Le 14 mai prochain sera décerné le premier Prix littéraire du château de Versailles qui vise à récompenser un livre historique qui s’inscrit dans le cadre chronologique des XVIIe et XVIIIe siècles. Le livre ne doit pas être spécialement en lien avec le château. Pour cette première édition, 72 ouvrages ont été déposés et ensuite soumis à un comité de lecture constitué d’historiens, d’historiens de l’art, d’archivistes ou de libraires spécialisés.
Cinq ouvrages ont été retenus en finale : Louis XVII par Hélène Becquet chez Perrin, Choiseul – L’obsession du pouvoir par Monique Cottret chez Tallandier, Camille et Lucile Desmoulins par Hervé Leuwers chez Fayard, Dessiner pour bâtir – Le métier d’architecte au XVIIe siècle par Alexandre Cojannot et Alexandre Gady, co-édition Le Passage-Archives nationales et Fêtes et folies en France à la fin de l’Ancien Régime par Didier Masseau aux CNRS Éditions.
Le jury est composé par Yves Carlier, conservateur en chef du château de Versailles, Joël Cornette, historien, Emmanuel Laurentin, journaliste et producteur de La Fabrique de l’Histoire, France Culture, Olivier Magnan, blogueur Arts et Culture, François de Mazières, maire de Versailles, Christine Orban, romancière, Erik Orsenna de l’Académie française, Laurent Salomé, directeur du musée national des châteaux de Versailles et de Trianon et Emmanuel de Waresquiel, historien. (Merci à Anne)
Gérard
5 mai 2018 @ 12:55
Excellente idée me semble-t-il.
COLETTE C.
5 mai 2018 @ 14:42
J’aimerais bien que » Camille et Lucile Desmoulins » soit désigné
Daina Guiliana
5 mai 2018 @ 19:34
Ce type d’initiative ne doit pas intéresser le gouvernement français. Je ne les vois jamais soutenir ces projets. Bon peut être je me trompe…
Claude-Patricia
6 mai 2018 @ 18:46
Au moins la ministre de la culture, qui est éditrice certainement.
Jacqueline
6 mai 2018 @ 16:07
Ce serait culotté de choisir d’entrée de jeu une biographie de révolutionnaires pour le prix du château de Versailles. Personnellement, je préfèrerais que l’on choisisse autre chose qu’une biographie même si je reconnais que tous les auteurs sont des universitaires sérieux. Hélène Becquet paraît la moins installée toutefois.