Répondant à l’invitation du roi des Belges, le président de la république française Emmanuel Macron et son épouse effectueront une visite d’Etat en Belgique les 19 et 20 novembre prochains. (merci à Anne)
Répondant à l’invitation du roi des Belges, le président de la république française Emmanuel Macron et son épouse effectueront une visite d’Etat en Belgique les 19 et 20 novembre prochains. (merci à Anne)
Louis D
7 novembre 2018 @ 09:54
Oui qu’on le sorte un peu de là, il en a bien besoin.
Colombe
7 novembre 2018 @ 10:47
J’attends avec impatience cette visite.
Nous aurons l’occasion de voir le prochain déguisement vestimentaire de Mathilde avec ses plateaux ou ses biscuits sur la tête.
Colombe.
Anna1
7 novembre 2018 @ 13:35
Et aussi visualiser la tignasse, les belles jambes et, le bon goût vestimentaire de Mme Macronsauf imprévus
Philibert
14 novembre 2018 @ 12:23
Brigitte vous intéresse-t-elle donc ?
En tout cas, pas moi !
Paoletta
7 novembre 2018 @ 22:23
Mathilde ne craint aucun déguisement; c’est une véritable beauté.
Karabakh
8 novembre 2018 @ 01:30
Vous savez, les déguisements sont généralement des apparats d’ordre vestimentaire, tandis que les grands airs (à votre instar) procèdent de l’artifice mondain. A choisir, je préfère encore les déguisements.
Alix-Emérente
8 novembre 2018 @ 12:20
Attendons aussi ce que Brigitte Macron nous réserve …
Jean Pierre
7 novembre 2018 @ 12:57
Est ce dans le parcours mémoriel ?
Une petite visite à Spa d’où parti, la queue entre les jambes, notre ami Guillaume II.
dradomir
7 novembre 2018 @ 17:28
Gardez le ! MDR
Caroline
7 novembre 2018 @ 21:21
Ne parlons pas trop de nombreuses réactions indignées des autres contre Macron ! Il a osé vouloir donner un hommage à Pétain , le héros devenu un traitre-colloborateur avec Laval durant la seconde guerre mondiale !
Charlotte AL
8 novembre 2018 @ 13:35
Caroline, il n’a fait que rejoindre d’autres présidents et non des moindres : le général DE GAULLE lors des commémorations du cinquantenaire de la bataille de Verdun en 1966, puis Mitterrand qui faisait déposer une gerbe sur la tombe du maréchal à l’île d’Yeu tous les 11 novembre, Chirac, Sarkozy, tous ont reconnu le héros de Verdun mais aussi le « funeste choix » qu’il fit durant la Seconde Guerre Mondiale.
Reconnaissons que la position est délicate, comment ne pas évoquer Pétain lorsque l’on parle de la Première Guerre Mondiale ?
La solution consistant à honorer aux Invalides le cinq Maréchaux qui y sont inhumés me parait raisonnable, mais un peu frustrant pour Joffre et Galliéni.
Gibbs
9 novembre 2018 @ 12:51
Charlotte AL,
Sans aucune méchanceté et si vous me le permettez, ce n’est pas parce que les autres ont manqué de réflexion qu’il devait les suivre… bêtement.
Mon époux me tient et bien avant le président Macron, le même discours s’agissant de Pétain et bien croyez-moi : nos avis divergent et je ne changerais pas ma position.
On peut avoir été un héros et être devenu un p….
Songez qu’il avait 84 ans en 1940.
Ne pouvait-il passer la main ?
Je pense que ces gens ont des ego surdimensionnés.
Les héros, pour moi, ce sont toutes les victimes civiles et militaires ainsi que leurs familles.
Vous savez que je n’apprécie pas Macron mais il faut avouer qu’il semble doté d’une sacré dose de masochisme à chacune de ses sorties avec ses « petites phrases ».
Un pas en avant… deux en arrière !
Cordialement,
Gibbs
Gibbs 🐕
10 novembre 2018 @ 13:41
changerai…
Charlotte AL
10 novembre 2018 @ 14:33
Gibbs, pas de problème, le grand mérite de ce site est de donner la parole à la « libre expression » tant qu’elle reste dans des limites à la fois de correction et de fond.
L’homme n’est pas monolithique, Pétain fut le héros de Verdun et le félon de 1940 et plus encore de 1942.
La vieillesse est un naufrage a dit De Gaulle, Pétain était très âgé en 1940, vous avez raison, mais, mais, vous parlez de passer la main, et je suis d’accord, mais à qui ? Reynaud venait « courageusement » de démissionner et de suggérer à Albert Lebrun d’appeler Pétain , » le héros de Verdun » pensant peut-être pouvoir négocier avec Hitler, pff!!!
Alors en ce qui concerne Macron, dont je ne suis pas fan, reconnaître lors des commémorations de l’armistice de 1918, le rôle de Pétain à Verdun comme ses prédécesseurs, c’est juste une reconnaissance historique, ponctuelle, quasi inévitable.
Ce que je regrette c’est la polémique qui s’est installée, politicienne qui n’a rien à faire ici. Tout comme vous je considère que les combattants issus de toutes les couches sociales sont les héros de cette guerre et c’est à eux que l’on rend hommage aujourd’hui, pas par un défilé militaire, certains en ont fait le reproche, mais par tous les témoignages recueillis depuis plusieurs années en vue de ce 11 novembre 2018.
Ce que je reproche à Macron c’est de ne pas avoir persévéré dans un hommage aux chefs militaires, même en considérant les erreurs stratégiques qu’ils ont faites : Nivelle par exemple, se cantonnant à un hommage aux Invalides, aux cinq maréchaux qui y sont inhumés, oubliant par la même entraînant Pétain avec eux, Joffre et Galliéni, victimes collatérales de ce faux pas.
Et ce que je regrette par dessus tout, c’est le voile porté sur ce qui devrait être une communion de tout le pays sans querelle partisane avec sous jacente une critique du pouvoir en place et ce quel qu’il soit.
Bien cordialement à vous et bon dimanche du… 11 novembre !
LOLA
9 novembre 2018 @ 13:12
Absolument d’accord avec vous, on peut rendre hommage au grand soldat que fût le Maréchal Pétain lors de la première guerre puisqu’au 11 novembre, il s’agit « seulement » de l’armistice de 14/18
et…
Considérer tout autrement les agissements de cet homme en 39/45. Pour une fois, je trouve que la polémique contre Macron, stupide !
mais stupide aussi qu’il essaie de se rattraper aux branches et ne pas assumer sa première idée…????
Karabakh
9 novembre 2018 @ 14:08
Au regard de la Première guerre mondiale, Philippe Pétain est un personnage valeureux, peut-être un héros (ç’a toujours été discuté comme pour d’autres). Je pense que l’on doit se souvenir de cela et respecter.
Il est possible de reconnaître la valeur de Pétain en 14-18 et rejeter ses choix de 1940. Il y a là deux aspects de cet homme, placé face à des contextes différents. Puis l’éclairage moderne sur tous ces faits permet d’affirmer qu’en 1940, Pétain n’a pas décidé seul et plus encore que d’autres auraient fait les mêmes choix, voire pire. Loin de moi l’idée de cautionner, par contre je prends beaucoup de recul.
Charlotte AL
7 novembre 2018 @ 23:54
Un peu hors sujet.
En cette semaine de Commémoration de la fin de la Grande Guerre, je suis heureuse que France 3 ait consacré une « fin de soirée » aux Poilus d’Orient, un peu tard et peut-être moins vue que le sujet précédent qui, entre parenthèses, m’a déçue. Trop de « reconstitution » et d’images convenues, bref.
N’oublions pas que la défaite de la Bulgarie avec armistice signé le 29 septembre 1918, suivi par l’Empire Ottoman le 30 octobre et enfin l’Autriche le 3 novembre ont permis d’isoler l’Allemagne et d’aboutir à l’armistice du 11 novembre, suivi par la Hongrie le 13 novembre.
Alors finalement, les « jardiniers de Salonique » ont bien labouré le terrain, non ?
Pour les amateurs de livres historiques, et je sais qu’il y en a parmi nous, le livre de Pierre Miquel : « Les Poilus d’Orient » éditions Fayard, pour ne pas les oublier…