Des produits de saison issus du château de Chambord comme du miel, des confitures, des rillettes ou des soupes selon des recettes royales.
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Cosmo
10 décembre 2023 @ 07:05
La terrine de cerf est une provocation…les trompettes de la mort…pourquoi pas du cerf à l’hallali ?
Heureusement que la confiture de rhubarbe est qualifiée d’exquise et celle de fraise, délicate. On achète rarement des produits mauvais et grossiers.🤣
Perlaine
11 décembre 2023 @ 15:11
lollll!
Baia
10 décembre 2023 @ 07:53
Le Danielli à Venise !
Baia
10 décembre 2023 @ 07:54
Oup’s erreur de rubrique !
Baboula.
10 décembre 2023 @ 09:12
Délicieux certainement, mais cela ne suffira à améliorer le prochain rapport de la Cour des Comptes .pour vous donner envie de lire le dernier en date
.https://www.ccomptes.fr/fr/publications/le-domaine-national-de-chambord
JAusten
10 décembre 2023 @ 09:49
Il n’y a plus qu’à mettre un vrai châtelain dans ce château.
Fleur
10 décembre 2023 @ 10:21
En espérant pour les acheteurs que ces terrines soient vraiment « de sanglier » et non pas comme souvent avec 20% de sanglier ou de cerf et surtout du porc, une supercherie sans nom, qui a le don de m’irriter et me faire cesser de commander les articles en question.
Pour qu’une confiture me semble exquise et au vu des tarifs pratiqués, j’en attends au moins 60% de fruits, vraiment le minimum pour me plaire.
Fleur
10 décembre 2023 @ 12:50
En plus des bocaux même pas remplis… Encore un attrape-nigauds.
MartineR
10 décembre 2023 @ 11:51
Malheureusement ce ne sera pas la vente de soupes de miel de conserves qui permettra de combler les déficits de gestion du dernier administrateur….
De grandes parties du château sont vétustes et avec de grands risques d’incendies..
Chambord c’est surtout le bâti et non les jardins.
Voir les articles de la République du Centre
Danielle
10 décembre 2023 @ 15:01
La confiture de rhubarbe est un délice.
Mon mari cuisine de la terrine de sanglier, c’est fameux, il ne faut pas s’en priver.
Benoite
11 décembre 2023 @ 05:49
le Marketing de la boutique est révèle par les qualificatifs des étiquettes. Exquise et délicate, soupes royales, ou princières, François 1er devait aimer les soupes de tomates, rouges (les vertes n’étaient pas nées pour la consommation quotidienne) les termes ici sont devenus nécessaires. Bio, « Gourmandes recettes de ma grand mère » qui peut être ne savait même pas cuisiner une omelette, les exagérations sont devenues habituelles. j’en passe. On voit des concours de cours de cuisines en épisodes télévisés sur toutes les chaînes , des chefs qui viennent remettre en bon ordre, des restaurants de province qui se cassent le bol.. parce qu’ils ne savent pas gérer, et sont prêts à sortir les longs couteaux..
Les marchés sur rues, et places sont les plus adaptés aux achats : on discute avec les producteurs ou les épouses, on y va avec ses paniers, et on participe à ces ambiances d’odeurs et de parlers régions, qui en sont le charme premier.
Robespierre
11 décembre 2023 @ 09:56
Tous les poncifs laudatifs auront été épuisés avec ces produits : « exquise », « délicate », « royale », « ancienne ». Il évident que le client n’aurait pu être satisfait avec l’annonce d’une simple soupe ou confiture. Il faut aller rechercher le patronage de François Ier pour qu’une soupe de carottes ne soit pas trop plébéienne. Et le château de Chambord pour sublimer le miel. Et je suppose que le prix sera également royale.
Robespierre
11 décembre 2023 @ 11:55
…; royal et pas royale
Charlotte (de Brie)
12 décembre 2023 @ 09:32
Pas certaine que François 1er ait eu l’occasion de déguster une soupe à la tomate…. qui à son époque était uniquement considérée comme plante ornementale.