Stéphane Bern et son équipe technique de l’émission « Secrets d’Histoire » sont actuellement en tournage pour un numéro de « Secret d’Histoires » consacré à Louis-Philippe, un grand Roi trop souvent caricaturé en Roi bourgeois. Le vendredi 19 janvier, le Duc de Vendôme a reçu au Domaine Royal de la chapelle de Dreux Stéphane Bern et son équipe pour le tournage de plusieurs séquences avec notamment une interview du Prince Jean qui connaît parfaitement l’histoire du Domaine Royal puisqu’il y réside à l’année avec sa famille.
Seules les poules et les oies du prince Gaston ont été éloignées afin que leur caquètement ne perturbe pas le tournage !
Après Dreux, Stéphane Bern a poursuivi son périple le lendemain au château d’Eu afin de narrer aux téléspectateurs la vie et les tribulations du Roi Louis-Philippe et de la Reine Marie-Amélie.
Le dernier couple royal français appréciait vraiment cette demeure de campagne normande où régnait une vie familiale harmonieuse au milieu des collections de tableaux de la Grande Mademoiselle. L’émission consacrée à Louis-Philippe et à Marie-Amélie devrait être diffusée au printemps ou à l’été 2018. (Merci à Charles – Copyright photos : Echo Republicain et Courrier Picard)
framboiz 07
23 janvier 2018 @ 01:35
Le périple, que j’ai en tête …Avec Thiron Gardais , chez Mr Bern !
Lunaforever
23 janvier 2018 @ 02:10
Belle allure du duc de Vendôme.
Muscate-Valeska de Lisabé
23 janvier 2018 @ 14:52
Oui.De visage pas terrible, mais jolie prestance, beau gabarit,bien équilibré.
Coriante
24 janvier 2018 @ 12:38
Comparé à d’autres, le duc de Vendôme a de la prestance c’est vrai
Eric
24 janvier 2018 @ 15:44
Le duc de Vendôme a de l’allure et il est élégant
Bambou
23 janvier 2018 @ 06:11
Émission que j’apprécie beaucoup. J’ai hâte de la voir dans quelques mois.
garance
23 janvier 2018 @ 13:37
Moi aussi, j’aime beaucoup cette émission et je trouve qu’il n’y en a pas assez !
Lukas
23 janvier 2018 @ 16:44
J’apprécie aussi cette émission de Stephane Bern et suis heureux d’apprendre que le duc de Vendôme soit interviewé.
Coriante
23 janvier 2018 @ 06:36
Voilà une émission qui sera intéressante surtout si le Prince Jean intervient.
Neoclassique
23 janvier 2018 @ 08:19
Louis Philippe fut un roi bourgeois mais surtout un roi félon qui n a pas hésité à asseoir son trône sur une trahison: celle des droits imprescriptibles des droits du duc de Bordeaux au profit duquel Charles X avait abdiqué et qu il était chargé de faire valoir!!!
Et ce roI fut surtout un manipulateur politique ainsi que le dit fort opportunément la biographie qui vient d être publiée sur ce roi félon ,
Dieu merci sa dynastie s est éteinte avec lui et ce n est pas son improbable descendant qui risque de menacer la République. ..
Aramis
23 janvier 2018 @ 09:19
effectivement sa dynastie s’est éteinte avec lui et l’extinction de la branche aînée a permis à ses descendants de recueillir l’heritage non de ce régime provisoire mais de toute la tradition royale millénaire.
Quant aux droits d’Henri, n’est-ce pas son grand père qui les a compromis par une politique suicidaire ?
Qu’en cousin intelligent, habile et ambitieux, Louis Philippe en ait profité , est ce felonie ou réalisme politique ?
Enfin, ce qui est sûr c’est que la République nous évite les querelles de famille qu’on voit naître à tout instant et en tout lieu chez les rois…!
Neoclassique
23 janvier 2018 @ 10:24
Charles X, grand père du duc de Bordeaux, à abdiqué sous là pression des émissaires du duc d Orleans, trop impatient de s emparer de ce trône qu il convoitait depuis si longtemps et que le jeune duc de Bordeaux aurait pu lui ravir
Voilà pourquoi il a trahi son roi et le serment de fidélité qu il lui devait.
Henri V roi légitime aurzit été un bien meilleur souverain que ce roi citoyen que d ailleurs grâce à Dieu le peuple a renversé 18 ans après son acte de félonie !
Gérard
24 janvier 2018 @ 19:47
Lisez l’histoire de la révolution de 1830 et vous verrez que ce ne s’est pas ça du tout.
Sigismond
25 janvier 2018 @ 08:35
Si l’abdication de Charles X avait été faite sous la contrainte, il l’aurait promptement dénoncée aussitôt débarqué en Angleterre (comme le roi carliste Charles VI avait dénoncé la sienne en 1860, après avoir été libéré et débarqué en France par la soldatesque de l’usurpatrice Isabelle II ; et comme Philippe V avait dénoncé sa renonciation de 1712, quand il enjoignit au parlement de Paris de se tenir prêt à son retour en France en 1727-1728). Or le Roi s’enferra dans une attitude ambiguë, réclamant que le protocole de la cour en exil lui conserve la préséance, mais entretenant le flou (c’est le moins que l’on puisse dire) sur sa volonté (?) de remonter sur le trône en cas de renversement de Louis-Philippe. En 1836, Louis XIX aura la même attitude absurde, voulant être appelé roi et majesté par les fidèles de l’exil, mais déclarant par avance vouloir céder le trône à son neveu en cas de nouvelle restauration ! Le désespérant comte de Marnes craignait encore le fantôme de Charles X. C’est à pleurer.
Septique
23 octobre 2018 @ 23:11
Avec des si on mettrait Paris en bouteille, abruti ! Dans un contexte de révolte gauchiste, déjà à l’époque, ce roi courageux à tout fait au contraire pour accompagner le pays dans sa transition industrielle et sociale que les bourbons (branche aînée), déconnectés de la vie réelle, n’ont pas su anticipé, trop occupés à faire la teuf dans ce cloître qu’est devenu Versailles. Contrairement aux Bourbons, depuis la sédentarisation des rois de France et de la noblesse, aggravée sous Louis XIV, les Valois sillonnaient le royaume pour rendre la justice, réfréner les ardeurs de seigneurs locaux, répondre aux attentes du peuple, défendre les frontières, suivre l’avancée de travaux… bref, ces rois nomades étaient en phase avec le pays ! L’histoire se répète avec le régime Républicain ! De plus, les Orléans sont irréprochables bien au contraire. Monsieur, frère de Louis XIV, valeureux combattants et toujours loyal envers son frère. Même chose pour le Régent ! Très bon gestionnaire et surtout grand protecteur du Dauphin Louis XV alors qu’il aurait pu profiter de l’occasion pour monter sur le trône. Homme de parole, il s’engagea à former et protéger l’héritier ! La branche cadette des Bourbons était plus moderne, toujours à l’avant-garde et avec le leit-motiv de pérenniser la royauté. Après la révolution, façon Daesh, les Orléans ont su manœuvrer, se réformer pour tenter d’asseoir la monarchie dans le temps. Ce que n’ont pas su et voulu faire ses prédécesseurs Louis XVIII ou Charles X. Les Bourbons sont donc responsables, et seuls coupables, de leur déchéance. En 1830, en refusant le droit de vote, en limitant la liberté de la presse, en dissolvant l’assemblée, en refusant de reconnaître le drapeau tricolore, la Charte (Constitution)… Charles X est contraint d’abdiquer et en l’absence d’héritier, c’est donc la branche cadette des bourbons qui accède au trône, en la personne de Louis-Philippe 1er. Rappelons que durant son règne les « légitimistes » revanchards n’ont eu de cesse de comploter avec les Républicains. La France était une poudrière, l’industrialisation du pays n’a pas fait que des heureux parmi la population, et les réformes n’ont pas été à la hauteur des légitimes attentes du peuple, qui ne bénéficie pas de la croissance. La révolte se déclenche et malgré une répression violente pour l’endiguer, le Roi tombe. C’est la fin de la royauté ! Quant aux Bourbons d’Espagne, les règles successorales depuis Hugues Capet sont explicites, aucun étranger ne peut prétendre au trône de France. C’était d’ailleurs la volonté de Louis XIV avec le Traité d’Utrecht ! Soyons sérieux et pragmatiques, les bourbons d’Espagne ne sont plus Français depuis cette époque, donc illégitimes à prétendre quoi que ce soit ! Que les Bourbons espagnols s’activent plutôt à pérenniser la monarchie chez eux, de plus en plus compromise, plutôt que de chasser sur les terres des Bourbons-d’Orléans. L’attitude des pseudo-légitimistes, toujours aussi rigides qu’avant, ne font pas avancer la cause de la monarchie. Il y a un héritier légitime, ici chez nous, c’est Henri VII Comte de Paris, n’en déplaise aux aigris ! J’ai lu son dernier livre, la Royauté de l’Homme, c’est un homme pondéré et franc, humble et éperdument amoureux de la France. Et je le dis avec d’autant plus de tranquillité, que je suis venu à l’idée royaliste depuis peu et après en avoir étudier le sujet. Vive la famille royale de France !
Kalistéa
24 janvier 2018 @ 12:20
Vous avez bien raison sur toute la ligne , cher Aramis .
Sigismond
25 janvier 2018 @ 07:27
N’essayez pas de nous vendre le bobard véhiculé naguère par les arbres généalogiques truqués, qui fleurissaient dans une certaine presse complaisante envers les Orléans : la dynastie des Bourbons ne s’est pas éteinte avec Henri V. L’extinction de la branche de Louis XV a donné le Droit à la branche de son oncle Philippe de France, duc d’Anjou, représentée en 1883 par le nouveau chef de la Maison de France, le prince Jean de Bourbon, comte de Montizón. Les Orléans, issus par les mâles de Louis XIII, venant bien lojn, après tous les Bourbons descendant de Louis XIV : Bourbons aînés (nouvellement de France), Bourbons-Cadix, Bourbons-Séville, Bourbons-Santa Elena, Bourbons-Deux-Siciles, Bourbons-Roccaguglielma, Bourbons-Bragance, Bourbons-Parme… les Orléans passant après toutes ces branches bourboniennes, ne vous en déplaise !
Charles
26 janvier 2018 @ 15:22
Je vous confirme que les Bourbons de France se sont bien éteints en 1883 avec le décès du Comte de Chambord, ceux que vous citez sont des Bourbons, membres des Maisons d’Espagne, des Deux-Siciles ou de Parme. Les Orléans sont la seule branche des Bourbons qui sont demeurés français c’est pourquoi les Orléans étaient les seuls Bourbons exilés hors de France par la loi d’exil de 1886.
Sigismond
27 janvier 2018 @ 09:37
Vous devriez relire la loi de 1886 : elle concernait les chefs de toutes les familles ayant régné en France (et leur fils aîné), pas seulement les Orléans mais aussi les Bourbons et les Bonaparte. Mais le chef de la Maison de Bourbon était déjà en Angleterre et son fils aîné en Italie, par conséquent la république n’a pas eu besoin de les exiler.
Gérard
27 janvier 2018 @ 20:10
Mais non la loi ne concernait que les citoyens français évidemment. Elle ne s’appliquait pas aux étrangers qu’on ne peut exiler.
Sigismond
28 janvier 2018 @ 10:14
Gérard, la loi de 1886 n’a jamais parlé d’exil, mais d’interdiction du territoire français. La nationalité des chefs des familles concernées n’entrait pas en ligne de compte.
aubert
23 janvier 2018 @ 11:23
un grand « classique » de N&R !!
Laurent F
23 janvier 2018 @ 11:51
Si le grand-père n’avait pas été si réactionnaire, le petit-fils aurait peut-être eu quelques chances de se maintenir sur le trône. S’il y en a un qui est fautif c’est bien Charles X arcbouté sur ses principes d’avant 1789.
Margaux ?
29 janvier 2018 @ 23:04
Merci de cette analyse courte mais réaliste.
Gérard
23 janvier 2018 @ 12:19
Il ne s’agit pas de menacer la République mais de la couronner.
Licorne
23 janvier 2018 @ 12:43
« Félon », « félon »… c’est vite dit !
Si Charles X a perdu son trône, c’est de sa faute, et uniquement de la sienne. Quant à Chambord, c’est bien sa rigidité qui a empêché sa restauration, à une époque ou le pays, encore profondément rural et catholique, avait envoyé à la chambre une majorité monarchiste. D’une certaine façon, Chambord a très activement participé à la fondation de la III ème république.
Quel choix avait Louis-Philippe en 1830 ? suivre ses cousins en exil ?
On lui a proposé de sauver l’essentiel, son pragmatisme naturel a fait le reste: ancien exilé lui-même, il avait reconstruit sa vie en France, reconstitué son patrimoine, pourquoi aurait-il du s’associer à un désastre dont il ne portait aucune responsabilité ?
Sigismond
27 janvier 2018 @ 04:37
N’inversez pas les rôles, c’est au contraire la rigidité de la majorité des députés, arc-boutés sur leur drapeau tricolore, qui a fait échouer la restauration. Mais ces députés-là n’étaient monarchistes que de façade, sinon ils auraient accepté le Drapeau blanc. Ces faux monarchistes ont tout naturellement participé à la fondation de la IIIe république.
Cosmo
23 janvier 2018 @ 14:29
Que voulez-vous, néoclassique, quand on fait tout pour perdre sa couronne, il n’est pas étonnant de la perdre. La bêtise politique de Charles X était insondable. Et s’il ‘y avait pas eu Louis-Philippe, il y aurait eu la République avec 45 ans d’avance. Comme le comte de Chambord n’a pas su répondre quand on lui proposait la couronne, la messe des Bourbons est dite en France. La seule chance de rétablir la monarchie était en 1873 avec Chambord puis Paris. Aucun autre scénario n’était envisageable, le comte de Montizon ou le duc de Madrid étant bien trop espagnols pour être acceptés et de toutes façons, mise à part la comtesse de Chambord et quelques illuminés autour d’elle, personne ne remettait en cause la renonciation de Philippe V.
Sigismond
25 janvier 2018 @ 07:35
« Quelques illuminés » : procédé soviétique de décrédibilisation de ceux qui n’ont pas la même opinion politique, très utilisé dans la riante U.R.S.S. sous l’ère stalino-brejnévienne. Toutefois, certains chefs de file carlistes de la période 1860-1864 avaient déjà usé du même procédé, envers leur propre roi « de jure », le comte de Montizón (Jean III), dont le programme politique n’avait pas l’heur de plaire à ces messieurs.
Cosmo
25 janvier 2018 @ 19:04
Mais non Sigismond, aucune tentative de décrédibilisation, juste un rappel de la vérité ! La petite Chapelle de Froshdorf, avec en tête sa grande prêtresse, la comtesse de Chambord, a a reçu l’illumination divine sur la dévolution de la Couronne de France et la manipulation de l’histoire. Ils ont donc été illuminés.
Le comte de Montizon pas vraiment intéressé par les couronnes qu’elles soient d’Espagne ou de France a fait le minimum, ce qui le rend bien plus sympathique que son fils et ses partisans..
Sigismond
23 janvier 2018 @ 18:31
Le duc de Bordeaux n’avait aucun droit avant le 3 juin 1844. C’est Charles X et lui seul qui avait des droits imprescriptibles à régner, mais il y a bêtement renoncé, et pire encore, il a forcé le dauphin à en faire de même. Louis-Philippe n’a fait que profiter de cette désastreuse pagaille ! Mais son petit-fils sera, en 1883, infiniment plus félon et manipulateur, en repeignant son lambel en bleu et en détournant sans vergogne l’héritage moral d’Henri V, qui revenait de Droit au prince Jean de Bourbon, Jean III, nouveau chef de la Maison de France.
stugers1954
24 janvier 2018 @ 12:39
pourquoi Henri V n’a jamais déclaré clairement qui était son hérité ?
Gérard
24 janvier 2018 @ 19:49
Tout ce qu’a dit Henri V laisse penser que pour lui son héritier était le comte de Paris et rien de ce qu’il a dit ne laisse penser à quelqu’un d’autre.
Sigismond
25 janvier 2018 @ 07:56
Parce que le seul courage politique de ce Prince fut d’exiger le respect et le maintien du Drapeau blanc, et qu’il passa le reste de son temps à rédiger un programme de gouvernement sans la moindre portée pratique car, faisant preuve d’une carence du sens de l’État et de l’intérêt du royaume, Chambord se refusa à proclamer haut et fort son héritier, le prince Jean de Bourbon, comte de Montizón (son plus proche cousin par les mâles). Il disait « mon héritier, vous le connaissez, il est désigné par la vieille loi salique », mais son aversion pour son cousin l’empêchait de prononcer son nom ! Il faut dire qu’ils étaient d’anciens rivaux amoureux (Chambord convoitait la princesse Marie-Béatrice de Modène, mais elle lui préféra Montizón), que d’autre part leurs doctrines politiques étaient assez divergentes, et que de plus, Chambord et son épouse blâmaient Montizón qui avait une maîtresse et des enfants naturels (comme si Louis XIV et Louis XV n’en avaient pas fait autant, sinon beaucoup plus).
Un grand roi (comme Henri III envers le roi de Navarre) serait passé outre toutes ces frivolités, et aurait désigné le prince Jean comme roi associé, comme au temps des premiers Capétiens, pour assurer la passation de flambeau entre les deux branches. Le pitoyable Chambord préféra s’enferrer dans son attitude de sphinx, et il fallut tout l’héroïsme et la grandeur de légitimistes comme Maurice d’Andigné de Mayneuf, Joseph du Bourg, Henri de Cathelineau, Maurice de Junquières et tant d’autres, pour que la Légitimité soit sauvegardée pour l’avenir; et pour Louis XX !
Cosmo
26 janvier 2018 @ 14:27
Vous lire est un vrai bonheur, Sigismond, surtout dans votre conclusion. Jean d’Orléans n’a aucune chance et Louis de Bourbon bien encore moins.
Neoclassique
24 janvier 2018 @ 13:36
Vous avez raison Sigismond un roi de France n a pas le droit d abdiquer et encore moins de contraindre son fils à le faire Mais Charles X y a été contraint par les émissaires de Philippe d Orleans qui ont presque « tenu la main du roi » Charles X dont l action politique à été hélas catastrophique.
Mais le comte de Paris fut tout aussi félon que son grand père comme vous dites en repeignant à la va vite de bleu azur son lambel pour se parer du prestigieux heritage des rois de France que son aïeul avait bafoué au lieu de revendiquer celui du « citoyen » Orléans. …
Cosmo
24 janvier 2018 @ 14:08
Une mauvaise pièce jouée par de mauvais acteurs en quelque sorte !
Aramis
27 janvier 2018 @ 10:22
Et que leur descendants répètent dans ce qui est désormais un mauvais rôle qui a toutefois le seul mérite de prouver que le ridicule ne tue pas !
Je rêve d’entendre Gaston direcun jour : toute prétention à un trône en France est évidemment ridicule. J’y renonce si tant est qu’il soit besoin de renoncer à une chimère à laquelle seul mon arrière grand père pouvait encore pas trop déraisonnablement croire. Je travaille et élève ma famille parmi toutes les formes de famille qui sont en France. Fils d’une famille qui compte parmi ses aïeux plus de rois et d’empereurs peut être qu’aucune autre, Je me rends évidemment disponible pour être présent, à la demande des autorités d’une République à laquelle j’adhere De tout mon cœur et de toute ma raison, aux commémorations des actions qui, parmi toutes celles de mes ancêtres, furent glorieuses grace au peuple qui yprêta sa main et parfois son sang. Je servirai la France en toute occasion du mieux que je peux.
Je respecte ceux qui croient encore aux chimères surtout pour la fidélité dont ils ont fait preuve envers ma famille. Mais qu’ils sachent que je désavoue toute position contraire qu’ils pourraient exprimer en mon nom et pour l’avenir. Etc etc
Sigismond
27 janvier 2018 @ 11:42
Ce serait très sage de la part de Gaston d’Orléans. Et qui sait si ses parents ne l’ont pas baptisé ainsi justement, pour qu’il ne prétende pas au trône ; car Gaston est un prénom, soit de duc d’Orléans, soit de consort de la princesse héritière du Brésil, soit d’un conseiller de Clovis ; le Gaston actuel, qui aurait honorablement badigeonné son lambel au blanc de Meudon, ou au blanc d’Eu, pourrait être un ministre de Louis XX ou de Louis XXI, qui sait ? Les royalistes français pourraient enfin tous se rassembler sous la houlette du prince Louis de Bourbon, duc d’Anjou et chef de la Maison de France. Il n’y aurait plus d’orléanisme !
Gérard
27 janvier 2018 @ 21:25
Je comprends votre position Aramis mais il faut toujours qu’il y ait des ouvertures vers autre chose en cas de besoin. Si la France avait été par exemple occupée pendant des siècles par les Anglais ou les Allemands et s’en soit accommodée au sein par exemple de l’Europe, il ne serait pas mauvais qu’il y ait quelque part des Français têtus pour défendre la patrie française. Ce n’est pas la même chose me direz-vous et cependant…
Cosmo
28 janvier 2018 @ 11:58
Cher Aramis,
On pourrait rêver d’entendre Louis de Bourbon renoncer à la chimère entretenue par un petit clan. Il en sortirait grandi alors qu’aujourd’hui, il semble le jouet d’une coterie. Il mettrait fin à une situation quasi schizophrénique.
Ah, ce qu’on est bien en République !
Amicalement
Cosmo
Anna
23 janvier 2018 @ 09:17
Le duc de Vendôme est très élégant
val
23 janvier 2018 @ 09:21
Louis Philippe le fils du régicide Philippe Egalité qui a voté la mort de son cousin !!!! belle famille dites moi!!! bon nous ne sommes pas responsables des décisions de nos parents .
Laurent F
23 janvier 2018 @ 11:54
Cette histoire les poursuivra pendant combien de siècles ? Que dire du comte d’Artois qui s’est envolé comme une nuée de moineaux aux premiers signes de révoltes alors que sa place était près de son frère…
Cosmo
25 janvier 2018 @ 19:10
Le comte d’Artois ne brillait pas par son courage et encore moins par ses faits d’armes. Non seulement il s’est envolé aux premiers signes en 1789 mais il a recommencé en 1830, après un envol pas brillant de l’île d’Yeu en 1795. Un habitué de la fuite en quelques sorte.
Licorne
23 janvier 2018 @ 13:04
Ou avez-vous pris que les sentiments, et particulièrement les « sentiments de famille », ont quelque chose à voir avec la politique ?
Louis XI a sauté de joie en apprenant la mort de son père, il écrivait à son « bon frère et cousin » le connétable de Saint-Pol, 15 jours avant de l’envoyer se faire trancher la tête en place de Grève..
L’Histoire est remplie de frères comploteurs et de cousins indélicats…
Philippe-Egalité faisait de la politique, comme en ont toujours fait avant lui les différents princes apanagés de la famille. La politique, la conquête et l’exercice du pouvoir, obéissent à des mécaniques qui n’ont rien à voir avec l’affect. Peut-être que Louis XVI aurait gardé sa tête sur ses épaules s’il ne l’avait pas oublié ?
Cyril D.
23 janvier 2018 @ 18:07
Oui, donc cette remarque est totalement hors de propos…
Laure2
23 janvier 2018 @ 09:34
Et pourtant quand on voit la salle à manger du château d’ Eu , on est bien dans le style bourgeois Henri II parfois qualifié de Louis Philippard .
En revanche je ne vois pas trop ce que viennent faire les histoires de régicide sur ce genre de sujet le rapport avec la choucroute ?
Charles
23 janvier 2018 @ 09:47
Stephane Bern se déplace en ce moment sur les traces de Louis-Philippe et de Marie-Amélie, un numero de Secrets d’Histoire à ne pas manquer d’autant qu’un secret concernant Louis-Philippe devrait être dévoilé à cette occasion. La présence du Duc de Vendôme lors de cette émission apportera un éclairage supplémentaire.
Laurent F
24 janvier 2018 @ 13:55
Surement une des culottes de Louis-Philippe ou de Marie-Amélie va-t-elle nous être montrée avec cet air ébahi qu’il promène partout. C’est dommage car les émissions sont plutôt bien mais lui est imbuvable (ce n’est que mon avis)
val
24 janvier 2018 @ 16:04
Charles,
Oui avant hier Stephane Berne était à Fontainebleau sur les traces de Louis Philippe pour un secret d’Histoire .
Stéphane G.
23 janvier 2018 @ 10:25
Vlad Tepes dans sa crypte
Muscate-Valeska de Lisabé
24 janvier 2018 @ 19:01
L’est ‘tit peu pâlot,c’est vrai. ..mais il venait de perdre son frère,alors on lui passe sa mine de circonstance.
Niicole B
27 janvier 2018 @ 12:11
Vraiment pas top votre commentaire, et encore je ne veux pas etre méchante.
DUCHESSE
25 janvier 2018 @ 08:49
Ce commentaire est affligeant tant il manque de goût. ..
Stéphane G.
26 janvier 2018 @ 12:49
le goût des grands écrivains anglais tels que Bram Stocker, vraiment pour que cela vous fasse choir de votre duchesse brisée…je préfère me taire
Guy
23 janvier 2018 @ 10:25
Ce sera encore une émission de grand intérêt, attendue avec impatience
Niicole B
23 janvier 2018 @ 10:36
J’ai visité la nécropole de Dreux et le chateau d’Eu. En ce qui concerne la nécropole, bien que magnifique, j’y ai ressenti une grande émotion et une impression assez glaçante , surement le poids de l’histoire et la présence de ces personnages illustres ou moins illustres dont j’ai lu l’histoire. En ce qui concerne le chateau d’Eu , j’ai le souvenir particulier. des différents salons et précisément des parquets somptueux en marqueterie de bois exotiques. En tous les cas , un « secret d’histoire » , servi par l’excellent Stéphane Bern à ne rater sous aucun prétexte.
Eric
23 janvier 2018 @ 11:50
Le prince Jean est très bien habillé, il a de la classe.
Hélène
23 janvier 2018 @ 12:04
Très heureuse de voir le duc de Vendôme présent dans cette émission
Mary
23 janvier 2018 @ 13:06
Belle photo du duc. Il est bel homme là -dessus et les cheveux grisonnants lui vont bien !
Mayg
23 janvier 2018 @ 13:42
Louis-Philippe, un grand roi, ça c’est vous qui le dites…
Quand à déclarer que le duc de Vendôme a « reçu »au Domaine Royal de la chapelle de Dreux Stéphane Bern et son équipe, pour recevoir, encore faut-il être chez soi…
Neoclassique
24 janvier 2018 @ 13:38
Bien vu!
Cosmo
24 janvier 2018 @ 14:09
Et hop ! Un peu de vinaigre…Ah les aigreurs d’estomac !
Mayg
26 janvier 2018 @ 14:19
Non Cosmo, juste un peu de vérité.
Cosmo
27 janvier 2018 @ 09:37
L’un n’empêche pas l’autre. Aigreur d’estomac ne veut pas dire mensonge.
Gérard
24 janvier 2018 @ 19:52
Mayg si l’on n’est pas chez soi dans sa chapelle funéraire, où est-on chez soi ? Qui est enterré là ? Le personnel de la Fondation Saint-Louis ?
Mayg
26 janvier 2018 @ 14:41
C’est à la Fondation Saint-Louis, qu’il appartient de « recevoir » au domaine Royale de Dreux, puisque c’est elle qui en a la charge et la responsabilité !
Ce n’est pas parce que les membres de la famille d’Orléans y sont enterrés, que la chapelle leur appartient. Feu le comte de Paris, à pris des dispositions afin de protéger ces édifices de toutes dispersion de la part de ses héritiers.Il s’agit donc de bâtiments classés monuments historiques, géré par une institution reconnue d’utilité publique. Jean d’Orléans n’est pas chez lui !
Gérard
27 janvier 2018 @ 20:15
Auriez-vous dit cela à son grand-père à Amboise ou à Dreux ?
Cosmo
28 janvier 2018 @ 12:03
Cher Gérard,
Je me demande pourquoi Mayg s’acharne à lire des articles consacrés à des personnes que manifestement elle déteste. C’est mauvais pour son moral.
Amicalement
Cosmo
Charles
26 janvier 2018 @ 10:43
C’est bien parce que le Duc de Vendôme est chez lui au sein de la chapelle Royale Saint Louis de Dreux que Stéphane Bern a souhaité sa présence à ses cotés lors de cette émission.
Instal
27 janvier 2018 @ 20:46
Charles, il n’est pas chez lui, il est à la Fondation Saint Louis. C’est bien le problème d’ailleurs!
Cosmo
28 janvier 2018 @ 12:04
C’est sans doute votre problème. Pas le sien, ni celui de la plupart des lecteurs de N&R.
Gérard
28 janvier 2018 @ 13:57
La reine Élisabeth n’est pas non plus chez elle à Buckingham.
Gérard
23 janvier 2018 @ 13:48
C’était Louis-Philippe ou la république qui arrivera 18 ans après.
Francois
23 janvier 2018 @ 14:16
Le Duc de Vendome a de plus en plus d’allure
Il a un air de sa Mère et un air de son père
Louis Philippe réalisa le rêve de ses ailleux de monter sur le trône
Mais il ne s’en sortit pas
La Monarchie de Juillet
Déjà cela sonne mal
C’est un peu dommage de ne pas avoir respecté le pacte
initial
Nous jugeons avec l’image de l’histoire apres la mort du comte de Chambord
Qui donne aux Orléans la légitimité
Mais au temps de Louis Philippe il n’en allait pas ainsi
Fils de régicide etc
Dans un systeme monarchique on est fils de
On assume donc ses ancêtres
D’où la tres grande responsabilité des actes que l’on commet
Car on engage ses descendants
Le Roi n’est mort qu’une fois
Et nous pouvons constater que c’est une vérité
Mes monarques actuels réchappés des turbulences
ont ce grand privilège de ne plus prendre de décisions politiques
COLETTE C.
23 janvier 2018 @ 14:25
Belle soirée en perspective.
clement
23 janvier 2018 @ 15:45
Il faut beaucoup de courage au prince Jean ,je présume ,pour descendre dans la crypte si peu de temps après la mort de son frère François !
Stéphane G.
29 janvier 2018 @ 10:27
on le voit bien à son grand sourire…quelle épreuve
Danielle.
23 janvier 2018 @ 16:19
La composition florale est belle.
Gérard St-Louis
23 janvier 2018 @ 18:02
Va t-on y voir le « cabinet d’aisance de Louis-Philippe » ou la chaise percée de la reine Marie-Amélie ??? Stéphane Bern a toujours l’art de nous faire découvrir…des endroits inusités…
Duc d'Enghien
23 janvier 2018 @ 18:20
C’est l’histoire d’une poire qui prétend être une pomme et qui pendant dix-huit ans empoisonne un beau verger millénaire …
Aramis
24 janvier 2018 @ 13:20
N’avez vous pas été fusillé à Vincennes ?
Mais bienvenue qd même au XXI eme siècle.
Naucratis
26 janvier 2018 @ 14:25
Commentaire surprenant, Aramis, votre mousquetaire préféré étant également passé de vie à trépas…
Aramis
27 janvier 2018 @ 10:26
Excellent Naucratis !!!
Mais la littérature me donne l’immortalité, du moins jusqu’a La fin du monde s’il a une fin !
Tandis que la fin de l’histoire est hélas définitivement fixée à Vincennes pour le dernier descendant des Condé !
Gérard
24 janvier 2018 @ 19:54
Vous l’avez déjà dit mais on ne sait pas quel poison Louis-Philippe aurait répandu. En tout cas il a sauvé Versailles.
Sylve
23 janvier 2018 @ 18:36
Oh la paix ! Stéphane mets-la un peu berne….. Qu’on demande à de vrais historiens de nous parler Histoire…
June
24 janvier 2018 @ 18:09
C’est facile, ne regardez pas ! :)))
Charlanges
24 janvier 2018 @ 18:59
Voilà bien une réflexion aussi stupide que méchante ! Je compte plus sur Stéphane Bern pour faire découvrir et aimer l’histoire au plus grand nombre que sur certains des historiens que vous devez apprécier.
Kalistéa
26 janvier 2018 @ 18:07
Stephane Bern fait de très belles et intéressantes emissions . Il fait appel à des historiens chevronnés , tous spécialistes reconnus du sujet qu’ils traitent ., pour notre plus grand plaisir .
Antoine
23 janvier 2018 @ 23:01
J’ai beaucoup aimé la visite du château d’Eu si délicieusement désuet. Sa salle à manger ressemble furieusement à la mienne à la campagne : une débauche de style Henri II dans toute son horreur. Mais quand on l’a toujours vue, on s’habitue et on finit même par aimer !
Francois
25 janvier 2018 @ 16:34
Oui on finit par aimer
C’est rassurant et surtout de très belle qualité
Michèle Lobre
24 janvier 2018 @ 00:14
Plus le temps passe et je trouve que le prince William, oui le duc de Cambridge, a un air de ressemblance avec notre duc de Vendome non ?
Kalistéa
24 janvier 2018 @ 12:23
je vois comme vous Michèle Lobre mais je n’osais pas le dire .Il y a peut-être une lointaine parenté que les as de la généalogie pourraient nous découvrir !
Duc d'Enghien
24 janvier 2018 @ 14:15
Est-ce que Secret d’Histoire nous montrera la scène de l’arrestation de la Duchesse de Berry par Louis-Philippe d’Orléans et son emprisonnement à la Forteresse de Blaye ? (La Duchesse de Berry était la mère du Comte de Chambord, petit fils de Charles X héritier légitime du Trône).
Est-ce que Secret d’Histoire nous montrera la scène au Château de Saint-Leu, haut lieu de rencontre entre Reine Marie-Amélie, femme de Louis-Philippe et son amie pour l’occasion …, la sulfureuse Baronne de Feuchères qui fût mandatée par Talleyrand, au service des Orléans, … pour assassiner le Prince de Condé après l’avoir obligé, contre sa volonté, à coucher sur son testament le nom du Duc d’Aumale, fils de Louis-Philippe afin de faire passer la fortune des Bourbons-Condé vers les Orléans ?
Est ce qu’on parlera en deux mots … du fameux procès pour captation d’héritage à l’encontre de la Baronne de Feuchère, cette si chère … amie des Orléans et du jugement inique prononcé à sa faveur et celles des Orléans …, après avoir mis en congé le premier juge, subtilisé les pièces importantes du dossier … avant de renommer un juge … plus en symbiose … avec le pouvoir de …. Louis-Philippe ?
Je fais confiance à Stéphane Bern pour ramasser la poussière criminelle en dessous du tapis … et en faire le piment pour préparer la soupe orléaniste.
Bon appétit !
Cosmo
26 janvier 2018 @ 14:32
Ah, la théorie du complot ! Il parait que l’homme n’a jamais marché sur la lune et que les Twins Towers ont été descendues par les Américains.
Aramis
27 janvier 2018 @ 10:29
Et la terre est plate ! Et Paul VI est encore vivant ! Et un Orléans ou un Bourbon d’Espagne peut encore devenir roi de France !
Kalistéa
28 janvier 2018 @ 15:41
Et napoléon n’est pas dans son tombeau aux Invalides , On y a mis un Corse obscur .Et la preuve en est que la famille Napoléon ne veut pas donner l’autorisation d’ouvrir le tombeau pour vérifier!
Mayg
26 janvier 2018 @ 14:43
lol
Cosmo
28 janvier 2018 @ 12:06
Est-si drôle ? Car je suppose que vous connaissez la signification de lol.
dradomir
24 janvier 2018 @ 17:13
Pffff OK la royauté a une part importante dans l’Histoire mais trop c’est trop…
Il y a des sujets républicains à aborder……………….. aussi :)
Et puis S. Bern…. historien ? Bof…. bof…
.
Muscate-Valeska de Lisabé
26 janvier 2018 @ 10:54
Disons qu’il connaît bien ses sujets,et que pour les néophytes, c’est toujours mieux que rien.;-)
Gérard
27 janvier 2018 @ 10:42
Il souhaite aussi s’entourer. Après tout voilà Alain Decaux et André Castelot qui ont donné le goût de l’histoire à tant d’entre nous n’étaient pas des historiens nés ni diplômés me semble-t-il.
Padraig
26 janvier 2018 @ 13:52
Puis-je me permettre une question dradomir ? pourquoi vous trouvez vous sur « Noblesse et royauté » si le sujet de la royauté « c’est trop » ?
Kalistéa
28 janvier 2018 @ 15:42
Oui , mais Dradomir sort souvent , cher Padraig , il faut le reconnaître!
Cosmo
26 janvier 2018 @ 14:33
La site s’appelle « »Noblesse et Royautés et non « Citoyens et République ».
Duc d'Enghien
26 janvier 2018 @ 12:05
A quand un très Spécial Secrets d’Histoire sur la relation entre les Orléans et la fille du pêcheur d’huîtres ?
http://www.noblesseetroyautes.com/le-monument-du-prince-de-conde-a-saint-leu/
Gérard
27 janvier 2018 @ 10:42
Vous n’êtes pas le duc d’Enghien, ce saint martyr qui était toute bonté et loyauté.
Guy Coquille
26 janvier 2018 @ 12:15
Franchement, à voir le niveau de ce débat, je ne suis pas très fier d’être royaliste en cet instant.
Les uns ressassent les mêmes sottises concernant la débilité mentale de Charles X et les mêmes reproches injustes sur son abdication forcée et d’ailleurs rétractée aussitôt. Comme si Louis XVIII n’avait pas lui aussi ses responsabilités.
Les autres répètent les mêmes contre-vérités sur la succession espagnole. Ou réitèrent l’accusation grotesque d’assassinat du Duc de Bourbon contre Louis Philippe.
Un peu de mesure et de sérieux ne ferait pas de mal.
Aramis
27 janvier 2018 @ 10:38
Vous rêvez cher Monsieur, au royaume des chimères royalistes, la calomnie, la brutalité et les ragots sont les seul.e.s reines et rou tangibles.
Toute personne qui, ayant abusé du cannabis un soir d’infortune, aurait par extraordinaire au petit matin blême l’idee saugrenue de devenir royaliste en France en serait promptement et définitivement dégoûtée par la lecture des échanges de coups bas entre partisans des prétendants à un trône /miroir aux alouettes !
Aramis
27 janvier 2018 @ 10:39
Reines et roi
Gérard
28 janvier 2018 @ 13:55
Les élections présidentielles ne sont pas non plus une pièce de patronage.
Gérard
27 janvier 2018 @ 10:44
Bravo Guy Coquille de ramener un peu de bon sens.
Duc d'Enghien
28 janvier 2018 @ 18:35
Pour comprendre le trio infernal: Louis-Philippe -Talleyrand-Feucheres … relisez la presse de l’époque:
https://www.retronews.fr/dossier/lenigme-de-saint-leu-en-1830
Duc d'Enghien
30 janvier 2018 @ 02:21
Ecoutons Franck Ferrand :
http://www.europe1.fr/mediacenter/emissions/au-coeur-de-l-histoire/sons/l-integrale-l-enigme-de-saint-leu-1008529
Duc d'Enghien
31 janvier 2018 @ 02:24
LUMIERE SUR LE « MYSTERE » de
LA MORT DU PRINCE DE CONDE
« Le général Lambot affirme que le second assassin, l’amant de madame de Feuchères, n’est sorti du château de Saint-Leu que dans la journée du 29 août, par la difficulté de tromper la surveillance d’Obry, le concierge : jusque-là, il était demeuré caché dans la chambre de l’abbé Briant. M. Lambot assure tenir cette particularité de Flassans, et il n’y a aucune raison pour révoquer en doute son témoignage. Si les premiers magistrats arrivés sur les lieux avaient fait fouiller toute la maison, au lieu de se laisser berner par la thèse du suicide tout de suite annoncée par Mme de Feuchères, on aurait trouvé le coauteur de l’assassinat ».
« Un historien va jusqu’au bout de son enquête ! J’ai été rechercher, sur Internet, qui pouvait bien être capitaine de gendarmerie chez le prince de Condé en 1830. Et, à forces de recherches, j’ai fini par trouver.
Son nom est… Lucien Colin. Ce serait lui le complice et l’amant de Mme de Feuchères. Ce nom est d’ailleurs confirmé dans le livre de Dominique Paladilhe, Le prince de Condé : Histoire d’un crime. (Il ne donne que le nom, pas le prénom) »
» « M. Gustave de Beaumont, substitut du procureur du roi près le Tribunal de première instance de la Seine, avait dans son dossier relatif au procès intenté au sujet du testament de S. A. R. monseigneur le duc de Bourbon, deux pièces qui donnaient de l’inquiétude aux adversaires de MM. les princes de Rohan-Guémenée. On tenta quelques démarches pour l’amener à s’en dessaisir. Mais ces efforts furent vains auprès d’un magistrat trop profondément pénétré du sentiment de ses devoirs pour y manquer aussi gravement. On imagina alors de l’envoyer aux États-Unis, sous le prétexte d’y aller étudier le système pénitencier des prisons. Après son départ, les pièces compromettantes disparurent du dossier, lequel dans ce nouvel état plus favorable fut remis à un autre magistrat ». (Notice historique sur la vie et la mort de S. A. R. Mgr le duc de Bourbon, par le comte A.-S. de Villemur, p. 118.)
Source:
http://valmorency.fr/111.html
NB: « petit » détail dans l’instruction criminelle conduite par la police de Louis-Philippe :
Un garde des chasses a témoigné qu’il avait entendu, lors d’une chasse, la Baronne de Feuchères à cheval dire à son voisin tout en désignant du doigt le Prince de Condé qui chevauchait à l’avant: « Celui-là, il ne faut pas trop qu’il m’énerve par ce que le souffle de sa vie pend au bout de mes doigts ! » …
LUMIERE SUR LE « MYSTERE » de
LA MORT DU PRINCE DE CONDE
« Le général Lambot affirme que le second assassin, l’amant de madame de Feuchères, n’est sorti du château de Saint-Leu que dans la journée du 29 août, par la difficulté de tromper la surveillance d’Obry, le concierge : jusque-là, il était demeuré caché dans la chambre de l’abbé Briant. M. Lambot assure tenir cette particularité de Flassans, et il n’y a aucune raison pour révoquer en doute son témoignage. Si les premiers magistrats arrivés sur les lieux avaient fait fouiller toute la maison, au lieu de se laisser berner par la thèse du suicide tout de suite annoncée par Mme de Feuchères, on aurait trouvé le coauteur de l’assassinat ».
« Un historien va jusqu’au bout de son enquête ! J’ai été rechercher, sur Internet, qui pouvait bien être capitaine de gendarmerie chez le prince de Condé en 1830. Et, à forces de recherches, j’ai fini par trouver.
Son nom est… Lucien Colin. Ce serait lui le complice et l’amant de Mme de Feuchères. Ce nom est d’ailleurs confirmé dans le livre de Dominique Paladilhe, Le prince de Condé : Histoire d’un crime. (Il ne donne que le nom, pas le prénom) »
» « M. Gustave de Beaumont, substitut du procureur du roi près le Tribunal de première instance de la Seine, avait dans son dossier relatif au procès intenté au sujet du testament de S. A. R. monseigneur le duc de Bourbon, deux pièces qui donnaient de l’inquiétude aux adversaires de MM. les princes de Rohan-Guémenée. On tenta quelques démarches pour l’amener à s’en dessaisir. Mais ces efforts furent vains auprès d’un magistrat trop profondément pénétré du sentiment de ses devoirs pour y manquer aussi gravement. On imagina alors de l’envoyer aux États-Unis, sous le prétexte d’y aller étudier le système pénitencier des prisons. Après son départ, les pièces compromettantes disparurent du dossier, lequel dans ce nouvel état plus favorable fut remis à un autre magistrat ». (Notice historique sur la vie et la mort de S. A. R. Mgr le duc de Bourbon, par le comte A.-S. de Villemur, p. 118.)
Source:
http://valmorency.fr/111.html
NB: « petit » détail dans l’instruction criminelle conduite par la police de Louis-Philippe :
Un garde des chasses a témoigné qu’il avait entendu, lors d’une chasse, la Baronne de Feuchères à cheval dire à son voisin tout en désignant du doigt le Prince de Condé qui chevauchait à l’avant: « Celui-là, il ne faut pas trop qu’il m’énerve par ce que le souffle de sa vie pend au bout de mes doigts ! » …
À la suite de la parution de deux libelles en septembre 1830, Jules-Armand-Louis de Rohan demande un supplément d’enquête au tribunal qui nomme le juge d’instruction de la Huproie. Après 4 mois d’enquête, ce juge partisan des Ultras et qui instruit à charge3 conclut à un crime maquillé en suicide, soupçonne la baronne de Feuchères avec la complicité d’un prétendu amant gendarme d’en être les instigateurs. La baronne étant rentrée en grâce du nouveau couple royal par l’entremise de Talleyrand4, le juge est mis à la retraite d’office le 4 juin 1831, en échange de la nomination de son gendre comme juge titulaire au tribunal de la Seine. Le 21 juin, la Cour royale de Paris qui a dessaisi le tribunal de Pontoise conclut à un suicide et qu’il n’y a donc pas lieu de poursuivre.
http://www.ina.fr/video/CPF86618439Répondre ↓
Film sur le mystère … de la mort du Prince de Condé:
J. Decaux et J. Castelot « L’énigme de Saint Leu »
http://www.ina.fr/video/CPF86633199
Livres à lire sur internet :
« Mensonges et Calomnies pour la baronne de Feuchères », par les avocats du suicide: Deuxième partie de l’assassinat du dernier des Condés. »
Auteur: François Pelier de la Croix
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