Recette de la truite aux amandes du château de Chenonceau, extraite du livre « Recettes de Catherine de Médicis et autres Dames illustres du Château de Chenonceau » paru en 2019 chez Albin Michel.
Recette de la truite aux amandes du château de Chenonceau, extraite du livre « Recettes de Catherine de Médicis et autres Dames illustres du Château de Chenonceau » paru en 2019 chez Albin Michel.
Charlotte (de Brie)
12 mai 2020 @ 08:10
Leonor avant de passer aux fourneaux, un petit air de Schubert ? par les Frères Jacques s’il vous plait, au moins cette version est drôle, parce que l’originale massacrée par des générations d’apprentis pianistes…
Leonor
12 mai 2020 @ 15:14
Voilà,voilà, Charlotte (de Brie) :
https://www.youtube.com/watch?v=YC9AXob4zGE
;-) Avec plaisir, pour votre plaisir .
Mais j’avoue avoir du mal à évoquer la si jolie truite de Schubert , en la pensant passée à la poêle.
Quoique….
Le texte allemand du lied est au départ si frais, si clair, si évocateur de cette jolie petite flèche argentée dans son torrent clair, qu’on se retrouve transporté dans ce paysage de montagne, éclaboussé de gouttelettes fraîches et de vie.
Mais las, la petite truite si vivace se fait bel et bien attraper par le pêcheur aux aguêts. Et si elle continue à frétiller, c’est de douleur, et de désespoir pour sa vie qui s’en va, au bout de la ligne du pêcheur .
Tout de même, ici, la fort belle version, très sensible, du ténor anglais Ian Bostridge
https://www.youtube.com/watch?v=4VjTTW3ymrs
Amicalement, Charlotte
Mary
12 mai 2020 @ 09:03
Souvenir d’un déjeuner dans un restaurant de Bruges : j’avais 10 ans et j’ai détesté !
Ghislaine-Perry
12 mai 2020 @ 15:00
souvenir d’un déjeuner dans les Dolomites , alors que mon assiette regagnait les cuisines l’arrivée inopinée du Chef , demandant qui avait déjeuné de cette truite . Etonnée , je lui signalais que c’était moi . Vous êtes française ? oui . Madame , j’ai l’habitude du massacre de ma truite par les allemands alors félicitations , il ne reste que l’arête centrale .
Mon mari , à chaque fois que je cuisine une truite me sort cet épisode (rire)
Danielle
12 mai 2020 @ 11:26
J’aime beaucoup ce plat.
Juliette d
12 mai 2020 @ 13:58
Recette très populaire chez moi qu’on cuisine avec de bonnes truites pêchées dans les rivières où l’eau froide conserve bien ce poisson. Quand un pêcheur a la gentillesse de nous en offrir…
Ghislaine-Perry
13 mai 2020 @ 15:36
Juliette d ne me dites pas que vous avez des farios chez vous , si oui , vous êtes chanceuse.
Leonor
12 mai 2020 @ 15:17
J’ai vu faire des truites au bleu. C’est insupportable. Je devais les servir. Je priais pour que personne n’en commande. Il m’est arrivé de tricher.
ciboulette
14 mai 2020 @ 19:41
Tout à fait d’accord avec vous , Léonor .C’est pourquoi , bien que les aimant beaucoup aussi , je ne mange jamais de homard ou de langouste .Jeter un animal vivant dans l’eau bouillante est d’une cruauté sans nom .Donc , c’est non !
Alinéas
12 mai 2020 @ 15:38
La truite n’est pas un de mes poissons favoris !
ciboulette
12 mai 2020 @ 16:57
C’est très bon. . .
Jean Pierre
12 mai 2020 @ 17:14
Quand pourrais-je à nouveau manger des truites de la Forêt Noire à Sasbachwalden la capitale de la “Forelle” ? c’est tout près de chez moi, mais aujourd’hui si loin comme la frontière est à peine entrouverte. .
Leonor
13 mai 2020 @ 09:12
Et un petit tour aux Gaishöll-Wasserfälle, pour digérer , Jean Pierre ?
La forêt y est odorante,les arbres moussus, les cascades bruissantes ( Wasserfall = cascade ) :
https://www.youtube.com/watch?v=H_Rt25Dbxgw
» Je ris au wasserfall blond … »
Arthur Rimbaud, Aube :
J’ai embrassé l’aube d’été.
Rien ne bougeait encore au front des palais. L’eau était morte. Les camps d’ombres ne quittaient pas la route du bois. J’ai marché, réveillant les haleines vives et tièdes, et les pierreries regardèrent, et les ailes se levèrent sans bruit.
La première entreprise fut, dans le sentier déjà empli de frais et blêmes éclats, une fleur qui me dit son nom.
Je ris au wasserfall blond qui s’échevela à travers les sapins : à la cime argentée, je reconnus la déesse.
Alors je levai un à un les voiles. Dans l’allée, en agitant les bras. Par la plaine, où je l’ai dénoncée au coq. À la grand’ville elle fuyait parmi les clochers et les dômes, et courant comme un mendiant sur les quais de marbre, je la chassais.
En haut de la route, près d’un bois de lauriers, je l’ai entourée avec ses voiles amassés, et j’ai senti un peu son immense corps. L’aube et l’enfant tombèrent au bas du bois.
Au réveil il était midi.
Muscate-Valeska de Lisabé
12 mai 2020 @ 18:42
Très facile à faire,même sans recette😉
Silvia 2
12 mai 2020 @ 19:08
Que de bons souvenirs de déjeuners en tête à tête avec ma grand-mère!
Juliette
13 mai 2020 @ 20:57
Que de bons souvenirs! J’ai eu l’occasion de déguster ce plat au cours d’un visite dans la région. Il était accompagné d’une sauce au vin blanc et de pommes de terres sautées. C’était délicieux.