Réception à l’ambassade de Roumanie à Amman en présence de la princesse Muna de Jordanie, mère du roi Abdallah, et de la princesse Margareta de Roumanie et son époux le prince Radu. Au cours de cette visite au royaume hachémite, le couple princier roumain au eu plusieurs visites et entretriens à son programme : au Croissant rouge jordanien (la princesse Margareta est présidente de la Croix-Rouge roumaine), avec le comité olympique jordanien, au centre d’oncologie roi Hussein, à l’université d’Amman mais aussi des réunions pour le prince Radu avec des investisseurs et sur chantier de construction. (Copyright photo : site e la famille royale de Roumanie)
Bambou
13 octobre 2017 @ 05:34
Visite d’état pour le couple roumain ? Depuis quand les rois et princes déchus sont ils reçus de cette façon ? Je ne comprends pas les rapports qu’entretiennent les membres de l’ex famille royale roumaine et la République de Roumanie.
Bertrand de Rimouski ( Canada )
13 octobre 2017 @ 14:13
Ce n’est pas le coupe Princier qui invitait mais il était invité par l’ambassadeur Roumain… Rien d’étrange en réalité !
gone
13 octobre 2017 @ 14:54
Nous sommes nombreux sur le blog à penser comme vous. Mais à la réflexion cette princesse de Roumanie, son mari, sa sœur, sont des petits malins qui profitent d’une situation dont ils ne connaissent que les avantages et non les inconvénients.
Ce sont les plus peinards des royaux européens !
DEB
13 octobre 2017 @ 06:12
Voyage certainement intéressant.
Robespierre
13 octobre 2017 @ 07:17
De toutes les épouses de Hussein, c’est la plus jordanienne. Même si ses parents sont anglais, Mouna a passé sa jeunesse et sans doute son enfance en Jordanie où son père travaillait. Je suis content de la voir à la place qui est la sienne et l’éviction du fils de Noor à la succession m’a bien fait plaisir. >Ce fils n’avait pas à évincer Abdallah et en plus il n’aurait pas été un aussi bon roi que celui-ci. Mais les manigances de Noor auraient pu marcher si Hussein était mort plus tôt Noor était encore au faîte de son pouvoir sur son mari. Amie de Jordanie nous avait raconté qu’il s’était lassée de sa 4e épouse et envisageait d’en changer.
Je voudrais encore lire Amie de Jordanie, car j’aime bien le couple royal et la mère du roi.
Gérard
13 octobre 2017 @ 18:57
Toni Gardiner est née en Grande-Bretagne mais effectivement elle a suivi son père le colonel Gardiner dans ses affectations et en particulier à Kuala Lumpur en Malaisie où elle est allée à la Bourne School qui était administrée par le Service de l’éducation des familles britanniques et destinée aux enfants du personnel affecté outre-mer. Elle a rejoint ensuite ses parents en Jordanie.
Elle trouva un emploi à la radio de Jordanie puis fut secrétaire dans la société Horizon films et fut assistante de plateau sur le tournage de Lawrence d’Arabie et c’est là qu’elle rencontra le roi dont les troupes participaient au film. Rapidement ils se trouvèrent beaucoup de points communs. Elle accepta de se convertir à l’Islam pour pouvoir donner une descendance dynaste au roi et elle refusa le titre de reine qu’il lui proposait.
MARC
13 octobre 2017 @ 09:40
Je continue a être interloqué par le rôle de cette famille….sans pouvoirs, mais qui donne l’impression d’en avoir….Au nom du gouvernement ? C’est étrange……
Michèle Lobre
13 octobre 2017 @ 10:59
C’est étonnant la Roumanie est bien une republique ? On croirait pourtant que les « royaux » roumains représentent l’etat. Très curieux ce mélange publique privé.
aurelian
13 octobre 2017 @ 11:56
Depuis 1er Mai 2017 ,les autorités nationales roumaines (le président de la république, les ministres et les parlamentaires) ont rompu tous les rélations avec le couple Margareta & Radu Duda ; aucun message public ou rendez-vous entre les deux parts. La presse roumaine évite de commenter les activités « royales » de ce couple ; par example, aucun journal importante roumain n’a pas raconté cette visite en Jordanie ( à l’exception notable de l’agence de presse Agerpres).
Sigismond
14 octobre 2017 @ 10:14
Ils se sont enfin aperçus que la loi salique n’avait jamais été abrogée par l’État roumain. Que l’on soit pour le prince Paul (arrière-petit-fils de Ferdinand I) ou pour le prince Karl Friedrich (arrière-petit-neveu de Ferdinand I) son cousin aîné, les dispositions purement privées de l’ex-roi Mihai en 2007 ne peuvent pas modifier la loi de succession, exactement comme les traficotages d’Alphonse XIII en 1933 ne pouvaient légalement déposséder le prince des Asturies et l’infant Jacques de leurs droits imprescriptibles au trône d’Espagne.
Gérard
17 octobre 2017 @ 00:15
Le texte du projet de loi sur la Maison royale de Roumanie précise en son article 2 que la Maison royale de Roumanie est organisée et fonctionne sur le fondement de son propre Statut approuvé par le chef de la Maison royale et que le Statut de la Maison royale de Roumanie ainsi que ses amendements et ses achèvement seront publiés au Journal officiel de la Roumanie partie I.
L’article 7 précise que la Maison royale de Roumanie est dirigée par son chef, nommé selon son Statut.
L’article 8 prévoit notamment (1 a) que le chef de la Maison royale adopte et modifie le Statut de la Maison royale.
Ce projet est proposé par le président de la Chambre des députés et le président du Sénat.
Rappelons que le Statut de la Maison royale est entré en vigueur le 30 décembre 2007 et a été modifié depuis.
Selon le Statut la Maison royale se compose uniquement du roi Michel et de sa descendance à l’exclusion des autres descendants du roi Carol II (article 1, alinéa 6). Les membres de la Maison royale doivent être citoyens roumains. Les personnes adoptées par des membres de la famille royale ou les enfants naturels de ces membres ne peuvent appartenir à la Maison royale, de même les enfants nés d’un mariage déclaré nul ou non déclaré. Tout mariage d’un membre de la Maison royale doit être approuvé par le chef de la Maison et les membres de la Maison royale doivent appartenir à la religion chrétienne orthodoxe.
L’annexe 1, B prévoit que la loi salique n’est plus appliquée en reconnaissance de l’intégration de la Roumanie dans l’Union européenne et de la Convention européenne des droits de l’homme.
Cependant demeure la préférence masculine et en l’absence de descendant d’un futur chef de la Maison la couronne sera héritée par son frère puîné et à défaut l’aînée des sœurs et ainsi de suite dans la descendance. La ligne de succession peut être modifiée par le chef de la Maison royale.
En ce qui concerne la personne du futur chef de la Maison royale l’article 12 (dans le précédent projet, 11) stipule :
(1) Dans les 10 jours suivant l’entrée en vigueur de la présente loi, le Chef de la Maison Royale de Roumanie est reconnu par la déclaration commune des deux chambres du Parlement adoptée en séance commune.
(2) Dans les trois mois suivant l’entrée en vigueur de la présente loi, le Chef de la Maison Royale de Roumanie approuve son statut. »
La Commission européenne pour la démocratie par le droit (Commission de Venise) dans son avis 731/2013 de Strasbourg du 24 mars 2014 évoquait par ailleurs le projet de loi de révision de la Constitution de la Roumanie.
L’article 152 de la Constitution précise que certaines dispositions ne peuvent faire l’objet d’une révision et en particulier la forme républicaine du gouvernement.
Il est proposé d’ajouter à l’article premier un nouveau. 1 (1) libellé de la manière suivante :
« La Roumanie reconnaît le rôle historique joué, dans l’établissement et la modernisation de l’État roumain, par l’Église orthodoxe et les autres confessions religieuses reconnues par la loi, la maison royale et les minorités nationales ».
Dans son point 35 la Commission écrit : « Une telle formule est couramment utilisée dans le préambule d’une Constitution […]. Il appartient à l’autorité responsable de l’élaboration de la Constitution de décider du type et de la portée des règles à inclure dans la loi fondamentale du pays.
36. Cependant, on peut dire que la référence à une maison royale est une disposition peu courante dans une Constitution républicaine, en particulier une Constitution qui interdit formellement tout amendement qui remettrait en cause le caractère républicain de l’État. D’autre part, on voit mal quelle incidence pratique la nouvelle clause proposée pourrait avoir, même s’il est déjà arrivé que des déclarations similaires aient des conséquences non souhaitées. En particulier, le fait de citer plusieurs institutions et groupes disparates de la société crée le risque que les groupes non mentionnés en prennent
ombrage. »
Sigismond
18 octobre 2017 @ 07:44
Merci Gérard pour ces intéressantes précisions. On voit que tout cela reste à l’état de projet, et heureusement car ce texte ahurissant avec ses gros sabots est de façon flagrante, taillé sur mesure et cousu de fil blanc pour les descendants de Mihai, au mépris des autres arrière-neveux du fondateur de la monarchie roumaine moderne, Carol I. L’obligation d’avoir (à l’avance ?) la nationalité roumaine est étrange, car on se rappelle que Carol I ne possédait pas cette nationalité quand il est arrivé de Sigmaringen ! De même, l’abrogation de la loi salique au profit d’une loi où le frère cadet est préféré à sa sœur aînée, convaincra difficilement d’une réelle volonté de promouvoir l’égalité femme-homme ! Et l’obligation d’être orthodoxe (même si elle n’est pas, comme dans la monarchie britannique, une ostracisation ouvertement déclarée à l’encontre des catholiques) va-t-elle dans le sens « de l’intégration de la Roumanie dans l’Union européenne et de la Convention européenne des droits de l’homme » ? Et l’obligation toute germanique, pour les mariages, d’être approuvés par « le chef de la Maison » n’est-elle pas contraire à la liberté de se marier sans contraintes (liberté que l’Église catholique elle, a promu et défendu depuis des siècles et des siècles) ?
Soulignons aussi combien il est contradictoire pour les partisans de Margareta, de reprocher à Carol II d’avoir épousé une Roumaine (Ioana Lambrino), alors que Margareta elle-même a épousé un Roumain ! Faites ce que je dis mais ne faites pas ce que je fais !
Le prince Karl Friedrich de Hohenzollern et sa famille, de même que le prince Paul de Roumanie, son fils et son demi-frère, sont lésés par ce projet de loi.
Sigismond
18 octobre 2017 @ 08:50
Et la commission de Venise est pleine de bon sens lorsqu’elle relève qu’« il est déjà arrivé que des déclarations similaires aient des conséquences non souhaitées. En particulier, le fait de citer plusieurs institutions et groupes disparates de la société crée le risque que les groupes non mentionnés en prennent ombrage ». En effet, les catholiques roumains pourraient s’offusquer de n’être cités que dans le fourre-tout des « autres confessions religieuses ».
Trajan
14 octobre 2017 @ 11:52
Mon « cher » compatriote,pour moi, et, j’en suis sûr, comme pour les autres,est bien connu votre aversion contre la famille royale roumain.Je sais que vous êtes, je pense, le seul admirateur de l’imposteur Paul Lambrino!Qui, d’ailleurs, est sous contrôle judiciaire pour faux et de l’usurpation des biens.Vous fournissez de fausses informations!
Sans avoir un « dossier » de la présence de membres de la famille royale,comme tu le fais,je voudrais vous rappeler le fait,que la princesse Maria ait été invitée aux cérémonies officiel du centenaire des batailles de l’été 1917, quand l’armée roumaine a réussi à arrêter l’avancement des armées allemande et austro-hongroise.Cérémonies auxquelles assistaient le président du pays, les présidents des deux chambres du parlement …
La princesse Stéphanie de Monaco a récemment visité Bucarest,à cette occasion, elle a rencontré la princesse Margareta.La télévision publique et d’autres chaînes de télévision ont donné un large espace à l’événement.
aurelian
16 octobre 2017 @ 13:14
Traiane, le couple Margareta&Radu Duda n’est pas la famille royale roumaine; il n’y a pas d’un loi qui leur permettrait d’avoir tel pretentention .
Les cérémonies officielles du centenaire de bataille de Marasesti ( le 6 août ) ont été organisées par le Conseil local du département Vrancea ; c’est le président du conseil locale, Marian Oprisan , qui a fait les invitations. D’autre part, le président de la république a eu, dans son discours ,une parole adressée à chaque invité ( mais aucune parole pour la princesse Marie qui était présente la-bas ) .
Les chaînes de télévision ont donné un large espace a la visite de princesse Stéphanie au Palais Elisabeta, pour décrire le comique de la situation : le couple Duda en tenue officielle très élégante, et ,en même temps, la princesse Stéphanie de Monaco en tenue légère sport. Chaque nouvelle mettait en évidence la tenue légère de la princesse monégasque.
gone
14 octobre 2017 @ 12:11
voila qui va nécessiter d’accorder les violons avec le commentaire d’Olivier d’Abington ci-dessous.
Gérard
15 octobre 2017 @ 17:07
Je ne doute pas Aurelian que vous épluchiez toutes les dépêches en provenance de Bucarest.
Toutefois je remarque que la princesse et le prince ont été accueillis à l’aéroport Reine Alia d’Amann par non seulement la princesse Mouna mère du roi, mais encore par l’ambassadeur de Roumanie en Jordanie qui a d’ailleurs offert un bouquet de fleurs à la princesse, Monsieur Nicolae Comănescu.
De plus la princesse était accompagnée dans ce voyage par un groupe de recteurs des universités roumaine conduit par le professeur Sorin Cîmpeanu, président du Conseil national des recteurs, par le président du Comité olympique et sportif roumain Monsieur Mihai Covaliu et par le directeur exécutif de la Croix-Rouge roumaine dont la princesse est la présidente, Monsieur Ioan Silviu Lefter.
La princesse et son époux se sont rendus dans plusieurs villes de Jordanie et ont rencontré la famille royale, le gouvernement, des personnalités universitaires, des hommes d’affaires et la communauté roumaine.
La princesse a notamment reçu la médaille d’or du Croissant-Rouge de Jordanie. Le Comité olympique et sportif roumain est placé sous le haut patronage du roi Michel.
Le prince Mired ben Ra’ad de Jordanie est le président du Comité national paralympique tandis que le prince Radu avec lequel il s’est entretenu, est le patron royal du Comité national paralympique roumain.
On notera que la princesse en dehors de tout ce qui a été rappelé ici a été reçue en tête-à-tête au palais par le roi Abdallah II.
Une réception a été organisée à l’ambassade de Roumanie à Amann pour la princesse et son époux.
Plusieurs ministres Jordanien étaient présents ainsi que les ambassadeurs des États-Unis, de la Belgique, de la Turquie, de l’Italie, de la Suède, de l’Australie, du Brésil, Bulgarie, du Canada, de la République Tchèque, de l’Égypte, de la Hongrie, des Pays-Bas, de la Pologne, de la Grèce, de l’Afrique du Sud, et de plusieurs attachés militaires.
Il s’agissait de la septième visite officielle de cette année hors de Roumanie de la famille royale après la visite du prince accompagné du président du Parlement moldave en Angleterre en février, la visite du prince en Turquie pour le sommet de Marmara, la visite en mai en Moldavie, une visite officielle en Pologne aussi en mai et fin mai la visite en Alsace pour le centenaire de la mort de soldats romains, enfin la visite du prince et de la princesse en Bulgarie en juin pour les 80 ans du roi Siméon.
L’ambassadeur de Roumanie accompagna le prince et la princesse au long de ce voyage et de plusieurs rencontres.
Le mois dernier la princesse Marie a inauguré un festival européen culturel avec le ministre des Affaires européennes roumain et l’on pourrait multiplier les exemples de coopération.
framboiz 07
13 octobre 2017 @ 12:17
Comme ils ont de bonnes relations avec la famille royale jordanienne ,ils donnent l’impression de faire un voyage officiel …Mais ce n’est pas le cas partout …
Olivier d'Abington
13 octobre 2017 @ 14:36
Il va falloir que les lecteurs/lectrices de N&R s’y fassent:
OUI, la princesse Margareta, le prince Radu et la princesse Marie représentent le gouvernement roumain!!!
Ils sont payés par le gouvernement pour accomplir leurs tâches et remplir les fonctions qui sont les leurs!
Que cela plaise ou non aux lecteurs/lectrices de ce site, c’est ainsi, alors autant vous y faire.
Il s’agit d’un état de fait qui concerne la Roumanie et son histoire, arrêtez donc de vouloir donner des leçons sur comment il faudrait (ou pas) que cela marche…
D’ailleurs, vos critiques permanentes ne changeront rien au fait que: c’est comme ça!!!! Et cela va continuer à l’être tant que le gouvernement roumain décidera que cela continuera ainsi…
June
14 octobre 2017 @ 12:53
Votre explication a le mérite de clarifier la situation Olivier d’Abington et l’on comprend mieux ainsi la visibilité de ce couple; ils ne règnent ni ne gouvernent mais représentent leur pays de par la place de Margareta dans son histoire.
Si tout le monde est d’accord, pourquoi pas ?
Francois
13 octobre 2017 @ 15:28
Peut être une nouvelle forme de gouvernement
est elle en train de faire surface
En ces temps où la légitimité semble se chercher
Un mélange de racines ,de république ,de démocratie
Un mélange de représentation
C’est assez étrange mais peut être cela fera t il jurisprudence
Nous avons vu les Bragance au dîner d’état lors de la visite des rois de Hollande
Sigismond
17 octobre 2017 @ 06:52
Il ne tient qu’à Macron d’inviter Monseigneur et Madame le duc et la duchesse d’Anjou et LL.AA.RR. la duchesse d’Aquitaine et le duc de Séville à l’Élysée, à chaque visite d’État de souverains étrangers. Mais l’aboyeur bouffeur de tête de veau du 21 janvier et sa clique de néo-robespierristes, risqueraient d’en faire une jaunisse, et idem pour la branche au lambel et tous ses affidés. La France y gagnerait pourtant en prestige, à défaut de retrouver sa grandeur, qu’elle ne retrouvera bien sûr que si le prince Louis s’installe avec Versailles avec le drapeau blanc.
Sigismond
17 octobre 2017 @ 06:53
s’installe à Versailles !
Francois
20 octobre 2017 @ 23:06
En effet beacoup en feraient une jaunisse
Mais quelle importance
La grandeur de la France serait tout simplement
Mais hélas je crains que nous prenions des chemins lons
de tout cela poir sombrer dans la pire des médiocrités
Charlanges
13 octobre 2017 @ 17:58
Il semble vraiment et assez étrangement que cela gêne certains que l’état roumain puisse entretenir de bons rapports avec l’ancienne dynastie régnante et que les deux entités coexistent pacifiquement. Que voudraient-ils donc : que la loi d’exil soit remise en vigueur ? Pour moi, cette bonne entente représente un plus.
Gérard
13 octobre 2017 @ 18:35
Il y a maintenant une situation officielle en Roumanie qui associe la famille royale à un certain nombre de missions d’État. On ne peut que s’en féliciter au nom de l’unité nationale et au nom de l’efficacité. Le phénomène existe d’une manière un plus discrète dans d’autres pays, ainsi par exemple des missions qui furent confiées par la présidence de la République française au duc de Guise ou au comte de Paris son fils, et encore aujourd’hui les déplacements à l’étranger du comte de Paris ou du duc de Vendôme sont signalés par eux au Quai d’Orsay lorsqu’ils ont un caractère officiel et un compte rendu en est fait.
gone
14 octobre 2017 @ 12:08
le coup des ramettes de papier nécessaires aux CR en question explique probablement les difficultés de paiements des loyers et des chauffages des princes.
Sigismond
17 octobre 2017 @ 06:36
:-)))
Marcel
14 octobre 2017 @ 12:35
Je suis choqué et je considère que les paroles de Robespierre ne sont pas de mises concernant la reine Noor de Jordanie car c’est grâce à elle qu’Abdallah est devenu roi de Jordanie au détriment du frère du roi Hussein. Car la princesse Mouna n’a jamais porté le titre de reine au contraire des autres épouses d’Hussein.
Robespierre
16 octobre 2017 @ 11:58
Elle voulait que son fils (Hamza ?) succède à Hussein et celui-ci avait accepté. Mais avant sa mort il changea d’avis et préféra son fils premier né, avec le fils de Noor comme prince héritier. Mais cela changea encore car Abdallah décida par la suite que son fils Hussein lui succèderait. Soyez choqué si vous voulez, mais Amie de Jordanie nous a appris cela et elle était sur place, elle.
Corsica
16 octobre 2017 @ 18:09
Si la princesse Mouna n’a pas porté le titre de Reine, ce n’est pas parce que le roi Hussein ne lui pas proposé mais bien parce que cette femme discrète l’a refusé. La nuance est de taille.
Gérard
16 octobre 2017 @ 22:26
C’est la princesse Mouna qui a refusé le titre de reine.