Le potage à la Reine date du 15ème siècle. Il aurait ainsi fait son apparition à la Cour du roi Henri IV au temps de son union avec Marguerite de Valois. Il se compose de poule cuite au bouillon, de riz cuit et de pâte d’amandes avec croutons additionnels. Servi régulièrement à la Cour de France, il était considéré comme un plat bien « robuste » pour les appétits.
framboiz07
25 octobre 2015 @ 03:56
Pâte d’amande & riz, ça devait être bourratif ! Avec du vin de jurançon? Je préfère des champignons à la place des lardons . Décidément les poules , dans leur pôt , auront inspiré Henri IV .
Corsica
25 octobre 2015 @ 09:00
Du potage avec de la pâte d’amande, je ne savais pas que cela existait. Je n’arrive pas du tout à imaginer le goût de l’ensemble.
Juliette d
25 octobre 2015 @ 13:59
Tout à fait d’accord avec vous Corsica. J’essaie d’imaginer le goût d’un bouillon de poule avec de la pâte d’amande et mon cerveau ne veut rien me répondre…
framboiz07
25 octobre 2015 @ 14:14
Idem , Corsica !
Cosmo
25 octobre 2015 @ 21:09
Moi non plus ! Et je ne crois pas avoir envie de goûter.
Bonne semaine
Cosmo
limaya
26 octobre 2015 @ 10:31
Il me semble que ma mère le liait avec un jaune d’œuf , mais point de pâte d’amande.
Comme vous Zeugma vraiment assez des assiettées multicolores ds lesquelles on ne reconnait rien par la vue , l’odeur ou le goût. Encore une mode qui déferle sur nos restaurants même les meilleurs depuis 25 ans hélas !
Zeugma
25 octobre 2015 @ 10:45
Le supplément du week-end du quotidien français « Le Monde » daté du samedi 24 octobre 2015 consacre un long article titré « La tradition a du bon » sur le retour de la cuisine bourgeoise « parée de mille vertus : nourrissante, conviviale, et même écolo ».
Son seul inconvénient est de demander du temps.
L’article souligne que les clients en ont « marre des serveurs guindés et obséquieux ou, pire, impolis et ignorants. »
Les clients ne veulent plus de « menus dégustation » ils veulent bien manger tout simplement.
On ne reviendra probablement pas à la « grande cuisine française » d’antan riche en beurre et très compliquée.
La jeunesse retrouve avec un plaisir immense les plats traditionnels tels que les oeufs en meurette, la blanquette de veau ou le pot-au-feu dont la saison va commencer vraiment à partir de la Toussaint.
Françoise 2
25 octobre 2015 @ 11:02
roborative la soupe ! une assiette et le repas est terminé mais effectivement la pâte d’amande dans de la soupe? ça doit bien lier la sauce une recette que je ne tenterais pas
Alain Golliot
25 octobre 2015 @ 12:25
Certains haïssent le dimanche, moi c’est le potage…quel qu’il soit…:-)
Juliette
25 octobre 2015 @ 12:57
J’imagine que la pâte d’amande n’est pas sucrée. Même si la gastronomie italienne médiévale était souvent composée de sucré-salé.
Par ailleurs, il me semble voir sur la photo des pistaches, ce qui doit être délicieux et ajouter un bon goût et une texture croquante.
Emmalila
25 octobre 2015 @ 15:27
y ajouter du réglisse et des fraises tagada , pour réhausser le goût et colorer ce plat !!!!!!!!
Elise
25 octobre 2015 @ 16:08
Si Régine me permet ce lien , merci d’avance .
http://www.napoleon.org/fr/magazine/plaisirs_napoleoniens/a_table/files/482291.asp?onglet=0
Corsica
26 octobre 2015 @ 09:30
Élise, merci pour la recette qui nous permet de voir qu’au Premier Empire, ce potage était réalisé avec des amandes écrasées, comme l’ajo blanco ou gaspacho blanc andalou.
Shahmashah
26 octobre 2015 @ 04:00
Potage a la Reine…litteralement ! :D