Au Palais royal de Stockholm, le roi Carl Gustaf de Suède a reçu des ambassadeurs pour la remise des lettres de créance. Le protocole de la cérémonie a été adapté pour respecter les normes sanitaires. Ici, avec la représentante du Salvador, Patricia Nathaly Godínez Aguillón
Elsi
7 novembre 2020 @ 08:39
On dirait Alice au Pays des Merveilles….
Artistocrate
7 novembre 2020 @ 11:13
Oh que oui, mais Alice a pris un sacré coup de vieux et un peu d’embonpoint à force de prendre le thé avec le chapelier fou pour son non-anniversaire.
Annmaule
7 novembre 2020 @ 09:13
La Dame est adorablement souriante…et le roi pas insensible😊
Menthe
7 novembre 2020 @ 11:04
Encore mal vu, là c’est la grande-duchesse du Luxembourg que j’ai aperçu en face du roi 😕
ciboulette
7 novembre 2020 @ 14:36
Une Alice au Pays des Merveilles un peu enrobée , quand même !
Gatienne
8 novembre 2020 @ 13:15
Abus de scones pour son non anniversaire ! 🥳
plume
7 novembre 2020 @ 10:02
Remise des lettres de créance ou bal … masqué ?
Danielle
7 novembre 2020 @ 11:24
Un trône très original !
Nini Plume 🌻
7 novembre 2020 @ 12:31
Un joli sourire, une main sur le cœur, un arrêt
et passe tout le reste.
Gérard
7 novembre 2020 @ 14:38
Le 2 septembre le roi de Suède a reçu les lettres de créance des nouveaux ambassadeurs :
du Salvador, donc Mme Patricia Nathaly Godínez Aguillón,
d’Islande, M. Hannes Heimisson,
des Pays-Bas, M. Bengt van Loosdrecht,
Le 9 septembre,
du Portugal, Mme Sara Martins,
de France, M. Étienne de Gonneville,
Le 24 septembre,
de Colombie, M. César Tulio Delgado Blandón,
d’Espagne, Mme Cristina Latorre Sancho,
Le 7 octobre,
de Thaïlande, Mme Kanchana Patarachoke,
de Jordanie, M. Janti Kalajoqa, avec résidence à Oslo,
d’Andorre, M. Gil Rossell Duchamps, avec résidence à Andorre,
des Maldives, M. Ahmed Latheef, avec résidence à Berlin,
Le 29 octobre,
d’Irlande, M. Austin Gormley,
de Malte, Mme Marlene Mizzi, avec résidence à Malte.
Étienne Le Harivel de Gonneville, ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République française auprès du Royaume de Suède, était conseiller principal pour les affaires stratégiques et l’Europe continentale auprès du président de la République française, depuis mai 2017, il est diplômé de Sciences Po et de l’Université de la Sorbonne.
Il a occupé plusieurs postes au ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, à Paris : à la direction des affaires stratégiques, de la sécurité et du désarmement, et au département Asie et Océanie, et à l’étranger : en Iran (2000-2003), aux États-Unis (2006-2010) et au Vietnam (2010-2013).
Le nom évoque Marie Le Harivel de Gonneville, comtesse de Mirabeau, fille d’Aymard Olivier Le Harivel de Gonneville, officier de la Grande Armée, lui-même fils d’un lieutenant de police du roi, originaire de Caen, et d’Antoinette Françoise Sophie Fourier de Bacourt, elle-même sœur du comte de Bacourt qui fut diplomate auprès du roi de Suède (Bernadotte) en 1822. Elle épousa le dernier comte de Mirabeau, Joseph-Arundel de Riquetti, petit-neveu du célèbre tribun et ardent légitimiste. Ils eurent une fille, Sibylle Gabrielle Riquetti de Mirabeau, plus connue sous le nom de Gyp, femme de lettres et salonnière. Son fils le neurochirurgien Thierry de Martel, dirigeant de l’hôpital américain à Paris, se suicida à l’entrée des Allemands dans la capitale le 14 juin 1940.
Les Le Harivel de Gonneville sont d’une famille anoblie aux francs-fiefs en 1470 (d’après Chamillart) selon une disposition agréée par Louis XI qui permettait à des roturiers possédant des fiefs et vivant noblement d’accéder après vérification à la noblesse en Normandie. Elle fut maintenue en 1666 et a fait ses preuves pour l’ANF.
La famille porte de gueules à trois roses d’or.
teddy
9 novembre 2020 @ 11:00
ce n est pas un travail fatiguant!
framboiz07
8 novembre 2020 @ 05:38
Décorum, pire que chez sa cousine Elizabeth !
Gérard
8 novembre 2020 @ 19:00
On voit si peu d’apparat aujourd’hui que ça nous change un peu de la grisaille inquiète des temps.
Cosmo
8 novembre 2020 @ 11:42
Le roi invite-t-il l’ambassadrice à danser ? Elle a l’air surprise.
Gérard
8 novembre 2020 @ 15:20
Nous sommes ici dans la salle d’audience du palais royal de Stockholm où se trouve l’un des deux trônes que l’on peut voir au palais. Le trône somptueux de la salle du trône est celui de la reine Christine et il est installé sous le dais. Le roi s’y est assis pour les première et dernière fois en 1973 et 1974.
Dans la salle d’audience on a placé le trône d’Adolf Frederick roi de Suède qui fut couronné en 1750 avec son épouse Louise Ulrike de Prusse qui avait droit elle aussi à son trône identique mais qui lui n’est pas exposé.