La naissance de Maria Eugénia, Brianda, Timotea, Cecilia Martinez de Irujo y Fitz-James Stuart au sein du foyer du duc et de la duchesse d’Albe est une immense joie. La duchesse voit son rêve d’avoir une fille après cinq garçons s’accomplir. La naissance se déroule le 26 novembre 1968 à Madrid.
D’emblée, Eugenia sera la petite coqueluche de ses frères Carlos, Alfonso, Jacobo, Cayetano et Fernando. Il y a 20 ans d’écart entre l’aîné actuel duc d’Albe et Eugenia. Mais l’enfance de la petite Eugenia est assombrie par la maladie de son père don Luis Martinez de Irujo marié à la duchesse d’Albe depuis 1947.
Il suit un long traitement aux Etats-Unis où à cette époque la médecine semble plus à la pointe mais il décède en 1972 alors qu’Eugenia a à peine 4 ans. Ses liens avec sa mère la duchesse d’Albe n’en seront que plus resserrés. L’année se passe entre les palais de Liria à Madrid et de las Duenas à Séville mais aussi avec des périodes de vacances à Ibiza, Marbella ou Saint Sebastien.
Le 16 mars 1978, la duchesse d’Albe se remarie avec Jésus Aguirre qui fera vite l’unanimité parmi ses enfants dont Eugenia qui le considère comme un père. Cet homme toujours discret permettra de mettre enfin de l’ordre dans tous les biens de la famille et s’investira dans le rangement de l’immense bibliothèque ainsi que dans la mise en valeur du patrimoine de la maison d’Albe.
Eugenia cultive vite le même look bohème hippy que sa mère, s’habillant de manière décontractée et portant multitudes de bracelets aux poignets et aux chevilles.
Elle suit sa mère chaque année lors des processions de la Semaine Sainte à Séville et est membre de plusieurs confréries religieuses à l’instar des membres de la famille.
Côté cœur, toutes ses amourettes sont suivies avec grand intérêt par la presse espagnole. Chaque été lorsqu’elle part en vacances avec un groupe d’amis, on lui prête aussitôt l’un ou l’autre fiancé dans la presse de cœur.
Passionnée comme sa mère de tauromachie, elle fait la connaissance du jeune torero Francisco Rivera Ordonez. Il est le fils du défunt « Paquirri » mort des suites de ses blessures aux arènes et de Carmina Ordonez, fille du grand Ordonez, neveu du légendaire Luis Miguel Dominguin. Toute une tradition familiale taurine coule dans ses veines.
Malgré la différence d’âge (il a 6 ans de moins qu’Eugenia) et leurs mondes distincts, ils ont une relation de plusieurs années avant la rupture. Il faut dire que Francisco Rivera Ordonez a la solide réputation d’être un coureur de jupons. Entre temps, Eugenia retrouve le sourire avec un autre torero Miguel Baez « El Litri » qui est aujourd’hui marié à Carolina Herrera (fille de la styliste).
Mais en 1997, les chemins de Francisco et Eugenia se croisent à nouveau. Comme il le confia alors, il mit tout de son côté pour reconquérir la fille de la duchesse d’Albe. Leur mariage célébré le 23 octobre 1998 est digne d’un mariage royal. Le cadre n’est autre que la cathédrale de Séville comme pour l’infante Elena. 1400 invités dont justement l’infante Elena et son mari Jaime de Marichalar. La cérémonie est retransmise à la télévision espagnole et la foule très dense est présente pour assister aux noces de la fille chérie de leur duchesse.
Eugenia reçoit alors le titre de duchesse de Montoro. Sa robe est une création d’Emanuele Ungaro. La duchesse d’Albe lui a prêté son imposant diadème de diamants et perles qu’elle avait elle-même coiffé lors de ses noces en 1947. Mais Eugenia hésita jusqu’au dernier moment pour le mettre, étant très superstitieuse et ne souhaitant pas porter de perles. C’est son frère le duc d’Arjona qui la conduisit à l’autel.
On apprit récemment lors d’un entretien de Francisco Rivera Ordonez à la télévision que la veille du mariage, pris de questionnements et d’angoisses, il se mit à douter. Sa mère Carmina lui prêta tout son soutien et l’encouragea à s’en aller à l’étranger loin du tumulte et qu’elle gèrerait la déferlante médiatique, consciente elle-même que cette union de deux êtres trop différents ne pouvait pas être heureuse sur le long terme.
Le couple eut rapidement une fille en 1999 prénommée Cayetana en hommage à sa grand-mère maternelle mais déjà les nuages s’annoncèrent sur le couple. Francisco était souvent en déplacement pour ses corridas en Espagne ou en Amérique du Sud mais surtout il avait repris ses habitudes de don Juan. Après des semaines de spéculations quant à une enième crise conjugale, Eugenia elle-même annonça en 2002 à l’agence EFE la séparation.
Pendant les premières années de séparation, la duchesse de Montoro et Francisco Rivera Ordonez donnèrent l’image d’ex-conjoints cultivant d’excellentes relations pour leur fille « Tana ». Eugenia eut une relation sentimentale de 2005 et 2009 ponctuée de ruptures avec le journaliste Gonzalo Miro, fils de la grande réalisatrice de télévision Pilar Miro (décédée en 1997 après avoir couvert le mariage de l’infante Cristina) et filleul de Felipe Gonzalez, ancien chef du gouvernement espagnol. Une relation que la duchesse d’Albe ne vit jamais d’un bon œil, espérant au fond d’elle-même que Francisco reviendrait un jour.
Mais la situation se crispa encore plus lorsque Francisco se mit en ménage avec la cousine d’Eugenia, Blanca Martinez de Irujo. Une trahison totale pour la duchesse de Montoro qui avait fait de sa cousine sa meilleure confidente dans les moments de peine, profitant de petites escapades ensemble en Toscane pour panser les peines de cœur.
Côté professionnel, la duchesse de Montoro collabore depuis des années avec la célèbre firme catalane « Tous » dont elle dessine des bijoux et est l’image.
Toujours très discrète et n’accordant aucune interview sauf dans le cadre de ses activités chez Tous, la duchesse de Montoro est active auprès de l’association caritative « Pequeno deseo » (petit souhait) pour les enfants malades. Son ex-époux a sollicité l’annulation de leur mariage religieux auprès de Rome afin de pouvoir se remarier, ce qu’il a obtenu.
Mais les relations déjà tendues se sont totalement envenimées lorsque Francisco Rivera demanda la garde de leur fille. Scolarisée dans une école privée britannique à Madrid, la jeune fille avait semble-t-il demandé à son père de pouvoir passer plus de temps avec lui à Séville. Voulant satisfaire sa fille, il introduisit la demande en justice. De son côté, la duchesse de Montoro prit cette demande comme un coup de poignard, surtout que sa fille s’est toujours montrée heureuse à ses côtés.
Ce fut l’affrontement total devant les tribunaux. La duchesse de Montoro put compter sur le soutien de ses cinq frères venus au tribunal. Sa mère la duchesse d’Albe n’assista plus jamais à une corrida de son ex-gendre qu’elle avait pourtant tant chéri. Finalement, Eugenia conserva la garde de sa fille et les souplesses du passé pour avoir quelques jours de plus « Tana » furent désormais refusées à Francisco Rivera qui ne cessa de crier à l’injustice sur les plateaux de télévision.
Seule au point de vue sentimental, la duchesse de Montoro était toujours très présente auprès de sa mère. Lorsque cette dernière décida de répartir son héritage de son vivant afin de pouvoir se marier avec Alfonso Diez, la duchesse de Montoro se vit attribuer la villa d’Ibiza à Cala Salada ainsi que la finca La Pizana.
Il n’était pas rare les derniers temps qu’Eugenia rejoigne sa mère et son beau-père Alfonso Diez pour des séjours de courte durée sur la côte basque, preuve de la belle entente qui régnait désormais avec l’époux de la duchesse d’Albe.
Alors qu’elle s’apprêtait à partir à Miami pour des engagements professionnels, Eugenia fut avertie de l’hospitalisation de sa mère à Séville. Aussitôt avec ses frères, elle accourut à son chevet. Les quelques jours à l’hôpital avant de prendre la décision de la ramener au calme au Palais de las Duenas furent déjà une terrible épreuve pour la duchesse de Montoro qui voyait s’éteindre petit à petit cette mère si proche et si aimante.
Son décès le 20 novembre 2014 fut une épreuve très douloureuse. Toujours entourée par ses frères et par sa fille, la duchesse de Montoro n’était plus qu’un visage ravagé par les larmes. Lors de la messe en hommage à la duchesse d’Albe à Madrid, la reine Sophie émue par tant de détresse, n’hésita pas comme une mère à la serrer dans ses bras.
Aujourd’hui, petit à petit, Eugenia Martinez de Irujo a repris ses activités professionnelles et a été vue lors de certains événements comme la foire d’art contemporain de Madrid en compagnie de son fidèle groupe d ‘amis. On murmurait que son frère le nouveau duc d’Albe lui avait signifié son renon pour un appartement qu’elle occupait juste à côté du Palais de Liria. L’intéressé s’est empressé de démentir et d’indiquer que ces rumeurs malveillantes avaient beaucoup affecté sa sœur avec laquelle il est en contact constant, veillant désormais sur celle qui fut la petite prunelle des yeux de la défunte duchesse d’Albe. (Copyright photos : Efe, Hola, getty images & DR)
racyma
2 avril 2015 @ 06:56
j envie l amour que lui a donne sa famille c est beau
Valérie R.
2 avril 2015 @ 07:11
Même si ce n’est qu’un détail dans ce long et intéressant portrait, je ne serai je pense pas la seule à pointer encore une annulation du mariage par la Ste Rote… selon que vous serez puissant ou misérable…
Baia
2 avril 2015 @ 11:46
Valérie R. Vous pensez réellement que c’est un « détail » de demander à Rome la nullité d’un mariage ?
Valérie R.
2 avril 2015 @ 16:20
Non, évidemment, ce n’est pas qu’un détail… je voulais dire que ce n’est qu’un épisode de la vie de la Duchesse, mais cela semble être plutôt plus qu’un détail, voire une pratique courante, pour le gratin catholique…
Baia
2 avril 2015 @ 17:14
Vu ainsi je ne peux qu’approuver votre réponse Valerie R.
Trianon
3 avril 2015 @ 21:24
vous êtes de mauvaise foi, je connais deux cas de mariages annulés, et croyez moi, cela se passait dans des milieux on ne peut plus modestes….
aubert
5 avril 2015 @ 13:30
moi aussi. Mais chez certains l’annulation du mariage catholique est le même chiffon rouge que le foulard musulman pour l’extrême droite.
Trianon
6 avril 2015 @ 13:31
:)
Nathetvoila
2 avril 2015 @ 12:18
Vous ne savez pas comment s’est passé la procédure. Moi, non plus. alors ne jugeons pas à la parce des juges. Il est fini le temps, il me semble, où cette procédure était accélérée pour certains puissants. Les critères de nullité sont les même pour tous. Certaines procédures sont plus médiatisées, c’est tout. Le mariage n’est pas annulé mais déclaré nul, la nuance est grande. Il n’a jamais existé selon les critères de validité préconisés par l’Eglise.
Nathetvoila
2 avril 2015 @ 12:19
à la place des juges…
limaya
2 avril 2015 @ 14:41
Bien vu Valérie R certains attendent toute une vie ! ! ! religion à deux vitesses
Francine du Canada
2 avril 2015 @ 20:39
Vous avez raison Nathetvoila; j’ai vu dans ma carrière une bonne vingtaine de dossiers d’annulation de mariage par Rome (Mexique et Amérique centrale et peut-être quelques uns en Europe, je ne suis plus certaine?) et les délais étaient de 3-4 ans, ce que je trouvais très long mais… il faut ce qu’il faut. Je ne saurais dire si c’est plus rapide lorsque le « compte en banque est bien garni » mais pour avoir aidé une mexicaine à présenter sa demande d’annulation, je peux vous dire que c’est assez complexe : Il faut produire tous les documents et répondre aux nombreuses demandes qui suivent (précisions, témoins, affidavits, traduction des documents de divorces, etc). Les catholiques veulent pouvoir se remarier à l’Église et je ne peux les blâmer. FdC
Francine du Canada
2 avril 2015 @ 20:40
Ça c’est FAUX limaya! FdC
Trianon
3 avril 2015 @ 21:25
exact FDC, mais certains ne ratent pas une occasion de taper sur Rome…
Marie de Bourgogne
2 avril 2015 @ 17:27
Il me semble que dans ce cas précis, la puissance venait plutôt du côté de l’épouse. Être la fille de la Duchesse d’Albe ce n’est pas rien.
Lorenz
2 avril 2015 @ 08:46
Est-il vrai que la duchesse d’Albe avait demandé aux invitées au mariage de sa fille Eugenia de porter une mantille blanche, alors que la tradition exige une mantille noire (pour les invitées), sauf permission spéciale de la reine?
L’infante Elena et de nombreuses autres invitées de la noblesse aureient alors souligné l’absence de permission royale en restant fidèles à la règle du noir…
Aliénor
2 avril 2015 @ 11:10
C’est cette demande de Cayetana qui a remis la mantille à la mode, alors qu’elle était un peu oubliée à cette époque.
Laurent F
2 avril 2015 @ 12:10
Quelle rébellion de la part d’Elena ! C’est horrible
Zeugma
2 avril 2015 @ 10:13
Elle avait épousé un superbe matador et c’est bien dommage qu’ils se soient séparés.
aggie
2 avril 2015 @ 10:32
Je ne comprend pas ce que veut dire « signifié son renon » Régine ? Il doit manquer un bout de phrase.
Cordialement
Caroline
2 avril 2015 @ 11:31
Aggie,
Allons ensemble chez Tonton Google!
J’ai donc compris que le nom ‘renon’ signifie ‘résiliation d’un bail,congé’!
Bonne journée!
aggie
3 avril 2015 @ 06:23
Merci Caroline, mon premier réflexe est toujours Google ; mais là il ne m’a pas répondu ; à l’évidence j’ai mal chercher ; j’aurais du penser à un terme juridique ; celui là ne me parlait pas du tout
Kalistéa
2 avril 2015 @ 11:20
Un exemple éclatant de vie lamentable vécue par une personne trop gâtée par la fortune!
Sa mère avait su gérer les bienfaits hérités de sa haute naissance et d’une grande fortune.Elle sut organiser sa vie avec ses trois époux qui la rendirent heureuse, et elle les rendit heureux en retour parce que c’était une femme de coeur ,pleine de fantaisie mais point capricieuse ni égoiste.
Francine du Canada
2 avril 2015 @ 20:59
Je vous trouve bien sévère ma mie; Francisco Rivera Ordonez avait toute une réputation, non? FdC
Kalistéa
3 avril 2015 @ 15:39
Je ne comprends pas ce que vous voulez dire Francine.
Francine du Canada
5 avril 2015 @ 01:52
Je parlais de votre première phrase Kalistéa car je ne suis pas convaincue que la duchesse de Montoro ait été gâtée par la fortune; son mari était un coureur de jupons. Quant à votre commentaire sur la duchesse d’Albe, je suis tout à fait d’accord; elle avait de grandes qualités. Amicalement, FdC
Kalistéa
6 avril 2015 @ 11:46
Si Francisco Rivera était un « Don Juan », la duchesse de Montoro le savait depuis longtemps, pr conséquent elle n’avait qu’à pas renouer avec lui, allant jusqu’à l’épouser en grande pompe, si elle n’était pas capable de faire front devant les vagues d’admiratrices qui déferlaient sur son époux : un « diestro » valeureux et grande vedette dans le monde entier!
Caroline
2 avril 2015 @ 11:28
C’est un portrait digne d’une pauvre fille riche!
On dit qu’ elle est assez entourée par ses frères,espérons que ça dure!
Jean Pierre
2 avril 2015 @ 11:41
Elle a quelque chose de Meg Ryan.
Wendy
2 avril 2015 @ 13:31
Je me souviens des photos de son flamboyant mariage à Séville…
Sa famille l’a toujours entourée et soutenue.
bernadette
2 avril 2015 @ 16:09
Eh bien ! quelle vie ! Un parcours plutôt difficile à suivre…. Pauvre petite fille riche en effet !
l'Alsacienne
2 avril 2015 @ 16:21
Je me demande souvent quelles sont les raisons invoquées pour demander à l’Eglise la nullité d’un mariage. Les époux avaient toute leur tête, étaient de sexe opposé et le mariage consommé. Il n’y a pas eu de tromperie sur l’identité des mariés et ils étaient libres. Evidemment, je ne connais pas tous les motifs qui peuvent être invoqués.
Pour le commun des mortels, il y a le divorce civil selon la Loi.
Marie de Bourgogne
2 avril 2015 @ 17:29
Tous les catholiques (faisant partie du « commun des mortels ») peuvent faire une demande de nullité de mariage à Rome.
kalistéa
3 avril 2015 @ 10:34
vous avez raison chère Marie de Bourgogne.Pour l’Alsacienne, je crois que pour Caroline de Monaco(après dix ans de « réflexion »), et Carmen Martinez-Bordiu (inachevé, à cause du décès de Don Alfonso) le motif retenu par le tribunal de la Rote , était l’immaturité, les mariées n’étant âgées que de 20 ans, ce qui de nos jours semble effectivement un peu jeune.
MEYER
2 avril 2015 @ 20:21
C’est son ex-époux, Francisco Rivera Ordonez, qui a sollicité la nullité religieuse du mariage.
Il s’est remarié à l’église et sera à nouveau père d’une petite fille en 2015.
Laurent F
3 avril 2015 @ 12:51
Caroline de Monaco aurait obtenu le sien pour immaturité avec la bienveillance de Jean-Paul II qui a légitimé (religieusement) par la suite les enfants Casiraghi !
Trianon
3 avril 2015 @ 21:30
pour le commun des mortels, il y a aussi l’annulation de mariage…
j’ai un ami , de milieu simple, qui a obtenu ( après 5 ans de paperasse) l’annulation de son mariage religieux.
en effet, sa « douce » femme lui déclara 2 mois après leur mariage qu’e finalement elle ne voulait pas avoir d’enfant-jamais-, et qu’elle utiliserait tous les moyens pour ne pas en avoir.
Lui qui voulait une famille,s’est retrouvé trahi; elle n’avait jamais tenu ce discours auparavant-
et comme sa femme accepta de tenir les mêmes propos devant le prêtre qui instruisit le dossier d’annulation, cette dernière put se faire facilement.
il faut arreter d’affirmer que seuls les puissants obtiennent une annulation, c’est mensonger
andré
2 avril 2015 @ 19:01
pauvre Cendrillon ….
Cosmo
2 avril 2015 @ 19:35
Deux photos ont attiré mon attention :
– Celle de son mariage. Et il est difficile de faire plus kitsch, limite vulgaire.
– Celle de l’embrassade reçue de la reine d’Espagne, naturelle et émouvante.
Cette jeune femme a l’air bien sympathique et semble en harmonie avec son temps.
Kalistéa
6 avril 2015 @ 11:53
Dear Cosmo, Il devait faire une chaleur accablante ce jour-là à Séville.>On voit que les photographiés n’en peuvent plus et d’ailleurs ,le photographe lui_même n’a pas l’air d’être un génie! Cayetana est Kitch mais c’était son style, elle l’était toujours. Carmen Ordonez a été une des plus belles femmes d’Espagne.Elle a eu tort selon moi de choisir une robe violette pour marier son fils.
aubert
3 avril 2015 @ 12:41
Les pauvres ne connaissent pas leur bonheur.
Trianon
3 avril 2015 @ 21:30
excellent:):)