Avec sa femme, il l’est tout autant, sauf lorsque les circonstances ne s’y prêtent pas comme aujourd’hui , où ils ont déposé, à deux, une gerbe au jardin du souvenir d’Omagh commémorant ainsi le triste vingtième anniversaire de l’attentat qui eut lieu dans cette ville.
une bonne solution pour résoudre, le jour venu, certaines difficultés: Camilla, princesse consort de Grande-Bretagne, reine consort d’Irlande du Nord et…majesté.
Hélas il peut faire toutes les visites qu’il veut cela ne change rien au Brexit et la frontière Eire , Irlande du Nord va être retabli . La famille royale n’a aucun pouvoir politique si ce n’est un rôle de conseil de la reine qui reçoit la (le) première (premier) ministre tous les mardi et les rapports du M6 dans une cassette tous les matins.
Les Irlandais ne veulent pas de cette frontière.
Elle est contraire à la notion de réunification à terme de l’Irlande.
Et ils ont voté contre le Brexit.
Vous avez raison, chère Leonor, mais l’alliance entre le Premier Ministre britannique et le DUP, parti extrémiste irlandais, fait que le Brexit s’appliquera avec tous ses inconvénients et le risque de voir la guerre civile repartir en Irlande du Nord. Mais quand le populisme s’empare d’un pays, le pire est toujours à craindre. C’est bien triste pour eux tous.
Oui. Le risque est grand . Les Britanniques n’avaient pas pensé à cela , en votant pour le Brexit. D’ailleurs, les Britanniques pensent-ils jamais à l’Irlande ?
Actuellement, c’est le grand flou , Michèle Lobre, il ne faut être sûr de rien mais ni le Royaume-Uni, ni l’UE ne veulent d’une frontière « dure » entre les deux Irlande.
Personne n’a intérêt à mettre en péril l’accord du Vendredi saint.
Le hic, c’est l’alliance qu’a conclue Theresa May avec le DUP, parti ultra-conservateur nord irlandais pour obtenir la majorité au Parlement et qui empêche, actuellement, toute avancée dans le traitement de la question irlandaise.
DSilvî
13 juin 2018 @ 07:56
Bain de foule pour le prince de galles…
Camilla semble absente….bonne journée?
Caroline
13 juin 2018 @ 09:57
Sans sa femme, Charles est guilleret !
Gatienne
13 juin 2018 @ 17:11
Avec sa femme, il l’est tout autant, sauf lorsque les circonstances ne s’y prêtent pas comme aujourd’hui , où ils ont déposé, à deux, une gerbe au jardin du souvenir d’Omagh commémorant ainsi le triste vingtième anniversaire de l’attentat qui eut lieu dans cette ville.
aubert
14 juin 2018 @ 11:29
…à quelle femme faîtes-vous allusion ?
Émilie 09
13 juin 2018 @ 10:08
Je crois que la popularité du Prince de Galles se porte se mieux en mieux dans ce territoire.
aubert
14 juin 2018 @ 11:32
une bonne solution pour résoudre, le jour venu, certaines difficultés: Camilla, princesse consort de Grande-Bretagne, reine consort d’Irlande du Nord et…majesté.
Michèle Lobre
13 juin 2018 @ 11:06
Hélas il peut faire toutes les visites qu’il veut cela ne change rien au Brexit et la frontière Eire , Irlande du Nord va être retabli . La famille royale n’a aucun pouvoir politique si ce n’est un rôle de conseil de la reine qui reçoit la (le) première (premier) ministre tous les mardi et les rapports du M6 dans une cassette tous les matins.
Leonor
13 juin 2018 @ 11:19
Les Irlandais ne veulent pas de cette frontière.
Elle est contraire à la notion de réunification à terme de l’Irlande.
Et ils ont voté contre le Brexit.
Cosmo
14 juin 2018 @ 08:01
Vous avez raison, chère Leonor, mais l’alliance entre le Premier Ministre britannique et le DUP, parti extrémiste irlandais, fait que le Brexit s’appliquera avec tous ses inconvénients et le risque de voir la guerre civile repartir en Irlande du Nord. Mais quand le populisme s’empare d’un pays, le pire est toujours à craindre. C’est bien triste pour eux tous.
Leonor
14 juin 2018 @ 12:25
Oui. Le risque est grand . Les Britanniques n’avaient pas pensé à cela , en votant pour le Brexit. D’ailleurs, les Britanniques pensent-ils jamais à l’Irlande ?
Gatienne
13 juin 2018 @ 12:38
Actuellement, c’est le grand flou , Michèle Lobre, il ne faut être sûr de rien mais ni le Royaume-Uni, ni l’UE ne veulent d’une frontière « dure » entre les deux Irlande.
Personne n’a intérêt à mettre en péril l’accord du Vendredi saint.
Le hic, c’est l’alliance qu’a conclue Theresa May avec le DUP, parti ultra-conservateur nord irlandais pour obtenir la majorité au Parlement et qui empêche, actuellement, toute avancée dans le traitement de la question irlandaise.
marianne
13 juin 2018 @ 17:12
Il a l’ air très apprécié par ces dames !
framboiz 07
14 juin 2018 @ 01:42
Camilla absente, vu le Brexit , elle aurait du venir …
Nico
14 juin 2018 @ 17:11
Manque de bol, elle est là aujourd’hui !