Remise de diplômes à l’université Hamad Bin Khalifa de Doha en présence de la sheikha Mozah et de la sheikha Hind. Des étudiants de 29 nationalités s’y côtoient. (Merci à Guizmo – Copyright photo : HHOPL)
Pas mieux. En plus, on dirait qu’elles sont vêtues de loques. Et qu’on ne vienne pas nous raconter de sornettes concernant l’apparence, la beauté intérieure, la spiritualité et tout ce blabla. Ca n’a pas lieu d’être ici.
Comme elles sont bien emmitouflées ! Il faut bien ça, pour supporter le souffle glacé de la clim, à l’intérieur des édifices…
Car à Doha, aujourd’hui, les températures extérieures frôlent les 40° !
Ces accoutrements sont une horreur envers l’assouvissement de la femme, quel air dédaigneux chez cette Mozha, pour moi ce n’est que l’expression d’une provocation !
Bianca, vous avez écrit » l’assouvissement » de la femme.
Fabuleux lapsus, amie.
Je suppose que vous avez voulu écrire » asservissement » , est-ce exact ?
Ca donne : l’assouvissement des hommes par l’asservissement de la femme.
Je me trompe ?
Oui en effet Leonor, complètement à « côté de la plaque » pour ce commentaire, je vous remercie de me faire remarquer cette erreur et vous souhaite une belle journée, le soleil brille je l’espère sur votre région, alors profitez-en bien ! bianca
Elles réussissent pourtant à être belles,même voilées,même en noir.
Quand le port du voile est vraiment un choix,d’atteinte à la liberté,il n’y a pas.
Pour certaines femmes, c’est d’aller tête nue qui est un manque de respect.
Je respecte les choix de chacun,un morceau de tissu sur la tête, ce n’est pas grand chose,ça ne me dérange pas, du moment que je ne suis pas forcée d’en faire autant.
C’est ce qu’il y a dans les têtes,qui est inquiétant.
J’aimerais vous suivre, Muscate, mais je ne peux pas.
Je respecte moi aussi , ou plutôt, je tolère avec amitié , le voile minimum sur nombre de femmes de ma connaissance , dont, surtout, les femmes d’un certain âge, car imprégnées de leurs traditions , et généralement non-prosélytes. Et bien sûr, les femmes vivant dans leur(s) pays d’origine.
Mais, ici, ce » morceau de tissu sur la tête » est, justement, symbole et signe affiché de préceptes qu’il n’est pas question d’admettre. Parmi eux, la soumission des femmes non pas tant à Dieu – qui n’en demande pas tant – qu’aux hommes.
On pourrait, en effet, ,penser que pour certaines, c’est un choix . Je ne le pense pas vraiment.
Si choix apparent il y a, il est commandé – commandé – par des règles de soumission ancestrales, et souvent télécommandé par une fidélité voulue ou non au pays d’origine. Règles ancestrales, un peu comme, jusque dans les années cinquante en Europe , les femmes » honorables » (!) ne devaient pas elles non plus sortir » en cheveux ». Tradition de même origine : cachez ce sexe que je ne saurais voir .
Un déni de la féminité intrinsèque, dont la jouissance ne serait réservée qu’aux seuls mâles ( excision, même combat).
Dans le christianisme, ça fait deux mille ans que Marie-Madeleine et le Christ ont publiquement dynamité ce déni, cette soumission, et cette hypocrisie-là. ( Luc, 7, 36-50). Devant les pharisiens.
Qu’on soit croyant ou non, ce symbolisme-là est sacrément (!) fort.
Deux mille ans ….
Et Dieu sait (!) que je ne suis pas anti-musulman primaire.
Ce sont les programmes scolaires qui m’inquiètent avec cette ministre de pacotille, la pire de tous ses prédécesseurs car anti France ! honteux !
Encore un an à attendre c’est long !
La sheikha Mozah bint Nasser née Al-Missned est la deuxième des trois épouses de l’émir père du Qatar. Sa deuxième fille est Hindi mariée à son cousin sheikh Faisal bin Thani Al-Thani. Hindi après de brillantes études occupe une multitude de hautes fonctions notamment à la tête de la Qatar Foundation.
J’aimerais bien voir le contenu des » brillantes études », Gérard, et l’endroit où elles ont eu lieu.
Et j’aimerais bien rencontrer le prof’ qatari assez courageux pour coller un zéro à la fille de l’émir.
Et même le prof de n’importe où assez courageux pour etc.
Incident diplomatique assuré. Contrats commerciaux perdus. Etc.
Faut pas rêver.
marielouise
3 mai 2016 @ 06:07
Quelle horrible photo!
Quel manque de respect pour toutes les femmes!
Ces sheikhas sont pour moi une atteinte à la liberté de la femme!
ml
ambre
3 mai 2016 @ 15:02
Pas mieux. En plus, on dirait qu’elles sont vêtues de loques. Et qu’on ne vienne pas nous raconter de sornettes concernant l’apparence, la beauté intérieure, la spiritualité et tout ce blabla. Ca n’a pas lieu d’être ici.
Muscate
3 mai 2016 @ 07:57
Quel maintien impérial pour cette femme féline. ..sacrée présence.C’est inné.
Robespierre
3 mai 2016 @ 09:25
Poudre aux yeux et enfumage…
Wilhelmine
3 mai 2016 @ 13:04
no comment !
Mélusine
3 mai 2016 @ 13:48
Comme elles sont bien emmitouflées ! Il faut bien ça, pour supporter le souffle glacé de la clim, à l’intérieur des édifices…
Car à Doha, aujourd’hui, les températures extérieures frôlent les 40° !
bianca
3 mai 2016 @ 14:08
Ces accoutrements sont une horreur envers l’assouvissement de la femme, quel air dédaigneux chez cette Mozha, pour moi ce n’est que l’expression d’une provocation !
Leonor
5 mai 2016 @ 11:19
Bianca, vous avez écrit » l’assouvissement » de la femme.
Fabuleux lapsus, amie.
Je suppose que vous avez voulu écrire » asservissement » , est-ce exact ?
Ca donne : l’assouvissement des hommes par l’asservissement de la femme.
Je me trompe ?
bianca
6 mai 2016 @ 12:55
Oui en effet Leonor, complètement à « côté de la plaque » pour ce commentaire, je vous remercie de me faire remarquer cette erreur et vous souhaite une belle journée, le soleil brille je l’espère sur votre région, alors profitez-en bien ! bianca
Zeste
3 mai 2016 @ 15:11
Elle le numero combien comme epouse
Arielle
3 mai 2016 @ 16:34
Horribles femmes, de véritables sorcières.
Muscate
4 mai 2016 @ 09:00
Et vous serez aux pieds du bûcher?
Muscate
3 mai 2016 @ 16:58
Elles réussissent pourtant à être belles,même voilées,même en noir.
Quand le port du voile est vraiment un choix,d’atteinte à la liberté,il n’y a pas.
Pour certaines femmes, c’est d’aller tête nue qui est un manque de respect.
Je respecte les choix de chacun,un morceau de tissu sur la tête, ce n’est pas grand chose,ça ne me dérange pas, du moment que je ne suis pas forcée d’en faire autant.
C’est ce qu’il y a dans les têtes,qui est inquiétant.
marielouise
5 mai 2016 @ 07:08
Chère Muscate, si j’ose, ici, il n’est pas seulement question de voile…
ml
Leonor
5 mai 2016 @ 11:46
J’aimerais vous suivre, Muscate, mais je ne peux pas.
Je respecte moi aussi , ou plutôt, je tolère avec amitié , le voile minimum sur nombre de femmes de ma connaissance , dont, surtout, les femmes d’un certain âge, car imprégnées de leurs traditions , et généralement non-prosélytes. Et bien sûr, les femmes vivant dans leur(s) pays d’origine.
Mais, ici, ce » morceau de tissu sur la tête » est, justement, symbole et signe affiché de préceptes qu’il n’est pas question d’admettre. Parmi eux, la soumission des femmes non pas tant à Dieu – qui n’en demande pas tant – qu’aux hommes.
On pourrait, en effet, ,penser que pour certaines, c’est un choix . Je ne le pense pas vraiment.
Si choix apparent il y a, il est commandé – commandé – par des règles de soumission ancestrales, et souvent télécommandé par une fidélité voulue ou non au pays d’origine. Règles ancestrales, un peu comme, jusque dans les années cinquante en Europe , les femmes » honorables » (!) ne devaient pas elles non plus sortir » en cheveux ». Tradition de même origine : cachez ce sexe que je ne saurais voir .
Un déni de la féminité intrinsèque, dont la jouissance ne serait réservée qu’aux seuls mâles ( excision, même combat).
Dans le christianisme, ça fait deux mille ans que Marie-Madeleine et le Christ ont publiquement dynamité ce déni, cette soumission, et cette hypocrisie-là. ( Luc, 7, 36-50). Devant les pharisiens.
Qu’on soit croyant ou non, ce symbolisme-là est sacrément (!) fort.
Deux mille ans ….
Et Dieu sait (!) que je ne suis pas anti-musulman primaire.
Muscate
6 mai 2016 @ 18:44
Je vous assure,Leonor,que pour beaucoup, c’est un choix.
Qui déroute même famille et époux, parfois.
pf
3 mai 2016 @ 17:09
Je serais curieuse de connaitre le contenu des programmes de cette université
pf
3 mai 2016 @ 17:16
Najat Belkacem vient de sortir une circulaire , disant que l ‘ école doit former de bons républicains
De la même façon cette université forment de bons soumis d ‘ Allah sans doute ?’
Partout l ‘ école devient idéologique ,
Trianon
4 mai 2016 @ 10:16
elle l’est depuis longtemps…
Leonor
5 mai 2016 @ 11:48
J’allais l’écrire, Trianon.
bianca
6 mai 2016 @ 21:10
Ce sont les programmes scolaires qui m’inquiètent avec cette ministre de pacotille, la pire de tous ses prédécesseurs car anti France ! honteux !
Encore un an à attendre c’est long !
marcelline
3 mai 2016 @ 19:29
vision cauchemardesque …
Gérard
5 mai 2016 @ 08:57
La sheikha Mozah bint Nasser née Al-Missned est la deuxième des trois épouses de l’émir père du Qatar. Sa deuxième fille est Hindi mariée à son cousin sheikh Faisal bin Thani Al-Thani. Hindi après de brillantes études occupe une multitude de hautes fonctions notamment à la tête de la Qatar Foundation.
Leonor
5 mai 2016 @ 11:52
J’aimerais bien voir le contenu des » brillantes études », Gérard, et l’endroit où elles ont eu lieu.
Et j’aimerais bien rencontrer le prof’ qatari assez courageux pour coller un zéro à la fille de l’émir.
Et même le prof de n’importe où assez courageux pour etc.
Incident diplomatique assuré. Contrats commerciaux perdus. Etc.
Faut pas rêver.