Réédition chez Racine des mémoires de Marie José de Belgique, reine d’Italie. C’est en 1971 que la fille du roi Albert I et de la reine Elisabeth avait publié « Albert et Elisabeth, mes parents ».
Ecrit avec un ton narratif agréable, l’ouvrage relatait la rencontre, les fiançailles et le mariage du prince Albert de Belgique et de la duchesse Elisabeth en Bavière ; les années de guerre 14-18 au cours desquelles les souverains s’illustrèrent et gagnèrent leur immense popularité et enfin la reconstruction du pays au sortir de la guerre, le tout émaillé de rencontres avec des personnalités célèbres de l’époque et une mise en perspective familiale.
« Albert et Elisabeth, mes parents », Marie José de Belgique, Editions Racine, Réédition 2016, 320 p.
beji
21 mars 2016 @ 08:28
un livre que j’achèterai.
septentrion
21 mars 2016 @ 09:48
Bonjour,
J’ai lu ce livre lorsque j’étais adolescente, c’est vrai il est très agréable à lire.
Je l’avais relu plusieurs années après, avec le même plaisir.
Leonor
21 mars 2016 @ 10:43
Elisabeth, née de Bavière, donc Wittelsbach.
Zorro
22 mars 2016 @ 08:50
Elisabeth est née duchesse EN Bavière
Elle appartient à une des nombreuses branche des Wittelsbach mais pas de la branche des rois de Bavière qui se distinguent par le titre de princesses DE Bavière
Leonor
22 mars 2016 @ 21:38
Vous avez évidemment raison, Zorro. Excusez-moi.
Elisabeth en Bavière.
Dominique-Gibbs
22 mars 2016 @ 15:06
Leonor,
Élisabeth Gabrielle Valérie Marie de Wittelsbach, duchesse en Bavière, née le 25 juillet 1876 à Possenhofen et décédée le 23 novembre 1965 à Laeken (Bruxelles), épouse d’Albert Ier, est la troisième reine des Belges.
Née le 25 juillet 1876 à Possenhofen (Bavière), Élisabeth de Wittelsbach est le second enfant du duc Charles-Théodore en Bavière et de l’infante Marie-Josèphe de Portugal, fille du roi Michel Ier.
Sa marraine n’est autre que sa tante l’impératrice Élisabeth d’Autriche, la célèbre Sissi. Elle est également la nièce de l’ex-reine Marie des Deux-Siciles et de la duchesse d’Alençon.
Les membres de la Maison de Wittelsbach sont alors connus pour leur excentricité et le duc Charles-Théodore, qui a démissionné de l’armée pour devenir médecin — au grand dam de son entourage — ne craint de dire avec décontraction : « Nous avons tous un grain dans la famille. »
La duchesse Marie-Josèphe, femme charitable à la piété solide, n’hésite pas à servir d’infirmière à son mari dans la clinique ophtalmologique qu’il a ouverte à ses frais et où il soigne gracieusement les plus démunis.
La duchesse Élisabeth effectue ses études au pensionnat Saint-Joseph à Zandberg, elle parle l’allemand, le français et l’anglais, et apprend le piano et le violon.
Elle a dix ans quand le roi Louis II de Bavière est déchu, mis en résidence surveillée et retrouvé mort quelques jours plus tard dans le lac de Starnberg. Son frère et successeur, le roi Othon Ier de Bavière, est lui aussi interné depuis sa jeunesse et leur oncle Luitpold de Bavière assume la régence.
Son grand-père, le très original duc Maximilien en Bavière meurt en 1888, suivi de peu par son épouse fille du roi Maximilien Ier de Bavière et de Caroline de Bade, Ludovica de Bavière, en 1892.
En 1897, sa tante la duchesse d’Alençon périt tragiquement à Paris dans l’incendie du bazar de la Charité et l’année suivante sa marraine l’impératrice d’Autriche, Élisabeth en Bavière (dite Sissi), est assassinée à Genève.
Pour la jeune Élisabeth, une autre vie, moins tragique commence.
Lionel
22 mars 2016 @ 22:56
Non, elle ne s’appelle pas Elisabeth de Wittelsbach mais Elisabeth, duchesse en Bavière.
Le nom de la dynastie n’est pas celui de ses membres. Les membres de la Maison de Wittelsbach ne s’appellent pas Wittelsbach mais Bavière, de même que les membres de la branches royale prussienne de la Maison de Hohenzollern ne s’appellent pas Hohenzollern pas Prusse.
Francine du Canada
21 mars 2016 @ 15:12
J’ai lu ces mémoires il y a très longtemps et j’avais bien aimé. FdC
ciboulette
21 mars 2016 @ 17:48
La reine Marie-José était une femme d’une très grande beauté . Je n’ai pas lu l’ouvrage , je vais me laisser tenter cette fois -ci .
Un constat cependant : la reine Elisabeth semble ne pas avoir aimé tous ses enfants de manière égale , quant à ceux de Marie-José , ils ont beaucoup déçu .
JAusten
21 mars 2016 @ 20:50
peut-être une histoire vu au travers de lunettes roses car j’imagine qu’à l’époque ça ne se faisait pas de « balancer » des scoops mais une histoire à lire ne serait-ce pour avoir une idée de l’époque.
C’était un très beau couple, de vrais royaux qui font encore rêver tout comme Léopold et Astrid ; après ça s’est un peu gâté
Arnaud
21 mars 2016 @ 21:14
Bonsoir Régine!
Savez-vous si je peux me procurer ce livre en libraire?
Merci d’avance
Régine
22 mars 2016 @ 07:11
Sur commande sûrement
Arnaud
21 mars 2016 @ 21:15
En librairie excusez moi
rque
21 mars 2016 @ 21:18
Je vais me procurer ce livre. Merci.
framboiz07
22 mars 2016 @ 16:48
On doit rencontrer Einstein , Ysaïe & Toutankhamon avec Carter & Lord Carnavon entres autres ! & quelques royaux , bien sur !
Leonor
22 mars 2016 @ 21:45
Elisabeth en Bavière, donc, était nièce d’une autre Elisabeth en Bavière : l’impératrice Elisabeth d’Autriche, reine de Hongrie, autrement dit Sissi.
Le père d’Elisabeth future reine de Belgique , Charles-Théodore, donc frère de Sissi, , était l’un des rares de sa fratrie à être , semble-t-il, équilibré. .
Il avait décidé de devenir ophtalmologiste ( ce qui pouvait cependant passer pour fou à l’époque dans ce milieu), et ouvrit une clinique.