La reine Rania de Jordanie était en visite dans une école pour filles à Amman où une plateforme éducative leur permet de mieux intégrer les mathématiques.
La reine Rania de Jordanie était en visite dans une école pour filles à Amman où une plateforme éducative leur permet de mieux intégrer les mathématiques.
septentrion
8 mars 2019 @ 09:38
C’est excellent!
Alinéas
8 mars 2019 @ 10:04
J’aime beaucoup son corsage délicatement orné !!!
Annmaule
8 mars 2019 @ 10:22
La methode se Singapour peut etre?
Muscate-Valeska de Lisabé
8 mars 2019 @ 10:36
Rien n’est pire pour moi que les mathématiques.Un calvaire absolu même à bas niveau. Des souvenirs scolaires épouvantables, à pleurer sur ma feuille…rien à faire,ça ne rentrait pas.Blocage total.J’arrivais péniblement à une moyenne de 13,la honte de mes carnets…Tandis que sur un devoir littéraire, je ne pouvais plus m’arrêter,tant j’étais portée sur les ailes des mots……vive la calculette!
mariejeanne
8 mars 2019 @ 14:18
Une moyenne de 13…cela devrait rentrer un peu quand même Muscate.
Muscate-Valeska de Lisabé
9 mars 2019 @ 10:37
C’est le maximum que j’aie connu…. ça a dû arriver un seul trimestre, je pense,mais c’est tellement la somme d’efforts considérables que c’est inoubliable! ;-)
aubert
11 mars 2019 @ 11:44
En effet Chère Muscate ça ne rentrait pas et ça ne rentre toujours pas, la preuve vous confondez maximum et moyenne.
Nos hommes politiques aussi, mais on peut toujours voter contre eux.
Certes nous ne pouvons pas vous renvoyer à vos dures études mais, pour moi et probablement pour beaucoup sur le site, ça n’a aucune importance, restez comme vous êtes.
Muscate-Valeska de Lisabé
11 mars 2019 @ 15:20
Hahaha!…je suis donc moins nocive que nos hommes politiques! ;’)).
…C’était la moyenne d’un trimestre, sur mon carnet,cher Aubert,pas la note d’un devoir…mais quoi qu’il en soit, vous avez raison, je vais continuer à me faire dépouiller allègrement sur ma monnaie, activité nationale qui enrichit d’autant les commerçants du Liban! ;-)).
caroline-mathilda
8 mars 2019 @ 14:20
Gentille Mu,
j’aime les mathématiques ..je trouve ça facile ,c’est comme les langues…des règles à appliquer et tout devient clair …..
(pour tout avouer …j’ai des circonstances atténuantes! j’ai passé mes 10 premières années au fin fond du monde ,dans un lieu où nous n’étions pas 100 et avec mes deux parents scientifiques ,le choix était restreint ;-) )
Mais comme toi ,j’aime ,j’adore la littérature.
j’ai réussi à trouver un cursus et un métier « un peu funambule » entre sciences(mais pas mathématiques) et littérature .
Muscate-Valeska de Lisabé
9 mars 2019 @ 10:47
Effectivement, ma douce Caro-Math,tu étais dans le bain et tu avais aussi les aptitudes…
Personnellement, là où je bloque,c’est sur les règles, justement. ..je n’aime que ce qui est modulable,adaptable,flexible…. même en cuisine, mes recettes ne sont jamais les mêmes…. souvent,c’est bien…. parfois. ..un peu moins ;-)…. c’est la loterie!
Bon week-end, ma Mie.
Philibert
8 mars 2019 @ 16:44
Chère Valeska,
j’aimerais vous parler de votre beau pays sans être lu par d’autres internautes.
Pourrions-nous nous rencontrer sur cette rubrique dans une semaine, quand cet article aura été largement relégué par d’autres ?
Muscate-Valeska de Lisabé
9 mars 2019 @ 10:40
Cher Philibert,
Ce sera avec plaisir, mais vous pouvez aussi demander mon mail à Dame Régine…faites selon ce que vous préférez.Je prends note du rendez-vous.
Bon week-end à vous.
Philibert
15 mars 2019 @ 11:44
Chère Valeska,
voici pourquoi je désirais entrer en contact avec vous : il se fait que je passerai une semaine au Liban au début d’avril et que cela me ferait très plaisir de vous rencontrer.
Comme c’est un voyage organisé, tout le parcours est fixé.
Pour prendre les deux points les plus proches du nord :
– le matin du vendredi 5 avril, nous serons à Annaya, au monastère de saint Charbel
– le mercredi 10 avril en début d’après-midi, nous serons au monastère maronite St Antoine de Khozaya.
S’il vous est possible de vous trouver à un de ces deux endroits en même temps que moi, cela me réjouirait beaucoup !
En effet, les messages sur N & R, c’est bien, mais rien ne remplace les rencontres en direct…
Je vous donne mon adresse pour la suite de cette conversation : p.neve@laposte.net
Muscate-Valeska de Lisabé
15 mars 2019 @ 15:51
Bonjour, Philibert,
Je vous rejoins en MP.
Actarus
9 mars 2019 @ 01:17
Nous sommes pareils. ;-)
Et pour répondre à Pierre-Yves aussi (ci-dessous), nous sommes d’une génération où les maths régnaient impitoyablement en haut du système scolaire, encore qu’il y avait moins bien lôtis que nous autres, pauvres littéraires : les « rebus » du bac G chanté par Michel Sardou ! ^^
Cela dit c’est bien que les petites jordaniennes apprennent les maths, ça leur servira plus tard dans leur vie quotidienne. Je ne dis pas comment, c’est une actaruse que bien des gens ne peuvent lire… ;-)
Pierre-Yves
8 mars 2019 @ 11:39
Les matières et le genre entretiennent de curieuses relations. On a longtemps pris l’habitude d’orienter majoritairement les garçons vers les matières scientifiques et les filles vers les disciplines littéraires. Heureusement, cette répartition arbitraire des choses a tendance à régresser. Au Moyen-Orient, on encourage donc les filles à faire des maths, et c’est sans doute très bien.
Mais en Occident, le problème aujourd’hui serait plutôt cette prééminence excessive des maths sur toutes les autres matières, et la dévalorisation des disciplines plus littéraires, histoire, philo, au motif que plus tard, elles ne feront pas manger. Or, un esprit cultivé, réfléchi, qui sait exercer son jugement critique c’est, das la vie, sûrement aussi utile que de savoir résoudre une équation du second degré.
mariejeanne
8 mars 2019 @ 14:19
C’est pourquoi l’an prochain, les maths seront une matière facultative au Bac !
Muscate-Valeska de Lisabé
9 mars 2019 @ 10:42
Quelle nouvelle formidable!!!
bételgeuse70
8 mars 2019 @ 15:04
Le problème serait peut-être surtout dans un système qui préfère les têtes bien pleines aux têtes bien faites.
Muscate-Valeska de Lisabé
8 mars 2019 @ 15:08
Résolument, Pierre-Yves…I ♡ you ! ;-)
framboiz 07
8 mars 2019 @ 23:47
Pierre Yves : Bravissimo !
Leonor
9 mars 2019 @ 09:37
Exactement du même avis.
caroline-mathilda
9 mars 2019 @ 20:47
Pierre-Yves,
jJen pleure parfois de colère (mais littéralement) lorsque je vois à quoi sont réduites aujourd’hui les matières telles que le latin ,le grec : plus de thèmes depuis des années (trop difficile ,pas utile …et les versions prennent le même chemin) .
Plus de grec du tout dans la plupart des écoles et peut être étudié « sérieusement » à partir de la 3ème année.
Le latin suit le même chemin ,les deux premières années il est « soumis » à l’étude du français (à la rigueur en deuxième année il y a moyen de faire quelques déclinaisons…).
Et à l’unif nous récupérons de (rares) futurs archéologues ,philologues classique ,orientalistes ,historiens ….qui doivent étudier en un an un minimum de 3 ans de retard (et qui forcément pour certains terminent dégoûtés).
Le français (ou autre langue selon le pays) qui est trop difficile et doit être « étudié » de manière simplifiée
,la philosophie (deux heures de cours les deux dernières années et en option pour cette dernière) qui forme pourtant l’esprit à pouvoir argumenter autrement que par : parce que c’est bien ,c’est pas bien etc sans pouvoir s’appuyer sur d’autres arguments que « mais truc-machin l’a dit ou écrit sur tel réseau etc…
Les sciences « humaines » se meurent au profit de ce qui est considéré comme la Science Pure ….et l’Informatique .
Tristesse .
Latina
8 mars 2019 @ 15:23
Excellente initiative, comme toutes celles en faveur de l’éducation.
Je n’ aimais pas spécialement les mathématiques, préférant les lettres, mais je voulais devenir médecin. Dilemme. J ‘ai pleuré sur ma feuille, comme vous Muscate, pendant deux ans, les deux premières, ensuite la passion pour les lettres et sciences humaines m ‘à beaucoup aidé. La médecine étant plus que toute une science « humaine ». Vous avez raison Pierre-Yves on a besoin de cette source tout comme des principes mathématiques.
Danielle
8 mars 2019 @ 19:28
Une plateforme qui m’aurait bien convenu, même maintenant !
Marie-Caroline
9 mars 2019 @ 08:20
Je rejoins le commentaire de Muscate, j’aurais pu faire tous les efforts du monde à l’école, j’ai jamais dépassé les 10 de moyenne en maths… Un calvaire et ce depuis le primaire. Je me rappelle de Maman qui rageait le soir pour les devoirs et qui m’expliquait les problèmes de maths à l’envers et à l’endroit: « Marika, c’est simple quand même, imagine tu as 14 pommes, tu en manges 5, tu en rachètes 7, combien de fruits y’a t-il dans la corbeille de fruits? » Et moi impossible de répondre :’DDD
Mon Dieu les souvenirs, j’en rigole encore :-)
Leonor
9 mars 2019 @ 09:47
J’ai haï les mathématiques.Jusqu’au jour où mon aîné , matheux et formidable pédagogue, m’a alors expliqué en une heure chrono ce que des profs brouillons n’avaient pas su faire passer en deux ans.
Plus tard, en 3e, une professeur fantastique , devant la nullité en maths de toute une classe de littéraires gréco-latinistes, a décidé de rattraper en un trimestre le programme de 6e, 5e, et 4e, partant de l’idée que ces filles-là n’étaient pas complètement idiotes. Cela se fit à marches forcées, mais se fit, et bien.
J’ai encore ces cahiers » récapitulatifs ».
Subitement, tout devenait clair.
Comme quoi, c’est souvent une question d’enseignant.
C’est en tout cas mon expérience.
HRC
10 mars 2019 @ 11:06
le problème de Marie-Caroline plus haut n’est pas de mathématique mais de calcul en primaire, elle ne pense pas à remplacer « manger » par soustraire et « acheter » par additionner.
c’est souvent ça, l’échec : le blocage par la peur.
dans ma génération et encore aujourd’hui, les anciens de maths élem, ou C, ou S, étaient quasi majoritaires en prépas littéraires.
j’ai connu un chercheur en Maths qui avait eu un prix au Concours Général en histoire, il y a pléthore d’exemple de ce genre dans les 2 sens.
(nb : j’ai eu aussi une folle envie de boxer un prof de maths en lycée qui aimait écraser les élèves, faute d’avoir pu enseigner en fac. Mais j’ai eu la même envie (inassouvie aussi) de boxer des parents qui ne voulaient que des enfants matheux.)