A la Villa Sauber qui est l’un des deux espaces du Nouveau musée national de Monaco, la princesse de Hanovre a visité l’exposition de Michel Blazy. (Merci à Anne)
Mon dieu mais c est l’horreur intégral
Comment caroline qui est paraît il cultivée peut s ´associer par sa présence à ce que j apparente a de la décadence ?
Es ce que cet art est visible dans sa résidençe privé? Au palais princier?
J en déduis que si elle perd son temps à visiter ce genre d expo c est inquiétant.
J’espère qu elle réalise que sa démarche jette le discrédit sur sa prétendue culture
Graçe doit se retourner dans sa tombe devant tant de mauvais ‘goûts
Si la villa sauver sert à exposer des baskets Monaco est tombée bien bas
A vous lire il faudrait éradiquer de la planète Beaubourg et tous les centres d’Arts contemporains et conceptuels!Si vous en êtes restée aux beautés plastiques et pompiers de la fin du XIXème siècle, sachez que l’Art a évolué depuis le temps . Mais sans doute, préférez vous , comme certains dictateurs dont je tairais les noms , une certaine forme d’art étatique qui dénie tout ce qui n’est pas politiquement correct , appelé , comme vous y faites allusion de » l’art dégénéré ». Merci de laisser Grace où elle se trouve….
vu votre pseudo comme je l’ai déja dit précedemment cet art vous correspond mais moi c est plutôt les tableaux anciens jerôme bosch, Bruegel mais j’arrête là, c’est trop pour votre niveau.
Si vous en êtes restez à Bosch et Bruegel, c’est certain que vous n’étes pas allée trés loin dans vos pérégrinations artistiques, d’où vos énormes lacunes en la matiére…..un peu limitée comme votre égérie sud-africaine , » qui se ressemble s’assemble » ne dit-on pas ?….
Valérie a le droit de ne pas aimer mais devrait le dire en termes plus polis…pour cela ses coms sont des copiés collés de ceux de bianca quand elles ne contrôlent plus leur vulgarité et leur méchanceté !
ml
Marie de Bourgogne
1 février 2018 @
13:28
L’art doit être :
– un plaisir pour les yeux,
– un régal pour la bouche,
– un enchantement pour les oreilles.
Sinon, n’importe qui peut faire de « l’art »…
Cet « art » n’entre dans aucune de ces catégories, donc ce n’est pas de l’art… Juste un délire que n’importe qui peut produire….
bianca
1 février 2018 @
21:52
Me voici en parfaite harmonie avec ce que vous exprimez Marie de Bourgogne, merci Bonne fin de semaine à vous ! bianca
bianca
1 février 2018 @
21:46
En réponse à Marie-Louise ‘ » Commencez par vous contrôler vous-même car je trouve vos commentaires indigents, injustes et d’une médiocrité affligeante envers une jeune femme qui s’efforce, aux côtés de son époux, de redonner un certain éclat à cette Principauté ! Elle mérite un grand respect ! Quant à la vulgarité commencez par revoir la définition de ce mot et de ceux que vous employez de manière très ordinaire et répétitive à souhait ! Valérie exprime ses avis comme vous et moi, c’est sa Liberté d’autant plus qu’elle répondait à un commentaire méprisant de a part d’un personnage peu éduqué ; comme vous qui intervenez dans un échange qui ne vous concerne pas et certainement au-dessus de vos possibilités « artistiques »
Je rappelle à cette Marie-Louise qu’elle doit avoir de gros problèmes de lecture car je ne m’étais pas encore exprimée au sujet de cette exposition, méchanceté gratuite d’une petite personne mesquine et dénuée d’intelligence, j’espère que vous serez ravie cette fois d’avoir mon avis !
Dagobert 1er
28 janvier 2018 @
16:22
Vous faites preuve de ce qu’on appelle une « grande ouverture d’esprit »…
Caroline est « la ministre de la culture « entre autre à Monaco et se doit de participer sans jugement à toutes sortes de manifestations culturelles…
ml
Il est probable aussi qu’elle n’ait pas une culture artistique suffisante pour juger de certaines œuvres… Il y a des personnes pour la renseigner et lui préparer ce qu’elle doit dire, ce n’est pas exceptionnel ce genre de situation !
Marie de B. D’où tirez vous ces maximes ? L’art doit être :
– un plaisir pour les yeux,
– un régal pour la bouche,
– un enchantement pour les oreilles.
Sinon, n’importe qui peut faire de « l’art »…
Vous confondez avec les boites de chocolat de Noel ornées de jolies naïades de Renoir ou de danseuses de Degas ! l’art est perturbateur , interrogateur, innovant ! quand à votre conception de la beauté elle dénote chez vous d’un conservatisme navrant…..voire dictatorial, comme évoqué plus haut !Autant d’immobilisme est pathétique!
Quand à Bianca, elle ne fait que répéter ce qu’elle lit, sans doute une réplicante artificielle ! aucune personnalité !
Et je préfère Renoir ou Degas à un « artiste » qui vent ses excréments comme Piero Menzoni (considéré comme une sommité de « l’art conceptuel ») ou à un type qui plante des fleurs dans des baskets.
Valérie, pour votre gouverne ! :
1917, New York. La Société des Artistes Indépendants s’apprête à ouvrir sa première exposition.
Se voulant résolument modernes, les organisateurs ont pris l’engagement d’accepter toutes les œuvres à condition qu’elles aient un titre, une signature, et que l’artiste s’acquitte d’une somme de 6 dollars. Mais quelques jours avant le lancement, le comité est réuni en urgence…Une « sculpture » envoyée par un certain Richard Mutt pose problème. Dans le comité d’organisation, on crie au scandale, jugeant qu’elle n’a aucune valeur artistique : « C’est une pièce commerciale ressortant de l’art du plombier ».Il y a en effet de quoi être surpris car l’œuvre est… un urinoir. Il est en faïence, fabriqué industriellement et disposé à l’envers, c’est tout.
Le comité est bien embêté, car l’œuvre respecte les conditions d’exposition. L’artiste a versé 6 dollars, il a signé et a donné un titre, Fontaine.Vaut-il mieux accepter la sculpture et se ridiculiser devant le public, ou l’exclure en trahissant le principe fondateur de l’exposition ?Finalement, les organisateurs décident de l’écarter discrètement.Grave erreur ! Derrière le pseudonyme R. Mutt se cache l’artiste Marcel Duchamp, membre du comité d’organisation. Par cette œuvre, il souhaitait tester l’ouverture d’esprit des artistes se prétendant « d’avant-garde ». Il n’a pas été déçu…Avec son humour et sa provocation, Duchamp pose des questions essentielles sur la définition d’une œuvre d’art et sur la légitimité d’une démarche artistique. Ce qui importe, pour lui, c’est l’intention de l’artiste.
Il a choisi un objet industriel et l’a sorti de son contexte habituel pour le mettre dans un musée. Pour Duchamp, cela suffit à le transformer en œuvre d’art, en obligeant le « regardeur » à porter un œil neuf sur cet objet. C’est ce qu’il appelle un ready-made (« préfabriqué »). La preuve que sa démarche a fonctionné ? Fontaine a été récemment élue l’œuvre la plus influente du XXe siècle !
Merci Korobaze, mais ça, on savait. ( » Fontaine », l’urinoir de Duchamp comme oeuvre d’art, concept de » ready made », pour qui n’aurait pas suivi, et en serait bien excusable).
On peut toutes les louanges qu’on veut sur Duchamp et les grandissimes « questions qu’il pose », il n’en reste pas moins qu’en l’occurrence, et pour toutes les décennies suivantes, on a essayé de nous faire prendre des vessies pour des lanternes. En l’occurrence d’urinoir, c’est d’ailleurs le cas de le dire.
Vous parlez aussi d’art officiel, en faisant allusion, sans avoir le courage de le dire, à la période hitlérienne. Art officiel, certes.
Mais l’art officiel, ça existe aussi de nos jours. Et comment ! La preuve ici d’ailleurs : Caroline de Monaco inaugurant, dans un espace officiel monégasque, un machin foutraque pondu ( je reste polie) par un quidam monégasque. Ca ne serait pas un peu de l’art officiel, ça, par hasard ?
En France, c’est pire, parce que à l’échelle de la France. Les écoles d’art, quoique financées par les municipalités ( hormis l’Ecole des B-Arts de Paris) sont sévèrement » tenues » par le Ministère de la Culture qui valident ou non les programmes; les sbires du Ministère sont présents et votants dans les jurys de diplômes.
Pour obtenir une commande publique, de quelque collectivité que ce soit, mieux vaut ( euphémisme) être en phase avec ces vues officielles, en plus de savoir lécher les bottes et le reste de qui il faut.
Alors, Korobaze, il va falloir aller plus loin que votre hagiographie première, si vous voulez défendre ce qu’on nomme encore » l’art contemporain », et qui est … déjà dépassé.
Parce que, s’il y a quantité de vessies, il y a aussi, heureusement, quelques lanternes. Quelques-unes.
Mais seul le temps pourra faire vraiment oeuvre de tri.
Bonjour Léonor, tout d’abord je répondais à Valérie qui se moquait , une fois de plus, de la Princesse Caroline , dont c’est le job, pour avoir inauguré une exposition où des baskets servent de pots de fleurs, en mentionnant son inculture flagrante. Ensuite je me permettais de relever ses propos outranciers qualifiant cette exhibition de « décadente » en faisant référence à l’art officiel qu’il soit hitlérien, stalinien , dictatorial, d’où mon article sur l’urinoir de Duchamp. Bien des galeries privées ou des espaces officiels proposent des « œuvres « que l’on peut qualifier de merdiques : le beau n’étant pas le but recherché en soit loin delà. L’œuvre ne réside plus souvent dans l’objet mais dans l’expérience que l’objet va provoquer .Quant aux commandes publiques, il faudrait être niais pour penser que l’artiste est retenu pour ses seules qualités créatrices, le copinage est de mise ainsi que les effets de mode ! Quant à dire que l’art contemporain est dépassé vous y allez un peu fort , il existe depuis longtemps des mouvements artistiques liés à cet art : mobile art, superflat, nouveau réalisme, internet….Eclairez-moi,merci, je suis tout ouie ! Cependant je suis entièrement d’accord avec vous lorsque vous dites que quelques lanternes nous éclaireront lorsqu’avec le temps les vessies auront éclaté comme des ballons de baudruche …..Et tout cela pour des grolles potagères de marque…
Votre voisine était patriote ! C’est toujours facile de dénigrer quand on n’y comprend rien ! Et pourquoi ce ne serait pas de l’art ? Expliquez moi ?! argumentez , je vous écoute M de B.
Je n’émets pas de critiques vis à vis de Caroline, je ne suis pas dans sa tête.
Mais il est vrai que je ne vois aucun intérêt à cette expo, je trouve ça très très laid, je suis perplexe car je n’en comprend pas l’intérêt, ni ce que ça véhicule.
Michel Blazy est un artiste contemporain né à Monaco d’où le soutien de la Principauté !
Comme pour tout ce qui touche à l’art…ce sont des coups de cœur ou pas et s’intéresser à la démarche de l’auteur est instructive et permet de mieux comprendre son œuvre !
c’est vrai aussi, il faut parfois dépasser son premier sentiment vis à vis d’une œuvre pour l’apprécier.
Mais parfois, même en connaissant la démarche de l’auteur, on aime toujours PAS :)
Totalement de votre avis Garance et ici je n’aime pas …Caroline ne fait que se plier au protocole – ce que devrait faire plus souvent sa belle -soeur – et je lui connais des goûts et un avis très sûrs et avisés !
C’est certain, vous devez beaucoup vous fréquenter, votre compagnie d’une intelligence supérieure, délicate, d’un savoir-vivre, d’une empathie exemplaire envers autrui, autant de vertus qui doivent vraiment toucher son âme exceptionnelle !
Leonor
29 janvier 2018 @
14:00
Non, Milou. Il ne peut être question que de » coups de coeur ».
Et la » démarche » de l’auteur (« démarche » = terme consacré qu’il est de bon ton d’utiliser) n’est le plus souvent qu’un blabla verbeux et prétentieux, poudre aux yeux qui ne saurait remplacer la qualité d’une oeuvre véritable.
« Artiste » né a Monaco, adepte de la « mutation aléatoire »,qui vend à un musée un « protocole » pour tartiner les murs de purée de carotte décongelée mélangée à des flocons de pommes de terre afin de laisser les moisissures se développer sans même se salir les doigts, ou des piles de demi-oranges pourrissantes et puantes.
L’orange en pourrissant n’est jamais puante,chiffonette.Je vis au pays des orangers,et…je les composte pour mes arbres,alors je suis bien placée pour vous le dire.;-))
Ceci dit,je suis comme vous,cet artiste me semble être un pur produit de notre époque artistique en faiblesse défaillante^^.
Oui, chiffonette ici on a le côté soft de l’art de Michel Blazy, car les plantes n’ont pas encore eu le temps de moisir, se dessécher ou carrément pourrir avec les odeurs « éthérées » dont se réclame cet artiste.
Caroline a aussi échappé au caniche en mousse à raser et autres mouches du bar à oranges…
Oui. La thématique du » pourri » dans une société qui pourrit.
Très à la mode.
Paraît qu’il faut » être en phase », qu’y disent, avec la société.
Ce zigoto-là est tellement en phase avec la société qu’il sait exactement quoi vendre à qui le vendre.
Oui, y’a de ça. Du grand art aussi que de faire sonner le tiroir-caisse au passage. Spécialiste en la matière : Jeff Koons. L’a tout compris, celui-là .
Je ne pensais pas réagir sur ce sujet, Chiffonette, mais votre descriptif de « l’artiste » ne me laisse pas indifférente… ?
La première photo non plus…
Mais comme cela pourrait être dit de manière plus élégante, Leonor chérie mais heureusement que vous n’aggravez pas votre cas par un « lol » si peu linguistiquement français !
?
ml
Question linguistique depuis quand êtes-vous aussi « exigeante » vraiment vous êtes de plus en plus drôle !!! Il me semble bien que d’autres personnes ont fait cette observation !!!
Qui d’autre que Caroline pour porter ce trench-coat léopard dans sa version la moins décalée possible, sans prendre, d’office, 10 ans d’âge supplémentaires ?
Des chaussures de sport vaguement déguisées en pots de fleurs…
Des adultes qui déambulent au milieu avec dignité…
J’avoue que je me suis beaucoup amusé !
Sur la 1ère photo, la princesse Caroline semble lutter contre le fou-rire
vu votre pseudo comme je l’ai déja dit précedemment cet art vous correspond mais moi c est plutôt les tableaux anciens jerôme bosch, Bruegel mais j’arrête là, c’est trop pour votre niveau.
Non, non, non, Robespierre. Vous n’y arriveriez pas. Vous ne savez pas jeter de poivre aux yeux. Vous ne savez pas faire du vent avec rien. Vous êtes trop honnête…
Une manière bien sympa et très écolo de recycler ses vieilles baskets.
Une idée que chacun peut décliner chez soi, et qui vous vaudra l’admiration de vos ami(e)s. Quel talent, ce Michel !
C’est à la portée du premier venu mettre des fleurs dans des baskets, mais oser en faire une exposition , je me demande si le prétendu artiste a toute sa raison ! plus encore ceux qui se déplacent pour » l’admirer » ….
Ce n’est pas nouveau ,mes voisins exposent leurs vieilles chaussures de montagne ,qui ont au moins 30 ans ,sont magnifiques ,avec des fleurs qu’ils renouvellent tous les ans .
Je vais leur dire qu’ils sont des artistes ,ils pensaient simplement être nostalgiques de leur randonnées .
Caroline ressemble à la chanteuse Dani ! Quand aux pseudos artistes si il y a des gens assez bêtes pour acheter ces trucs débiles je n’y vois aucun inconvénients
L’histoire ne précise pas si la belle Caroline de Hanovre a apprécié ou non cette expo. Sans doute que non. Un non franc et massif, car on peut se fier à son bon goût. Quant à sa mise, manteau et pantalon sont très chics. Ah ! Caroline de Hanovre ! le top du top en matière d’élégance. J’adore.
Quelques autres photos de cette visite à la Villa Sauber avec l’exposition en question, le famous trench-manteau sous d’autres coutures (je n’ai pas trouvé la marque), à noter le superbe sac bicolore Chanel de la princesse
Merci pour le diaporama, Auberi, bien intéressant. En effet, il s’agit d’une « installation », donc, par définition, un « événement » un peu déjanté, façon années 1990. Il s’agit de l’observer avec recul, comme le fait Caroline, très bien habillée.
Eh bien je vous trouve sévère avec Caroline, elle porte à mon avis très bien cette tenue et je lui trouve une grande douceur sur le visage, quand à l’expo je ne suis pas sensible à ce genre d’art … Monsieur Blazy a une réputation internationale grâce à ses installations intégrant des « matières vivantes » peut-on lire, oui…mais pour moi ça ne change rien.
La seule fois où je suis tombée nez à nez avec l’urinoir de Duchamp, c’etait au Moma début 80…
Les Klein, Rothko, Pollock, Basquiat… m’indiffèrent, je n’ai pas cette « sensibilité ».
Une relation, adepte de la pensée unique, plaçait Rothko au dessus de tout.
Pour le calmer, une semaine après, je lui ai offert une toile avec une reproduction « parfaite » de celle qui c’etait vendue plusieurs millions de dollars quelques temps auparavant, toile exécutée par un ami copiste au Louvre, qui en était très amusé.
Cette relation pro Rothko était si impressionnée par la chose, que lors de son divorce, il y a eu bagarre entre monsieur et madame, pour garder la chose…
C’est donc avec circonspection, que j’ai visité l’exposition de Damien Hirst à Venise en septembre dernier (je n’ai pas fait le déplacement, j’y séjourne plusieurs mois par an).
Et là, à ma grande surprise, je dois dire que j’ai apprécié les matériaux utilisés et le délire de cette création.
Je ne suis pas totalement irrécupérable ?
Pour le sujet en question, je ne vois pas comment ne pas penser que c’est de la foutaise.
Quelle coïncidence, je lisais un livre sur Emily Dickinson, et je tombe sur un passage qui décrit comment son neveu qui habitait juste à côté courait toujours lui rendre visite. Un jour qu’il oublia ses bottes en caoutchouc elle les lui fit parvenir sur un plateau d’argent, l’intérieur garni de fleurs. Voilà un beau geste poétique. L’art devrait être geste et devrait être fulgurant et avoir un rapport avec l’amour, quel qu’il soit, dans tous ses états. Cette installation est trop statique pour des chaussures, surtout si le destin final est la putréfaction si j’ai bien compris.
Dans les cimetières, ici, on trouve parfois à côté des tombes des bottes ou chaussures sculptées remplies de fleurs : bottes de cowboys, bottes de pêcheurs, bottes de motocyclistes, bottes militaires ou d’aviateurs, chaussures de golfeurs, chaussons de danseuse. Il y a un pathos, une certaine identification possible dans ces, disons, installations, mais dans celle de Michel Blazy je ne vois strictement pas l’intérêt ou le rapport avec notre humanité. J’aime bien l’exemple des chaussures de randonnée de montagne remplies de fleurs. Excellent !
Chère Marie, j’aime votre définition de l’art et l’optimisme sur la vie dont elle témoigne. Peut-être en avons-nous tous une personnelle et qui évolue avec nous. Pour moi, impromptu, ce serait, « Ce qui me tient éveillée la nuit, tous les sens en alerte, émerveillée par le mystère de la création (de l’artiste-shaman) et de ce qu’il/elle a vu (senti, vécu) qu’il/elle cherche à communiquer. » Ça doit être mon côté mystique, je pense que l’univers fonctionne selon une grammaire mathématique et physique, dont, si nous tendons l’ouïe, nous pouvons recevoir des échos cosmiques…
Enfin, ce qui compte c’est d’avoir été touché il me semble, élément qui manque fort à cette exposition du peu que j’en vois.
J’ai apprécié le “J’ai cru qu’elle faisait les soldes chez Eram » de Germain. Le surréalisme de la célèbre citation de Lautréamont, ‘Beau comme la rencontre fortuite sur une table de dissection d’une machine à coudre et d’un parapluie » a été tellement récupéré à des fins commerciales que ces juxtapositions humoristiques, ces clins d’œil complices fonctionnent parfaitement dans les magasins, y compris les galeries d’art. On achète parce-qu’on a compris, (surtout quand il n’y avait rien à comprendre), heureux élus que nous sommes…
L’art a été (sera?) un sujet fréquemment posé dans l’épreuve de philosophie du baccalauréat. C’est dire qu’il y a de quoi réfléchir et chacun peut avoir des idées différentes de celles de son voisin.
De plus les goûts changent dans le temps. Mais une chose est certaine : les chaussures de sport, les vêtements de luxe ou les jeans troués très à la mode ….ont une valeur financière certaine et aussi une valeur sociologique . Alors pourquoi n’auraient ils pas une place dans un musée spécialisé? On a le droit d’aimer ou pas
Bambou
28 janvier 2018 @ 06:25
Oh, les tenues…!
Valerie
28 janvier 2018 @ 07:56
Mon dieu mais c est l’horreur intégral
Comment caroline qui est paraît il cultivée peut s ´associer par sa présence à ce que j apparente a de la décadence ?
Es ce que cet art est visible dans sa résidençe privé? Au palais princier?
J en déduis que si elle perd son temps à visiter ce genre d expo c est inquiétant.
J’espère qu elle réalise que sa démarche jette le discrédit sur sa prétendue culture
Graçe doit se retourner dans sa tombe devant tant de mauvais ‘goûts
Si la villa sauver sert à exposer des baskets Monaco est tombée bien bas
Muscate-Valeska de Lisabé
28 janvier 2018 @ 10:51
Même sans cela,depuis 1982,en fait,Monaco est tombé bien bas^^.
korobaze
28 janvier 2018 @ 11:53
A vous lire il faudrait éradiquer de la planète Beaubourg et tous les centres d’Arts contemporains et conceptuels!Si vous en êtes restée aux beautés plastiques et pompiers de la fin du XIXème siècle, sachez que l’Art a évolué depuis le temps . Mais sans doute, préférez vous , comme certains dictateurs dont je tairais les noms , une certaine forme d’art étatique qui dénie tout ce qui n’est pas politiquement correct , appelé , comme vous y faites allusion de » l’art dégénéré ». Merci de laisser Grace où elle se trouve….
valerie
29 janvier 2018 @ 10:44
vu votre pseudo comme je l’ai déja dit précedemment cet art vous correspond mais moi c est plutôt les tableaux anciens jerôme bosch, Bruegel mais j’arrête là, c’est trop pour votre niveau.
Les baskets c’est parfait pour vous
korobaze
30 janvier 2018 @ 14:41
Si vous en êtes restez à Bosch et Bruegel, c’est certain que vous n’étes pas allée trés loin dans vos pérégrinations artistiques, d’où vos énormes lacunes en la matiére…..un peu limitée comme votre égérie sud-africaine , » qui se ressemble s’assemble » ne dit-on pas ?….
milou
31 janvier 2018 @ 14:14
Excellent korobaze…excellent !
Valérie a le droit de ne pas aimer mais devrait le dire en termes plus polis…pour cela ses coms sont des copiés collés de ceux de bianca quand elles ne contrôlent plus leur vulgarité et leur méchanceté !
ml
Marie de Bourgogne
1 février 2018 @ 13:28
L’art doit être :
– un plaisir pour les yeux,
– un régal pour la bouche,
– un enchantement pour les oreilles.
Sinon, n’importe qui peut faire de « l’art »…
Cet « art » n’entre dans aucune de ces catégories, donc ce n’est pas de l’art… Juste un délire que n’importe qui peut produire….
bianca
1 février 2018 @ 21:52
Me voici en parfaite harmonie avec ce que vous exprimez Marie de Bourgogne, merci Bonne fin de semaine à vous ! bianca
bianca
1 février 2018 @ 21:46
En réponse à Marie-Louise ‘ » Commencez par vous contrôler vous-même car je trouve vos commentaires indigents, injustes et d’une médiocrité affligeante envers une jeune femme qui s’efforce, aux côtés de son époux, de redonner un certain éclat à cette Principauté ! Elle mérite un grand respect ! Quant à la vulgarité commencez par revoir la définition de ce mot et de ceux que vous employez de manière très ordinaire et répétitive à souhait ! Valérie exprime ses avis comme vous et moi, c’est sa Liberté d’autant plus qu’elle répondait à un commentaire méprisant de a part d’un personnage peu éduqué ; comme vous qui intervenez dans un échange qui ne vous concerne pas et certainement au-dessus de vos possibilités « artistiques »
bianca
1 février 2018 @ 21:48
» oups… De la part d’un personnage ….
bianca
1 février 2018 @ 22:35
Je rappelle à cette Marie-Louise qu’elle doit avoir de gros problèmes de lecture car je ne m’étais pas encore exprimée au sujet de cette exposition, méchanceté gratuite d’une petite personne mesquine et dénuée d’intelligence, j’espère que vous serez ravie cette fois d’avoir mon avis !
Dagobert 1er
28 janvier 2018 @ 16:22
Vous faites preuve de ce qu’on appelle une « grande ouverture d’esprit »…
milou
29 janvier 2018 @ 11:58
J’adore Dagobert 1er!!!
Caroline est « la ministre de la culture « entre autre à Monaco et se doit de participer sans jugement à toutes sortes de manifestations culturelles…
ml
Marie de Bourgogne
1 février 2018 @ 13:29
L’ouverture d’esprit ne veut pas dire cautionner tout et n’importe quoi…
bianca
1 février 2018 @ 22:26
Il est probable aussi qu’elle n’ait pas une culture artistique suffisante pour juger de certaines œuvres… Il y a des personnes pour la renseigner et lui préparer ce qu’elle doit dire, ce n’est pas exceptionnel ce genre de situation !
korobaze
2 février 2018 @ 16:22
Marie de B. D’où tirez vous ces maximes ? L’art doit être :
– un plaisir pour les yeux,
– un régal pour la bouche,
– un enchantement pour les oreilles.
Sinon, n’importe qui peut faire de « l’art »…
Vous confondez avec les boites de chocolat de Noel ornées de jolies naïades de Renoir ou de danseuses de Degas ! l’art est perturbateur , interrogateur, innovant ! quand à votre conception de la beauté elle dénote chez vous d’un conservatisme navrant…..voire dictatorial, comme évoqué plus haut !Autant d’immobilisme est pathétique!
Quand à Bianca, elle ne fait que répéter ce qu’elle lit, sans doute une réplicante artificielle ! aucune personnalité !
Marie de Bourgogne
4 février 2018 @ 13:52
@ Korobaze
Cela me semble assez simple à comprendre non ?
Et je préfère Renoir ou Degas à un « artiste » qui vent ses excréments comme Piero Menzoni (considéré comme une sommité de « l’art conceptuel ») ou à un type qui plante des fleurs dans des baskets.
Bienveillance
28 janvier 2018 @ 19:30
Le poids des mots : DÉCADENCE, rien que ça !!!
korobaze
29 janvier 2018 @ 09:44
Valérie, pour votre gouverne ! :
1917, New York. La Société des Artistes Indépendants s’apprête à ouvrir sa première exposition.
Se voulant résolument modernes, les organisateurs ont pris l’engagement d’accepter toutes les œuvres à condition qu’elles aient un titre, une signature, et que l’artiste s’acquitte d’une somme de 6 dollars. Mais quelques jours avant le lancement, le comité est réuni en urgence…Une « sculpture » envoyée par un certain Richard Mutt pose problème. Dans le comité d’organisation, on crie au scandale, jugeant qu’elle n’a aucune valeur artistique : « C’est une pièce commerciale ressortant de l’art du plombier ».Il y a en effet de quoi être surpris car l’œuvre est… un urinoir. Il est en faïence, fabriqué industriellement et disposé à l’envers, c’est tout.
Le comité est bien embêté, car l’œuvre respecte les conditions d’exposition. L’artiste a versé 6 dollars, il a signé et a donné un titre, Fontaine.Vaut-il mieux accepter la sculpture et se ridiculiser devant le public, ou l’exclure en trahissant le principe fondateur de l’exposition ?Finalement, les organisateurs décident de l’écarter discrètement.Grave erreur ! Derrière le pseudonyme R. Mutt se cache l’artiste Marcel Duchamp, membre du comité d’organisation. Par cette œuvre, il souhaitait tester l’ouverture d’esprit des artistes se prétendant « d’avant-garde ». Il n’a pas été déçu…Avec son humour et sa provocation, Duchamp pose des questions essentielles sur la définition d’une œuvre d’art et sur la légitimité d’une démarche artistique. Ce qui importe, pour lui, c’est l’intention de l’artiste.
Il a choisi un objet industriel et l’a sorti de son contexte habituel pour le mettre dans un musée. Pour Duchamp, cela suffit à le transformer en œuvre d’art, en obligeant le « regardeur » à porter un œil neuf sur cet objet. C’est ce qu’il appelle un ready-made (« préfabriqué »). La preuve que sa démarche a fonctionné ? Fontaine a été récemment élue l’œuvre la plus influente du XXe siècle !
Leonor
29 janvier 2018 @ 13:56
Merci Korobaze, mais ça, on savait. ( » Fontaine », l’urinoir de Duchamp comme oeuvre d’art, concept de » ready made », pour qui n’aurait pas suivi, et en serait bien excusable).
On peut toutes les louanges qu’on veut sur Duchamp et les grandissimes « questions qu’il pose », il n’en reste pas moins qu’en l’occurrence, et pour toutes les décennies suivantes, on a essayé de nous faire prendre des vessies pour des lanternes. En l’occurrence d’urinoir, c’est d’ailleurs le cas de le dire.
Vous parlez aussi d’art officiel, en faisant allusion, sans avoir le courage de le dire, à la période hitlérienne. Art officiel, certes.
Mais l’art officiel, ça existe aussi de nos jours. Et comment ! La preuve ici d’ailleurs : Caroline de Monaco inaugurant, dans un espace officiel monégasque, un machin foutraque pondu ( je reste polie) par un quidam monégasque. Ca ne serait pas un peu de l’art officiel, ça, par hasard ?
En France, c’est pire, parce que à l’échelle de la France. Les écoles d’art, quoique financées par les municipalités ( hormis l’Ecole des B-Arts de Paris) sont sévèrement » tenues » par le Ministère de la Culture qui valident ou non les programmes; les sbires du Ministère sont présents et votants dans les jurys de diplômes.
Pour obtenir une commande publique, de quelque collectivité que ce soit, mieux vaut ( euphémisme) être en phase avec ces vues officielles, en plus de savoir lécher les bottes et le reste de qui il faut.
Alors, Korobaze, il va falloir aller plus loin que votre hagiographie première, si vous voulez défendre ce qu’on nomme encore » l’art contemporain », et qui est … déjà dépassé.
Parce que, s’il y a quantité de vessies, il y a aussi, heureusement, quelques lanternes. Quelques-unes.
Mais seul le temps pourra faire vraiment oeuvre de tri.
korobaze
30 janvier 2018 @ 15:46
Bonjour Léonor, tout d’abord je répondais à Valérie qui se moquait , une fois de plus, de la Princesse Caroline , dont c’est le job, pour avoir inauguré une exposition où des baskets servent de pots de fleurs, en mentionnant son inculture flagrante. Ensuite je me permettais de relever ses propos outranciers qualifiant cette exhibition de « décadente » en faisant référence à l’art officiel qu’il soit hitlérien, stalinien , dictatorial, d’où mon article sur l’urinoir de Duchamp. Bien des galeries privées ou des espaces officiels proposent des « œuvres « que l’on peut qualifier de merdiques : le beau n’étant pas le but recherché en soit loin delà. L’œuvre ne réside plus souvent dans l’objet mais dans l’expérience que l’objet va provoquer .Quant aux commandes publiques, il faudrait être niais pour penser que l’artiste est retenu pour ses seules qualités créatrices, le copinage est de mise ainsi que les effets de mode ! Quant à dire que l’art contemporain est dépassé vous y allez un peu fort , il existe depuis longtemps des mouvements artistiques liés à cet art : mobile art, superflat, nouveau réalisme, internet….Eclairez-moi,merci, je suis tout ouie ! Cependant je suis entièrement d’accord avec vous lorsque vous dites que quelques lanternes nous éclaireront lorsqu’avec le temps les vessies auront éclaté comme des ballons de baudruche …..Et tout cela pour des grolles potagères de marque…
Marie de Bourgogne
1 février 2018 @ 13:31
« dont c’est le job, pour avoir inauguré une exposition où des baskets servent de pots de fleurs, en mentionnant son inculture flagrante »
Pas besoin d’être soit disant cultivé pour considérer que des baskets servant de pots de fleurs ne sont pas de l’art.
Une de mes voisines avait planté des fleurs dans un casque allemand. Elle ne s’est jamais prétendue artiste.
ML
1 février 2018 @ 19:58
Korobaze , malgré toute ma bonne volonté , je dois dire que les baskets fleuries ne m’enthousiasment pas , tout comme l’art pompier .
bianca
1 février 2018 @ 22:38
Comme d’autres ont mis des plantes vertes dans de vieux pots de chambre en porcelaine, eh oui !!! Bien dit Marie de Bourgogne !
Auberi
29 janvier 2018 @ 21:32
Ouf… Merci Korobaze ! ;))
korobaze
1 février 2018 @ 21:18
Votre voisine était patriote ! C’est toujours facile de dénigrer quand on n’y comprend rien ! Et pourquoi ce ne serait pas de l’art ? Expliquez moi ?! argumentez , je vous écoute M de B.
Marie de Bourgogne
4 février 2018 @ 13:54
@ korobaze
« C’est toujours facile de dénigrer quand on n’y comprend rien ! »
Vous vous décrivez parfaitement ! ?
Gibbs ??
30 janvier 2018 @ 12:11
korobaze,
Vu récemment dans « Scènes de ménage » avec le couple Emma-Fabien !
Référence citée.
garance
29 janvier 2018 @ 13:56
Je n’émets pas de critiques vis à vis de Caroline, je ne suis pas dans sa tête.
Mais il est vrai que je ne vois aucun intérêt à cette expo, je trouve ça très très laid, je suis perplexe car je n’en comprend pas l’intérêt, ni ce que ça véhicule.
milou
28 janvier 2018 @ 08:04
Il n’y a qu’elle pour porter ce genre de manteau imprimé sans que cela soit vulgaire, même si je n’en suis pas séduite !
Manteau déjà porté lors de la présentation des jumeaux, il me semble!
Caroline a toujours autant d’allure, naturellement !
ml
Muscate-Valeska de Lisabé
28 janvier 2018 @ 10:52
Je la trouve toujours belle aussi,même à 61ans,chère Milou.
milou
29 janvier 2018 @ 06:05
Michel Blazy est un artiste contemporain né à Monaco d’où le soutien de la Principauté !
Comme pour tout ce qui touche à l’art…ce sont des coups de cœur ou pas et s’intéresser à la démarche de l’auteur est instructive et permet de mieux comprendre son œuvre !
ml
garance
29 janvier 2018 @ 13:59
c’est vrai aussi, il faut parfois dépasser son premier sentiment vis à vis d’une œuvre pour l’apprécier.
Mais parfois, même en connaissant la démarche de l’auteur, on aime toujours PAS :)
Gibbs ??
30 janvier 2018 @ 12:15
Garance,
Je rejoins votre commentaire.
milou
31 janvier 2018 @ 14:20
Totalement de votre avis Garance et ici je n’aime pas …Caroline ne fait que se plier au protocole – ce que devrait faire plus souvent sa belle -soeur – et je lui connais des goûts et un avis très sûrs et avisés !
ml
bianca
1 février 2018 @ 22:18
C’est certain, vous devez beaucoup vous fréquenter, votre compagnie d’une intelligence supérieure, délicate, d’un savoir-vivre, d’une empathie exemplaire envers autrui, autant de vertus qui doivent vraiment toucher son âme exceptionnelle !
Leonor
29 janvier 2018 @ 14:00
Non, Milou. Il ne peut être question que de » coups de coeur ».
Et la » démarche » de l’auteur (« démarche » = terme consacré qu’il est de bon ton d’utiliser) n’est le plus souvent qu’un blabla verbeux et prétentieux, poudre aux yeux qui ne saurait remplacer la qualité d’une oeuvre véritable.
Juliette
29 janvier 2018 @ 18:39
Tout à fait de votre avis, ml.
Seule elle le peut, et le fait avec panache.
chiffonette
28 janvier 2018 @ 09:30
« Artiste » né a Monaco, adepte de la « mutation aléatoire »,qui vend à un musée un « protocole » pour tartiner les murs de purée de carotte décongelée mélangée à des flocons de pommes de terre afin de laisser les moisissures se développer sans même se salir les doigts, ou des piles de demi-oranges pourrissantes et puantes.
Muscate-Valeska de Lisabé
28 janvier 2018 @ 10:49
L’orange en pourrissant n’est jamais puante,chiffonette.Je vis au pays des orangers,et…je les composte pour mes arbres,alors je suis bien placée pour vous le dire.;-))
Ceci dit,je suis comme vous,cet artiste me semble être un pur produit de notre époque artistique en faiblesse défaillante^^.
AnneLise
28 janvier 2018 @ 11:26
Oui, chiffonette ici on a le côté soft de l’art de Michel Blazy, car les plantes n’ont pas encore eu le temps de moisir, se dessécher ou carrément pourrir avec les odeurs « éthérées » dont se réclame cet artiste.
Caroline a aussi échappé au caniche en mousse à raser et autres mouches du bar à oranges…
Gibbs ??
30 janvier 2018 @ 12:18
Décidément, « ce nouveau monde » ne me convient pas du tout.
Euphémisme !
bianca
28 janvier 2018 @ 11:34
Merci chiffonette pour l’envers du décor….lol !!!
Leonor
28 janvier 2018 @ 13:31
Oui. La thématique du » pourri » dans une société qui pourrit.
Très à la mode.
Paraît qu’il faut » être en phase », qu’y disent, avec la société.
Ce zigoto-là est tellement en phase avec la société qu’il sait exactement quoi vendre à qui le vendre.
Carole 007
29 janvier 2018 @ 15:42
Ça peut être aussi du grand art de se payer la tête du monde Leonor ?
Leonor
30 janvier 2018 @ 14:14
Oui, y’a de ça. Du grand art aussi que de faire sonner le tiroir-caisse au passage. Spécialiste en la matière : Jeff Koons. L’a tout compris, celui-là .
Carole 007
28 janvier 2018 @ 14:31
Je ne pensais pas réagir sur ce sujet, Chiffonette, mais votre descriptif de « l’artiste » ne me laisse pas indifférente… ?
La première photo non plus…
Figaro
28 janvier 2018 @ 09:35
Exposition horticole ou dressing d’un fan de chaussures dites de sport ?
Carole 007
28 janvier 2018 @ 14:33
Vous n’avez pas tout suivi, c’est de l’art, dans un musée, avec la princesse de Hanovre, qui est en charge de la culture à Monaco.
Leonor
29 janvier 2018 @ 14:01
Ce n’est pas de l’art. C’est une décharge de godasses pourries.
Je ne marche pas dans ce genre de c…..ie.
Carole 007
30 janvier 2018 @ 13:27
Enfin, Leonor, je suis bien d’accord avec vous.
Je me moquais du niveau « culturel » de la principauté, représenté par la princesse de Hanovre…
Quand à « l’artiste , je me demande si c’est de l’art ou du cochon… ?
bianca
30 janvier 2018 @ 14:30
Excellent Leonor… je n’apprécie guère aussi !
milou
31 janvier 2018 @ 14:25
Mais comme cela pourrait être dit de manière plus élégante, Leonor chérie mais heureusement que vous n’aggravez pas votre cas par un « lol » si peu linguistiquement français !
?
ml
bianca
1 février 2018 @ 22:03
Question linguistique depuis quand êtes-vous aussi « exigeante » vraiment vous êtes de plus en plus drôle !!! Il me semble bien que d’autres personnes ont fait cette observation !!!
Francois
28 janvier 2018 @ 10:16
C’est la LIONNE !!!!
Muscate-Valeska de Lisabé
28 janvier 2018 @ 10:45
Là ce serait plutôt la panthère^^.
Francois
29 janvier 2018 @ 13:13
C’est bien sur une expression
Vous l’avez bien compris
Je trouve que c’est plus amusant
Muscate-Valeska de Lisabé
30 janvier 2018 @ 17:41
Tant qu’elle n’est pas dans une cage au cirque de Monaco, oui, c’est amusant ;-)).
Francois
31 janvier 2018 @ 09:35
Vous voyez vous m’aviez parfaitement compris
Corsica
28 janvier 2018 @ 19:38
Une lionne tachetée ? Impossible.
Mélusine
29 janvier 2018 @ 15:53
Un croisement de lion et de panthère ? :)
Jackline du Bosc
28 janvier 2018 @ 10:43
Pas trr
Pas trés élégant ce manteau
JAusten
28 janvier 2018 @ 13:42
une laideur absolue même. Caroline milite t’elle contre le port de la vraie fourrure ?
Laure2
28 janvier 2018 @ 19:07
l’exposition de l’étant pas non plus tout va bien .
Stéphane G.
29 janvier 2018 @ 12:53
superbe manteau je l’adore, très bien porté
Mélusine
29 janvier 2018 @ 15:55
Un simple clin d’oeil, sans doute. La mode s’est aussi, parfois, s’amuser… :)
Mélusine
29 janvier 2018 @ 15:55
C’ est aussi….
particule
28 janvier 2018 @ 11:02
La princesse est allée chasser le léopard ?
clement
28 janvier 2018 @ 11:04
Etrange tenue pour Caroline si élégante d’habitude !
Cosmo
28 janvier 2018 @ 11:28
On ne pense jamais assez à recycler ses vieilles chaussures en pots de fleurs.
Une idée d’installation : vider sa poubelle tous les jours sur la Savonnerie XVIIIe dans votre salon.
Mélusine
29 janvier 2018 @ 16:00
Cosmo
Plutôt vider nos poubelles sur les tapis précieux de cet « artiste » ! puisqu’il aime les déchets en putréfaction… :)
Carole 007
30 janvier 2018 @ 14:13
Bonne idée Mélusine ?
Cosmo
30 janvier 2018 @ 16:53
Mélusine,
Vous avez raison, j’aurais dû écrire de « son salon ».
Amitiés
Cosmo
bianca
28 janvier 2018 @ 11:36
Ce genre de manteau je l’ai toujours trouvé vulgaire, il ne donne pas une belle allure à une femme
Gatienne
28 janvier 2018 @ 11:44
Qui d’autre que Caroline pour porter ce trench-coat léopard dans sa version la moins décalée possible, sans prendre, d’office, 10 ans d’âge supplémentaires ?
Marie-Françoise
28 janvier 2018 @ 11:53
la princesse Caroline assume son age avec classe et élégance ! même ses rides ! j’aime beaucoup cette simplicité authentique !
Vatel
28 janvier 2018 @ 13:06
Des chaussures de sport vaguement déguisées en pots de fleurs…
Des adultes qui déambulent au milieu avec dignité…
J’avoue que je me suis beaucoup amusé !
Sur la 1ère photo, la princesse Caroline semble lutter contre le fou-rire
valerie
29 janvier 2018 @ 10:47
vu votre pseudo comme je l’ai déja dit précedemment cet art vous correspond mais moi c est plutôt les tableaux anciens jerôme bosch, Bruegel mais j’arrête là, c’est trop pour votre niveau.
Les baskets c’est parfait pour vous
Baia
28 janvier 2018 @ 13:22
Manteau d’un goût douteux et pantalon trop long et trop large … Tout n’est pas bon à porter, même si on s’appelle Caroline de Hanovre !
Robespierre
28 janvier 2018 @ 13:48
Il y a dans mon frigo des pommes de terre qui ont germé… Je mettais ça dans de vieux baskets et j’étais éligible pour cette expo.
Leonor
29 janvier 2018 @ 14:03
Non, non, non, Robespierre. Vous n’y arriveriez pas. Vous ne savez pas jeter de poivre aux yeux. Vous ne savez pas faire du vent avec rien. Vous êtes trop honnête…
Carole 007
30 janvier 2018 @ 14:14
Peut-être même pour la Fiac…
Marie de Bourgogne
1 février 2018 @ 13:34
Et que dire de ce fameux artiste qui vendait ses excréments (Piero Menzoni) ?
Pierre-Yves
28 janvier 2018 @ 14:11
Une manière bien sympa et très écolo de recycler ses vieilles baskets.
Une idée que chacun peut décliner chez soi, et qui vous vaudra l’admiration de vos ami(e)s. Quel talent, ce Michel !
garance
29 janvier 2018 @ 14:03
ça nous vaudra surtout des moqueries sous cape ou un petit tour à l’asile :)
Alinéas
28 janvier 2018 @ 16:01
En agrandissant la première photo, on peut mieux apprécier l’allure qu’elle a dans ce manteau..!
Nicole C 34
28 janvier 2018 @ 16:06
C’est à la portée du premier venu mettre des fleurs dans des baskets, mais oser en faire une exposition , je me demande si le prétendu artiste a toute sa raison ! plus encore ceux qui se déplacent pour » l’admirer » ….
Mary
28 janvier 2018 @ 16:13
Des chaussures transformées en pots ? Pas bête !
Baboula
29 janvier 2018 @ 20:41
Ce n’est pas nouveau ,mes voisins exposent leurs vieilles chaussures de montagne ,qui ont au moins 30 ans ,sont magnifiques ,avec des fleurs qu’ils renouvellent tous les ans .
Je vais leur dire qu’ils sont des artistes ,ils pensaient simplement être nostalgiques de leur randonnées .
berton
28 janvier 2018 @ 16:25
L’ art de se « foutre » du monde ou l’art pour bobos !
garance
29 janvier 2018 @ 14:03
bien dit, aussi.
l'Alsacienne
28 janvier 2018 @ 16:51
J’hallucine ? des plantes piquées dans des chaussures et on appelle cela une œuvre d’art ?
Vraiment, j’ai tout faux.
Germain
28 janvier 2018 @ 17:02
J’ai cru qu’elle faisait les soldes chez Eram…
Val
28 janvier 2018 @ 20:18
Caroline ressemble à la chanteuse Dani ! Quand aux pseudos artistes si il y a des gens assez bêtes pour acheter ces trucs débiles je n’y vois aucun inconvénients
valerie
29 janvier 2018 @ 10:49
l inculture et l’incurie sont sans limite, hélas
monica
29 janvier 2018 @ 18:43
Val à la chanteuse Daniel qui est toute refaite !!
bianca
30 janvier 2018 @ 14:34
Pas de ressemblance du tout avec Dany la chanteuse !!! Heureusement !!!
marianne
28 janvier 2018 @ 20:33
L’ art contemporain dans tout son ridicule, son insignifiance, sa vanité , son horreur du beau .
valerie
29 janvier 2018 @ 10:48
oh que oui
bianca
29 janvier 2018 @ 12:23
Beau résumé marianne !
Arielle
28 janvier 2018 @ 21:00
L’histoire ne précise pas si la belle Caroline de Hanovre a apprécié ou non cette expo. Sans doute que non. Un non franc et massif, car on peut se fier à son bon goût. Quant à sa mise, manteau et pantalon sont très chics. Ah ! Caroline de Hanovre ! le top du top en matière d’élégance. J’adore.
milou
31 janvier 2018 @ 14:28
Vous m’êtes bien précieuse Arielle !
?
ml
Teresa 2424
28 janvier 2018 @ 22:50
Caroline a de charme!!
Xenia
28 janvier 2018 @ 22:53
Drole d exposition! Des chaussures de sport comme pot de fleurs. Curieux!
DUCHESSE
29 janvier 2018 @ 17:13
C’est pour que l’exposition soit inaugurée en grandes pompes.
Comment n’y avions nous pas pensé ?
Leonor
30 janvier 2018 @ 14:16
Joli, Duchesse ! Joli ! :-))
Carole 007
30 janvier 2018 @ 14:17
Bravo Duchesse ! ?
Cosmo
30 janvier 2018 @ 16:55
Excellent !
Muscate-Valeska de Lisabé
31 janvier 2018 @ 18:12
Oui! ;-))
milou
31 janvier 2018 @ 14:29
Excellent DUCHESSE…excellent !
?
ml
evelyne
29 janvier 2018 @ 08:56
Caroline faisait preuve de plus d’élégance il y a quelques années. L’age est là.
Arielle
29 janvier 2018 @ 10:32
Evelyne : « L’age est là » (sic), quelle élégance dans cette observation…
Auberi
29 janvier 2018 @ 09:14
Quelques autres photos de cette visite à la Villa Sauber avec l’exposition en question, le famous trench-manteau sous d’autres coutures (je n’ai pas trouvé la marque), à noter le superbe sac bicolore Chanel de la princesse
http://www.parismatch.com/Royal-Blog/Monaco/La-princesse-Caroline-en-immersion-parmi-les-baskets-plantes-de-Michel-Blazy-1447421
Arielle
29 janvier 2018 @ 10:31
Merci pour le diaporama, Auberi, bien intéressant. En effet, il s’agit d’une « installation », donc, par définition, un « événement » un peu déjanté, façon années 1990. Il s’agit de l’observer avec recul, comme le fait Caroline, très bien habillée.
bételgeuse70
29 janvier 2018 @ 11:30
Oserait-on dire qu’ils « prennent leur pied », tous ?
Carole 007
30 janvier 2018 @ 14:17
?
beji
29 janvier 2018 @ 15:17
Et que penser de certaines oeuvres exposées parfois dans les jardins du château de Versailles?
vitabel
29 janvier 2018 @ 20:18
Eh bien je vous trouve sévère avec Caroline, elle porte à mon avis très bien cette tenue et je lui trouve une grande douceur sur le visage, quand à l’expo je ne suis pas sensible à ce genre d’art … Monsieur Blazy a une réputation internationale grâce à ses installations intégrant des « matières vivantes » peut-on lire, oui…mais pour moi ça ne change rien.
Grany
29 janvier 2018 @ 23:08
Quelle allure pfff effectivement charlotte a de qui tenir
C est Caroline alors!!!
Carole 007
30 janvier 2018 @ 14:08
La seule fois où je suis tombée nez à nez avec l’urinoir de Duchamp, c’etait au Moma début 80…
Les Klein, Rothko, Pollock, Basquiat… m’indiffèrent, je n’ai pas cette « sensibilité ».
Une relation, adepte de la pensée unique, plaçait Rothko au dessus de tout.
Pour le calmer, une semaine après, je lui ai offert une toile avec une reproduction « parfaite » de celle qui c’etait vendue plusieurs millions de dollars quelques temps auparavant, toile exécutée par un ami copiste au Louvre, qui en était très amusé.
Cette relation pro Rothko était si impressionnée par la chose, que lors de son divorce, il y a eu bagarre entre monsieur et madame, pour garder la chose…
C’est donc avec circonspection, que j’ai visité l’exposition de Damien Hirst à Venise en septembre dernier (je n’ai pas fait le déplacement, j’y séjourne plusieurs mois par an).
Et là, à ma grande surprise, je dois dire que j’ai apprécié les matériaux utilisés et le délire de cette création.
Je ne suis pas totalement irrécupérable ?
Pour le sujet en question, je ne vois pas comment ne pas penser que c’est de la foutaise.
Tourmaline
31 janvier 2018 @ 02:22
Quelle coïncidence, je lisais un livre sur Emily Dickinson, et je tombe sur un passage qui décrit comment son neveu qui habitait juste à côté courait toujours lui rendre visite. Un jour qu’il oublia ses bottes en caoutchouc elle les lui fit parvenir sur un plateau d’argent, l’intérieur garni de fleurs. Voilà un beau geste poétique. L’art devrait être geste et devrait être fulgurant et avoir un rapport avec l’amour, quel qu’il soit, dans tous ses états. Cette installation est trop statique pour des chaussures, surtout si le destin final est la putréfaction si j’ai bien compris.
Dans les cimetières, ici, on trouve parfois à côté des tombes des bottes ou chaussures sculptées remplies de fleurs : bottes de cowboys, bottes de pêcheurs, bottes de motocyclistes, bottes militaires ou d’aviateurs, chaussures de golfeurs, chaussons de danseuse. Il y a un pathos, une certaine identification possible dans ces, disons, installations, mais dans celle de Michel Blazy je ne vois strictement pas l’intérêt ou le rapport avec notre humanité. J’aime bien l’exemple des chaussures de randonnée de montagne remplies de fleurs. Excellent !
Marie de Bourgogne
1 février 2018 @ 13:38
L’art doit être :
– un plaisir pour les yeux,
– un régal pour la bouche,
– un enchantement pour les oreilles.
Sinon n’importe qui peut se réclamer artiste. Même moi si j’en juge par les « créations » de Piero Menzoni.
Croyez bien, chère Tourmaline, que, certains matins… ??
Tourmaline
1 février 2018 @ 21:14
Chère Marie, j’aime votre définition de l’art et l’optimisme sur la vie dont elle témoigne. Peut-être en avons-nous tous une personnelle et qui évolue avec nous. Pour moi, impromptu, ce serait, « Ce qui me tient éveillée la nuit, tous les sens en alerte, émerveillée par le mystère de la création (de l’artiste-shaman) et de ce qu’il/elle a vu (senti, vécu) qu’il/elle cherche à communiquer. » Ça doit être mon côté mystique, je pense que l’univers fonctionne selon une grammaire mathématique et physique, dont, si nous tendons l’ouïe, nous pouvons recevoir des échos cosmiques…
Enfin, ce qui compte c’est d’avoir été touché il me semble, élément qui manque fort à cette exposition du peu que j’en vois.
J’ai apprécié le “J’ai cru qu’elle faisait les soldes chez Eram » de Germain. Le surréalisme de la célèbre citation de Lautréamont, ‘Beau comme la rencontre fortuite sur une table de dissection d’une machine à coudre et d’un parapluie » a été tellement récupéré à des fins commerciales que ces juxtapositions humoristiques, ces clins d’œil complices fonctionnent parfaitement dans les magasins, y compris les galeries d’art. On achète parce-qu’on a compris, (surtout quand il n’y avait rien à comprendre), heureux élus que nous sommes…
Bon week-end, Marie….
Tourmaline
zoemarie
1 février 2018 @ 22:13
L’art a été (sera?) un sujet fréquemment posé dans l’épreuve de philosophie du baccalauréat. C’est dire qu’il y a de quoi réfléchir et chacun peut avoir des idées différentes de celles de son voisin.
De plus les goûts changent dans le temps. Mais une chose est certaine : les chaussures de sport, les vêtements de luxe ou les jeans troués très à la mode ….ont une valeur financière certaine et aussi une valeur sociologique . Alors pourquoi n’auraient ils pas une place dans un musée spécialisé? On a le droit d’aimer ou pas