit pas expressément, prive votre Henri préféré du droit au port des pleines armes de France. Après, je me moque bien de ce que pensait Alzuyeta ; ayant grandi entouré de professionnels du droit, j’accorde que peu d’intérêt aux états d’âme des magistrats, premiers individus en ce monde à cacher de sacrés cadavres bien puants au fond de leurs jardins.
19 septembre 2018 @ 11:20
Le procureur général et chancelier d’Aguesseau connaissait autrement mieux toutes ces questions, et on sait les « Observations » qu’il fit (il ne pouvait en dire plus par respect pour le Roi Soleil, même si Louis XIV outrepassa largement ses prérogatives royales en voulant priver son petit-fils – et les fils de celui-ci – de ses droits et donner ceux-ci aux bâtards de la Montespan) quant à la renonciation extorquée à Philippe V par Anne Stuart et Bolingbroke ; renonciation qui fut aussi nulle et non avenue que celles des grand-mère et arrière-grand-mère de Philippe V pour le trône d’Espagne (Marie-Thérèse d’Autriche, la demi-sœur aînée de Charles II, et Anne d’Autriche, la sœur aînée de Philippe IV).
14 septembre 2018 @ 13:30
J’ai peu d’estime pour le personnage à tous points de vue, et même je dirai que je ne peux pas le voir en peinture … Afin de ne pas relancer les hostilités habituelles, je n’ai rien contre les autres Orléans, c’est juste lui.
14 septembre 2018 @ 16:44
Vous confondez sûrement avec son ancêtre Philippe duc d’Orléans « monsieur », néoclassique !( Il n’y a pas si longtemps on reprochait à Henri d’Orléans de revêtir des vestes autrichiennes! …(LOL) )
14 septembre 2018 @ 19:17
Désolée de le dire, mais lorsque l’on voit ce sujet proche de :
Hommage de la princesse Béatrix, de la princesse Mabel, de la princesse Mette Marit à Kofi Annan
Visite de la princesse Katerine de Serbie à » l’âge d’or »
Visite du duc de Sussex aux Royal Marins
Visite de la reine Rania à l’orphelinat « Roi Abdallah »
On a un peu envie de sourire « jaune »
15 septembre 2018 @ 08:20
sourire « jaune » le trait d’esprit est fin mais pour le reste , je ne vois pas pourquoi l’on devrait sur ce site se limiter aux oeuvres de bienfaisance .
En quoi un portrait du Comte de Paris n’aurait pas sa place (et pourquoi pas la première) sur un site intitulé Noblesse et Royautés ?
15 septembre 2018 @ 20:01
Ghislaine-Perrynn, le portrait du Comte de Paris, a tout à fait sa place ici.
J’en ai parlé plus haut.
Là n’est pas le problème.
En tant que prétendant, descendant de ces rois qui ont fait la France, il peut parfaitement figurer dans la galerie de portraits d’Amboise. Il choisit qui il veut pour ce faire. Bon choix ou pas.
Là où je vois un problème, c’est que j’aimerais également voir dans quoi il s’investit, hormis la cuvée Héritage etc
C’est pourquoi je parlais entre autres, de Katerine de Serbie, qui se dévoue inlassablement.
Car pardonnez moi, mais quand on est censé représenter à la fois le passé, le présent et l’avenir, on ne se contente pas d’un portrait.
Quant aux oeuvres de bienfaisance, ce n’est pas moi qui choisis les thèmes, mais si je devais le faire je les privilégierais et Régine le fait très souvent.
26 septembre 2018 @ 18:55
Un homme de plus de 85 ans dont on sait en plus qu’il n’a pas une santé florissante n’a pas besoin de « s’investir » pour exister s’il est prince de France et chef de Famille .
16 septembre 2018 @ 00:22
La question ne porte pas sur la place du sujet dans la globalité du site mais sur sa position entre des sujets hautement plus sérieux. 😉
16 septembre 2018 @ 11:44
À cet égard notre hôtesse suit l’ordre qu’elle désire et j’imagine surtout l’ordre chronologique, l’importance est une notion très subjective.
17 septembre 2018 @ 15:22
Encore une fois, ce n’est pas une critique envers Régine mais le constat d’un hasard amusant. Notre hôtesse l’a bien compris.
Toutefois, je ne suis pas surpris que la subtilité vous échappe.
19 septembre 2018 @ 18:11
Karabach faites moi la grâce de penser que j’avais parfaitement compris où voulait en venir Charlotte-AL . Il est parfois plaisant de donner dans le contre-emploi . Vous imaginez bien que le Comte de Paris a ses oeuvres , tout comme bien des personnes . Il n’est pas tenu , sur un site , qui ne lui fait aucun cadeau , de vous en faire part .
15 septembre 2018 @ 14:56
Vous avez tout à fait raison Charlotte AL !
Bon week-end à vous.
15 septembre 2018 @ 19:57
Je ne comprends pas ce que Charlotte veut dire.
14 septembre 2018 @ 20:34
Pas très ressemblant et surtout peu avenant , ce portrait !
14 septembre 2018 @ 21:33
L’artisite est-il roumain ou originaire des carpapates ?
15 septembre 2018 @ 08:22
Alors Tonton Soupic vous vous étiez carapaté ?
14 septembre 2018 @ 23:12
Je ne l’aime ni en vrai et ni en peinture. Ha bon il aime les fanfreluches et les dentelles, il se prend pour Louis XIV…………
15 septembre 2018 @ 00:30
Je ne suis pas fan de Ken Yang qui mèle techniques et mise en scène traditionnelles à une conception hyper réaliste un peu clinquante qui plaît cependant à Paris puisqu’il rencontre un vrai succès dans la capitale française. Je n’aime pas trop ce portrait du Comte de Paris à l’exception du regard à la fois profond et pensif. Le front un peu démesurément haut symbolise je suppose la vie intellectuelle de ce prince cultivé et lui-même très artiste.
15 septembre 2018 @ 14:57
Un succès dans la capitale où ça ? Qui l’expose ?.
15 septembre 2018 @ 20:03
Plusieurs galeries et actuellement l’Institut culturel du Mexique à Paris.
16 septembre 2018 @ 00:21
Merci Lutz, il s’agit bien de Ken Yang http://www.la-couronne.org/actualite-royale/mgr-le-comte-de-paris-par-kenyang/ et pour répondre à Jps ce peintre est bien exposé à Paris
http://www.gillesparis.com/fich_ken_yang.html et puis après, on en pense ce que l’on veut.
15 septembre 2018 @ 06:07
Le Comte de Paris et le château d’Amboise méritaient mieux !
19 septembre 2018 @ 14:10
Je connais beaucoup mieux le château d’Amboise, pas le Comte de Paris mais il est possible de compatir à sa représentation….
15 septembre 2018 @ 23:15
C’est une horreur… Je ne trouve pas d’autres mots et je me joins à ce qui a été écrit plus haut.