Réédition du livre « La Bouboulina » écrit par le prince Michel de Grèce. « La Bouboulina naquit en 1771 dans une prison d’Istanbul. Elevée par sa mère, elle se marie à 16 ans avec un riche armateur qui lui fait découvrir la passion de la mer. Lorsque éclate le soulèvement contre les Turcs, La Bouboulina part guerroyer.
Derrière cette héroïne nationale, Michel de Grèce nous raconte l’histoire extraordinaire de la renaissance de son pays, la Grèce. « Je vins au monde sur le sol maculé d’une prison d’Istanbul le 11 mai 1771. » Tel est le début de l’étonnant récit de la Bouboulina.
Élevée par sa mère dans l’île de Spétasi, alors que la Grèce était sous le joug de l’Empire ottoman, elle se marie à seize ans avec un riche armateur qui lui fait découvrir le goût de la mer et du risque. Ensemble, à la tête d’une véritable armada, ils écument la Méditerranée, d’Istanbul à Marseille, de Carthagène à Tripoli, à la recherche de fabuleux destins.
Grande séductrice, héroïne moderne avant l’heure, Laskarina Bouboulis tourne les têtes et enflamme les coeurs. Plusieurs hommes vont l’aimer et l’aider, chacun à sa manière. Mais jamais ses amours tumultueuses ne lui feront oublier sa véritable passion : sa patrie.
Femme d’affaires redoutable, elle bâtit une immense fortune qu’elle met à la disposition de la résistance hellénique lorsque la révolte gronde contre les Turcs. Téméraire, elle prend part aux combats, arme ses navires, et va aborder et bombarder les bateaux ennemis. Prise dans la tourmente, elle fera face avec courage aux dangers, trahisons, manoeuvres souterraines de ses adversaires comme de ses alliés. » (Merci à Framboiz)
Baboula
12 juillet 2018 @ 07:17
Quelle coïncidence ! J’ avais pensé prendre son nom pour pseudo sur le site,mais je ne me suis pas jugée digne de cette magnifique héroïne .
Muscate-Valeska de Lisabé
12 juillet 2018 @ 14:16
C’est un beau nom,Baboula…
J’aime Michel de Grèce.Je me souviens de la première édition de ce livre,et je n’était pas vieille.
Je le lirai volontiers si je le trouve chez Antoine à Tripoli(librairie).
Charlotte AL
12 juillet 2018 @ 22:25
Auriez vous un petit côté Irène Papas, chère Baboula ? outre évidemment le rappel à l’épopée de l’héroïne.
Trianon
13 juillet 2018 @ 10:04
Mais auriez pu!:))
Nous avons bien un Robespierre , une Palatine, etc..
Bonne après midi Baboula !
Baboula
13 juillet 2018 @ 11:39
Trianon, je suis trop timide…
Trianon
13 juillet 2018 @ 23:22
j’ai même vu sur un autre article un Jacky Chan…vous voyez, on peut se faire plaisir question pseudo..:)
Robespierre
14 juillet 2018 @ 11:23
Il y a même eu un Louis XIV, et un Danton. Et on ne compte pas les Sissi vraies ou fausses.
Sylvie Vailland
12 juillet 2018 @ 09:06
Merci framboiz
Bon jeudi??
kalistéa
15 juillet 2018 @ 09:26
Camilla duchesse de Cornouailles avait sûrement vu cette couverture de livre avant d’aller passer en revue le front des troupes !
septentrion
12 juillet 2018 @ 10:07
Koukoulina la glace à truc..
Plus sérieusement, une femme de grand courage qui a défié son destin
Pourquoi pas une lecture pour cet été?
aubert
12 juillet 2018 @ 11:58
La Bouboulina !? Au vu de la photographie de couverture on comprend tout.
j21
12 juillet 2018 @ 13:05
Il y a dans PDV de cette semaine une très belle photo du prince Michel de Grèce et de la princesse Marina entourés de leur fille aînée, son mari et leurs deux fils.
particule
12 juillet 2018 @ 14:57
Son décolleté pour combattre les Turcs devrait inciter à la lecture de ce livre Mme Erdogan !
Trianon
13 juillet 2018 @ 23:22
j’adore votre humour…merci pour la tranche de « rigolade »..:))
Mary
16 juillet 2018 @ 12:44
Bien vu !
:-)))
kalistéa
17 juillet 2018 @ 07:01
Particule votre drôlerie m’a beaucoup amusée: S’il pouvait y en avoir beaucoup comme vous ! …
Chantal
13 juillet 2018 @ 05:23
Remarque ouvrage à lire intéressant pour ce que fut l’indépendance grecque
Roxane
13 juillet 2018 @ 17:20
Je l’ai lu il y a qq années. Ainsi que d’autres romans de Michel de Grèce. Un conteur merveilleux, ce prince
Une plume inspirée, passionnée et poétique.
Gérard
14 juillet 2018 @ 17:49
Ici ce n’est pas un portrait de la Bouboulina, il en existe mais ils sont moins beaux, c’est l’allégorie de La Grèce sur les ruines de Missolonghi de Delacroix de 1826 où le peintre a eu sans doute comme modèle la si jolie Mademoiselle Laure qui a posé pour La Femme au perroquet aussi notamment ou pour La Mort de Sardanapale.
Le tableau est au Musée des Beaux-Arts de Bordeaux.