J’ignore s’il s’agit de régression ou d’absence de progression? Arrières-grand-mères soumises, grands-mères soumises, mères soumises, filles soumises, etc. Seigneur… que faire? FdC
Rania de Jordanie est issue d’un milieu éduqué et cultivé et a elle-même poursuivi des études. Ce n’est malheureusement pas le cas de toutes les jordaniennes quant à la Sheikha, elle s’adapte, en public pour ne pas choquer sa population.
Si,l’éducation permet d’aiguiser son sens critique et donc de ne pas suivre à la lettre des principes totalement révolus!
bianca
22 février 2015 @
16:17
J’aimerais Lina savoir si vraiment il est écrit dans le Coran que les femmes soient ainsi vêtues…Il paraît que non…Dans ce cas que les femmes se libèrent toutes ensemble…Pouvez-vous me renseigner SVP ?
(La semaine dernière j’ai vu une fillette qui devait avoir tout juste huit ans vêtue comme sa Mère).
j21
19 février 2015 @
13:09
Sur les dernières photos que j’ai pu voir, la reine Rania apparaît maigre et fatiguée avec les cheveux fatigués eux aussi. Sure que sa situation n’est plus guère enviable.
Tout à fait j21, j’ai noté la même chose : Rania est fatiguée et en France, malgré la présence d’Abdallah, elle avait peur… j’ai vu plusieurs vidéos et j’ai remarqué qu’elle craignait quelque chose. FdC
Le rôle des mères, là-bas comme ailleurs, est prépondérant.
Ce sont tout de même elles qui éduquent les enfants, leur transmettent les bonnes valeurs, relayées par les pères et l’école. Elles ont le pouvoir et le devoir de veiller sur leurs enfants, d’être vigilantes, de les rassurer et les mettre en garde contre les dangers qui les guettent et les discours mensongers. Bref, de les aimer, les guider et les protéger.
La plupart des jeunes en perdition avouent que leur dérive a commencé par une souffrance. Celle de ne pas recevoir d’amour de la part de leur famille (tous milieux sociaux confondus), d’être délaissés, livrés à eux-mêmes, à la rue et ses mauvaises rencontres, au premier manipulateur venu s’intéressant à eux.
Les familles doivent assumer leurs responsabilités, dans l’intérêt de leurs enfants et ne pas les laisser devenir des proies faciles. Il est trop tard, ensuite, de » pleurer sur le lait répandu ».
Ce que vous dites n’est pas faux Mélusine; le manque d’amour est souvent la cause de la délinquance… et ça n’a pas de frontière : C’est partout pareil. Amitiés, FdC
J’approuve totalement Mélusine et Francine du Canada…Lorsqu’un enfant a reçu de l’amour de la part de ses parents, de ses grands parents, de la famille en général, il sait qu’il en recevra toujours mais il ne faut pas qu’il se sente étouffé par cette protection, il faut avant tout respecter sa personnalité, le responsabiliser, lui dire qu’en cas de problème avec l’extérieur il doit se confier sans hésiter. Cela devient de plus en plus difficile dans ce monde où tant de gosses, de jeunes sont livrés à eux-mêmes, je suis pour pénaliser les parents quand leurs enfants se laissent entraîner à faire des bêtises car il y en a trop qui n’assument pas leurs responsabilités.
Exactement, Bianca. L’enfant doit se sentir aimé et aussi « en confiance ». C’est-à-dire ne pas avoir peur de choquer ou décevoir ses parents par des questionnements, l’aveu de certaines fautes, ou l’expression de ses doutes.
Il doit pouvoir compter « aussi » sur leur compréhension, leur patience et leur indulgence.
Je suis peinée de voir des jeunes en déshérence pénalisés, voire incarcérés, alors qu’il faudrait se demander « que faisaient leurs parents, pendant toutes les années précédant LA ou (pire) LES condamnations ? »
Certains paient le prix fort et parfois de leur vie, les défaillances parentales.
Disons que j’ai moins de certitudes mais je pense que les enfants aimés, encouragés et respectés ont de meilleures chances de traverser les épreuves. Amitiés à vous deux, FdC
Francine du Canada
19 février 2015 @ 06:51
Pauvres femmes; c’est vraiment mal parti pour elles. FdC
1315jeann
19 février 2015 @ 10:16
Vous avez raison. Pourquoi diable régresse-t-on de la sorte !!!
Francine du Canada
19 février 2015 @ 23:19
J’ignore s’il s’agit de régression ou d’absence de progression? Arrières-grand-mères soumises, grands-mères soumises, mères soumises, filles soumises, etc. Seigneur… que faire? FdC
marielouise
19 février 2015 @ 08:38
Voilà Rania à l’inverse de la Sheikha visite et se promène dans son pays,fortement musulman pourtant, sans cet attirail vestimentaire moyenâgeux!
C’est donc possible!!!!
Merci Rania et faites tout pour que ces femmes aient une vie plus libre et surtout qu’elle puisse se libérer du carcan d’hommes ignorants!
Maguelone
19 février 2015 @ 14:49
Rania de Jordanie est issue d’un milieu éduqué et cultivé et a elle-même poursuivi des études. Ce n’est malheureusement pas le cas de toutes les jordaniennes quant à la Sheikha, elle s’adapte, en public pour ne pas choquer sa population.
marielouise
20 février 2015 @ 07:35
C’est bien pour cela qu’il faut éduquer les jeunes filles au plus vite et au mieux pour qu’elles se libèrent de ce carcan d’ignorants!
Lina
20 février 2015 @ 21:08
ce n’est pas qu’une question d’éducation. Quand la religion est très imprégnée dans les mœurs, les choses avancent très lentement.
marielouise
21 février 2015 @ 14:46
Si,l’éducation permet d’aiguiser son sens critique et donc de ne pas suivre à la lettre des principes totalement révolus!
bianca
22 février 2015 @ 16:17
J’aimerais Lina savoir si vraiment il est écrit dans le Coran que les femmes soient ainsi vêtues…Il paraît que non…Dans ce cas que les femmes se libèrent toutes ensemble…Pouvez-vous me renseigner SVP ?
(La semaine dernière j’ai vu une fillette qui devait avoir tout juste huit ans vêtue comme sa Mère).
j21
19 février 2015 @ 13:09
Sur les dernières photos que j’ai pu voir, la reine Rania apparaît maigre et fatiguée avec les cheveux fatigués eux aussi. Sure que sa situation n’est plus guère enviable.
Francine du Canada
19 février 2015 @ 23:24
Tout à fait j21, j’ai noté la même chose : Rania est fatiguée et en France, malgré la présence d’Abdallah, elle avait peur… j’ai vu plusieurs vidéos et j’ai remarqué qu’elle craignait quelque chose. FdC
levanna
28 février 2015 @ 20:55
de voir votre tronche je crois
Mélusine
20 février 2015 @ 13:04
Le rôle des mères, là-bas comme ailleurs, est prépondérant.
Ce sont tout de même elles qui éduquent les enfants, leur transmettent les bonnes valeurs, relayées par les pères et l’école. Elles ont le pouvoir et le devoir de veiller sur leurs enfants, d’être vigilantes, de les rassurer et les mettre en garde contre les dangers qui les guettent et les discours mensongers. Bref, de les aimer, les guider et les protéger.
La plupart des jeunes en perdition avouent que leur dérive a commencé par une souffrance. Celle de ne pas recevoir d’amour de la part de leur famille (tous milieux sociaux confondus), d’être délaissés, livrés à eux-mêmes, à la rue et ses mauvaises rencontres, au premier manipulateur venu s’intéressant à eux.
Les familles doivent assumer leurs responsabilités, dans l’intérêt de leurs enfants et ne pas les laisser devenir des proies faciles. Il est trop tard, ensuite, de » pleurer sur le lait répandu ».
Francine du Canada
20 février 2015 @ 22:03
Ce que vous dites n’est pas faux Mélusine; le manque d’amour est souvent la cause de la délinquance… et ça n’a pas de frontière : C’est partout pareil. Amitiés, FdC
bianca
22 février 2015 @ 16:30
J’approuve totalement Mélusine et Francine du Canada…Lorsqu’un enfant a reçu de l’amour de la part de ses parents, de ses grands parents, de la famille en général, il sait qu’il en recevra toujours mais il ne faut pas qu’il se sente étouffé par cette protection, il faut avant tout respecter sa personnalité, le responsabiliser, lui dire qu’en cas de problème avec l’extérieur il doit se confier sans hésiter. Cela devient de plus en plus difficile dans ce monde où tant de gosses, de jeunes sont livrés à eux-mêmes, je suis pour pénaliser les parents quand leurs enfants se laissent entraîner à faire des bêtises car il y en a trop qui n’assument pas leurs responsabilités.
Mélusine
23 février 2015 @ 17:14
Exactement, Bianca. L’enfant doit se sentir aimé et aussi « en confiance ». C’est-à-dire ne pas avoir peur de choquer ou décevoir ses parents par des questionnements, l’aveu de certaines fautes, ou l’expression de ses doutes.
Il doit pouvoir compter « aussi » sur leur compréhension, leur patience et leur indulgence.
Je suis peinée de voir des jeunes en déshérence pénalisés, voire incarcérés, alors qu’il faudrait se demander « que faisaient leurs parents, pendant toutes les années précédant LA ou (pire) LES condamnations ? »
Certains paient le prix fort et parfois de leur vie, les défaillances parentales.
Francine du Canada
24 février 2015 @ 04:59
Disons que j’ai moins de certitudes mais je pense que les enfants aimés, encouragés et respectés ont de meilleures chances de traverser les épreuves. Amitiés à vous deux, FdC