A Davos, la reine Mathilde a assisté à la soirée de remise des prix « Crystal » en présence de nombreuses personnalités comme l’ancienne Première Ministre danoise Helle Thorning-Schmidt.
Régine, Je crois qu’il y a une petite erreur dans votre classeent de l’article… Vous avez indidqué « Danemark » au lieu de « Belgique ».. Pas très grave.
La reine Mathilde va chaque année à Davos, mais on ne sait pas vraiment ce qu’elle en rapporte. Elle écoute des conférences, voit des gens influents, accompagne des décideurs belges, mais qu’apprend-elle et comment se sert-elle de ce qu’elle apprend, voilà ce dont je suis curieux.
Voyons cher Pierre-Yves, votre commentaire sous-entend l’existence de lobbyistes, alors que vous m’avez longtemps prétendu ici-même que ces lobbyistes n’existaient pas. D’accord, il ne s’agit pas des mêmes lobbyistes (quoique…), mais votre revirement est étrange. M’expliqueriez-vous ce changement de position?
Le retour de Gauthier ! On se demandait un peu ce que vous deveniez, mais nous voilà rassurés, ces semaines de silence ne vous ont pas changé d’un iota.
A vous en croire, ce n’est pas mon cas. Comment vous affirmer le contraire, étant donné que je participe à ce blog depuis 2009 et que j’ai négligé de noter tout ce que, au fil des années, j’ai pu y écrire …
Mais apparemment, vous non. Sans doute parce que, sous une politesse suave et appuyée, vous êtes de ceux qui ont besoin de se nourrir de tout ce qu’ils détestent. Je m’avise d’ailleurs qu’on ne vous a jamais vu ici nous confier ce que vous aimiez, ce qui vous rendait heureux. Non; votre sujet, c’est de confondre, avec opiniâtreté et un zeste de perfidie, ceux que vous estimez être votre cible.
Ce qui est absolument votre droit.
Mais voyez-vous, le mien, c’est de ne pas avoir envie de bavarder avec vous, et encore moins de vous fournir des explications sur mes pseudo revirements.
Ne vous abstenez surtout pas de penser que je fuis si cela doit vous satisfaire.
La vérité est que je n’ai plus le goût de perdre du temps et de l’énergie en vaines polémiques. Nous ne sous apprécions pas, ne sommes d’accord sur rien, eh bien tant pis, ce sont des choses qui arrivent et franchement, ce n’est pas bien grave.
Cher Pierre-Yves, merci de votre réponse! Oui, merci, même si certains éléments me peinent, croyez-moi!
Si vous ne m’appréciez pas, la réciproque n’est absolument pas vraie. Pour une raison bien simple: j’ai appris à ne pas confondre les opinions (que je les partage ou pas) et les personnes qui les émettent. Ce principe est l’une des bases de la vie en société, et je regrette qu’il tende à disparaître! Car une grande partie de l’agressivité qui semble vouloir prendre le dessus dans les rapports humains s’en trouverait effacée, ne pensez-vous pas?
Je suis néanmoins rassuré de constater que si vous ne m’appréciez pas, vous ne manquez aucune de mes interventions, puisque vous avez noté mon silence de quelques semaines! Je vous en remercie.
Vous avez tort de penser que mon seul but est de confondre ceux que vous appelez mes « cibles »! Encore une fois, je ne m’attaque pas aux personnes, je réponds juste à certains commentaires qui me semblent par trop maltraiter la réalité, ou orientés, ou un peu des deux. Je ne vais pas me lancer dans une typologie des commentateurs de ce site, ce serait bien trop présomptueux de ma part, mais je ne crois pas être pire que ceux qui se crêpent le chignon au sujet des vêtements de telles ou telles princesses, de ceux qui, républicains convaincus, viennent ici se faire du mal et critiquer les monarques, ou encore de ceux qui formatent tous leurs commentaires en fonction d’une idéologie dominante…
Je regrette que vous refusiez nettement de me répondre. J’ai trop d’estime pour vous (ne souriez pas, c’est pourtant bien exact!) pour croire que vous préférez fuir. Votre refus de réponse est en soi une réponse, vous en conviendrez avec moi; l’être humain fait rarement face à ses contradictions.
Je n’ose écrire au plaisir de nos prochaines discussions, vu que cela ne semble pas vous tenter, ce que je trouve dommage, mais après tout, il ne faut jamais dire jamais, n’est-ce pas!
Elle doit sans doute constater le fossé qui existe entre les préoccupations de la majorité de ses sujets et les préoccupations des ultra-riches et de l’oligarchie financière internationale et mondialiste.
Bien sûr, il doit y avoir des ONG altermondialistes (mais mondialistes quand même) et des stars hollywoodiennes qui occupant leur temps libre en actions humanitaires devant les caméras (ex. : Matt Damon, Angelina Jolie, etc.), mais c’est, à mon sens, de la figuration, une grande duperie collective.
A mon avis, la reine Mathilde ne se sert pas vraiment de ce qu’elle apprend. Elle n’a que très peu de latitude (tout comme le roi d’ailleurs). Elle peut suggérer des initiatives, mais au final ce sont les ministres qui décident en fonction du budget disponible (souvent emprunté auprès des grandes banques qui entendent que l’investissement soit rentable).
Je pense qu’elle est là pour ajouter du glamour et du people à ces réunions controversées de banquiers, hommes d’affaires, dirigeants et personnes influentes. Cela rassure le peuple.
La ministre danoise est celle qui a fortement énervé Michelle Obama à la cérémonie en mémoire de Nelson Mandela, car elle faisait des selfies avec Barak. A la fin Michelle a fait changer de place à Barak
Tiens c’est vrai cela, on ne trouve curieusement aucune trace de ce charmant épisode dans les innombrables articles, sirupeux à souhait, que la presse nous sert depuis novembre dernier (avec une augmentation exponentielle ces tous derniers jours!) sur le « couple glamour » et le « charme céleste » de la famille Obama.
Je vais me permettre d’être ironique, et donc poser la question qui fâche: nous construirait-on de toutes pièces une image « idéale » de la famille Obama?
Gauthier, la saga Obama s’achève au grand désespoir des médias mainstream lesquels nous ont donné à voir durant huit ans tant de sujets secondaires traités essentiellement sous l’angle émotionnel et offrant rarement des analyses sérieuses et objectives de thèmes tels que la politique étrangère des États-Unis.
Damien B, je partage entièrement votre analyse, cela va sans dire.
La saga Obama, comme vous l’écrivez justement, a été ainsi mise en scène pour cacher, autant que le faire se pouvait, une réelle indigence tant dans la politique intérieure qu’extérieure des Etats-Unis. Cela correspond bien à notre époque, qui préfère le strass des paillettes à la réalité du terrain.
Disons que la réussite familiale des Obama est instrumentalisée pour masquer le bilan très peu brillant de ses deux mandats : la dette fédérale américaine a considérablement augmenté sous ses mandats et dépasse les 18.000 milliards de dollars. Notons que la dette s’élève à plus de 110% du PIB, c’est à dire qu’il faudrait plus d’une année d’activité (sans épargne et sans investissement) pour pouvoir la rembourser. Certains experts comme Laurence Kotlikoff, professeur à l’Université de Boston, estiment que la situation financière de l’Etat fédéral et de surcroit celle de la population américaine est pire que celle en Grèce. D’ailleurs, un américain sur six dépend d’une aide alimentaire.
Il y a des tensions raciales jamais vues depuis 40 ans.
Quant à la politique internationale du Prix Nobel de la Paix, ce n’est guère plus brillant : le monde est moins sûr maintenant qu’il y a 8 ans : l’administration Obama a délibérément financé les révolutions de couleur (et les soi-disant rebelles modérés qui entendent bien appliquer la charia) et détruit la Libye et la Syrie. Cette politique a eu comme conséquence un afflux d’armes en circulation dans les pays africains et du Proche Orient, l’implantation de Daesh en Libye et en Syrie et crise migratoire frappant l’Europe.
Bref, le « Yes we can , Yes we did » est une supercherie qui est très bien passée quand Barack s’est mis à pleurnicher quand il a rendu hommage à sa femme, Michèle qui est sa meilleure amie…
Rectification : la dette officielle US est de 18.000 milliards de dollars. La dette officieuse est, elle, de 211.000 milliards de dollars, soit 15 fois plus.
Zorro, les supercheries passent fort bien à notre époque. Je dirais même que plus elles sont grosses, mieux elles passent!
Vous mettez en lumière les points dérangeants de la situation intérieure et extérieure des Etats-Unis, points qui sont bien évidemment occultés. Vous évoquez également les fameuses révolutions de couleur (orange, vert, etc.) soutenues par l’administration Obama en dépit du bon sens…
Il ne restera d’Obama que cet aspect de spectacle, et rien d’autre, dès que le temps aura fait son œuvre. On a largement dépassé la mise en scène du mandat de JFK…
Je retiens de cette ancienne ministre danoise qu’elle a en effet , comme le dit Ellen , agacé Michelle Obama , et qu’elle s’est cassé la figure sur les marches de l’Elysée …
Cette ministre danoise avait beaucoup énervé Mme Obama avec ses selfies en compagnie du président des Etats-Unis : elle ne me donne pas l’impression d’une femme très discrète surtout lorsqu’il y’a dans les environs un charmant Monsieur : Michelle Obama avait tout à fait raison de « faire la gueule » à l’époque !!!
Je ne sache point que la reine de Belgique , toute révérence gardée ,ait en matière de finances des compétences exceptionnelles …
Je ne puis interpréter son assiduité aux trop fameuses journées de Davos que comme un argument en faveur de ceux qui supposent une connivence entre certaines familles royales européennes (parmi d’autres) et le non moins trop fameux « groupe de Bilderberg » .
On ne se rend pas à Davos de son propre chef. On y va parce qu’on y est invité.
Le Forum de Davos est organisé pour les Banques et par les Banques. C’est pourquoi les organisateurs aiment aussi à inviter, outre des leaders et membres de gouvernements issu des 4 coins du monde, des personnalités qui ont une certaines autorité dans leur domaine (universitaires, stars, patron d’organisation et autre représentant spécial de l’ONU pour le développement durable).
Davos n’est pas l’équivalent du Bilderberg.
Les réunions Bilderberg sont privées et tenues secrètes. Il n’y a pas de conférence de presse et nul ne sait, à part les participants, ce qui s’y est dit. Davos est la grand’ messe ou des contacts mondains sont pris. Le Bilderberg réuni la crème de la crème (si je puis dire) pour discuterdans la plus absolue discrétion, des grandes orientations économiques, politiques, sociétales à appliquer dans le monde.
A ma connaissance, Philippe et/ou Mathilde s’y sont rendu une seule fois, à l’invitation de leurs grands amis Willem Alexander et Maxima, qui sont membres permanents. Pour rappel, Bernhard de Lippe-Bisterfeld (le père de Beatrix) était un des membres fondateurs au début des années ’50. D’ailleurs, Wilhelmine, Juliane et Beatrix gèrent et ont géré une fortune absolument colossale (issue entre autre de participations dans les multinationales hollandaises : Philipps, Royal Dutch Shell, etc.).
Philippe n’est pas un profil intéressant pour le Bilderberg. Il n’a pas vraiment d’influence sur l’économie ou sur la politique du pays. Sa fortune est relative et il n’a semble-t-il pas d’intérêts de participations importantes dans les multinationales.
Les Windsor et les Orange Nassau sont des familles royales qui sont à la jonction du pouvoir politique (très encadré) et de la finance internationale. Ces deux monarchies ont un pouvoir d’influence énorme et qui dépasse largement les frontières de leur royaume.
Anastasie
17 janvier 2017 @ 11:47
Régine, Je crois qu’il y a une petite erreur dans votre classeent de l’article… Vous avez indidqué « Danemark » au lieu de « Belgique ».. Pas très grave.
Régine
17 janvier 2017 @ 13:06
quel lapsus !
Pierre-Yves
17 janvier 2017 @ 11:49
La reine Mathilde va chaque année à Davos, mais on ne sait pas vraiment ce qu’elle en rapporte. Elle écoute des conférences, voit des gens influents, accompagne des décideurs belges, mais qu’apprend-elle et comment se sert-elle de ce qu’elle apprend, voilà ce dont je suis curieux.
Gauthier
17 janvier 2017 @ 14:48
Voyons cher Pierre-Yves, votre commentaire sous-entend l’existence de lobbyistes, alors que vous m’avez longtemps prétendu ici-même que ces lobbyistes n’existaient pas. D’accord, il ne s’agit pas des mêmes lobbyistes (quoique…), mais votre revirement est étrange. M’expliqueriez-vous ce changement de position?
Pierre-Yves
18 janvier 2017 @ 12:26
Le retour de Gauthier ! On se demandait un peu ce que vous deveniez, mais nous voilà rassurés, ces semaines de silence ne vous ont pas changé d’un iota.
A vous en croire, ce n’est pas mon cas. Comment vous affirmer le contraire, étant donné que je participe à ce blog depuis 2009 et que j’ai négligé de noter tout ce que, au fil des années, j’ai pu y écrire …
Mais apparemment, vous non. Sans doute parce que, sous une politesse suave et appuyée, vous êtes de ceux qui ont besoin de se nourrir de tout ce qu’ils détestent. Je m’avise d’ailleurs qu’on ne vous a jamais vu ici nous confier ce que vous aimiez, ce qui vous rendait heureux. Non; votre sujet, c’est de confondre, avec opiniâtreté et un zeste de perfidie, ceux que vous estimez être votre cible.
Ce qui est absolument votre droit.
Mais voyez-vous, le mien, c’est de ne pas avoir envie de bavarder avec vous, et encore moins de vous fournir des explications sur mes pseudo revirements.
Ne vous abstenez surtout pas de penser que je fuis si cela doit vous satisfaire.
La vérité est que je n’ai plus le goût de perdre du temps et de l’énergie en vaines polémiques. Nous ne sous apprécions pas, ne sommes d’accord sur rien, eh bien tant pis, ce sont des choses qui arrivent et franchement, ce n’est pas bien grave.
Gauthier
19 janvier 2017 @ 13:56
Cher Pierre-Yves, merci de votre réponse! Oui, merci, même si certains éléments me peinent, croyez-moi!
Si vous ne m’appréciez pas, la réciproque n’est absolument pas vraie. Pour une raison bien simple: j’ai appris à ne pas confondre les opinions (que je les partage ou pas) et les personnes qui les émettent. Ce principe est l’une des bases de la vie en société, et je regrette qu’il tende à disparaître! Car une grande partie de l’agressivité qui semble vouloir prendre le dessus dans les rapports humains s’en trouverait effacée, ne pensez-vous pas?
Je suis néanmoins rassuré de constater que si vous ne m’appréciez pas, vous ne manquez aucune de mes interventions, puisque vous avez noté mon silence de quelques semaines! Je vous en remercie.
Vous avez tort de penser que mon seul but est de confondre ceux que vous appelez mes « cibles »! Encore une fois, je ne m’attaque pas aux personnes, je réponds juste à certains commentaires qui me semblent par trop maltraiter la réalité, ou orientés, ou un peu des deux. Je ne vais pas me lancer dans une typologie des commentateurs de ce site, ce serait bien trop présomptueux de ma part, mais je ne crois pas être pire que ceux qui se crêpent le chignon au sujet des vêtements de telles ou telles princesses, de ceux qui, républicains convaincus, viennent ici se faire du mal et critiquer les monarques, ou encore de ceux qui formatent tous leurs commentaires en fonction d’une idéologie dominante…
Je regrette que vous refusiez nettement de me répondre. J’ai trop d’estime pour vous (ne souriez pas, c’est pourtant bien exact!) pour croire que vous préférez fuir. Votre refus de réponse est en soi une réponse, vous en conviendrez avec moi; l’être humain fait rarement face à ses contradictions.
Je n’ose écrire au plaisir de nos prochaines discussions, vu que cela ne semble pas vous tenter, ce que je trouve dommage, mais après tout, il ne faut jamais dire jamais, n’est-ce pas!
Zorro
17 janvier 2017 @ 16:18
Elle doit sans doute constater le fossé qui existe entre les préoccupations de la majorité de ses sujets et les préoccupations des ultra-riches et de l’oligarchie financière internationale et mondialiste.
Bien sûr, il doit y avoir des ONG altermondialistes (mais mondialistes quand même) et des stars hollywoodiennes qui occupant leur temps libre en actions humanitaires devant les caméras (ex. : Matt Damon, Angelina Jolie, etc.), mais c’est, à mon sens, de la figuration, une grande duperie collective.
A mon avis, la reine Mathilde ne se sert pas vraiment de ce qu’elle apprend. Elle n’a que très peu de latitude (tout comme le roi d’ailleurs). Elle peut suggérer des initiatives, mais au final ce sont les ministres qui décident en fonction du budget disponible (souvent emprunté auprès des grandes banques qui entendent que l’investissement soit rentable).
Je pense qu’elle est là pour ajouter du glamour et du people à ces réunions controversées de banquiers, hommes d’affaires, dirigeants et personnes influentes. Cela rassure le peuple.
Jean Pierre
17 janvier 2017 @ 12:20
Ravi de revoir Madame « Borgen », même s’il n’est pas sûr que Thorning-Schmidt en soi le modèle.
JAusten
17 janvier 2017 @ 18:53
son mari est un peu trop souvent dans les journaux pour des petits abus …
Ellen
17 janvier 2017 @ 12:29
La ministre danoise est celle qui a fortement énervé Michelle Obama à la cérémonie en mémoire de Nelson Mandela, car elle faisait des selfies avec Barak. A la fin Michelle a fait changer de place à Barak
Gauthier
17 janvier 2017 @ 14:46
Tiens c’est vrai cela, on ne trouve curieusement aucune trace de ce charmant épisode dans les innombrables articles, sirupeux à souhait, que la presse nous sert depuis novembre dernier (avec une augmentation exponentielle ces tous derniers jours!) sur le « couple glamour » et le « charme céleste » de la famille Obama.
Je vais me permettre d’être ironique, et donc poser la question qui fâche: nous construirait-on de toutes pièces une image « idéale » de la famille Obama?
Merci de votre rappel et de votre lien, Ellen!
Damien B.
18 janvier 2017 @ 07:51
Gauthier, la saga Obama s’achève au grand désespoir des médias mainstream lesquels nous ont donné à voir durant huit ans tant de sujets secondaires traités essentiellement sous l’angle émotionnel et offrant rarement des analyses sérieuses et objectives de thèmes tels que la politique étrangère des États-Unis.
Gauthier
19 janvier 2017 @ 14:07
Damien B, je partage entièrement votre analyse, cela va sans dire.
La saga Obama, comme vous l’écrivez justement, a été ainsi mise en scène pour cacher, autant que le faire se pouvait, une réelle indigence tant dans la politique intérieure qu’extérieure des Etats-Unis. Cela correspond bien à notre époque, qui préfère le strass des paillettes à la réalité du terrain.
Zorro
18 janvier 2017 @ 10:24
Disons que la réussite familiale des Obama est instrumentalisée pour masquer le bilan très peu brillant de ses deux mandats : la dette fédérale américaine a considérablement augmenté sous ses mandats et dépasse les 18.000 milliards de dollars. Notons que la dette s’élève à plus de 110% du PIB, c’est à dire qu’il faudrait plus d’une année d’activité (sans épargne et sans investissement) pour pouvoir la rembourser. Certains experts comme Laurence Kotlikoff, professeur à l’Université de Boston, estiment que la situation financière de l’Etat fédéral et de surcroit celle de la population américaine est pire que celle en Grèce. D’ailleurs, un américain sur six dépend d’une aide alimentaire.
Il y a des tensions raciales jamais vues depuis 40 ans.
Quant à la politique internationale du Prix Nobel de la Paix, ce n’est guère plus brillant : le monde est moins sûr maintenant qu’il y a 8 ans : l’administration Obama a délibérément financé les révolutions de couleur (et les soi-disant rebelles modérés qui entendent bien appliquer la charia) et détruit la Libye et la Syrie. Cette politique a eu comme conséquence un afflux d’armes en circulation dans les pays africains et du Proche Orient, l’implantation de Daesh en Libye et en Syrie et crise migratoire frappant l’Europe.
Bref, le « Yes we can , Yes we did » est une supercherie qui est très bien passée quand Barack s’est mis à pleurnicher quand il a rendu hommage à sa femme, Michèle qui est sa meilleure amie…
Zorro
18 janvier 2017 @ 12:11
Rectification : la dette officielle US est de 18.000 milliards de dollars. La dette officieuse est, elle, de 211.000 milliards de dollars, soit 15 fois plus.
Anna Claudia
18 janvier 2017 @ 18:00
Pour ce qui est de la destruction de la Libye, nous n’y sommes pas non plus allés de main morte
Gauthier
19 janvier 2017 @ 16:40
Zorro, les supercheries passent fort bien à notre époque. Je dirais même que plus elles sont grosses, mieux elles passent!
Vous mettez en lumière les points dérangeants de la situation intérieure et extérieure des Etats-Unis, points qui sont bien évidemment occultés. Vous évoquez également les fameuses révolutions de couleur (orange, vert, etc.) soutenues par l’administration Obama en dépit du bon sens…
Il ne restera d’Obama que cet aspect de spectacle, et rien d’autre, dès que le temps aura fait son œuvre. On a largement dépassé la mise en scène du mandat de JFK…
Danielle
17 janvier 2017 @ 18:18
Ellen, pour les commémorations du débarquement, Barak a également beaucoup ri avec Maxima et toute la gente féminine qui l’entourait !!
Je me demande également quel rôle peuvent jouer toutes ces altesses à Davos ? et quelles en sont les retombées ?
MIKA
17 janvier 2017 @ 19:35
La Ministre est une jolie femme… plus jeune, elle devait être très belle.
Ellen
17 janvier 2017 @ 12:32
http://www.bfmtv.com/international/selfie-barack-obama-colere-michelle-plein-hommage-a-mandela-664750.html
JOSEPHINE
17 janvier 2017 @ 12:42
Mathilde a un air bien fatigué !
jos
17 janvier 2017 @ 18:57
Et comme d’habitude, coiffée comme l’as de pique !
Décidément, elle a toujours quelque chose qui ne tourne pas rond !
MIKA
17 janvier 2017 @ 19:33
C’est exactement çe que je me suis dit… Mathilde semble éreintée !
Poches et cernes sous les yeux..
La fonction n’est pas facile tous les jours !
Baia
18 janvier 2017 @ 07:59
La fonction n’est pas si difficile tout de même … il ne faut pas exagérer !
Gibbs ?
18 janvier 2017 @ 13:50
Baia,
Voyez le « ! » à la fin de la phrase de Mika.
Je pense qu’il s’agit d’humour…
Je partage toutefois votre commentaire.
MIKA
18 janvier 2017 @ 22:37
Pas difficile mais beaucoup de représentation, savoir que l’on est épiée en permanence ou presque… Ce doit être usant certains jours…
Gibbs ?
19 janvier 2017 @ 14:03
MIKA,
En aucun cas, je ne souhaite occuper ce genre de fonction.
alice
18 janvier 2017 @ 08:00
Pourtant elle revient de vacances.Allez courage, les prochaines .c’est au ski dans 4 semaines.
Carole 007
17 janvier 2017 @ 13:32
« Tout le monde » va à Davos, c’est un peu comme les jeux olympiques, présence obligatoire semble-t-il.
cotala
17 janvier 2017 @ 14:24
Mathilde a un visage fort marqué.
ciboulette
17 janvier 2017 @ 15:32
Je retiens de cette ancienne ministre danoise qu’elle a en effet , comme le dit Ellen , agacé Michelle Obama , et qu’elle s’est cassé la figure sur les marches de l’Elysée …
gene
17 janvier 2017 @ 15:47
Cette ministre danoise avait beaucoup énervé Mme Obama avec ses selfies en compagnie du président des Etats-Unis : elle ne me donne pas l’impression d’une femme très discrète surtout lorsqu’il y’a dans les environs un charmant Monsieur : Michelle Obama avait tout à fait raison de « faire la gueule » à l’époque !!!
monica
17 janvier 2017 @ 18:15
C est vrai que depuis quelques temps Mathilde a mauvaise mine.
Pascal
17 janvier 2017 @ 18:18
Je ne sache point que la reine de Belgique , toute révérence gardée ,ait en matière de finances des compétences exceptionnelles …
Je ne puis interpréter son assiduité aux trop fameuses journées de Davos que comme un argument en faveur de ceux qui supposent une connivence entre certaines familles royales européennes (parmi d’autres) et le non moins trop fameux « groupe de Bilderberg » .
Zorro
18 janvier 2017 @ 10:01
On ne se rend pas à Davos de son propre chef. On y va parce qu’on y est invité.
Le Forum de Davos est organisé pour les Banques et par les Banques. C’est pourquoi les organisateurs aiment aussi à inviter, outre des leaders et membres de gouvernements issu des 4 coins du monde, des personnalités qui ont une certaines autorité dans leur domaine (universitaires, stars, patron d’organisation et autre représentant spécial de l’ONU pour le développement durable).
Davos n’est pas l’équivalent du Bilderberg.
Les réunions Bilderberg sont privées et tenues secrètes. Il n’y a pas de conférence de presse et nul ne sait, à part les participants, ce qui s’y est dit. Davos est la grand’ messe ou des contacts mondains sont pris. Le Bilderberg réuni la crème de la crème (si je puis dire) pour discuterdans la plus absolue discrétion, des grandes orientations économiques, politiques, sociétales à appliquer dans le monde.
A ma connaissance, Philippe et/ou Mathilde s’y sont rendu une seule fois, à l’invitation de leurs grands amis Willem Alexander et Maxima, qui sont membres permanents. Pour rappel, Bernhard de Lippe-Bisterfeld (le père de Beatrix) était un des membres fondateurs au début des années ’50. D’ailleurs, Wilhelmine, Juliane et Beatrix gèrent et ont géré une fortune absolument colossale (issue entre autre de participations dans les multinationales hollandaises : Philipps, Royal Dutch Shell, etc.).
Philippe n’est pas un profil intéressant pour le Bilderberg. Il n’a pas vraiment d’influence sur l’économie ou sur la politique du pays. Sa fortune est relative et il n’a semble-t-il pas d’intérêts de participations importantes dans les multinationales.
Les Windsor et les Orange Nassau sont des familles royales qui sont à la jonction du pouvoir politique (très encadré) et de la finance internationale. Ces deux monarchies ont un pouvoir d’influence énorme et qui dépasse largement les frontières de leur royaume.
Pascal
18 janvier 2017 @ 12:21
Merci de toutes ces précisions !
jocelyne de
17 janvier 2017 @ 19:42
Elle était en vacances pendant les fêtes non çà n’est pas très loin