Au siège de l’Ordre de Malte à Paris, le duc et la duchesse d’Anjou ont assisté samedi à la présentation du livre « État Présent de la Maison de Bourbon« .
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127 Comments
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21 septembre 2021 @ 07:41
Était présente aussi la famille Pinoteau, ainsi qu’une centaine de fidèles.
Il y a 35 ans, c’était le duc d’Anjou et de Cadix qui était venu à Paris à l’hôtel de Massa pour célébrer la parution de la 3e édition de l’État présent.
Son fils dans son allocution pour cette 6e édition, a d’ores et déjà donné rendez-vous aux légitimistes pour la 7e édition, dans quelques années. Le Prince a félicité les talentueux auteurs, au premier rang desquels Christian Papet-Vauban, qui a repris le flambeau du baron Pinoteau. Monseigneur a précisé que le duc de Séville devait aussi être présent mais qu’un contretemps de dernière minute l’en avait empêché. Et que le duc de Parme avait envoyé au Prince un sympathique message.
Il est bien évident que de nombreux Capétiens reconnaissent le duc d’Anjou comme chef de la Maison de France, contrairement à ce que la lourdingue propagande orléanolâtre voudrait faire croire.
La présence ces 18 et 19 septembre de Madame la duchesse d’Anjou au côté de son auguste époux a enchanté les légitimistes, ravis de retrouver la première dame de France sur la terre des Lys.
21 septembre 2021 @ 12:12
» Auguste époux » ! Dans quel siècle vivons nous ? Là !
22 septembre 2021 @ 14:37
😉😄😃oui Silvia ! Tout ceci est risible à souhait .
Les Orléans, les Anjou et tous leurs fidèles sont complètement hors-sol .
23 septembre 2021 @ 08:14
Il est bien normal de parler d’auguste époux s’agissant du chef de la Maison de France, quel que soit le siècle !
En revanche, les réflexions antédiluviennes de certain(e)s au sujet de mains dans les poches ou de longueur de jupe sont d’un grotesque ! C’est à ces commentateurs-là que vous devriez demander dans quel siècle ils vivent !
23 septembre 2021 @ 15:42
Il faut être raisonnable et logique . L’auguste épouse doit se tenir correctement. Un peu de tenue dans cette famille illustrissime serait fort appréciée. Les mains dans les poches trahissent ses origines et son manque d’éducation. En grattant un peu exit la Marie Madeleine de Vargas, sous le vernis la margarita Vargas est toujours là . Remarquez on la comprend un peu, ce n’est pas sa belle mère qui a pu lui donner des cours de maintien.pour mémoire, la fameuse créature en question qui elle n’a pas pu mettre ses mains dans les poches faute de place: https://www.google.fr/amp/s/www.periodistadigital.com/gente/20130907/inquieta-carmen-martinez-bordiu-divorcia-jose-campos-le-deja-puesto-noticia-689402008203/amp
24 septembre 2021 @ 04:43
Eh bien Lili
Voilà de bien tristes propos qui sortent de votre coeur :
« Les mains dans les poches trahissent ses origines et son manque d’éducation »
« exit la Marie Madeleine de Vargas, sous le vernis la margarita Vargas est toujours là »
Quelle hauteur ! Quelle condescendance !
Cela ne fait pas honneur à votre éducation, si vous êtes issue d’une ancienne maison ou si vous êtes une bourgeoise.
Vous semblez aussi intraitable concernant les femmes divorcées et remariées. Vous me direz, elles ne sont pas forcément suivies par la presse, mais si vous les jugez avec si peu d’indulgence, à moins d’avoir une bonne dose d’hypocrisie, vous ne devez sûrement pas beaucoup d’amies…
Laissez moi vous dire une chose, réfléchissez-y à tête reposée : il n’est pas facile pour beaucoup de femmes et d’hommes (divorcés ou non) de retrouver une personne pour une union qui dure jusqu’à la mort. Les gens ont des faiblesses et dans la société actuelle, l’on est aussi désorienté.
Vous devez avoir une grande force d’âme et de caractère, mais cela n’est pas donné à tout le monde.
24 septembre 2021 @ 10:51
Oh Jul, Lili et Anna sont plutôt du genre harengères. Leur manière ne s’exprimer n’a jamais dépassé le sol fangeux.
25 septembre 2021 @ 12:46
Je ne vois pas de mains dans les poches moi , juste son manteau qu’elle porte !
2 octobre 2021 @ 19:23
Le temps des alfonsolatres…
21 septembre 2021 @ 13:48
« Première dame de France », quelle bonne blague, il doit s’agir de Brigitte de Borbon y Macron??
22 septembre 2021 @ 17:08
Dagobert , on est dans le roman de la Momie , là !
22 septembre 2021 @ 19:59
Excellent.
23 septembre 2021 @ 08:18
Par définition, l’épouse du chef de la Maison de France est la première dame de France, reine de France « de jure ».
Quant à l’épouse NON ÉLUE du président de la République, elle n’est absolument personne institutionnellement. On élit le président, pas toute sa famille. Sa femme n’a pas plus de statut étatique que son père ou sa mère.
25 septembre 2021 @ 18:41
Ah Sigismond
On aura tout lu
C’est vous qui êtes obligé de rappeler cela à certains…
Très bonne leçon de fonctionnement de la République par un spécialiste des lois fondamentales du royaume de France.
26 septembre 2021 @ 08:30
Merci Jul
23 septembre 2021 @ 09:36
Très amusant Dagobert !
21 septembre 2021 @ 16:50
» lourdingue propagande orléanolâtre ».
La vôtre, de propagande, est aérienne , à la manière d’un tapis volant qui mène vers des univers enchanteurs peuplés de créatures merveilleuses…Vous vivez en plein rêve; Tant mieux pour vous!
Orléanistes, légitimistes et autres factions royalistes qui se chicanent ici : Vous êtes tous aussi convaincants (ou convaincus?) dans le rôle du ravi.
21 septembre 2021 @ 17:12
Pour le coup Sigismond c’est vous qui paraissez lourdingue.
Les liens de famille et d’amitié que l’on cultive entre familles royales ou ducales ne sont guère des liens d’adhésion.
21 septembre 2021 @ 18:27
Luis Alfonso Puigmoltó, le chef des Capétiens? Vous plaisantez?
https://www.abc.es/espana/20150505/abci-alfonso-paternidad-misterio-201505041947.html
22 septembre 2021 @ 13:28
Et même sans cela, il n’est pas l’aîné des Capétiens. D’autres Bourbon existent avant lui, dans la descendance capétienne.
23 septembre 2021 @ 08:20
Vous serez aimable de nous fournir le test ADN démontrant vos assertions. Dans le cas contraire, ce ne sont que d’immondes ragots.
23 septembre 2021 @ 15:43
Sortez les mouchoirs!!!
25 septembre 2021 @ 21:37
Comment voulez-vous que ce test ADN se fasse, le roi François d’Assise et M. Puigmolto étant décédés depuis bien longtemps.
26 septembre 2021 @ 08:16
Ce n’est pas du tout un empêchement. L’ADN capétien est connu.
26 septembre 2021 @ 12:34
L’ADN est un matériel qui varie, alors oui celui des Capétiens est connu mais non, il n’est pas aussi simple que cela d’aller prendre des brins sur le premier capétien venu, pour le comparer à celui de Louis Alphonse. C’est plus compliqué que cela et heureusement, car si cela avait été simple, de grosses et irréparables erreurs auraient été commises.
22 septembre 2021 @ 13:26
Sans défendre les partisans de Jean d’Orléans, si leur propagande est lourdingue, la votre est particulièrement et extrêmement lourdingue.
22 septembre 2021 @ 14:41
Les lys sont fanés depuis longtemps… quant à la première dame de France elle vit à l’Élysée pas à Madrid et elle ne se contente pas d’un passage éclair de quelques heures tous les deux ans.
21 septembre 2021 @ 08:20
Un beau couple !
21 septembre 2021 @ 15:32
Au moins avec cette photo « mains dans les poches ou pas » la question est réglée !
Ouf ! une bonne chose de faite !
21 septembre 2021 @ 08:23
Que des Bourbon-parme. Et ça leur amène quoi au juste ? N’ont- ils pas leur propre dynastie à promouvoir ?
21 septembre 2021 @ 21:18
Quitte à prétendre à une succession improbable, autant un royaume qu’un petit duché !
23 septembre 2021 @ 08:25
Ça les amène à être fidèles à leur chef de famille, ce qui est d’une très grande noblesse morale.
Et S.A.R. Mgr le prince Axel de Bourbon avait d’ailleurs en août 1989 été offensé par un esclandre orchestré par les sbires d’une duchesse d’Orléans très imbue d’elle-même.
23 septembre 2021 @ 12:23
Vous n’en êtes toujours pas remis depuis 1989? Respirez un bon coup
Ça va passer
23 septembre 2021 @ 13:55
Certains ne savent pas vivre mais Madame n’en fut pas offusquée.
26 septembre 2021 @ 10:45
Il n’eût plus manqué que cette hypercadette fût offusquée !
2 octobre 2021 @ 19:32
Sigismond parfois vous dépassez vraiment les blagues de potaches.
On ne peut même pas vous défier en duel pour l’honneur de Madame.
Même Henri V qui n’était pas révolutionnaire, même la comtesse de Chambord savaient qu’on ne pouvait revenir sur des serments sur les saints Évangiles.
3 octobre 2021 @ 10:46
Vous êtes difficile à comprendre, Gérard. Votre princesse et sa parentèle, ou tout du moins leurs zélés affidés, ont obtenu satisfaction ce jour-là, en obtenant pour eux les premières places. De quoi vous plaignez-vous donc ?
Pour ma part, j’avais été très choqué comme tous les légitimistes de l’époque, de la grande offense faite au duc d’Aquitaine et au prince Axel, que les conjurés avaient voulu reléguer, l’un au bout du rang, et l’autre nulle part puisque aucune place ne lui était assignée par les orléanolâtres. Bien évidemment, les deux princes qui devaient en toute Légitimité, l’un présider la cérémonie, l’autre être placé immédiatement après son cousin fils de France, ne pouvaient accepter d’être ainsi insultés et à travers eux, leur chef de famille le prince Louis, duc d’Anjou.
Par ailleurs, Henri V et son épouse savaient bien que la renonciation de Philippe V était absolument nulle en Droit, comme l’intéressé lui-même l’avait déclaré.
21 septembre 2021 @ 09:17
La duchesse d’Anjou est toujours impeccable, fine et élégante.
21 septembre 2021 @ 10:33
Ils présentent largement aussi bien que les Orléans, je trouve. Quant à la légitimité des uns et des autres, pour moi, c’est blanc bonnet et bonnet blanc.
22 septembre 2021 @ 10:14
Oui Aber : De la fantaisie. Mais une fantaisie qui leur permet d’exister. C’est pourquoi ils se prêtent à ce genre de choses. Après tout… ils ne doivent pas avoir grand chose à faire !
22 septembre 2021 @ 17:11
Ils espèrent , l’un et l’autre , être le Grand Monarque . . .ce ne sera ni l’un , ni l’autre , je le vois plutôt comme un homme providentiel comme nous en avons connu , le moment venu . . .
21 septembre 2021 @ 11:17
Oh! Harry de Sucette est venu assister à la sortie de cet ouvrage majeur! (à droite) Sa Majesté devait être aux anges!
21 septembre 2021 @ 11:55
Oui oui je l ai vu aussi 😂
21 septembre 2021 @ 12:09
C’est d’autant plus sympa de sa part qu’il ne parle ni ne lit le français et que Bourbon n’évoque pour lui qu’un alcool américain. Il pensait peut-être que c’était l’ouverture d’un bar.
22 septembre 2021 @ 13:36
L’ouverture d’un bar, c’est sans doute cela! 😄
22 septembre 2021 @ 14:40
Cosmo 👍
22 septembre 2021 @ 17:12
Ah Ah ! Cosmo , vous êtes impayable , mais vous avez sans doute raison !
21 septembre 2021 @ 13:14
Merci pour l’éclat de rire Karabakh !
Harry de Sucette j’adore … 😂😂🍭🍭
22 septembre 2021 @ 13:36
Vous me connaissez, je suis resté soft & smart. 😇
22 septembre 2021 @ 14:40
C’est bon , c’est vrai !
22 septembre 2021 @ 13:57
Karabakh,Cosmo 😄😁
21 septembre 2021 @ 11:51
On s’amuse, là. Décalé au possible.
21 septembre 2021 @ 13:15
Ne pas oublier que les Orléans sont des Boutbon. Le Comte de Paris est aussi un descendant de Louis XIII et héritier des droits à la couronne de France, suite à la décision de Louis XIV et à la condition acceptée par Philippe V qui devenait espagnol et fondait l’actuelle branche régnante, décision reconnue par le Comte de Chambord sans héritier. En-dehors même de ces considérations historiques avérées mais que certains préfèrent ignorer, je préfèrerai toujours le Comte de Paris au petit-fils de Franco, époux de la fille du multi-milliardaire vénézuélien Vargas, corrompu et compromis avec la dictature de Chavez qui a fait sa fortune. C’est cette fortune douteuse qui fait vivre dans le luxe Luis de Borbon y Martinez Bordiu.
Quant au titre de duc d’Anjou, Philippe V ne l’avait pas emporté dans sa valise. Il est lié à la France a été reattribué ensuite à plusieurs reprises par le Roi. Les descendants du roi d’Espagne Philippe V n’ont en théorie pas droit à ce titre.
23 septembre 2021 @ 08:37
L’héritier des droits à la couronne de France est le duc d’Anjou, dont l’ancêtre Philippe V avait déclaré nulle en 1728 (lettre de Philippe V au parlement de Paris) la renonciation qu’il avait été forcé de faire en 1712 (condition de paix imposée par l’usurpatrice Anne Stuart). Le comte de Chambord n’a JAMAIS reconnu les Orléans pour héritiers. Tout au contraire, il a désigné son légitime successeur, son plus proche cousin, le prince Jean de Bourbon, comte de Montizón, Jean III, pour présider ses obsèques et porter son collier de l’ordre du Saint-Esprit, dont le prince Jean devenait le grand maître, et dont est aujourd’hui grand maître le duc d’Anjou.
Le duc d’Anjou étant chef de la Maison de France, il a toute latitude pour choisir le titre d’attente qu’il souhaite porter. Il a choisi celui de duc d’Anjou précisément en hommage à son ancêtre Philippe V.
Les Orléans sont des Capétiens mais pas des Bourbons. Le nom de Bourbon leur a été refusé à juste titre par la Cour de cassation.
23 septembre 2021 @ 12:25
Ça c est dans votre imaginaire ! La réalité est bien différente mais puisque vous vous vautrez avec passion dans cet argumentaire périmé ….on vous accorde votre petite récréation
23 septembre 2021 @ 17:09
les tribunaux français qui reconnaissent l’usage du titre de duc d’Anjou à la branche aîné ont certainement plus d’argumentaire et d’autorité que vos bêlements hargneux orléanistes qui valent pas plus qu’un pet de chèvre !
23 septembre 2021 @ 22:12
Non , les tribunaux français ne reconnaissent pas l’usage du titre de duc d’Anjou, ils disent, en clair, qu’ils s’en moquent.
23 septembre 2021 @ 13:58
Henri V et son épouse n’ont pas attenté à l’ordre de succession qui désignait le comte de Paris.
2 octobre 2021 @ 19:41
Sigismond vous écrivez n’importe quoi, la juridiction concernée a estimé que si les Orléans sont bien évidemment des Bourbons ils ne peuvent revendiquer ce nom de Bourbon depuis trop longtemps abandonné dans la famille. C’est une jurisprudence constante d’ailleurs.
3 octobre 2021 @ 10:36
Les Orléans descendent bel et bien en ligne agnatique d’Antoine de Bourbon, roi de Navarre, mais ils ne sont pas des Bourbons au sens patronymique, nous sommes donc d’accord Gérard.
26 septembre 2021 @ 09:21
Mais Alice , que faites vous du « droit d’ânesse »? c’est l’unique logique de tout ce carnaval .
21 septembre 2021 @ 13:30
De quoi parle au juste cet état ?
22 septembre 2021 @ 12:30
Qui est qui ? Histoire de ne pas se tromper quand on en rencontre un. Et où, histoire de les trouver.
22 septembre 2021 @ 13:41
C’est un ouvrage généalogique, partant de Robert de Clermont (en faisant allusion aux premiers seigneurs de Bourbon) et arrivant aux actuels représentant de cette maison. Un ouvrage qui est d’ores et déjà caduc en raison du dernier décès dans la famille de Parme.
22 septembre 2021 @ 13:43
Bien sûr, ouvrage mensonger si l’on considère que Louis-Alphonse ne descend pas réellement de François d’Assise de Bourbon, « époux » d’Isabelle II.
23 septembre 2021 @ 17:10
selon la théorie orléaniste…et donc idem pour les orléans dont la légitimité est tout autant contestable que leurs ragots !
25 septembre 2021 @ 21:39
Oui, la question se pose des deux côtés.
2 octobre 2021 @ 19:42
D’un côté il y a des ragots d’office tandis que de l’autre côté il y avait un sérieux problème médical.
23 septembre 2021 @ 09:57
Il s’agit de la présentation mise à jour de tous les princes et princesses actuels (environ 200) de la Maison de France, c’est-à-dire de tous les descendants agnatiques de Hugues Capet par voie légitime (continuité ininterrompue de mariages catholiques à chaque génération depuis Hugues Capet). Chaque dynaste est présenté avec ses titres reconnus par le duc d’Anjou. Des notices historiques présentent la dynastie et chacune de ses branches actuelles. Le livre est préfacé par le duc d’Anjou.
23 septembre 2021 @ 12:26
Ah oui donc luis Alfonso n’y figure pas donc?
23 septembre 2021 @ 16:12
A votre avis … ?
25 septembre 2021 @ 21:41
Les Bourbon-Busset n’y figurent pas?
Solution de facilité pour faire oublier que Louis Alphonse n’est pas réellement l’aîné des capétiens (notion simple qui se moque bien de la légitimité).
26 septembre 2021 @ 08:13
Bien sûr qu’ils n’y figurent pas puisqu’ils descendent du fils bâtard d’un évêque. L’aîné des Capétiens, cette notion s’entend hors branches bâtardes évidemment. L’aîné, c’est le chef de nom et d’armes. C’est bien pour cela qu’Henri IV est monté sur le trône de France en 1589 et non un Busset !
26 septembre 2021 @ 08:19
Il me semble qu’il n’était pas évêque quand il engendra ce fils?
Et les Busset semblent avoir toujours eu leur place dans le ”meilleur monde” , étonnant pour des ”fils d’évêque ”.
26 septembre 2021 @ 10:57
La question n’est pas qu’il fût évêque mais qu’il ne se mariât pas avec la mère de ses bâtards. Mère inconnue, pas de mariage, les enfants qui se tiennent pour bâtards, la branche qui porte un pal (signe héraldique) de bâtardise dans ses armes, que vous faut-il de plus ? Et ils n’ont pas succédé à Henri III en 1589.
26 septembre 2021 @ 12:43
Vous pouvez nommer les concernés, cela ne vous mènera pas dans les fossés de Vincennes. Louis de Bourbon était évêque lorsqu’il engendra naturellement Pierre, baron de Busset mais l’aînesse d’une lignée n’est pas conditionnée par la naissance naturelle ou légitime ; c’est le « sang » qui compte et donc, les aînés des Bourbons (depuis 1744) et de tous les Capétiens (depuis 1886), sont bien les Bourbon-Busset.
L’ADN, la lignée agnatique… il faudrait prendre quelques cours car tout cela n’est pas bien acquis.
21 septembre 2021 @ 17:49
Reprenant la phrase de ABER « Quant à la légitimité des uns et des autres, pour moi, c’est blanc bonnet et bonnet blanc » C’est exactement ce que je pense……Il ne vit pas en France, ses enfants sont nés hors de France..et j’en passe……et on parle de la première dame de France et de chefferie de la Maison de France……
22 septembre 2021 @ 20:16
Je voulais mettre en parallèle les Bourbons et les Orléans… Même combat de moulins à vent, ou plutôt d’églises dans leur cas.
23 septembre 2021 @ 16:14
Je pense qu’ils sont l’un et l’autre légitimes , ou pas…
Tout dépend du point de vue dont on examine la question et elle est très débattue içi.
Les Orléans d’un point de vue juridique , jurisprudentiel plutôt peut-être , et politique .
Les Bourbons d’Espagne d’un point de vue plus métaphysique et affectif .
Il y a aussi celles et ceux qui se déterminent en fonction de traditions familiales et d’attachements personnels .
Mais je me demande ce que représentait le légitimisme en France après la mort du comte de Chambord et avant sa renaissance un peu fortuite …?
Et puis il y a toujours le charme discret de la nostalgie …
C’est bien au fond d’avoir une cause à défendre et pour laquelle se battre.
Il y a sans doute encore quelques authentiques partisans des Stuart pour la gloire et après tout ils n’ont peut être pas tout à fait tort.
La prétendante future est je crois une fille du Grand-Duc du Luxembourg , bon vis à vis des Ecossais ce n’est pas gagné mais avec les rumeurs de partition de l’Ecosse il y aura peut-être une carte à jouer?
23 septembre 2021 @ 17:11
ils sont nés où les Orléans au fait ?
26 septembre 2021 @ 08:59
Certains Orléans ont pu naître à l’étranger du fait du bannissement qui était imposé au chef de la maison de France et à son héritier. Les Bourbons d’Espagne pouvaient bien eux résider en France.
26 septembre 2021 @ 16:27
Légalement, aux termes très exacts de la loi de 1886, le chef de la Maison de France et d’Espagne, aîné des Capétiens et des Bourbons, et aussi son fils aîné, n’avaient pas le droit de résider en France entre 1886 et 1950. En pratique cependant, la République toléra la présence du prince Jacques de Bourbon, duc d’Anjou et de Madrid, entre 1887 et 1931, et de son oncle et successeur entre 1931 et 1936, Princes dont le petit nombre de partisans français ne représentait aucun souci pour la 3e République, qui avait d’autres chats à fouetter avec l’Action française orléaniste.
2 octobre 2021 @ 19:48
La loi d’exil ne concernait pas les aînés des Bourbons qui d’ailleurs n’étaient pas français et qui sont restés en France pour certains.
On s’en méfiait d’autant moins qu’ils n’avaient pratiquement pas de partisans.
Mais combien même, mettre à la porte un étranger n’était pas si difficile qu’exiler un français.
3 octobre 2021 @ 11:04
Avez-vous lu la loi, Gérard ? Elle parlait sans les citer nommément des chefs des familles ayant régné en France et de leur héritier direct (autrement dit leur fils aîné) et sans s’occuper de savoir s’ils étaient français ou non. Cela incluait donc bien évidemment le chef des Orléans et le chef des Bonaparte, mais aussi bien sûr le chef des Bourbons : le prince Jean, comte de Montizón, et son fils aîné le duc de Madrid.
21 septembre 2021 @ 22:03
Ma foto di tutti gli altri non ce né sono mai?Non è un messaggio per Régine , è perché alcuni li si vede sempre ,gli altri ,anche se ci sono sembra non vengano visti! Traduco con google:Mais il n’y a jamais de photos de toutes les autres ?Ce n’est pas un message pour Régine, c’est parce que certaines sont toujours vues, d’autres, même s’il y en a, on dirait qu’elles ne sont pas vues ! Je traduis avec Google
23 septembre 2021 @ 09:40
Qual sono gli altri , Maria?
23 septembre 2021 @ 22:52
Sono elencati nell’ articolo.,ma a parte questi è difficile trovare foto di questi principi ,principesse meno conosciuti ,un po’ da tutte le parti in internet ,almeno per me! Traduco con google:Elles sont répertoriées dans l’article., Mais à part celles-ci il est difficile de trouver des photos de ces princes, princesses moins connues, partout sur internet, du moins pour moi ! Je traduis avec Google
22 septembre 2021 @ 07:27
Sur le mariage et les enfants d’ Isabelle II
Extrait du journal d’Edmond de Goncourt (1822-1896) à la date du dimanche 08 novembre 1874 :
« …Aujourd’hui, elle [la princesse Mathilde (1820-1904)] cause de la reine d’Espagne [Isabelle II (1830-1904)] et de sa nuit de noces qu’elle tient de la bouche de la royale mariée. Comme elle lui demandait comment elle avait épousé ce carliste, cet homme si laid, la reine d’Espagne lui répondit : « Non ; la tête n’est pas laide et puis, que voulez-vous ? ma mère m’avait dit : « Epouse-le et puis après tu feras ce que tu voudras ! « En Espagne, dans les noces royales, vous saurez que la reine attend son mari en chemise de soie blanche, en chaperon de satin et de fleurs d’oranger et le roi est introduit dans une grande robe de chambre de satin blanc. Il se couche et les premières paroles qu’il a de moi , quand il est à mes côtés, sont : « Je vous méprise et je vous déteste !
– Ca m’est égal, je suis tout de même roi d’Espagne reprend mon mari «
Là-dessus pour retarder le moment de son amour, elle sonne et se fait apporter à souper, mettant les petits os et les restes de son côté. Mais il ronflait déjà. … »En Espagne, c’est l’usage que la faculté vienne tâter, le pouls du mari et de la mariée. Ils étaient sept. Je disais en moi-même :« Tâtez, allez, tâtez !.. »
A ce moment, reprend la princesse, je lui demandai : « Enfin est-ce un homme que votre mari ? – Oui, répondit-elle, mais un homme resté à l’état d’un enfant de six ans en sorte qu’il est naturellement la maîtresse de vrais hommes.. » Et comme elle voyait percer mon étonnement de ce qu’il acceptait des enfants qui n’étaient pas de lui, la reine d’Espagne ajouta : « Il recevait 500 000 francs pour un garçon , 200 000 francs pour une fille «
Et la princesse s’est mis à peindre cette Bourbon, un mélange de grâce, de grandeur, de générosité, d’esprit naturel et de dévergondage…La princesse raconte encore que l’empereur était [prisonnier] à Wilhelmshöhe, la reine d’Espagne lui a envoyé l’état de ses biens en lui en offrant la moitié. Figure bizarre, que celle de cette Bourbon, où la dégradation garde quelque chose d’une grande race «
22 septembre 2021 @ 10:22
Passionnant !
Du coup, l’état de la maison de Bourbon est bien terni !
Ceci dit, la pauvre reine mal mariée a bien fait de ne pas se laisser…démoraliser, même si la morale en a souffert 😉!
24 septembre 2021 @ 10:53
Mary, je n’ai pas de conseil à vous donner mais je ne tiendrais aucun compte de cette accumulation de ragots compilés par un pauvre orléaniste plein de dépit. Un ensemble de médisances ne fait pas une preuve.
2 octobre 2021 @ 19:50
Méfiez-vous des phrases qu’on pourrait vous resservir Naucratis.
22 septembre 2021 @ 11:54
Merci pour cet extrait. Un article en espagnol du journal ABC qui n’est pas connu pour être progressiste:
https://www.abc.es/espana/20150505/abci-alfonso-paternidad-misterio-201505041947.html
22 septembre 2021 @ 07:33
Sur les enfants d’Isabelle II
Je vais citer Audouin , dans un message du 11 06 2008 sur Royauté2 :
» Nous en resterons là après que je vous aurai dit que la question de la postérité d’Isabel II ne relève ni de « ragots » ni « d’allusions gratuites » mais a fait l’objet d’innombrables dépêches diplomatiques conservées dans les archives des Chancelleries et, de la part d’éminents historiens, d’ études les plus approfondies et les plus minutieuses. L’une des plus récentes a pour auteur le professeur d’histoire de l’université de Madrid, Ricardo de la Cierva y Haces, ancien ministre d’Adolfo Suarez. Lui non plus n’était pas là pour « tenir la chandelle », comme vous le dites si élégamment.
Il a effectué un travail de fourmi en rapprochant des dates, des lieux, des faits, les séjours de la reine, ses relations masculines etc..Il a dressé la liste des douze accouchements et fausses couches de la souveraine avec en regard le nom du géniteur. Il en est arrivé à la conclusion que le père biologique d’Alfonso XII ne pouvait être que Puig y Molto.D’où le surnom affectueux donné à ce roi par ses sujets: »Puigmoltejo ».
D’autre part, La Cierva a attribué la paternité des trois dernières filles d’Isabel II: Pilar, Paz et Eulalia à Miguel Tenorio, amant de la reine pendant sept ans, de 1859 à 1866
Savez-vous où Tenorio a fini sa vie? Au château de Nymphenbourg,chez sa fille l’infante Paz, devenue princesse royale de Bavière…Elle savait très bien, elle, qui était son vrai père… »
22 septembre 2021 @ 07:39
Sur la paternité des enfants d’Isabelle II :
In Pierre de Luz, Isabelle II 1934 page 171 :
« Le 12 07 1850, Isabelle II met au monde le premier de ses 10 enfants, Ferdinand prince des Asturies, qui a juste le temps d’être ondoyé avant de mourir.
Pendant trois jours la dépouille mortelle de l’enfant royal est exposée dans un salon du palais , où défile 40 000 personnes, avant d’être transportée à
l’Escurial, précédée de troupes de toutes les armes, suivie du patriarche des Indes et de la grandesse.
Notre nouvel ambassadeur à Madrid, M.de Bourgoing, note sans curiosité que François d’Assise a fait mouler en plâtre et en cire le corps du prince des Asturies, chargé Madrazo et Gutierrez de la Vega de faire le portrait de cet enfant qui a vécu à peine une heure. Un enfant au moment de sa naissance, ressemble parfois d’une façon frappante à l’un de ses parents. Le roi consort n’ignore pas cette particularité. Si l’enfant ne ressemble pas à Isabelle, à qui ressemble-t-il ? Ainsi François console-t-il sa déception par la perspective de quelque vengeance raffinée, car si cet homme étrange accepte très facilement de couvrir la paternité d’un autre, il ne veut pas que cet autre soit un Serrano, un Bedmar, un homme qui s’est moqué de lui »
22 septembre 2021 @ 07:43
Voilà extrait d’un rapport de l’ambassadeur de France TURGOT au ministre des Affaires Etrangères WALEWSKI :
» Je n’hésite pas à placer au premier rang de ceux qui veulent renverser la Reine, Le Roi François d’Assise son mari; la peine qu’il ressent des injures dont il a accepté le prix , faute de courage pour s’en venger domine tout chez ce prince…..
……La nouvelle de la grossesse de la Reine est venu raviver les instincts vindicatifs du Roi »
C’est une dépêche du 29 07 1857 …..Isabelle II était alors enceinte de Alphonse XII né le 28 11 1857 qui n’était donc pas de François d’Assise, ni celui là ni les autres
22 septembre 2021 @ 07:45
sur François de Paul :
Pour François de Paul, ainsi d’ailleurs que pour sa soeur Marie Isabelle, future reine des Deux Siciles, la paternité de Godoy circula dès la naissance de ces deux infants !
Cette illégitimité fut même évoquée par des légitimistes !
Par exemple je rappellerai que selon le baron Pinoteau, Alphonse XIII avait songé à éditer un annuaire de la Maison de Bourbon en 1940 sous la direction d’Henri Charles comte ZEININGER DE BORJA conseiller généalogique et fidèle entre les fidèles du Roi Alphonse.
Or le comte H.C Zeininger de Borja écrit dans « Hildaguia » 1953, n° 3 page 509 : « Le roi Charles IV d’Espagne avait entre autre un fils – dont on attribue d’ailleurs la paternité au prince de la Paix (=GODOY)- l’infant François duc de CADIX (1794-1865) »
Alors un fidèle d’entre les fidèles écrivant cela !!!!
22 septembre 2021 @ 07:56
Toujours sur les enfants d’Isabelle II :
A Edward Ellice
Paris 1er juillet 1860
… Connaissez vous quelque chose de plus triste que la fin des Bourbons ?
On m’a montré une copie de la lettre de don Juan [ comte de Montizon (1822-1887) ]
En voici le sens : « » Ma chère cousine vous êtes indûment assis sur un trône qui m’appartient. De plus vous avez fait trois enfants espurios, c’est à dire adultérins, comme il résulte d’autant de protestations que j’ai en poche signées de votre époux. C’est pourquoi je vous conseille de me donner la place avant que les scélérats de libéraux, dont vous êtes entourée, ne vous assassinent comme a essayé le curé Merino… »
in Prosper Mérimée, Correspondance générale, tome IX 1859-1860, 1955
***
Mérimée fait allusion à la lettre que don Juan signa le 2 juin 1860 dans laquelle il réclamait la couronne d’ Espagne. Cette revendication surprenante, faite alors que son frère aîné, Carlos Luis (Carlos VI) vivait encore, est intervenue dans les circonstances suivantes: après leur débarquement manqué à San Carlos de la Rapita en mars 1860, les deux frères avaient été faits prisonniers, puis relâchés le 23 avril 1860 en échange d’une renonciation au trône d’ Espagne. Ne s’estimant pas lié par cette déclaration, don Juan s’était donc empressé de se poser en successeur de son frère, lequel fit savoir le 15 juin que lui non plus n’avait renoncé à rien.Il mourut d’ailleurs quelques mois plus tard à Trieste le 13 janvier 1861. Le comte de Montizon n’était pas à une incohérence près: le 20 septembre 1862, il écrivait à Isabelle II qu’il la reconnaissait pour sa reine, déclenchant les foudres du Grand Conseil Carliste qui finit par exiger son abdication en 1868 quand son fils, Carlos Maria de los Dolorès (Carlos VII) eut atteint sa majorité
22 septembre 2021 @ 08:00
Sur les paternités de Godoy :
« Tout le crime de San Teodoro [ Carlo Maria Caracciolo (1764-1823), 3ème duc di San Teodoro , Patrice Napolitain, ambassadeur à Copenhague en 1793, puis à Madrid en 1798 ] est de faire son devoir , de tâcher de mettre les époux bien ensemble [ le futur Ferdinand VII ( 1784-1833)) et sa 1ère épouse en 1802 Marie Antoinette de Bourbon, princesse de Naples (1784-1806) ] , et de les éclairer sur les dangers éminents qu’ils courent à la mort du Roi [Charles IV d’Espagne] avec une femme scélérate et un favori sans frein. Je vous avoue, je suis inquiète et tremble pour la vie de ma fille, et c’est bien infâme de leur part après toute la condescendance que nous avons pour la petite bâtarde épileptique [ l’infante Marie Isabelle, 2nde épouse du futur François Ier des Deux Siciles] que nous possédons, que j’aime – car elle est bonne – et ce n’est pas sa faute d’avoir été procréée par le crime et la scélératesse. Elle est au moment d’accoucher, se porte à merveille et fera sûrement un fils. Je désire qu’elle perde ses convulsions qui sont de vraies épilepsies. Le 3 de ce mois elle en a eu une affreuse. On m’a appelée du théâtre. Après un couple d’heures cela est passée.
….je crains qu’on ne trame quelque infamie pour exclure les deux fils [ le futur Ferdinand VII et son frère l’infant Carlos ] et mettre le troisième [ François de Paul ], tant pour avoir, étant le plus jeune, une plus longue régence, comme pour mettre LES ENFANTS DU PRINCE DE LA PAIX [Godoy] sur le trône d’Espagne. Celui de Naples, elle y est déjà, au moins bien près d’y arriver…..
Lettre du 11 octobre 1804 de Marie Caroline, reine de Naples et de Sicile au marquis de Gallo [Marzio Mastrilli (1753-1833), diplomate voir : https://fr.wikipedia.org/wiki/Marzio_Mastrilli ]
Cette lettre est extraite de la remarquable correspondance de la souveraine avec le marquis de 1785 à 1806 publiée en 2 volumes en 1911.
22 septembre 2021 @ 14:45
Tout cela est passionnant! L’état de la Maison de Bourbon! Et il fait le déplacement pour ça? Il est vraiment débordé, on le savait faux prince, le voilà en plus faux bourbon
23 septembre 2021 @ 14:16
Il reste que cet Etat présent est pratique si l’on s’en tient à la simple généalogie…
23 septembre 2021 @ 15:46
Oui ça valait bien le déplacement depuis Madrid! Franchement il a le sens des priorités ce brave luis Alfonso .
25 septembre 2021 @ 18:42
Lili, la mise à jour de la généalogie de la Maison de France est quelque chose de fondamental.
2 octobre 2021 @ 19:53
Oui mais évidemment avec toutes les réserves qui s’imposent et que notre savant ami Charenton vient de rappeler.
22 septembre 2021 @ 12:37
Dominique Charenton, merci pour tous ces textes qui devraient clore la bouche de certains…mais comme ils nient l’évidence, ce sera peine perdue. Une reine d’Espagne, non seulement ne va pas à la fenêtre, selon doña Juana, mais ne sauraient fauter. C’est le credo du luisalfonsisme.
22 septembre 2021 @ 13:18
Eh bien, manifestement on craint qu’ils ne fassent de l’ombre !
Un peu de futilité : le corsage de Marguerite-Marie est très élégant.
22 septembre 2021 @ 16:23
C’est un couple qui mérite d’être mis en valeur car ils sont dignes d’intérêt, intelligents, cultivés et ne se mettent pas particulièrement en avant, pourtant ils assurent à merveille avec élégance et tout à fait en conformité avec leur temps et la réalité politique !
3 octobre 2021 @ 19:30
La réalité politique française passe-t-elle par le franquisme ?
23 septembre 2021 @ 08:59
Dominique Charenton, toute votre accumulation de ragots de concierge n’a aucune valeur scientifique. Seul un test ADN en bonne et due forme peut remettre en question la filiation de la branche aînée des Bourbons, et par la même occasion de Felipe VI je vous signale. Et quand bien même, le chef de la Maison de France serait alors le duc de Séville, descendant de Charles IV, ou le duc de Calabre, descendant de Charles III, mais EN AUCUN CAS les Orléans, sur lesquels de surcroît court le même genre de vilains ragots (le « beau Gustave » : même le cardinal Baudrillart en a parlé).
Demandez donc à la justice espagnole de modifier l’acte de baptême d’Alfonso XII, vous verrez bien comment ils accueilleront votre supplique ! En attendant, comme toujours, pater is est quem nuptiæ demonstrant.
23 septembre 2021 @ 12:20
Ragots de concierges princières et diplomatiques, en tous cas.
23 septembre 2021 @ 14:13
Le cardinal Baudrillart a toujours été partisan des Orléans. Il avait étudié les correspondances de Louis XIV et de son petit-fils roi d’ESpagne.
26 septembre 2021 @ 16:17
Dans son journal de l’année 1927, le cardinal Baudrillart a pourtant écrit ceci : « Mme Le Tourneur d’Ison, royaliste, mais détachée de l’AF, ne craint pas de prétendre que l’AF tient le duc et la duchesse de Guise par la menace de dévoiler publiquement l’inconduite de la duchesse de Guise, si longtemps la maîtresse du comte de Bernis ». Publié dans « Les carnets du cardinal Baudrillart », volume 7, éditions du Cerf, pages 824 et 825.
2 octobre 2021 @ 20:00
Baudrillard connaissait le droit mais c’était une pipelette comme un certain nombre de prélats de ce temps qui reprenaient tout ce qui pouvait un jour faire scandale. Dieu leur pardonne mais leur chasteté forcée laissait des traces.
23 septembre 2021 @ 09:19
De nombreuses photos des trois cérémonies des 18 et 19 septembre sont sur le site legitimite.fr, en particulier celle du duc et de la duchesse d’Anjou aux places d’honneur à Saint-Louis des Invalides, dans les stalles à la droite du chœur (vu de la nef) comme chaque année depuis des décennies, et comme du temps où Madame venait représenter ou accompagner son petit-fils :
https://www.geocities.ws/monarchie987/invalides_2002_3.JPG
23 septembre 2021 @ 12:23
Quelle Madame ? Madame Sozzani ? Prête à tout pour une première place.
2 octobre 2021 @ 20:02
Oui on ne peut pas dire qu’elle se soit bien occupée du roi de France qui aurait été son ex-mari.
3 octobre 2021 @ 17:49
Elle s’est bien occupée des droits de ses fils et petit-fils, ce qui est déjà fort bien.
23 septembre 2021 @ 12:28
Et du coup une photo avec la mère sozzani clôt le débat? Vous avez raison elle a été tellement exemplaire dans sa vie privée que question fidélité, question filiation elle est un argument de poids!
23 septembre 2021 @ 17:17
vous parlez de vie exemplaire et de fidélité ? la bonne blague qu’Henri senior et junior apprécieraient vu leur propre vie ! vous êtes impayable de sortir des arguments aussi stupides qui se retournent contre vos prétendants ! vous réfléchissez un peu avant d’écrire de telles âneries ! manifestement pas mais c’est le propre des orléanistes donc restez fidèle à votre créneau pour mieux tendre le bâton pour se faire battre !c’est un plaisir
23 septembre 2021 @ 22:18
Mais les âneries c’est vous qui les vivez en restant fidèle à une intrigante sans dignité…le genre qui mise à la porte revient par la fenêtre. Divorcée sans l’être, mariée sans l’être, prétentieuse et sans morale.
Heureusement que Louis de Bourbon a eu pour l’aider sa grand-mère, la duchesse de Franco.
23 septembre 2021 @ 11:10
A Dominique de Charenton,
Je me permets de dire aux Orléanistes, dont vous êtes sûrement, qu’on ne parle pas de corde dans la maison d’un pendu. A bon entendeur, salut !
23 septembre 2021 @ 12:17
Faites-vous allusion au prince de Condé, pendu à une espagnolette ?
23 septembre 2021 @ 17:18
Les Orléans n’auraient que cette turpitude à se faire pardonner ? votre mémoire est sélective ou très courte !
23 septembre 2021 @ 22:23
Le prince de Condé n’avait pas besoin des Orléans pour se procurer du plaisir. 🤣 🤣 🤣
Quant à leurs turpitudes, elles valent bien la bêtise de Charles X.
23 septembre 2021 @ 17:19
Je découvre, je ratais un bel échange. Peut-être déjà lu d’ailleurs. Mais toujours agréable à lire.
23 septembre 2021 @ 18:05
pour les lecteurs honnêtes qui iront jusqu’au bout de cet article consacré à l’ouvrage de 2019 d’un juriste : https://viveleroy.net/la-controverse-royale-en-france/
cela va faire hurler les orléanistes qui ne sont pas droit dans leurs bottes concernant le respect de la loi mais ça tout le monde le sait !
24 septembre 2021 @ 12:47
C’est surtout vous qui hurlez. Les orléanistes, eux, se moquent en riant.
2 octobre 2021 @ 20:42
Ça ne fait pas hurler et cela est connu même si l’article n’est pas exhaustif loin de là. On peut se féliciter qu’il ait cité l’ouvrage de Jean-Baptiste Donnier.
Il n’a pas hélas cité Patrick Germain.