Rentrée scolaire pour le prince George de Cambridge à l’école Saint Thomas à Battersea. Le prince en uniforme, était accompagné par son père le duc de Cambridge. La duchesse de Cambridge n’a pu être présente en raison de nausées importantes dues à sa grossesse. (Copyright photos : getty images)
Alinéas
7 septembre 2017 @ 18:46
Petit uniforme très bien porté par le prince Georges pour cette rentrée scolaire.!
milleroses
7 septembre 2017 @ 19:17
Ils sont trop beaux tous les deux
MIKA
7 septembre 2017 @ 19:18
Ce gamin est craquant !
la tenue de George est adorable.
Danielle
7 septembre 2017 @ 19:25
Ils sont mignons tous les deux.
Bonne rentrée qui sera suivie par une multitude d’autres !!
Edwige
7 septembre 2017 @ 19:28
Lorsque Paola attendait Philippe et ne pouvait se déplacer on parlait pudiquement de migraines. Les pauvres princesses actuelles voient étalées sur la voie publique leurs petites misères les plus intimes. Je n’aimerais pas être à leur place.
anne2
8 septembre 2017 @ 11:31
Oui mais on se demandait « que veut dire migraine »?? moi je crois que je préfère la situation actuelle.
Donc très courageux la reine du Danemark (article d’hier) à propos de la maladie du prince Henri.
Anastasia A ?
8 septembre 2017 @ 16:46
En même c’est une femme comme une autre qui connaît les mêmes désagréments que madame toutlemonde
Anastasia A ?
8 septembre 2017 @ 16:47
En même temps
Corsica
9 septembre 2017 @ 23:39
Edwige, c’est vrai que dans le temps, l’intimité des princesses et des reines étaient mieux préservées : elles accouchaient et éventuellement mouraient entourées de courtisans ! Imaginez une seule seconde la scène : les cris, les regards, le sang, la chaleur étouffante et vous aurez immédiatement la réponse, l’intimité des reines et princesses d’aujourd’hui est préservée. Ce n’est pas parce que l’on appelle un chat un chat qu’il y a manque de pudeur. La maladie en général, même s’il s’agit d’une démence, ou les symptômes d’une grossesse, peu importe qu’ils soient normaux ou pathologiques, ne sont pas des tares que l’on doit cacher.
Baboula
10 septembre 2017 @ 19:01
Il y a encore beaucoup de personnes qui n’ont jamais mal plus bas que l’estomac.
On ne nomme pas ces choses là .Avant c’était par pudeur,à présent c’est par intégrisme.
Corsica
12 septembre 2017 @ 16:24
Et bien ma chère Baboula, dans les deux cas, cela m’agace car il n’y a rien de sale en dessous de l’estomac, que du fonctionnel ! Un fonctionnel sans lequel nous passerions l’arme à gauche ou ne pourrions perpétuer notre espèce.
particule
7 septembre 2017 @ 19:41
Quelle attitude de charme , ce petit prince et puis j’adore l’uniforme …
Marissa
7 septembre 2017 @ 19:43
A noter que sa cousine Maud Windsor, fille de Lord et Lady Frederick, est dans la même classe que George.
ml
7 septembre 2017 @ 19:43
C’était hier …Diana et William ou Harry et voilà déjà William et George…!
Kate doit être bien malade – et je compatis-tant j’ai souffert du même mal au début de mes grossesses…!
William est très élégant et George plus qu’adorable…je fonds !!!
ml
monica
9 septembre 2017 @ 19:08
Moi aussi Georges, Churchill comme l’appelle Harry, me fait craquer
claudia
7 septembre 2017 @ 19:54
Tout petit et déjà la classe !
Brigitte - Anne
7 septembre 2017 @ 20:16
Adorable petit prince mais qui n’aime pas les journalistes /photographes …. Je l avais déjà remarqué au baptême de sa petite sœur !
Ontheroadagain
8 septembre 2017 @ 08:30
Je pense que la haine de Papa William pour les photographes (qu’il tient toujours pour responsables de la mort de sa mère) a déteint sur son fils. Il a dû lui raconter l’histoire de sa célèbre Mamie que George ne connaîtra jamais et lui dire que c’est la faute aux photographes si elle est morte…
bernadette
8 septembre 2017 @ 13:31
Ce n’est pas le genre de choses dont on parle à un enfant de 4 ans !!
Je crois William trop intelligent pour tomber dans ce travers !
monica
9 septembre 2017 @ 19:09
Bernadette, je pense comme vous
Baboula
9 septembre 2017 @ 13:51
Je connais bien 2 sacripants du même âge qui refusent qu’on les prennent en photo ,tournent le dos ,font des grimaces sans être assaillis par des paparazzi .C’est devenu un jeu pour eux .
Margaux ?
10 septembre 2017 @ 00:02
À cet âge, les gosses aiment rarement qu’on les prenne en photo, ou alors il faut en faire un jeu. ?
ciboulette
7 septembre 2017 @ 20:38
Allez , petit prince George , encore un petit effort et un grand sourire !
septentrion
7 septembre 2017 @ 20:39
Cette première photo est craquante de décontraction et de complicité père/fils.
En revanche, j’en ai vu une autre où le prince George paraissait ne pas avoir envie de lâcher la main de son père.
Val
7 septembre 2017 @ 20:46
Je me souviens de la rentrée. De William., que le temps passe vite.mille millions de mille sabords !!!!!
JAusten
7 septembre 2017 @ 20:48
la première photo est terrible ! George a l’air détendu son visage est toujours aussi malicieux.
Marie-Françoise
7 septembre 2017 @ 20:58
très chic ce petit prince avec ses jolis mocassins ! j’avais les mêmes quand j’étais ado ! je le trouve très grandi, on voit déjà la tête qu’il aura plus tard ! car il a deja l’allure d’un « grand » !!
amaia
8 septembre 2017 @ 11:17
A vous aussi !!!
Actarus
7 septembre 2017 @ 20:59
Il prend déjà la pose comme une diva. ^^
Thierry Lyon
7 septembre 2017 @ 21:21
Photos très sympas et attachantes?
belle...isa
7 septembre 2017 @ 22:22
La première photo est superbe!
Caroline
7 septembre 2017 @ 22:33
Malgré mon agenda fort chargé , j’ai eu juste le temps pour voir à la télévision le premier jour de la rentrée scolaire de notre petit George. Il n’était pas trop timide au moment de tendre sa main à celle de sa maitresse !
Bon week-end d’avance !
Pierre21
7 septembre 2017 @ 23:11
Je trouve vraiment que cette monarchie est survalorisée…
Trompette de Lévis
8 septembre 2017 @ 01:49
Une nouvelle partie de sa vie commence poir le prince Georges
framboiz07
8 septembre 2017 @ 02:05
Sa cousine Maud Windsor , sera dans sa classe , elle était accompagnée de son papa Frédérik ,seul ,la maman étant avec le bébé d’un an, ai-je lu .Les premières photos du matin de George, à l’entrée ,avec la maîtresse, montraient un baby timide , regardant le sol comme sa Mammy Diana …Celles -ci ont l’air plus rassurantes ! Il est beau , quand même mon petit chéri préféré !
Je reprendrais bien du service pour lui , lui apprendre le français, par exemple , pour qu’il le parle comme Granny et son époux : Au fait, comment appelle -t-il le Grandpa ?
framboiz07
8 septembre 2017 @ 02:09
Catherine a du annuler une activité cette après-midi et sera absente à une activité demain avec Harry et William …Quant à Charlotte , rien sur sa rentrée ? Qui sait ?
Sarita
8 septembre 2017 @ 09:29
Charlotte a 2 ans, je ne pense pas qu’elle soit déjà en collectivité. En Angleterre, les enfants ont une année de maternelle (pre-school) à l’âge de 3ans, puis ils rentrent en primaire à l’âge de 4ans, comme George aujourd’hui. Donc, normalement, on aura une photo de Charlotte l’année prochaine :-)
Baia
8 septembre 2017 @ 11:57
Merci Sarita pour cette précision.
Sarita
8 septembre 2017 @ 19:42
Avec plaisir!
Lou
8 septembre 2017 @ 05:30
Ce regard décidé en photo 2…………bonne rentrée jeune prince!
Bonne journée à tous, Lou!
Pauline
8 septembre 2017 @ 05:35
Merci pour avoir choisi cette photo souriante en comparaison d’autres montrant George inquiet, presque terrifié. Normal pour un jour de tel changement dans sa vie.
Coriandre
8 septembre 2017 @ 05:49
La pauvre, c’est triste pour une maman de ne pas pouvoir faire la rentrée des classes de son enfant.
Manuella de Bris
8 septembre 2017 @ 06:48
Bonne rentrée à ce prince .
Georges de Cambridge est vraiment mignon !
Bételgeuse70
8 septembre 2017 @ 07:22
Un qui a l’air réjoui de sa rentrée, mais vraiment les uniformes anglais ne changent pas. Dire qu’il va porter ça pendant des années.
Leonor
8 septembre 2017 @ 09:10
C’est super-pratique, les uniformes.
+++ D’abord, c’est fonctionnel.
+++ Ensuite : pas besoin de se creuser la tête tous les matins pour trouver quoi mettre, et quoi assortir avec quoi . Et pas besoin d’affronter ses marmots, qui pourraient avoir des desiderata multiples voire abscons, à l’heure où tout le monde est pressé.
+++ Tertio : ça évite de facto aux marmots de tous âges de passer leur temps à comparer leurs frusques, plutôt que de se concentrer sur ce pour quoi ils sont en classe : apprendre quelque chose.
amaia
8 septembre 2017 @ 11:22
Leonor, comme je partage votre avis. J’ai été élevée dans le bleu marine que j’aime toujours autant.
J’ai eu quelques années comme uniforme une jupe écossaise verte (très jolie) peu-être que certaines reconnaitront l’école !!
Bételgeuse70
8 septembre 2017 @ 15:09
D’accord pour les 2 premiers points. Le troisième est peut-être plus discutable : uniforme ou pas uniforme, il reste à prouver que les « marmots de tous âges » qui sont en classe pour apprendre quelque chose arrivent réellement à se concentrer ; j’entends les remarques des enseignants à longueur de journée et il y a parfois de quoi sourire.
Mais nous y sommes tous passés. Jules Ferry, c’est loin.
monica
9 septembre 2017 @ 19:12
Leonor, « les marmots » !!!!!
MMDehove
11 septembre 2017 @ 22:23
Moi aussi l’uniforme : du CP à la Terminale, en bleu marine : 1 tenue d’été et 1 tenue d’hiver… Et, je dirais aussi, Léonor : Quatro : pas de différences entre les élèves. Tous le monde vêtu de la même façon, ça « uniformise » aussi les origines sociales.
Sarita
8 septembre 2017 @ 09:30
Encore il a de la chance, bleu marine et rouge….dans l’école à côté de chez nous c’est vert sapin et violet….;-)
Baboula
9 septembre 2017 @ 20:17
Chic on choisit son école en fonction de la couleur de l’uniforme. Mais je me demande si 10 années d’uniformes ne sont pas responsables du manque de goût de certains britanniques .Sarita,évitez l’école des princesses d’York , pas formatrice au goût .
Sarita
10 septembre 2017 @ 10:47
Moi je suis persuadée qu’à force de marier le bordeaux et le gris souris, les anglais perdent tout sens des couleurs ;-) Quant au choix de l’école, il nous reste un an, mais au moment de faire la liste (on a 3 choix) j »éviterai cette école où les petites filles portent hiver comme été une robe Vichy vert pomme, qui serait ringarde même dans la petite maison dans la prairie ;-)
Baboula
10 septembre 2017 @ 19:03
Ah! C’est celle qu’a fréquentée Camilla.
Margaux ?
8 septembre 2017 @ 21:20
Je trouve que les uniformes sont des tenues adéquates, neutres et n’offrant aucun point de comparaison entre les gamins. Certes, ce n’est pas ça qui les incite à mieux écouter en classe mais au moins, pas de ségrégation sur les marques de fringues.
J’ai fais mon collège et mon lycée en uniforme. Je m’en porte bien. ?
bianca
9 septembre 2017 @ 18:11
Je suis de votre avis Margaux, cela évite bien des humiliations à certains enfants !
Margaux ?
13 septembre 2017 @ 14:13
Voilà. ?
Ghislaine-Perrynn
8 septembre 2017 @ 07:40
Beau petit garçon , qui se pose des questions comme tout petit écolier .
Courage bonhomme , il faut , hélas, y passer.
Leonor
8 septembre 2017 @ 09:15
Non, non, pas » hélas », Ghislaine.
C’est une chance formidable d’aller à l’école.
Ce n’était pas le cas pour tous en Europe encore au début du XXe siècle.
Ce n’est toujours pas le cas dans nombre de pays au monde.
Voyez la série documentaire » Sur le chemin de l’école » .
En regardant avec mes petites-filles une ou deux de ces émissions, pour bien les convaincre – même s’il n’en était pas besoin- à quel point c’était une chance, l’école; et une chance d’avoir une école près de chez soi; et encore une chance d’avoir des cahiers, des livres, une trousse garnie, et un cartable.
Leonor
8 septembre 2017 @ 09:16
Excusez-moi. ma dernière phrase du msg précédent était mal tournée, je m’en rends compte. Mais vous aurez compris l’idée.
Marnie
8 septembre 2017 @ 12:21
Bien d’accord avec vous Leonor, marre d’entendre ce genre de réflexion négative sur l’école, comme si on envoyait les enfants au bagne ! certains font du bourrage de crâne et s’étonneront ensuite que les enfants rechignent à aller à l’école…. c’est beau d’aller à l’école, c’est beau d’apprendre, de se faire des amis et c’est une chance !
Ghislaine-Perrynn
8 septembre 2017 @ 13:41
Leonor vous m’amusez , nous ne jouons pas dans la même catégorie, je suis une vieille rabat-joie qui ne comprend rien à rien (rire) . je vous aurais bien conté mes mésaventures scolaires , il y a de quoi en faire un roman (rire) mais comme j’ai lu par ailleurs, ici que se remémorer son passé était en quelque sorte l’antichambre de maladies à visée de gagatisme précoce (encore que dans mon cas il serait bien situé dans le temps) je vous dirais seulement que j’étais une enfant précoce sachant lire et écrire à 5 ans avec un QI détecté en 6e de 90 , ce qui m’excluait à tout jamais de quelques exploits intellectuels (je vous rassure par une sorte d’enchantement il s’est enflé lors des premières vérifications indispensables à l’époque pour accéder à un poste , Dieu merci il y avait eu miracle mais en attendant cette calamité m’a poursuivie jusqu’en seconde) alors je m’étais bien jurée que si j’avais des enfants , ils n’iraient pas à l’école primaire , je trouverais une autre solution . La destinée a tranché pour moi.
Je suis entrée à 6 ans à l’Ecole catholique parce que c’était la seule debout dans la ville , nous étions 57 dans la classe avec une adorable jeune soeur aidée par Melle Hermeline , une non-moins charmante vieille fille comme on disait à l’époque qui nous maternait pauvres gamins ayant survécu à l’apocalypse . Nous n’avions pas de vitres descendues par les anglais , pas de portes brulées par les allemands restant dans la ville et vitres et fenêtres occultées par une espèce de matériau jaunâtre qui paraissait huilé.
C’était le bon temps voyez-vous . Mais j’allais entrer en 6e dans un collège où j’allais faire mes humanités dans un lieu qui tenait d’un stalag , baraques en bois avec un portail d’entrée où il ne manquait que arbeit macht frei .
Nous vivions des moments cocasses , nous étions dans des caves souvent chez nous car il n’y avait plus de dessus , rasé, pas d’électricité .
Je déteste le froid et il n’est pas question de me parler d’un régime quelconque .
Mais vous êtes de votre siècle et vous avez bien raison , je ne contredis pas votre prise de position . J’émets seulement des réserves sur le gaspillage de jeunes cervelles fait actuellement par des incapables et je soutiens totalement le Professeur Isabelle Dignocourt qui a écrit un livre : L’éducation nationale une machine à broyer . Ce qu’elle écrit en début de livre , je l’ai vécu avant elle.
Leonor
8 septembre 2017 @ 19:47
Ghislaine, merci pour votre récit de cette tranche de vie, c’est très intéressant à lire.
Mais, Ghislaine, je ne vois pas, en toute bonne foi, en quoi mon intervention et votre récit se contredisent ?
Je trouve au contraire qu’ils se rejoignent.
Comme vous êtes entrée dans votre récit – pour notre grand plaisir et intérêt – je ne parviens pas très bien à suivre le raisonnement qui le sous-tend. Aidez-moi.
Doit-on comprendre
– que vous n’aimiez pas l’école, parce que liée aux conditions et souvenirs de guerre ou d’immédiat après-guerre ? Est-ce cela ?
– que vous n’appréciez pas l’école en tant que celle de l’Education Nationale actuelle ? On peut le comprendre, mais aussi en discuter.
– que vous êtes pour un enseignement de meilleure qualité ? ce que je crois comprendre .
Nous avons certes une différence d’âge, mais j’ai joué, enfant, dans les trous de bombe et les ruines de ma ville, dans mon quartier.
Par ailleurs, oh oui, l’Education Nationale a plein de défauts. Mais elle a l’immense mérite d’exister.
L’école a été pour moi , enfant de famille plus que modeste, une immense chance.
Je rends un grand hommage aux enseignants, d’autrefois et de maintenant. Mais , en effet, pas aux » penseurs » des ministères , surtout pas aux tenants du rabotage par le bas., et encore moins aux idéologues de tout poil qui ont le Ministère et la France entière comme terrain de jeu.
Et, vous savez, en Alsace, il n’y a pas eu et il n’y a pas de guerre école libre – école publique,pour des raisons historique et religieuses .
A bientôt, Ghislaine
Ghislaine-Perrynn
9 septembre 2017 @ 16:55
Effectivement , je n’ai sans doute pas été assez claire .
Dans l’absolu évidemment que des enfants qui font parfois des dizaines de kilomètres dans des moyens de locomotion difficiles , dans des contrées lointaines sont extrêmement méritants et j’espère que l’école leur apportera un bien.
Mais là nous sommes parties toutes les deux d’un point précis , Georges .
Petit garçon même si futur roi , qui a une énergie débordante d’après ce que j’ai pu lire et sa scolarité a débuté en douceur dans une école de style Montessori .
Maintenant, le voilà intégré dans le moule d’école traditionnelle et à mon avis ce sera autre chose pour lui . Bien difficile à vivre .
J’étais « différente » moi aussi mais à l’époque l’on ne s’appesantissait pas sur les comportements , on suivait ou non et si l’on ne suivait pas hé bien l’on était soit un cancre soit un demeuré.
De plus comme je vous l’ai indiqué , nous étions dans le manque de tout et une certaine souffrance . L’école étant pour moi une grande inconnue – qu’y faisais-je ? Etonnement général je passais mon examen de 6e normalement et à un âge normal. Dédaignant complètement les matières qui ne m’intéressaient pas – Maths , Sciences naturelles – physique – cartonnant dans les langues qui entraient en moi comme dans du beurre.
J’avais quelques mérites quand même car , pour sauver nos vies , sous les bombardements nous avions du nous replier en centre Bretagne , tous pratiquement , ce qui faisait que nous entrions dans un monde différent où le breton était courant , j’avais 3 ans et donc mon français se cantonnait à quelques mots auxquels j’allais adjoindre le parler de mon grand père différent du breton de ma grand-mère et encore différent de celui de ma seule et unique petite amie , voisine bretonnante qui pratiquait le bretonnisme à savoir un breton traduit en français !! Alors nos professeurs respectifs quand ils nous récupérèrent eurent quelques difficultés avec les sauvageons . De plus , nous rajoutions à ces idiomes particuliers , les sonorités allemandes, américaines, anglaises et … canadiennes pendant un bon moment .
Effectivement , je n’apprécie pas du tout l’école actuelle , comment d’ailleurs l’apprécier quand on découvre la pauvreté de langage actuelle , les fautes à répétition dans les media , des enfants qui ne savent ni lire et écrire couramment en entrant en 6e.
Il est évident que je vais vous paraître vielle baderne mais je n’ai pas été toujours ainsi (rire) et j’ai été pendant un certain temps pionne dans un lycée de 2000 garçons (c’est du sport) et il n’en allait pas du tout ainsi à cette époque . Alors déclin ?
Francis Huster appelle à résister avec Molière lequel fut en rébellion contre le pouvoir et l’air du temps. Je n’irai pas jusqu’à faire une révolution , seule, mais je trouve qu’il n’a pas tort .
Je vous rends hommage pour votre cursus et votre personnalité un brin provocatrice , il en faut quand elle est de bonne tenue .
Mais nous n’avons pas amélioré cette école , il n’y a plus de Hussards de la République .
Pour les universitaires , nous sommes dans une situation inique , comment peut on tirer au sort des entrées en université ?
J’ai été longue , je prie les autres intervenants qui ne sont pas intéressés par note échange de me le pardonner .
Rectification : Vieille
Corsica
9 septembre 2017 @ 23:57
Leonor, comme vous je pense qu’avoir accès à l’éducation est une chance alors que dans trop de pays, c’est un luxe. Beaucoup d’enfants qui voudraient étudier ne peuvent le faire ou le font dans des conditions extrêmement difficiles, alors que c’est par l’éducation, notamment des femmes, que l’on pourra rompre le cercle de la pauvreté et de l’obscurantisme religieux.
AnneLise
10 septembre 2017 @ 14:30
Avec un peu de retard, quelques réflexions :
Avoir la chance de pouvoir aller à l’école est un privilège incontestablement et comme vous le soulignez justement Corsica, c’est par l’éducation et notamment des jeunes filles que l’on pourra espérer mettre fin à ce cycle infernal de la dépendance à des croyances liberticides.
Nos expériences passées nous ont permis aux unes et aux autres, aux uns et aux autres, mais là il s’agissait d’un échange entre femmes, pour difficiles qu’elles aient été nous ont permis de faire notre « trou » dans la vie et nous pouvons nous en estimer heureuses, quelles qu’en aient été les difficultés.
Avoir la nostalgie des « Hussards de la République » pourquoi pas ? mais de nos jours aussi nous avons nos « hussards » dans les quartiers difficiles, les zones rurales etc
Ce n’est pas tant le corps enseignant qu’il faille incriminer que les réformes à répétition que nos Ministres de gauche, de droite, du centre ont imposé à l’Education Nationale depuis des décennies, chacun voulant imprimer sa marque et donner son nom à une réforme comme si quelque gloire était à en tirer.
L’avant dernière en date, due à Najat Vallaud Belkacem ayant été de vouloir au titre de « l’égalité des chances » supprimer les classes bi-langues, l’enseignement des langes anciennes et faire de la multi disciplinarité la panacée, abaisser le temps de présence au profit d’activités péri scolaires absolument inapplicables dans des bourgs ruraux.
Le résultat étant un creusement des inégalités entre ceux dont les parents pouvaient pallier ces insuffisances et ceux dont les parents ne pouvaient ou ne voulaient le faire.
Il n’est pas question de gonfler une fois encore le budget de l’Education Nationale, mais de mieux le répartir, nous avons l’un des budgets les plus conséquents en Europe et sommes parmi les derniers de la classe au niveau des résultats.
Le mot de sélection qui semble faire partie des « gros mots » serait pourtant une des clés de la réussite, car sélection ne devrait pas vouloir dire élimination, mais orientation, et une orientation réelle tenant compte des capacités de chacun et de ses souhaits.
Tout le monde ne peut-être ingénieur ou professeur d’université, mais tout le monde ne peut pas non plus être technicien, boulanger , jardinier ou conducteur de TGV et pourtant on a besoin de tous.
J’enfonce une porte ouverte a priori mais qui pour beaucoup semble fermée à double tour.
Et puis cessons de plaindre les enfants qui vont à l’école, les gens qui vont travailler, plaignons plutôt sont qui n’ont pas accès au savoir ou au salaire.
AnneLise
10 septembre 2017 @ 14:42
NB : Un très beau livre si vous arrivez encore à vous le procurer « l’institutrice de province’ de Léon Frapier 1897 une de ces Hussardes.
Je l’ai, léguée par ma grand-mère qui en fut un peu plus tard, née en 1890 elle intégra l’Education pas encore Nationale en 1910.
C’était je crois l’Instruction publique.
Corsica
10 septembre 2017 @ 18:03
AnneLise, je partage votre commentaire et votre dernier paragraphe en est un que j’aurais aimé avoir écrit. Cordialement.
Baboula
10 septembre 2017 @ 19:23
Je voudrais une école qui encourage même (surtout)les plus faibles,une école qui ne mette pas un couvercle avec un poids sur la tête des plus forts pour qu’ils restent au niveau des autres .Bref une école où chaque élève est individualisé et respecté.Après on étudie s’il reste du temps …
framboiz 07
11 septembre 2017 @ 06:25
Pour les facultés , Mention TB devance mention B , qui devance mention ABien , puis passable, faisons entrer les TB , puis Bien et AB, passable et après les autres, on verra !
Avantage , le hasard peut partir en congé , les bons ou travailleurs seront récompensés et ravis ! Les mauvais redoubleront pour mieux suivre !Tous seront motivés et feront moins suer les profs !L’école et les notes seront revalorisées …
Ma sœur me parlait d’un enquiquineur notoire, qui a tiré UFR-Staps , quand des élèves de mention Très bien , vont redoubler , n’envisageant aucune autre option … L’élu , va échouer , redoublera et retrouvera les amis , dégoûtés …On perd (de l’argent , de l’énergie ,aussi ) sur tous les …tableaux !
Si nos amis -hors de France peuvent nous expliquer- je suis preneuse …Merci d’avance !
Je vous rappelle que lundi la 5 a passé un film ,sur les chemins de l’école (avec l’UNESCO ) donc vite aux ordi, pour le revoir !
Robespierre
11 septembre 2017 @ 15:55
Merci AnneLise pour votre post (14.30). Magnifique.
framboiz07
8 septembre 2017 @ 08:21
1ère photo prise au départ du palais, 2ème à l’école , dans le vif du sujet , j’ai lu qu’il avait pleuré , presse anglaise , Vrai ?
Faudrait pas qu’une ex-collègue fasse du mal à mon choupinet , sinon j’hurle à la perfide Albion , profiter de l’absence de sa Maman ,pour nous l’escaguasser , non mais! Il ne manquerait plus que cela …
adriana
8 septembre 2017 @ 09:16
adorable ce petit prince……………. décontracté sur la premiere photo !!!! j’adore
COLETTE C.
8 septembre 2017 @ 10:30
C’est un petit coquin, il me semble …
Clémence
8 septembre 2017 @ 10:44
Il ne va plus à l’école Montessori?
dradomir
8 septembre 2017 @ 11:17
Cet enfant a quelque chose de…… Edouard VIII…. (vous savez le…..)
Bref, je vais encore m’en prendre une……
Pierre21
8 septembre 2017 @ 19:33
Haha, oui dans l’expression faciale un peu peut-être. Espérons qu’il ne lui ressemblera pas dans le caractère…
Petite photo ressemblante d’Édouard VIII:
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/5/5d/The_Duke_of_Windsor_%281945%29.jpg
merlines
10 septembre 2017 @ 10:55
je suis d’accord avec vous dradormir, et j’ai éclaté de rire sur la fin de votre com. Bonne journée.
maman monique
8 septembre 2017 @ 13:38
Trop mignon ce petit prince.
Martine
8 septembre 2017 @ 15:05
Pas très fier ce petit bonhomme malgrè le petit sourire, et si j’avais été lui, j’aurai tiré la langue aux photographes, car dans les droits de l’enfant (ratifiés par la GB) oblige à protéger l’intimité ( art 16)
Martine
9 septembre 2017 @ 11:28
les droits de l’enfant obligent
Martine
9 septembre 2017 @ 11:27
Si vous aimez les uniformes ( moi j’ai eu & je n’aime pas ), je vous donne le déail & les prix abordables si on ne prend pas la totalité:
http://blog.francetvinfo.fr/bureau-londres/2017/09/06/on-sest-renseignes-sur-lecole-ultra-select-du-prince-george.html
Marie de Cessy
9 septembre 2017 @ 12:45
Allez c’est la rentrée !
Le chemin de l’école on l’a tous emprunté
Bonne scolarité à George
ngues
10 septembre 2017 @ 15:19
Anne-Lise et consoeurs , je n’ai pas attendu de recevoir des leçons pour agir à mon modeste niveau , incitée par ma soeur ancienne résistante qui n’a pas hésité à donner et à recruter dans son entourage des donateurs pour venir en aide à des écoliers africains en situation difficile .
Mais cela n’empêche pas que si j’avais eu des enfants , ils n’auraient pas été scolarisés et récemment j’ai lu des critiques quant à deux jeunes princesses avec répétitrice chez elles , à 10/12 ans elles parlaient déjà 4 langues et manifestement, elles étaient parfaitement éduquées.
Qu’en est-il de notre histoire de France ? Quand une directrice d’école de mon entourage (et j’ai cru sur le moment qu’elle se moquait de moi ) ignorait que Napoléon s’était marié deux fois !
Si d’aventure, vous voulez constater le niveau actuel des connaissances de base des français , regardez par curiosité les jeux télévisés. Edifiant .
Les élèves recevant le Certificat d’Etudes , disposaient d’un savoir solide , d’une orthographe parfaite par rapport à l’actuelle.
Alors , il est évidemment de donner dans la généralité , cela pose aussitôt la personne qui l’émet.
Ami des Bataves
11 septembre 2017 @ 16:02
Votre commentaire est très intéressant en ce qui concerne les connaissances qu’avaient autrefois les titulaires du Certificat d’Etudes. Surtout au niveau de l’orthographe. Dans les années 80, quand Bernard Pivot faisait des championnats d’ortho. il y avait eu un vainqueur, seul ou ex aequo, je ne me rappelle plus, qui était belge. Pivot a demandé au Belge quel était son métier. Eh bien c’était un modeste petit employé des postes. Pivot en est resté baba.
Ghislaine-Perrynn
12 septembre 2017 @ 13:36
Ami des Bataves bonjour , vous revoilà .
C’est votre commentaire qui est le plus intéressant car nous sommes , en ce moment , dans un état de désolation concernant notre orthographe et plus généralement , notre façon de le parler entre les dents , à toute vitesse avec des accents idiots de prétention , faisant du AN – EN un ON de mauvais aloi et de totale incompréhension. Le ais ouvert devient é
Nous sommes donc des froncés
Molière est d’actualité!
Je pense souvent aux pauvres étrangers qui s’essaient à la langue française et déjà , dans des pays amis tels que le Quebec, la Belgique , la Suisse et ailleurs des voix s’élèvent pour signaler le fait .
Pendant ce temps , les Monsieur Jourdain font du franglais et ce n’est certes pas ce président qui arrangera les choses .
Merci Ami des Bataves.
Milena K
14 septembre 2017 @ 10:13
Personnellement,le commentaire de AnneLise me « parle » beaucoup plus que le votre,car il est résolument tourné vers l’avenir.Il est inutile,à mon sens,de sans cesse rabâcher le passé .Pour la jeunesse actuelle,votre passé(il me semble que vous avez écrit ici avoir plus de 70 ans et j’en ai presque trente de moins),et même le mien,c’est de la préhistoire!Sans vouloir jouer les chantres du « yaka-fokon ») ,je crois que de profonds changement doivent s’opérer au sein de l’Education Nationale et ,paradoxalement,je pense que cela devrait se traduire par une moindre importance des nouvelles technologies dans notre société.Je reste convaincue que c’est à cette présence intrusive dans les méthodes d’enseignement et la vie quotidienne,qu’on doit ,entre autre,cet appauvrissement de la langue.Mais sans doute est-il déja trop tard pour faire marche arrière.
Ghislaine-Perrynn
10 septembre 2017 @ 15:20
Régine , vous avez le problème que nous avons déjà eu , nos noms sont désactivés et une partie de notre texte se retrouve à leur place .
Donc je précise que je suis Ghislaine-Perrynn en place de ngues