Ca y est, on progresse , on finit par entrevoir le divin enfant ! Ce bébé, le petit dragon , me semble ,toutefois ,d’un poids inférieur au bébé suédois …Beaucoup de douceur , y compris dans les couleurs .
Tout à fait en accord avec vous , framboiz07 ! Ce qui m’étonne , ce sont les arbres en fleurs , alors que j’imaginais au Bhoutan un climat assez rude …
C’est pas plus idiot que de vouloir savoir à tout prix de quel sexe sera l’enfant avant même de l’avoir conçu, non ?
Chaque civilisation ses coutumes. Tantqu’elles ne font de mal à personne…
Très beau couple, touchant. J espère vraiment que le prince maintiendra la promesse faite à son épouse de n avoir qu elle comme telle, puisque dans son pays le concubinage est autorisé.
Mais sûrement que les parents ont déjà choisi le prénom pour leur enfant, donc pour quelle raison attendre aussi longtemps pour le communiquer au peuple? C est la tradition et je le comprends mais l explication à ceci quelqu un peut l expliquer ? Merci
Je ne connais pas la tradition du Bhoutan à propos de prénom pur les nouveau-nés, mais je trouve cela assez intéressant.
Lorsque j’attendais mes petits à moi, il m’est toujours apparu que tel ou tel prénom émergeait lentement, doucement, au fil du temps et de l’attente, au fil de la formation du bébé en devenir. Comme si LE prénom apparaissait doucement sur le papier photographique dans la cuve ( *), en même temps que le corps et l’esprit de l’enfançon se façonnait dans son cocon.
(*) quand on en était encore à l’ère argentique.
Comme si l’enfant participait au choix de son prénom. Comme si les parents ressentaient ce qu’est vraiment cet enfant et avançaient doucement vers une dénomination à lui adaptée.
Je disais : » il faut écouter le petit ».
Il se trouve que nos fils sont tous très contents de leurs prénoms. Ce n’est peut-être qu’un hasard, mais je ne crois pas au hasard.
Peut-être que les habitants du Bhoutan procèdent un peu de la même manière, en prolongeant encore au-delà de la naissance la période … de probation du prénom.
Mais bien sûr, ce n’est qu’une hypothèse, je n’en sais rien.
Après tout, on peut prendre le temps : un prénom, c’est pour la vie.
On se souvient que sous l’Ancien régime les princes et princesses de la maison de France ne recevaient leur prénom qu’on baptême qui avait lieu parfois plusiers années après la naissance après laquelle ils avaient été immédiatement ondoyés. Et c’est ainsi que certains moururent avant qu’on ait connu leur prénom et qu’on les désigne toujours sous le nom d’Anonyme de France, et souvent leur titre.
Caroline
11 mars 2016 @ 08:04
‘Patience’ comme c’est la tradition chez les royaux au Danemark!
framboiz07
11 mars 2016 @ 12:01
Ca y est, on progresse , on finit par entrevoir le divin enfant ! Ce bébé, le petit dragon , me semble ,toutefois ,d’un poids inférieur au bébé suédois …Beaucoup de douceur , y compris dans les couleurs .
ciboulette
11 mars 2016 @ 16:58
Tout à fait en accord avec vous , framboiz07 ! Ce qui m’étonne , ce sont les arbres en fleurs , alors que j’imaginais au Bhoutan un climat assez rude …
Domilys
11 mars 2016 @ 13:22
Rendez-vous au 16 avril !
Actarus
11 mars 2016 @ 13:28
Jusque-là on ne l’appelle pas ou se peut-il qu’il porte un prénom temporaire comme Chose Enroulée Dans Une Serviette Jaune ? ;-)
Haut-Landaise
12 mars 2016 @ 14:31
Non Actarus, en attendant on l’appelle « mon petit lingot d’or ».
Nicole C 34
11 mars 2016 @ 14:20
c’est un véritable secret….pourquoi attendre aussi longtemps pour diffuser le prénom du bébé !ils ne peuvent pas faire comme le commun des mortels.
Leonor
12 mars 2016 @ 12:05
C’est pas plus idiot que de vouloir savoir à tout prix de quel sexe sera l’enfant avant même de l’avoir conçu, non ?
Chaque civilisation ses coutumes. Tantqu’elles ne font de mal à personne…
*Gustave de Montréal
11 mars 2016 @ 15:32
Plus d’un mois avant de connaître le prénom du bébé royal ! C’est affreux. Que faire?
vero
11 mars 2016 @ 18:43
Très beau couple, touchant. J espère vraiment que le prince maintiendra la promesse faite à son épouse de n avoir qu elle comme telle, puisque dans son pays le concubinage est autorisé.
Mais sûrement que les parents ont déjà choisi le prénom pour leur enfant, donc pour quelle raison attendre aussi longtemps pour le communiquer au peuple? C est la tradition et je le comprends mais l explication à ceci quelqu un peut l expliquer ? Merci
Gérard
12 mars 2016 @ 11:09
Véro,
J’ai évoqué ce choix sous la précédente info sur le Bhoutan avec la réception d’un villageois le 9 avril. Désolé de me citer moi-même…
Nania
11 mars 2016 @ 19:35
Cette photo est tout simplement magnifique!
Valérie Yopla
12 mars 2016 @ 10:38
Qu’ils sont beaux!
Leonor
12 mars 2016 @ 12:19
Je ne connais pas la tradition du Bhoutan à propos de prénom pur les nouveau-nés, mais je trouve cela assez intéressant.
Lorsque j’attendais mes petits à moi, il m’est toujours apparu que tel ou tel prénom émergeait lentement, doucement, au fil du temps et de l’attente, au fil de la formation du bébé en devenir. Comme si LE prénom apparaissait doucement sur le papier photographique dans la cuve ( *), en même temps que le corps et l’esprit de l’enfançon se façonnait dans son cocon.
(*) quand on en était encore à l’ère argentique.
Comme si l’enfant participait au choix de son prénom. Comme si les parents ressentaient ce qu’est vraiment cet enfant et avançaient doucement vers une dénomination à lui adaptée.
Je disais : » il faut écouter le petit ».
Il se trouve que nos fils sont tous très contents de leurs prénoms. Ce n’est peut-être qu’un hasard, mais je ne crois pas au hasard.
Peut-être que les habitants du Bhoutan procèdent un peu de la même manière, en prolongeant encore au-delà de la naissance la période … de probation du prénom.
Mais bien sûr, ce n’est qu’une hypothèse, je n’en sais rien.
Après tout, on peut prendre le temps : un prénom, c’est pour la vie.
Gérard
13 mars 2016 @ 19:09
On se souvient que sous l’Ancien régime les princes et princesses de la maison de France ne recevaient leur prénom qu’on baptême qui avait lieu parfois plusiers années après la naissance après laquelle ils avaient été immédiatement ondoyés. Et c’est ainsi que certains moururent avant qu’on ait connu leur prénom et qu’on les désigne toujours sous le nom d’Anonyme de France, et souvent leur titre.