La célèbre émission de France 2 « Secrets d’Histoire » prend ses quartiers d’été et programme pour le mois d’août une série de valeurs sûres : la duchesse de Windsor, Cléopâtre, Sir Winston Churchill et George Sand. Le programme sur la duchesse de Windsor a été tourné au château de Candé, là où se maria en juin 1937 le célèbre couple.
Le dressing de Wallis y est d’ailleurs reconstitué. On retrouvera entre autres une interview d’Hubert de Givenchy, qui habilla la duchesse et le témoignage d’une de ses secrétaires, Françoise Jaquet.
Celle sur George Sand a bien évidemment pour cadre Nohant, mais aussi Palma de Majorque. (Merci à Bertrand Meyer)
framboiz 07
14 juillet 2016 @ 03:49
Stéphane Bern sait allier pédagogie , histoire , & pour lui utile & agréable ! Il présente aussi le 14 juillet , je me demande quelle partie …
Zorro
14 juillet 2016 @ 08:26
Encore une fois Stéphane Bern va mettre en scène un personnage absolument secondaire et sans intérêt, si ce n’est qu’elle a eu une vie scandaleuse, qu’elle portait des belles robes et qu’elle avait de beaux bijoux. A la rigueur une émission consacrée à son beau-père George V aurait eu quelque intérêt mais bon consacrer 2 heures à un roi hétéro, quel intérêt ?
J’imagine déjà les commentaires lénifiants et la conclusion sans surprise de cette émission : sans elle, le roi Edouard VIII n’aurait pas abdiqué et l’histoire du Royaume-Uni et du monde aurait été différente… Comme si c’était les rois qui faisaient l’histoire au 20e siècle…
Ogier le Danois
14 juillet 2016 @ 12:26
Oui, d’accord. Je souhaiterais qu’il s’inspire de N & R et prenne comme sujet la cousine inconnue d’Éduard VIII: Maud de Grande-Bretagne, reine de Norvège.
Ogier le Danois
14 juillet 2016 @ 12:36
Øyå, correction:
la tante inconnue d’Édouard VIII. Chez elle il y a aussi tant de belles robes a montrer, mais aussi plus de l’Histoire génuine a raconter.
D’ailleurs Édouard VIII en jeune prince détestait presque tous les pays étrangers qu’il devait visiter, sauf la Norvège, chez tante Maud, où il aimait le sport (ski) et le manque des formalités et de la pompe. Il était assez proche de son cousin norvégien Olav avant dans sa jeunesse.
aggie
14 juillet 2016 @ 13:10
je ne pense pas que Stéphane Bern fasse l’impasse sur les véritables motifs de l’abdication d’Edward VIII et reste sur la fable que la famille royale avait servi à l’opinion publique
*Gustave de Montréal
14 juillet 2016 @ 16:10
Encore la Wallis !
korobaze
14 juillet 2016 @ 17:24
Dans ce cas zappez: simple et efficace !Point !
aubert
15 juillet 2016 @ 11:02
En effet Zorro l’hétérosexualité du roi George V justifierait beaucoup plus une émission de deux heures présentée par un gros mâle poilu.
Zorro
15 juillet 2016 @ 15:48
Voyons, Aubert,
Rien à voir. Ce n’est pas mon point. Je ne me préoccupe pas de la sexualité des puissants, c’est une donnée secondaire de l’histoire. Quand je verrai une émission sur l’influence de la sexualité dans l’histoire, je me dirai que le service public est vraiment perdu. C’est d’ailleurs ce que je me dis quand je regarde Secret d’Histoire de Stéphane Bern.
Vous aurez quand même remarqué que les émissions de Stéphane Bern se focalisent à 80% sur des personnages féminins et par ailleurs évoquant seulement leur vie sous l’angle romanesque. Ca imprime dans l’imaginaire des téléspectateurs que l’histoire, c’est du « sentimentalisme ». Le passé de nos ancêtres est simplifié, caricaturé, dévoyé. L’ « histoire », cette discipline exigeante, n’est avec Stéphane Bern qu’un prétexte pour montrer les beaux bâtiments, les belles robes et les beaux bijoux.
Des gros mâles poilus ? Vous n’ignorez quand même pas ce qu’est un Bear ?
Muscate
14 juillet 2016 @ 09:56
Madame Windsor,encore?!…mais que peut-on bien apprendre de plus?…bon,nous,rien…mais ça initiera la nouvelle génération aux histoires d’amour à l’eau de rose qui dans cette réalité sentent le soufre.
framboiz 07
14 juillet 2016 @ 20:59
Si vous verrez, Muscate , rien que sur le propriétaire du château de Candé, il y a beaucoup de choses à dire … Ne serait-ce que par la suite, il a organisé le voyage allemand , avec la rencontre des charmants & délicieux Hess ,de l’ inénarrable Goering, ou d’Hitler , lequel était son voisin à Berchtesgaden …
J’aime Stéphane Bern, poli, sérieux , ce n’est pas l’Histoire , c’est plutôt des petites histoires ,présentée sur de jolis plats , bien décorés ,mais bon … à la TV , il y a l’audimat , Restent les livres , France-Culture etc …
Avez-vous remarqué qu’il passe son temps à ouvrir des portes, dans ses émissions? C ‘est cela ,il ouvre des portes , à nous de suivre …plus loin peut-être ?
Robespierre
14 juillet 2016 @ 10:16
Curieux sujet, mais bon…
aggie
14 juillet 2016 @ 10:36
un plaisir en perspective que ces émissions
dradomir
14 juillet 2016 @ 10:52
Pfff…
Aucun intérêt.
:)
Roseline
14 juillet 2016 @ 11:03
Ouf !!! Enfin une belle émission que j’aurais plaisir à regarder pendant les vacances car sur les programmes de TV il y a pléthore de « déjà diffusé »!!!!!!!!
Bon 14 juillet à tous et toutes.
Caroline
14 juillet 2016 @ 11:34
Désolée! Je ne regarderai point cette émission, ayant déja vu un film autobiographique sur cette Wallis Simpson peu digne d’etre ‘duchesse’! Elle aurait tellement voulu etre reine d’Angleterre!
Robespierre
15 juillet 2016 @ 09:49
Non Caroline, elle savait que ce n’était possible, mais elle aurait voulu que son roi n’abdique pas, car elle aimait bien son rôle de maitresse officielle, genre d’égérie, tirant les ficelles et sans obligations, mais pouvant profiter de la pompe royale, vivre dans le luxe aux frais de son amant. L’abdication du roi a été un sale coup pour elle.
Cosmo
15 juillet 2016 @ 16:37
Dear Rob,
Sur le plan financier, elle n’a pas perdu grand-chose car son mari et elle ont vécu dans le plus grand luxe…elle a eu droit à des révérences, un prédicat d’altesse royale en France et aux Etats-Unis. Sans l’abdication elle serait restée une maîtresse royale et l’on sait ce qu’il peut leur advenir.
Amicalement
Cosmo
Robespierre
16 juillet 2016 @ 10:26
Sur la plan financier, c’est vrai qu’elle n’a pas perdu grand chose. Mais à mon avis, cher Cosmo, les révérences et salamalecs du Continent envers la duchesse de Windsor ne valaient pas le règne occulte qu’elle aurait exercé si ce pantin royal était resté aux commandes. L’ambition, ça existe aussi. Elle aurait pu être reine de la main gauche et elle se retrouve en exil doré avec un mari qui s’ennuie comme un rat mort et s’adonne aux mondanités. La preuve c’est qu’après son mariage elle a montré où étaient ses sympathies. Faire ami ami avec Hitler pouvait lui rendre le trône d’Angleterre. Dans ses rêves évidemment.
Alain Golliot
14 juillet 2016 @ 12:44
Bern aime les ripopees… scandaleuses… Il va pouvoir de nouveau enfoncer des portes ouvertes. Qu’il va nous presenter comme inedites. C’est un bateleur, non un historien.
Lidia
14 juillet 2016 @ 13:42
Une femme pour qui un Roi abdique présente forcément un intérêt majeur.
Patricia
14 juillet 2016 @ 16:27
Dommage, j’aime bien cette émission mais je n’aime pas la duchesse de Windsor !
Patricia
14 juillet 2016 @ 16:28
Celle-ci bien sûr !
Leonor
14 juillet 2016 @ 16:51
Bon, là, on réchauffe vraiment la sauce.
Remarquez bien, cette histoire confirme l’adage » C’est un mal pour un bien ».
Car de cette abdication est sorti le règne de George VI, qui a , lui, affronté la guerre . Puis le règne d’Elizabeth II, dont le moins qu’on puisse dire est qu’elle n’a pas démérité.
Auberi
14 juillet 2016 @ 19:28
Couple sans intérêt si ce n’est pour démontrer la grande pauvreté d’esprit d’un roi quasi débile aux mains d’une dominatrice ambitieuse. Je préfère les ’Angélique’ comme remake d’été, peut-être pas les ’Sissi’ quand même
Cosmo
14 juillet 2016 @ 21:15
Si Stéphane Bern nous livre les secrets du duc et de la duchesse de Windsor, on va en apprendre de belles. Mais j’ai bien peur que tout cela reste très convenu et que l’on n’apprenne rien de nouveau sur une des plus grandes aventurières du XXe siècle et sur son benêt de mari.
Francois
14 juillet 2016 @ 22:30
Encore une émission sur la plus BELLE histoire d’amour
Du XXeme siècle …….
Maintenant que l’on a enfin dit la vérité sur cette pathétique
histoire d’un roi faible envouté par une femme ambitieuse
et sans bornes aucunes pour arriver à ses fins
On peut en remettre une couche
Évidemment parler encore de cette femme sulfureuse au parcours certes
hors du commun demeure plus attractif que de narrer une histoire plus
normale
Le souffre est davantage porteur …….
Yom
15 juillet 2016 @ 11:35
Il a été fortement poussé dehors pour ses convictions politiques,en admiration pour Hitler,des tarés ce prince et cette duchesse.
Robespierre
17 juillet 2016 @ 09:41
Oui, mais ce taré aurait régné si sa route n’avait pas croisé celle de madame Wallis. Et c’est pour des trucs de ce genre que je suis républicain. La monarchie héréditaire nous met en place des gens insipides, incolores et sans grand bagage intellectuel. Je ne cite pas de noms.
Leonor
18 juillet 2016 @ 23:10
C’est vrai, Robespierre.
Mais le problème est que la république aussi , nous met en place des insipides, incolores, et sans bagage intellectuel.
Ca ne me rend pas royaliste pour autant; c’est juste un constat. Un triste constat.
Mary
17 juillet 2016 @ 17:20
Était-il si débile que cela ?
On le disait pas trop bien bâti dans certain domaine et que seule , l’expérience de la duchesse « solutionnait » cet inconvénient… Vrai,faux ? On ne le saura pas et après tout,quel intérêt ? On s’en moque un peu de ce vieux monsieur aux pantalons ridicules qui a renoncé à une responsabilité historique pour une personne aussi attirante qu’une « arête de poisson » (dixit mon mari ). Tous deux ont ensuite traîné leur inutilité à travers le monde et ont fini logés – gratis – par les pouvoirs publics français .
val
19 juillet 2016 @ 10:15
Mary ,
J’adore l’expression de votre mari , pour qualifier cette horrible femme