Si vous souhaitez déguster une quenelle de brochet qui régala à l’époque le roi Louis XIV à Versailles lors de dîners pour ses hôtes prestigieux, cap sur le restaurant Le Laumière à Paris. Le chef conserve la recette secrète qu’il tient d’ailleurs de l’ancien restaurant « Le Louis XIV ». La quenelle est servie dans un caquelon en terre cuite avec un léger gratin. (Merci à Nozarri)
9 décembre 2017 @ 05:42
C’est trop tentant et je crois que j’en reprendrais bien !
9 décembre 2017 @ 07:53
Une vraie gourmandise…
ml
9 décembre 2017 @ 08:31
Anecdote. Ils ont compté le nombre de plats servis depuis le début et on vous donne une carte avec le numéro de votre quenelle.
9 décembre 2017 @ 17:47
Comme le canard au sang de la Tour d’Argent !
9 décembre 2017 @ 09:56
Quelle bonne idée en cette fin d’année pour un petit saut à Paris afin de déguster cette superbe recette..!
9 décembre 2017 @ 16:00
Si ça a plu a Louis XIV, alors c’est une référence, allons vite y gouter, c’est bien plus tentant que le menu d’hier a la cour de Russie…!
9 décembre 2017 @ 16:34
J’hésite entre le soufflé et les quenelles,mais je me dépêche avant de me les faire souffler par Dieudonné.
10 décembre 2017 @ 17:39
où là, oui oui. laissons ce personnage là où il est.
11 décembre 2017 @ 17:54
Je n’ose croire que vous vous soyez emmelé les pinceaux au point de confondre Louis XIV et l’autre.
12 décembre 2017 @ 20:59
Il faut croire que si.
12 décembre 2017 @ 01:10
Je pense que MVL ne parle pas du même Dieudonné que vous. Louis XIV s’appelait Louis Dieudonné à l’état-civil. C’est cette référence qui me semble la bonne.
12 décembre 2017 @ 21:00
Honnêtement, l’Histoire est assez étrange…
14 décembre 2017 @ 01:26
Je vous l’accorde.
13 décembre 2017 @ 18:56
Mes amis,je ne reviens sur le sujet qu’aujourd’hui,et je vois que vous avez besoin de mon aide. .je parlais de » l’humoriste »Dieudonné qui a fait scandale dans l’actualité avec sa »quenelle »… et qui porte le même prénom que Louis XIV…c’était un jeu de mot. ..qui est retombé comme un soufflé mal cuit! ;’))).
14 décembre 2017 @ 13:30
Ah alors on s’était bien compris…Bonne journée à toi, amie Lisa.
15 décembre 2017 @ 18:34
Ah oui, alors au temps pour moi.
Ceci dit, Claude-Patricia dit vrai : l’histoire est (parfois) étrange.
15 décembre 2017 @ 20:16
Oui!! …mais c’est tombé à plat!…Quand je mets les pieds dans le plat^^..Bonne journée, chère Claude-Patricia.♡
12 décembre 2017 @ 01:15
Dieudonné c’était Louis XIV Claude Patricia
12 décembre 2017 @ 21:01
En tout cas, mon esprit a littéralement fait un bon dans le temps. Sans le vouloir. Je dois être trop marquée dans mon esprit par la guerre et ait fait un amalgame de tout.
14 décembre 2017 @ 01:27
Il y a méprise mais pas maldonne. ?
9 décembre 2017 @ 17:58
Tout cela est bien tentant. Le décor est élégant et les prix ont l’air raisonnable. A mettre dans mon agenda du prochain voyage à Paris !
9 décembre 2017 @ 18:09
À Lyon, la quenelle a longtemps trôné sur les tables dominicales, dont celles de mes parents à mon plus grand regret, car j’ai toujours trouvé que cela ne cassait pas trois pâtes à un canard. Peut-être les trouverais-je intéressantes quand je serai obligée de manger du mou. :):)
10 décembre 2017 @ 17:53
Comme quoi l’herbe est toujours plus verte chez le voisin…pour ma part, c’est mon mari qui est lyonnais, et quand nous allons voir mes beaux parents, ma belle – Mere me » kidnappe » afin de m’inviter dans un restaurant bien précis ( j’ai oublié le nom, cadre très ancien ..) et dans lequel la quenelle est The spécialité , sachant que je raffole de cette merveille…
11 décembre 2017 @ 14:54
Trianon, votre belle-mère vous emmène probablement chez Abel, dans le quartier d’Ainay, près de la Saône. Pour vous rappeler ces bons souvenirs, je vous joins l’adresse du site où l’on peut, en cliquant sur Réservations voir une photo de la devanture.
http://cafecomptoirabel.com
12 décembre 2017 @ 13:35
ah oui! c’est celui là! je reconnais!
et c’est un pur bonheur pour qui aime les quenelles..!
13 décembre 2017 @ 16:01
Trianon, ce n’est parce que je ne suis pas folle des quenelles que je ne connais pas les adresses ! ??
11 décembre 2017 @ 18:35
Hummmm si jamais le nom de ce restaurant vous revenait je suis preneur , passant parfois une journée à Lyon et aimant beaucoup les quenelles , qu’elles soient nature , de brochet ou aux morilles.
12 décembre 2017 @ 13:36
Pascal, je confirme, Corsica a trouvél’adresse bénie ..:)
n’hésitez pas, c’est un bonheur gustatif!
10 décembre 2017 @ 18:20
Eh oui..; Avis que je partage, ma chère Corsica. Dans les quenelles de quelque chose, il y a un tout petit peu de quelque chose ( ici, du brochet, en principe), et plein, plein, plein de sauce à base de béchamelle.
Et puis, on pourrait fiche la paix aux brochets : ces grands prédateurs et écumeurs de rivières ne sont plus si nombreux. Pourtant, l’équilibre de la faune aquatique en a besoin.
11 décembre 2017 @ 15:01
Ah amie Leonor, vous avez parfaitement exprimé ce que j’ai toujours pensé de la quenelle . Heureusement, nous avons la chance d’avoir des amis qui, lorsqu’ils m’invitent, ont la délicatesse de se rappeler de mes goûts et comme, à la maison, on n’en mange pas, sauf en cas d’absolue nécessité de consommation de choses molles, je suis tranquille !
14 décembre 2017 @ 18:41
C’est vrai que la consommation des choses molles n’est pas joyeuse, chère Corsica…il arrive même que ça ne passe pas! ;’))
13 décembre 2017 @ 17:59
Chère Leonor,
Il doit en être des quenelles de brochet comme du pâté d’alouette : un cheval pour une alouette.
Amicalement
Cosmo
10 décembre 2017 @ 21:10
Oups, la correction automatique a choisi pâtes et non paTTes.
10 décembre 2017 @ 23:47
Une lyonnaise qui n’aime pas les quenelles de brochet ? mais peut-être sont ce vos origines corses…?
Pour moi, si elles sont bien préparées, c’est un délice ! mais à chacune ses goûts !
11 décembre 2017 @ 12:27
Moi ça va, s’il y a de la sauce Nantua. Mais je ne sais si c’est la recette originale.
11 décembre 2017 @ 15:09
Dorothée, une Corse qui a toujours vécu à Lyon, sauf l’été, et qui a beaucoup roulé sa bosse dans le monde, cela donne une fille qui adore l’huile d’olive et les cuisines du Sud, n’aime pas les quenelles mais à un faible pour certaines cochonnailles ou le gâteau de foie fréquents sur les tables lyonnaises, tout en ayant un gros faible pour certaines épices et cuisines d’ailleurs ! :):)
9 décembre 2017 @ 19:51
Ce que nos cousins français ne savent pas, c’est que la très grandes majorités des brochets servant à cette légendaire recette viennent de leurs cousins d’Outre-Atlantique. Le Canada est un gros exportateur de brochets.
12 décembre 2017 @ 01:12
Merci de rappeler que les brochets du marché français sont des brochets d’eaux canadiennes. Il me semble même qu’il y a des élevages.
10 décembre 2017 @ 07:34
Très appétissant il est vrai , mais du brochet pêché ds les eaux polluées des rivières ! ! !
10 décembre 2017 @ 10:17
Quels sont les ingrédients de la sauce svp ? Tout cela est fort appétissant.
10 décembre 2017 @ 13:32
oh pauvres brochets .. personne pour les défendre ?
10 décembre 2017 @ 17:40
Très bon, les quenelles de poisson.
10 décembre 2017 @ 19:32
Voilà un menu qui me convient . Le brochet me semble plus aimable que l’ours du dernier gala russe … et je ne parle pas des yeux et autres viscères .à la sauce tzarine !
12 décembre 2017 @ 01:13
Je ne tiens pas particulièrement au poisson mais il est vrai que ces quenelles ont la réputation d’être fameuses. Personnellement, je les fais à d’autres « sauces ». A la lyonnaise, naturellement.
12 décembre 2017 @ 21:06
Merci à ceux qui sont venus à mon secours, vraiment, je ne voulais moi non plus offenser personne. Lisa, excusez-moi, mais c’est vrai que je devais chercher des livres pour mon oncle et parrain féru de cette période de l’Histoire, et du coup je ne sais pas, mais je n’ai pas compris votre version plus poétique. Ne m’en veuillez pas.
Demain je vais aller voir peut-être star wars, ça me fera des vacances.
13 décembre 2017 @ 18:59
Je vous invite à lire mon post plus haut,chère Claude-Patricia…amitiés à vous. ♡