Le 15 septembre dernier, la Princesse Hélène de France, comtesse Evrard de Limburg Stirum, a représenté la famille de France aux cérémonies sous l’Arc de Triomphe célébrant le 172ème anniversaire des combats de Sidi-Brahim.
Lors de cette cérémonie militaire, la Princesse Hélène devait sans doute se remémorer sa première visite à la flamme du soldat inconnu 80 ans auparavant alors que son père le Comte de Paris vivait en exil en Belgique. On reconnaît sur ce cliché la Comtesse de Paris au coté de ses quatre premiers enfants : la Princesse Isabelle, le Prince Henri, la Princesse Hélène (à droite sur la photo) et le Prince François. (Merci à Charles – Copyright photos François de Rolleboise et DR)
DEB
24 septembre 2017 @ 09:44
Merci Charles.
Très belle photo d’archives.
Philippe
24 septembre 2017 @ 18:07
Oui. Et très touchant petit prince François, qui mourra lui aussi
pour la France …
Hélène
25 septembre 2017 @ 12:39
Belle photo des enfants de France et de leur mère.
Erato
24 septembre 2017 @ 10:30
Oui merci, et sans tomber dans le nostalgique, il faut reconnaitre qu’il sera difficile d’égaler la dimension naturellement royale de Mme la comtesse de Paris.
Leonor
24 septembre 2017 @ 10:35
Je me souvenais de cette photo d’archives, de la Comtesse de Paris posant avec sa brochette de marmaille.
Ce qui est vraiment poignant dans cette photo, c’est le petit François regardant cette flamme dédiée à tous les soldats morts : l’annonce de son destin.
Anna
24 septembre 2017 @ 10:38
Très belle photo de la princesse Hélène de France enfant en famille.
Pierre-Yves
24 septembre 2017 @ 11:04
On doute quand même que la princesse Hélène soit en capacité de se remémorer une visite qu’elle fit à l’Arc de Triomphe quand elle avait 3 ou 4 ans.
Même en se concentrant, on a du mal à se souvenir de manière consciente et concrète de ce qu’on a vécu avant d’avoir 5 ou 6 ans.
Ce qui peut arriver, c’est que notre cerveau le reconstitue à l’aide des photos, de ce qu’on a pu nous raconter, et que cette reconstitution se nourrisse aussi d’inconscient, cette espèce de bagage inconnu qu’on transporte en nous et qui parfois, se manifeste sans crier gare.
Mais tout ça est assez différent de la mémoire qui nous fait vraiment revoir les choses.
Gérard
25 septembre 2017 @ 16:01
Il y a des faits très marquants dont on se souvient véritablement malgré le très jeune âge. Une visite à l’Arc de Triomphe devant la dalle du soldat inconnu avec sa mère représentant son mari exilé je crois qu’on peut s’en souvenir.
HRC
26 septembre 2017 @ 21:48
je ne suis pas de votre avis, Pierre-Yves. Ce n’est pas signe de précocité d’ailleurs. Une émotivité qui garde ou élimine.
Danielle
24 septembre 2017 @ 11:06
Merci Charles.
Nour
24 septembre 2017 @ 11:17
La deuxième photo est magnifique !
Je constate que dans la famille on ne se renouvelle pas question prénom!
Isabelle comme sa mère
Henri comme son père
Francois comme son frère et enfin Helene comme elle
Çe doit être compliqué dans les Réunions de famille !
JAusten
25 septembre 2017 @ 20:08
Oui :) autrefois c’étaient une flopée de Marguerite, Jean, Philippe, Marie, Henri, Isabelle (déjà), Louis, Robert, Agnès ….
Veronick B ?
24 septembre 2017 @ 11:43
Merci Charles,
Pour cette info et ces photos : 80 ans séparent les deux clichés……!
Bon dimanche
Cordialement
Veronick
Bambou
24 septembre 2017 @ 11:55
Laisser une vieille dame représenter la famille de France….. Cela ne fais pas honneur à Jean, qui aurait pû être là.
Gérard
25 septembre 2017 @ 15:29
Vous pensez Bambou qu’il vaut mieux écarter les femmes et surtout les femmes âgées
Gérard
25 septembre 2017 @ 15:52
Il faut rappeler que le comte de Paris et la princesse Hélène, celle-ci en cette qualité de marraine de l’Amicale du 7ème BCA, ont été invités à ces diverses cérémonies pour le 172e anniversaire du combat de Sidi-Brahim et en mémoire des Chasseurs morts pour la France.
Une messe sera célébrée en la basilique Notre-Dame de Fourvière dimanche prochain 1er octobre à partir de 9 h 30, puis une lecture sur le combat de Sidi Brahim sera faite sur le parvis de la basilique vers 10 h 30. La princesse y assistera.
Philippe
25 septembre 2017 @ 17:08
Bah non, voyons, ça ne se passait pas dans une église ! …
framboiz 07
24 septembre 2017 @ 12:32
Henri aurait 4 ans sur cette photo?
Hélène est aussi mal coiffée que moi hier matin, avant que je n’aille chez le coiffeur !Un peu de couleur aiderait …
Si elle pense à sa 1ère visite, elle pense à ce frère si tôt disparu , pour rien, quand on y pense, si on refait l’Histoire de l’Algérie , non? Vu l’état du pays …Triste …
Aramis
25 septembre 2017 @ 12:49
Les colonies sont faites pour être perdues…
Montherlant, dans le Maitre de Santiago.
Mais qui connaît, lit et aime encore Montherlant
AnneLise
25 septembre 2017 @ 13:42
Mort pour rien ?
N’étant pas une inconditionnelle de la Famille d’Orléans, ni d’une autre « prétendante » d’ailleurs, je ne reconnais ici que le service rendu à la patrie par un Prince, certes, mais soldat parmi les autres, et s’étant je crois, rendu au secours de l’un de ses hommes en péril.
Mort pour son honneur et celui de la France d’alors, même si le résultat est celui que l’on connaît, qu’on l’approuve ou non.
Marie1
24 septembre 2017 @ 12:56
Emouvante la 2eme photo.
Charles
24 septembre 2017 @ 13:51
Les Princes et Princesses d’Orléans ont depuis leur enfance eu un rapport très fort avec leur pays la France.
La venue de la Princesse Hélène à cette cérémonie 80 ans après sa première visite sur la tombe du soldat inconnu avec la Comtesse de Paris marque son attachement prochond pour la France. A chacun de ses déplacements, la Princesse Hélène associe la mémoire de son jeune frère François, mort pour la France au combat lors de la guerre d’Algérie.
Philippe Gain d'Enquin
24 septembre 2017 @ 13:53
Madame, merci !
Françoise
24 septembre 2017 @ 14:02
On ne peut pas se faire coiffer quand on est princesse pourquoi cet aspect négligé surtout pour quelque chose d’officiel ?
Laurent F
26 septembre 2017 @ 13:47
Ces choses là semblent secondaires à 85 ans pour certains !
MMDehove
28 septembre 2017 @ 21:02
La Comtesse de Paris, sa mère, est décédée à 92 ans, et malgré ses difficultés pour marcher, son âge avancé, elle est resté coquette, ses cheveux argentés bien coiffés ou bien « chapeautée » élégamment.
Claude Patricia
24 septembre 2017 @ 14:07
Bonjour à tous,
Ainsi va la vie. Une commémoration, une famille à fois connue et oubliée, une page de notre Histoire de France mais pas que…nos anciennes colonies. On peut vouloir effacer le passé, mais on ne peut le faire. Il faut vivre avec notre mémoire collective pour essayer de faire en sorte de mieux préparer l avenir.
Arthur
24 septembre 2017 @ 14:26
Heureux de revoir la princesse Hélène de France
Roch
24 septembre 2017 @ 16:05
Sympathique de voir la princesse Hélène de France à la flamme du soldat inconnu à 80 ans de distance.
GUY
24 septembre 2017 @ 16:37
Trés belle initiative de publier cette photo d’archives avec celle d’actualité concernant une princesse de France
COLETTE C.
24 septembre 2017 @ 17:26
On voit plus souvent la princesse Hélène depuis quelque temps.
Muscate-Valeska de Lisabé
24 septembre 2017 @ 17:38
Même si cette dame possède un visage doux et sympathique, je ne suis pas certaine que la famille d’Orléans représente en quoi que ce soit la France.
Gérard
25 septembre 2017 @ 15:57
Et les Chasseurs d’Orléans Muscate vous pensez qu’ils ne représentaient pas la France non plus, eux qui ont dit merde à Abdelkader et à sa promesse de vie sauve, et sont morts pour elle ? Laissez les Chasseurs choisir ceux qu’ils entendent recevoir.
Gérard
26 septembre 2017 @ 17:10
Également rappelons que la marraine du 7e bataillon de Chasseurs alpins, selon une tradition instaurée pendant la guerre d’Algérie, est une descendante du créateur des chasseurs à pied, Ferdinand-Philippe d’Orléans, prince royal, duc d’Orléans.
Les marraines ont donc été successivement :
Isabelle d’Orléans (1900-1983), comtesse Bruno d’Harcourt puis princesse Pierre Murat, sœur de feu le Comte de Paris,
Hélène d’Orléans (née en 1934), comtesse Evrard de Limburg-Stirum, nièce de la précédente, fille du feu Comte de Paris, et sœur aînée du sous-lieutenant François d’Orléans, duc d’Orléans, tué en Algérie dans les rangs du bataillon,
Marie d’Orléans (née en 1959), nièce de la précédente, fille du Comte de Paris, princesse Gundakar de Liechtenstein, marraine depuis 2009.
Muscate-Valeska de Lisabé
27 septembre 2017 @ 19:28
Cher Gérard, ne vous fâchez pas.Vous parlez ici une langue que je ne connais pas.Tous ces noms me sont complètement étrangers.
Mais je vous crois.
Charles
1 octobre 2017 @ 11:38
Gérard
On peut penser qu’un jour la Princesse Antoinette reprenne le flambeau familial.
Charles
26 septembre 2017 @ 13:00
172 ans après la bataille de Sidi-Brahim les Chasseurs ont souhaité la présence de leur Prince à leur côté et cette fidélité est touchante.
Niicole B
24 septembre 2017 @ 20:26
La comtesse de Paris , tout de même, quel maintien, quelle classe.! Aucune de ses filles n’a hérité ni de son élégance ni de sa classe.
Anne-Cécile
26 septembre 2017 @ 01:13
Il faut reconnaître à la défunte Comtesse, une beauté et un maintien sans égal aujourd’hui dans sa descendance. Bien que le Duc d’Aumale soit un remarquable spécimen Orléans.
Néanmoins sa fille Hélène est très belle et délicate encore aujourd’hui je trouve personnellement. Et sans doute moins consciente de cela que sa mère, et moins près de ses toilettes. Ce qui lui donne un charme plus profond et plus de naturel que son auguste mère, du moins qui s’évapore moins vite.
Mary
24 septembre 2017 @ 20:54
Qui accompagne la princesse Hélène ?
Nycrab
24 septembre 2017 @ 21:22
La princesse manque de style. Les cheveux sont complètement negligés. Aucune prestance.
clémentine1
25 septembre 2017 @ 09:31
la photo d’archives je la connaissais et suis donc reconnaissante à Charles d’avoir fait la juxtaposition avec celle, sans doute la plus récente, de la Princesse Hélène.
Aramis
25 septembre 2017 @ 11:37
On mesure l’élégance inégalable de la comtesse de Paris, pas seulement dans ses vêtements mais dans la manière même de se tenir. Irremplaçable, irremplacée, toujours vivante dans le souvenir d’une époque révolue où les Orléans, servis par la fortune, par la proximité encore relative des dernieres années de monarchie en France et par l’espoir pas encore farfelu de peser sur la vie du pays, ont su être grands …sic transit gloria mundi…
jane
25 septembre 2017 @ 12:10
Quand on représente la France on peut faire un petit effort non ?
jo st vic
25 septembre 2017 @ 12:40
Si vous permettez Charles…je ne pense pas qu’Isabelle, Diane, Anne soient si souvent en France, elles ont parfaitement adopté le pays de leur époux….
Mayg
25 septembre 2017 @ 14:08
Sa coiffeuse est partie en vacances ?
ciboulette
25 septembre 2017 @ 17:22
Je n’ai rien à ajouter, tout a été dit .
andré
25 septembre 2017 @ 20:01
Versailles est bien loin
Roch
25 septembre 2017 @ 20:32
Ces reportages sur la famille de France sont toujours intéressants
YOM
26 septembre 2017 @ 02:12
elle faisait beaucoup d’enfants la comtesse de Paris mais était elle tres attentive à sa nichée,je crois qu’elle était plus mondaine que maternelle.,ceci dit elle n’était pas extremement jolie mais elle était tres élégante et avait beaucoup de classe.
Charles
26 septembre 2017 @ 11:59
La Comtesse de Paris était une grande Dame toujours en représentation, son allure et sa classe ont toujours été salué.
En revanche elle était relativement absente avec ses enfants et certains lui ont reproché.
A la fin de sa vie la Princesse a reconnu qu’elle avait été une mère potable. Cet adjectif choisi montre bien qu’elle a été consciente de ses failles mais elle a assumé le rôle de « Reine » avec panache et la Princesse pensait que son mariage l’obligeait à se comporter ainsi.
La nouvelle génération ne vit plus de la même façon, le Duc de Vendôme a un rapport très fort avec ses enfants et il assume le fait de privilégier sa vie de famille. Je pense qu’il a raison même si il assumera le moment venu son rôle.
Francois
26 septembre 2017 @ 03:25
La classe de Madame jusqu’au bout fut sans faille
Ses filles n’ont pas son allure
Mais un passage chez le coiffeur améliorerait sans doute
le présentation de la Princesse
Entre passer son temps chez le coiffeur et n’y aller jamais
un compromis semble de mise
Quand on est en représentation………
De nos jours une espece de negligeance Semble la regle
Le pire demeure de ne s’en rendre meme plus compte
La Reine Mère Elisabeth au cœur de la guerre se présenta impeccablement coiffée
au milieu des ruines de Londres
Mieux vaut se faire remarquer par ce qui nous embellit que par le laisser aller
Jean Pierre
26 septembre 2017 @ 16:52
La reine Elisabeth pendant la guerre était 40 ans plus jeune qu’Hélène.
Il y a chez les gens de plus de 80 ans une sorte de lassitude…pas chez tous je vous l’accorde.
nts nt
28 septembre 2017 @ 10:04
Tout est dit.
Ghislaine-Perrynn
26 septembre 2017 @ 17:43
J’ai lu ici et là des commentaires acides sur une Princesse que j’aime bien depuis trfès longtemps.
Nous avons tous été très beaux dans notre jeunesse et forcément la vie égratigne et les ans qui s’accumulent n’arrangent pas l’esthétique mais le courage est d’avoir la force tranquille d’a ccepter l’inévitable .
En l’occurrence le courage s’intensifie avec les ans .
Alors voir la Princesse enchaîner sur une prise d’arme, puis un déjeuner avec les soldats , puis se recueillir dans ce lieu glacial qu’est notre Arc de Triomphe ou Eole a déposé sa trace pour peu que le temps n’y soit pas est un challenge pour toute personne et surtout pour une Femme qui a dépassé les 80 ans m’autorise à m’incliner . Bravo Madame , en langage de soldats vous auriez pu vous faire porter pâle .
Ghislaine-Perrynn
26 septembre 2017 @ 17:44
lire …et m’autorise – Merci
Kalistéa
26 septembre 2017 @ 18:39
Le plus étonnant c’est qu’on ne nous ait pas encore dit (quelque perroquet de service) que la pricesse Hélène a pour nom d’Orléans de Limbourg-stirum ! A moins que Régine , lassée n’ait pas passé et on la comprend!
Naucratis
27 septembre 2017 @ 12:02
Visiblement certains préfèrent la pensée unique, même fausse, surtout fausse d’ailleurs, au débat.
Si ce site devient le vecteur de la propagande orléaniste, il faudra le signaler. Pour l’instant, ce n’est pas tout à fait le cas. Espérons que cela continue.
Gérard
27 septembre 2017 @ 18:47
Kalistéa ils enragent qu’on ne dise pas Louis de France, que personne n’y songe, ils en étouffent de rage.
Sigismond
4 octobre 2017 @ 08:04
Vous n’y êtes pas, Gérard, c’est plutôt les orléanistes qui enragent que leurs champions s’appellent d’Orléans et non de Bourbon, à tel point qu’ils les travestissent en « de France » (et à tel point qu’Henri d’Orléans avait fait un procès pour s’appeler de Bourbon, et qu’il l’a perdu jusqu’en cassation). Eh oui, Bourbon cela fait royal, et en 1815 à Paris on criait « vivent les Bourbons » !