En 2018, la famille de Vogüe fêtera les 50 ans de l’ouverture au public du château de Vaux-le-Vicomte. Patrice de Vogüe avait pris en effet cette initiative en 1968.
Un demi-siècle plus tard, ses fils (Jean-Charles, Alexandre et Ascanio) poursuivent l’héritage de leur père : le rayonnement du château, sa préservation et son restauration. La plus grande propriété privée classée au titre des Monuments historiques représente un défi financier permanent. Il faut 9 millions d’euros par an pour faire vivre l’ancienne demeure de Nicolas Fouquet. Le samedi 18 mars, ce sera la réouverture au public. La saison pourra commencer. (Copyright photos : G.Gardner/Vaux-le-Vicomte – Merci à Bertrand Meyer)
Silvia
23 février 2018 @ 05:47
Ce château est une pure. Merveille.bon vendredi a. Tous
DEB
23 février 2018 @ 06:08
Chapeau ? à ces 3 frères et à leur père !
Antoine
23 février 2018 @ 10:56
A mon avis un des plus beaux châteaux de France. Décors intérieurs somptueux et admirablement meublé. Puisse t-il rester longtemps propriété d’une famille aristocratique parmi les quatre-vingt plus anciennes de France (extraction chevaleresque, 1256).
monica
28 février 2018 @ 19:10
Antoine vous avez raison. J ai été moi aussi très éblouie par sa beaute
Pierre-Yves
23 février 2018 @ 11:24
Les frères Vogüe multiplient les évenements, animations et initiatives pour rapporter de l’argent à Vaux. Ils ont raison. Même si parfois, on n’est pas loin de trouver que le mercantilisme est un peu trop présent, ils se démènent et font tout pour que Vaux garde son prestige. Ils ne le font pas pour s’enrichir, mais pour maintenir le domaine, qu’ils aiment profondément.
Martine un
23 février 2018 @ 13:43
Il faut avoir une bonne carte bancaire si on est plusieurs… Sans parler les interruptions de visite pour des photos de mariage ….
Malheureusement le site est un peu lointain en transports en commun,
Si certains prévoyait une visite prendre le billet la veille avec internet il y a des réductions et prévoir la journée complète pour se promener dans les jardins
Leonor
23 février 2018 @ 14:06
Bravo.
Donc, il faut espérer, pour Vaux, que les trois frères continuent à s’entendre.
PS : Ne voyez aucune insinuation malveillante dans ce souhait. Je ne sais rien des trois frères. Mais quand on sait ce qui se passe parfois dans les familles … Non. Ici, c’est vraiment un souhait.
Kalistéa
25 février 2018 @ 18:48
Ils n’ont qu’à faire comme le dernier propriétaire d’une autre famille avant eux cher P-Y .Les Choiseul-Praslin .! Le duc Théobald pour pouvoir restaurer son château épousa une héritière richissime , la fille unique du maréchal Sébastiani. Celui-ci général d’Empire puis ambassadeur auprès de la Sublime porte sous Louis-Philippe dont il devint l’ami et qui le fit maréchal de France , donna à sa fille une fabuleuse dot. Les époux s’aimèrent au point de faire dix enfants en treize ans puis le sinistre duc et pair du royaume se mit à détester sa femme et à la délaisser.Elle aimait Vaux mais il l’empêchait d’y séjourner .Quand elle voulut divorcer et lui reprendre sa dot dont il avait bien besoin pour ses travaux de restauration , il la larda d’une trentaine de coups de couteaux .Un fait divers qui fit chanceler le trône de Louis-Philippe .cet homme , ni beau ni intelligent se croyait à l’abri des soupçons étant duc et pair .
Notre amie Palatine , trop discrète en ce moment a écrit une chronique fort savoureuse sur cette célèbre affaire : « l’affaire Praslin » .
Claude-Patricia
23 février 2018 @ 12:52
J’aimerai bien le visiter, à la tv il est magnifique et la famille déborde d’inventivité pour le rendre attractif. Bravo!!
Esquiline
23 février 2018 @ 13:00
Ascanio, magnifique prénom qui évoque les grandes épopées du passé, de la chute de Troie à la fondation de Rome.
Caroline
23 février 2018 @ 13:40
Bravo pour leur sens des affaires pour la preservation de leur beau chateau familial !
Mayg
23 février 2018 @ 14:17
9 millions d’euros par an pour entretenir le château ? Et bien dit donc…
Ghislaine-Perrynn
23 février 2018 @ 15:54
Bravo Messieurs .
Vous êtes les dignes descendants de celui qui un jour alors que prisonnier en teutonie prit la décision de s’évader, il le fit en compagnie de l’un de mes cousins . Leur cavale réussit . Ils restèrent en relation toute leur vie .
Esprit de décision , esprit de chevalerie .
Bon sang ne peut mentir .
AnneLise
25 février 2018 @ 14:18
Etait-ce Robert-Jean ou Bertrand de Vogüe ?
Danielle.
23 février 2018 @ 16:10
Félicitations à cette famille pour l’entretien de ce très beau château.
ciboulette
23 février 2018 @ 18:07
Je suis tombée amoureuse de ce château et de ses jardins .
Respect à la famille de Vogüe qui non seulement l’entretient magnifiquement , mais l’ouvre au public .
A l’avant du château , très intéressante visite sur les équipages .
JAusten
23 février 2018 @ 18:31
Je leur souhaite de belles saisons à venir, c’est un magnifique château.
Gérard
23 février 2018 @ 19:27
Les jeunes Vogüé ont également de la branche bien sûr du côté maternel, leur mère étant comme on le sait la flamboyante donna Maria Cristina Colonna, noble des princes de Paliano, de la branche des princes de Summonte, fille de don Guido, qui fut commissaire européen, et de Tatiana Conus, elle-même fille du compositeur russe Jules Conus, d’origine lorraine, et de la princesse Maria Alexandrovna Lieven.
Leur père, le comte Patrice est arrière-petit-fils du comte Melchior de Vogüé, le grand archéologue, si érudit sur la Terre Sainte et académicien français.
desalleurs
23 février 2018 @ 20:06
Oui Antoine mais les Vogüé tiennent Vaux par héritage du sucrier Edme Sommier d’ailleurs existe-t-il actuellement une seule famille de la haute noblesse qui « tienne encore la route financièrement » sans avoir été remise sérieusement en selle par une alliance bourgeoise ?
Goélette
26 février 2018 @ 10:18
« sommier » , cela évoque de belles siestes …tous les « beaux noms ont leur côté ridicule (et je ne parle pas de « conus » )
claudie
23 février 2018 @ 20:43
Lorsque j’étais jeune j’avais lu un article qui m’avait beaucoup impressionné le marquis et la marquise de Vogue se séparait elle pour rentrer au couvent et lui chez les frères. Je pense que cela doit être les arrières grands parents des 3 frères!
Maria
23 février 2018 @ 21:53
Complimenti
Michèle Lobre
23 février 2018 @ 23:12
C’est un vœu pieux mais on peut rêver : puisse le château de Robien qui est magnifique (comme beaucoup d’autres ds la même situation) trouver un acquéreur qui ait le courage et les compétences qu’ont les fils de Vogue pour l’entretenir.
marianne
24 février 2018 @ 06:55
Quelle est la prononciation de Vogüe ? Merci !
Lara
24 février 2018 @ 12:14
Ça se prononce « de Vogue » comme le magazine, il y a un membre de cette famille qui est dans la même université que moi, et on prononce tous son nom de famille de cette manière.
Le château est un très beaux monuments français.
Lara
24 février 2018 @ 12:25
Un très beau monument*
Francois
24 février 2018 @ 14:38
Lorsqu’il y a un tréma sur le u
On prononce le u
C’est donc vogUé
Et non vogue
Baia
25 février 2018 @ 16:24
Oui vous avez raison François.
Gérard
24 février 2018 @ 11:25
Le nom se prononce exactement comme il est écrit en tenant compte du tréma et en prononçant le e comme un é, en général le nom s’écrit avec un accent aigu pour le village de l’Ardèche comme pour la famille qui vient de ce village. Le village et la famille portent les mêmes armoiries : d’azur au coq d’or, crêté et barbé de gueules.
Nat
24 février 2018 @ 18:57
Magnifique lieu à visiter. Mes enfants ont visité l’intérieur en costume d’époque, ils en étaient ravis. Compter une journée pour profiter de l’ensemble du site.
Laurent
24 février 2018 @ 19:56
Se prononce comme cela s’écrit
Vo gu et
val
26 février 2018 @ 09:56
J’ai eu la chance d’habiter pas très loin et j’y allais très souvent pour réviser mon bac dans les jardins qui a l’époque n’étaient pas payants !! une merveille et ces 3 garçons font un travaille remarquable , avec des difficultés incroyables , pour avoir vu l’un d’entre eux dans un séminaire sur la transmission familliale , avec d’autres grands noms de famille , rien n’est jamais gagné .