La princesse de Hanovre et Charlotte Casiraghi ont assisté à la remise des prix des rencontres philosophiques à Monaco. (Copyright photos : Palais princier)
La princesse Caroline est rayonnante !
Mère et fille dont on ressent le lien fusionnel .
La princesse Caroline , ma princesse préférée, semble épanouie actuellement dans ses activités officielles : tant pis je suis une inconditionnelle de la famille princière de Monaco ???
Moi aussi Lili.M et surtout de Caroline et ses enfants…comme beaucoup le savent ici!!!
Je suis si heureuse de les voir ici réunies pour une manifestation qui les honore et amène un peu de hauteur d’esprit dans ce Monaco parfois très bling!!!
« Vinciane Despret ( née en novembre 1959) est une philosophe des sciences belge, actuellement en poste à l’Université de Liège.
Aperçu biographique
Vinciane Despret a obtenu le diplôme de Licence en Philosophie avant d’entreprendre des études de Psychologie. Elle découvre les éthologues au cours de ces études et se passionne pour leurs recherches. Elle s’orientera alors vers la philosophie des sciences. Inspirée dans sa démarche par Isabelle Stengers et Bruno Latour, elle se propose de suivre les scientifiques sur leurs terrains, dans leur pratique, et de comprendre comment ils rendent leurs objets d’études intéressants.
En 2015, elle a été élevée au rang de chevalier du Mérite wallon. »
Marie1,
L’idée de cette rencontre est due à Charlotte et non du gouvernement. Elle est quo-présidente de l’association. Sur la photo on voit le tampon de la communication. Caroline dirige le domaine culturel avec l’accord de son frère. Elle montre les projets au gouvernement et celui-ci donne son aval ou refuse. Rainier a toujours reconnu le travail de sa fille concernant l’art. Caroline est présidente de plusieurs fondations consacrées à l’art. Si elle n’avait aucune décision à prendre. Elle ne viendrait pas aux vernissages et premières. Albert et le Gouvernement écoutent la Princesse Caroline car la Culture amène de l’argent (entrées, restaurant, hotel, etc..). A mon avis elle doit avoir un très bon carnet. Idem pour sa sœur (présidente Festival du Cirque), elle va voir les artistes de cirque dans le monde pour le Festival du Cirque. C’est Stéphanie qui décide. Stéphanie l’a reconnu. A moins que le gouvernement choisit les numéros et que Stéphanie fasse la potiche.
Jackes
Personne ne vous a dit que ces rencontres philosophiques ne sont pas l’idée de Charlotte…
Par contre à mon avis vous êtes en train de faire un « doux » mélange, d’un côté vous avez l’opéra, l’orchestre, les ballets, le musée, etc…qui ont chacun leur directeur, ces entités sont sous la tutelle du gouvernement (Direction des Affaires Culturelles). La Princesse Caroline apporte son soutien actif à ces entités (promotion lors de diner par exemple), mais chaque directeur propose les programmations, et organise les manifestations, direction artistique , mise en scène etc…en toute indépendance heureusement pour eux.
Les Fondations sont des entités distinctes avec leur propre conseil d’administration et ne sont pas gérées par le gouvernement. Dans ce cas les décisions sont prises lors de ces conseils. ( Amade, Fondation Princesse Grace Monaco etc…).
Le Festival du Cirque n’est pas sous la tutelle du gouvernement, la Princesse Stéphanie décide avec un comité des numéros à présenter lors du festival…
Auberi
13 juin 2016 @
08:41
Merci Marie1 pour ce lien. Assez dubitative sur ce prix décerné à Vinciane Despret, grande exploratrice du lien entre les morts et les vivants…
Je découvre sur ces photos la présence de Laure Adler, croisée il y a quelques années à un cocktail aux ’Ecrivains du Sud’ de Paule Constant à Aix en Provence. Tout en convenant de son intéressante rhétorique littéraire, snob est un mot faible pour la définir car je n’ai jamais rencontré quelqu’un d’aussi infatué de sa propre personne
Bien sûr. Et il y aura des piques tant que ce sera Gucci, amants à la chaîne et pseudo-philo pour la galerie.
Charlotte Casiraghi fait ce qu’elle veut, c’est normal … actuellement. Il est donc normal aussi qu’on en pense et qu’on en dise ce qu’on veut. Non ?
Mais libre à d’autres de chanter ses louanges, par exemple : chacun ses critères, Jackes.
« Amants à la chaîne » ! 3 compagnons connus depuis que Charlotte est médiatisée… je n’appelle pas ça enchaîner les amants… vous savez, Leonor, les femmes qui ont aujourd’hui entre 25 et 40 ans sont très nombreuses à avoir été en couple avec au moins 3 hommes… cela n’en fait pas des collectionneuses d’hommes pour autant. Je vous apprécie beaucoup Leonor et je rejoins très souvent vos commentaires, mais là-dessus, je n’aime pas trop votre « leçon de morale ». Quant à la philo, au moins a-t-elle le mérite de s’impliquer pour autre chose (et une chose qui n’est pas du tout glamour) que la mode ou le sport ou rien du tout comme d’autres nobles ou assimilées de son âge…
Je précise que je ne suis pas spécialement une fan de Charlotte dont je n’aime pas du tout le style vestimentaire par exemple.
Bonjour Marnie,
Merci pour votre appréciation pour mes commentaires, si gentiment énoncée, cela éclairera un peu ma journée chargée de corvées administratives à effectuer !
Merci aussi d’énoncer votre réticence ici, de façon aussi mesurée.
Mais, vous savez, quelques petites choses :
– à y regarder précisément , mon commentaire n’est pas une « leçon » de morale, dans la mesure où il ne fait qu’indiquer mon avis, sans pour autant l’imposer à d’autres;
– je sais bien que les amants ou compagnons d’un temps ou d’une nuit sont devenus monnaie courante, et aussi … que ce n’est pas neuf , voir les années 20-30 , 60 et 70 du XXe siècle;
– mais, Marnie, ce n’est pas pour autant , parce que c’est devenu courant, que je trouverai cela intelligent, pensé, sensé, de bonne conduite même et surtout si on n’inclut pas ds l’expression » bonne conduite » une notion de morale moralisante .
Je parle de la conduite d’une vie. Surtout quand, dans la non-conduite de sa vie, on fabrique un enfant avec le premier zigoto venu, enfant qui se retrouve vite, de facto, avec un père lointain voire non-présent dans sa vie.
Ca, c’est de l’irresponsabilité crasse, dictée par l’hédonisme et la dictature du plaisir immédiat.
Je n’ai vraiment rien contre le plaisir, Marnie, bien au contraire.
Mais je suis farouchement opposée à sa dictature.
Dictature qu’on veut nous imposer en cette fin de civilisation comme le fin du fin de la réalisation de soi humaine.
Enfin et , mais c’est moins important, quoique :
Si la jeune Charlotte est en droit de vivre sa vie comme elle l’entend , au vu et au su de tous de manière très médiatisée en plus, d’autres sont bien en droit eux aussi de penser et de vivre comme ils l’entendent, même si ce n’est pas dans le droit fil de l’air du temps délétère du moment, n’est-ce pas ?
Cordialement, Marnie
Marnie
14 juin 2016 @
14:25
Leonor, merci beaucoup pour votre réponse très complète :) et merci pour la discussion. Toutes mes excuses pour le terme « leçon de morale » qui ne correspondait pas exactement à ce que je pensais de votre commentaire, mais un mot plus juste ne m’est pas venu, j’aurais dû dire « votre côté moralisateur sur ce commentaire » car en effet, vous ne donniez pas de leçon.
Je persiste à penser que 3 compagnons sur environ 10 ans pour Charlotte ça n’a rien de honteux. Quand vous dites « compagnons d’un temps ou d’une nuit », pour moi 3 compagnons en 10 ans ce ne sont pas des compagnons d’un temps ou d’une nuit. Pour une personne de moins de 30 ans je ne trouve pas que ce soit un signe de mauvaise vie, surtout chez une personne qui doit être très sollicitée en raison de son nom, de sa fortune (je suppose), de son physique et sans doute, je l’espère pour elle, de sa personnalité. Parmi mes amies (qui ont certes plutôt entre 35 et 45 ans), je ne connais pas de femme dont je pourrais dire qu’elle a eu une mauvaise conduite mais toutes ont eu plusieurs hommes (successivement) dans leur vie. Je dirais au moins 2, parfois 3 ou plus. C’est juste la vie qui est comme ça. Je ne connais peut-être que 2 femmes de ma génération (35/40 ans) qui sont toujours avec le même homme depuis l’adolescence. Les autres se sont fait quitter ou se sont séparées d’un commun accord ou ont quitté. Pas à la première dispute, mais parfois parce que les chemins se séparaient tout simplement. Et avoir plusieurs hommes dans sa vie ne veut pas dire tromper ou piquer le mari d’une autre ou se donner au premier venu, ce sont juste des histoires qui se succèdent. Je ne vois rien de délétère là-dedans, rien d’immoral, pas une mode. Bref, je ne jetterai pas la pierre à Charlotte parce que je sais que mener une vie sentimentale réussie n’est pas facile, ne dépend pas que de vous et de nos jours, où on est plus corseté dans les traditions, la religion, on n’est plus obligé de rester en couple pour sauver la face ou par convention sociale (même si certains le font encore).
En revanche, je mets à part la question de l’enfant = là-dessus, je vous rejoins quasi entièrement. A moins de ressentir le besoin viscéral d’avoir un enfant (et là-dessus personne n’est dans la tête de Charlotte), je ne comprends pas comment et pourquoi, avec les moyens de contraception actuels, on peut faire un enfant aussi vite dans une histoire, surtout quand on n’a pas 30 ans et qu’on est pas rattrapé par son horloge biologique. ça, je trouve ça léger comme conduite, même dans un contexte matériel confortable voire très aisé.
Bien cordialement, Leonor.
Voici ce que je lis concernant Charlotte sachant que j’ai déjà lu ici même qu’elle n’a que le bac… Ce qui n’a rien d’honteux.
Ma question est donc la suivante, comment obtient-on une licence en philosophie en une année de cours ?
En Belgique, les licences sont de quatre ou cinq années à savoir deux années de candidature (dites candi) et ensuite la licence.
Je n’ai pas écrit qu’une manne de diplômes universitaires suffisait à faire d’un être un érudit (je ne citerai personne) mais je constate combien les CV peuvent être agrémentés s’agissant de personnages connus.
Je pense à celui de Marie Cavallier qui a été revu à la baisse car un peu trop forcé (devenue Marie de Danemark).
Merci
Merci
« En 2000, Charlotte Casiraghi intègre le lycée François-Couperin de Fontainebleau, où elle suit des cours en philosophie de Robert Maggiori. Elle y passe son baccalauréat en juillet 2004 et obtient alors la mention très bien. Elle poursuit ensuite ses études en classe préparatoire aux grandes écoles, au lycée Fénelon, dans le but d’intégrer Normale Sup’. Elle échoue au concours d’entrée à la prestigieuse école, en juin 20065.
Par la suite, Charlotte obtient, en 2007, une licence de philosophie à l’université Paris Sorbonne-Paris IV ».
« En 2000, Charlotte Casiraghi intègre le lycée François-Couperin de Fontainebleau, où elle suit des cours en philosophie de Robert Maggiori. Elle y passe son baccalauréat en juillet 2004 et obtient alors la mention très bien. Elle poursuit ensuite ses études en classe préparatoire aux grandes écoles, au lycée Fénelon, dans le but d’intégrer Normale Sup’. Elle échoue au concours d’entrée à la prestigieuse école, en juin 2006.
Par la suite, Charlotte obtient, en 2007, (elle avait 21 ans), une licence de philosophie à l’université Paris Sorbonne-Paris IV ».
L’explication est très simple, Gibbs.
En France, l’inscription en classe préparatoire aux grandes écoles, hypokhâgnes et khâgne en l’occurrence, donne une équivalence à l’université. Il est souvent demandé une inscription cumulative, mais quoi qu’il en soit, le principe est le suivant:
– l’hypokhagne correspond à une première année de licence,
– la khâgne correspond à une deuxième année de licence,
donc si un étudiant n’intègre pas de grande école (Sciences Po, Normale Sup…) à l’issue de ces deux années, il peut, de droit, intégrer une troisième année de licence à l’université.
Gibbs, en fait les deux années de prepa à Fenelon constituent un bac+2. Elle intègre donc directement la troisième année à la Sorbonne et obtient une licence si elle valide cette troisième année. Je ne sais pas si j’ai été claire …!
C’est très simple. A la suite de l’année de khâgne, elle a obtenu l’équivalence des 2 premières années de philo, ce qui lui a permis d’embrayer directement sur la 3ème année de licence. Je le sais, pour avoir été exactement dans son cas.
Merci mesdames Juliette, Alb, Fande et Sylvia2 de remettre les choses à leur place…que de débats inutiles sur une licence qu’a obtenu effectivement Charlotte en 2007 et qui prouve son beau et rapide parcours universitaire!
ml
Gibbs
12 juin 2016 @
11:44
Merci infiniment à toutes pour vos réponses très précises.
Le système est différent de la Belgique.
@marie-louise,
Si vous adoration pour sainte Caroline et sa descendance vous fait prendre des vessies pour des lanternes, je n’aime pas que l’on me raconte des bobards.
J’ai donc posé une question à laquelle de nombreuses et très sympathiques internautes ont répondu à la Belge que je suis.
Connaissez-vous les équivalences du système scolaire belge ?
J’en doute très fort donc…
Il n’y a pas de bêtes questions mais bien de sottes gens.
JACKES
12 juin 2016 @
14:41
Fande, Juliette, Alb, Sylvia2,
Merci beaucoup pour vos post.
marielouise
13 juin 2016 @
07:11
J’ai simplement senti Gibbs, dans votre com une pointe de moquerie…voilà tout!
Veuillez m’excuser si tel ne fut pas le cas…mais on prête tant de mauvaises intentions à Charlotte, ses frères et leur mère, voilà pourquoi!
J’ai toujours bien aimé Caroline, bien avant les sites et je ne vois pas pourquoi, tant de fois, mon intérêt pour elle, passe pour de l’idolâterie ???
Je ne crois pas avoir fait de remarques à quiconque qui aime telle ou telle autre princesse…par contre je me défends lorsque mes coms sont malmenés ou incompris!
Excellente journée Gibbs, en effet le système scolaire belge ne m’intéresse aucunement!
ml
Sylvia2
12 juin 2016 @
07:24
En France c’est normal. Charlotte à fait 2 années de classes préparatoires grandes écoles donc on intègre après soit une grande école en cas de succès au concours, soit par équivalence on peut intégrer la 3eme année universitaire donc l année de licence .
Vous avez tout faux dans votre com hargneux, lisez les précisions données ci-dessus sur le parcours de Charlotte Casiraghi : 2 années de prépa = équivalence de bac + 2 ; 3e année de licence effectuée à la Sorbonne. Licence obtenue dans les meilleures conditions !
Si je ne connais pas tout des cursus français, je sais qu’une licence s’obtient au bout de trois années d’études contre quatre ou cinq en Belgique.
Voilà la raison de ma remarque et vous me suivez.
Merci
Franchement Valérie, quand on ne sait pas il vaut mieux se taire. Le cursus de Charlotte est tout ce qu’il y a de plus normal et les 2 années de prépa sont nettement plus difficiles que 2 années de DEUG.
C’est incroyable que des femmes jettent des suspicions dès qu’une femme jolie a le malheur de ne pas être trop bête.
C’est en effet toujours le même refrain…elles sont riches et célèbres donc idiotes…quel raccourci mesquin!
C’est pourquoi j’ai ressenti la question de Gibbs comme une petite pique envers Charlotte, encore et toujours!
Mais Gibbs mérite encore qu’on lui réponde par contre il est totalement inutile pour d’autres!
ml
miumiu
11 juin 2016 @
14:39
voyez le CV de RIBERY!!!!! du vernis cela ne coute pas trop cher!!!!!voir le temps d’endurance.
Dans le système français, chaque année de classe préparatoire littéraire donne lieu à une équivalence dans le système universitaire où l’étudiant est inscrit en parallèle, afin de permettre à ceux qui abandonnent la prépa de pouvoir continuer leur cursus à la fac. Ainsi, l’hypokhâgne équivaut à une première année de licence, la khâgne à une deuxième année de licence. Ayant passé le concours de l’École Normale Supérieure à la fin de sa khâgne, Charlotte a validé deux années de licence, il ne lui restait plus qu’une année à effectuer à la Sorbonne pour obtenir sa licence de philosophie ;)
Je ne vois pas le problème avec mon commentaire. Si on ne fait que deux années de prépa on valide seulement deux années de la licence (qui en compte 3). Charlotte a fait deux ans de prépa, elle a validé deux ans, puis est allée à la Sorbonne, pour valider sa L3. Elle est donc bien titulaire d’une licence de philosophie, je n’ai jamais dit le contraire
framboiz 07
11 juin 2016 @
17:07
La licence se fait en 3 ans , mais si elle a fait hypokhagne & khagne , elle a une équivalence (méritée ), pour les 2 années de licence, qu’elle a validée à la Sorbonne :Tout est normal !
Par contre, Gibbs , quel est le cursus de Marie Cavalier ?Je n’ai jamais su, au juste .Je crois que pour sa belle- soeur Mary , on nous a aussi enjolivé les choses …Mais , on peut faire le job avec un peu d’intelligence , du cœur &du savoir-être …
Pour vous qui êtes Française, Marie Cavallier l’étant aussi (de naissance), je maintiens le double « l ».
J’ai lu son CV au moment du mariage.
Croyez-vous, même si je garde des archives, que le sien figure parmi celles-ci ?
Ma réponse est non car cette personne ne m’intéresse pas.
Avez-vous lu ma réponse, avec l’assistance de Larousse, concernant « savoir » et « pouvoir » verbe ?
C est un cursus normal , le bac à 18 ans la licence à 21 (‘maintenant cela a changé)
Si on etait un peu perfide on pourrait souligner que c’est le parcours typique des khagneux qui ont raté tous leurs concours . La prépa dure 2 ans après quoi si on a raté tous ses concours on a une équivalence pour la fac, elle a validé sa licence l’année d’après , rien d’hors norme , pas de passe droit la dedans . Pas de quoi en faire une intellectuelle de haute volée non plus
Laure, vous sous-estimez le niveau des khâgnes, surtout celle de Fénelon, et l’étroitesse du concours d’entrée à Normale Sup’. Beaucoup font hypokâgne sans espoir réel d’intégrer mais pour conforter leur niveau avant de choisir définitivement leur discipline. On peut avoir voulu faire lettres et finalement préférer la philo, par exemple.
Permettez-moi d’apprécier votre commentaire équilibré :
Rien d’hors norme et pas de passe-droit ( apparent) dans ce parcours, mais rien d’extraordinaire non plus.
J’ajouterai quand même qu’il aurait été bien étonnant que Fénelon , à Fontainebleau où résidait la princesse Caroline, n’ait pas admis la fille de la princesse.
Pour les concours et admissions en tous genres, je peux vous garantir que des pressions et des passe-droit, il y en a. Que ce soit dans les institutions d’enseignement ou dans les recrutements administratifs ( les autres, on n’en parle même pas).
Et si les enseignants ou autres membres du jury tentent de s’y opposer , les directeurs, eux, soucieux du prestige de leurs institutions etc etc, vont éventuellement user de leur double voix dans les cas nombreux où cela existe, voire de leur pouvoir de décision souverain .
Disons que c’est … du vécu. Moult fois.
Ceci dit, je ne sais évidemment pas si c’est le cas ici, mais bon, il ne faut pas non plus prendre les enfants du Bon Dieu pour des canards sauvages.
oubli
le passage en deuxième année de prépa équivaut à une première année de fac, et quand le lycée est Fénelon ce n’est guère discutable ! Pareil en gros pour la seconde année.
Il me semble que les années de prépa littéraire apres le bac compte comme l’équivalent de 2 années universitaired. Donc à leur sortie on peut intégrer un cursus de licence.
Les deux années de « prépa » aux grandes écoles (ici Normale Sup ») donnent une équivalence dans la matière dominante (ici la philo). Charlotte est donc passé en 3° et dernière année de licence de philo.en 2006/2007.
Je ne connais pas le cursus de Charlotte Casiraghi. Ce que je sais par contre c’est qu’en France, après une classe préparatoire, on peut intégrer une année de licence 3, par équivalence. J’ai personnellement bénéficié de ce type de passerelle.
Gibbs, en France, apres deux annees de prepa litteraire , et à conditions que les notes aient été correctes , on obtient une equivalence de deux annees universitaires.j’imagine que c’est cette equivalence quî lui a permis d’intégrer une licence, et qu’elle L’ à validée
Quand on est en prépa au Lycée Fénelon je doute qu’on ait besoin d’acheter une licence..
Vous ne savez sans doute pas que l’admissibilité à Normale Sup est très difficile à avoir. Pour avoir même été élève en hypokhagne puis en khagne, je peux vous dire qu’etre admissible à l’ENS sans khûber (refaire une seconde khâgne) est le signe d’un énorme travail et d’un grand talent de la part de Charlotte.
Oui et non, Mathilde.
S’acheter, avec de l’argent, dans l’Education Nationale, non.
Mais il est d’autres types de pression.
La fille de Mitterrand a même été admise à l’ENS.
Quand on lit ses bouquins, on reste …. euh… … pour une fois, je ne trouve pas mes mots.
Ca vaut juste le pilon.
Les concours d’entrée à l’ENS sont strictement anonymes, je ne vois pas – mais sans doute suis-je naïve- comment les correcteurs peuvent être influencé dans la correction d’une copie. De plus les oraux de l’ENS sont semi-publics, alors je ne pense pas qu’elle ait eu un passe droit. Bref, je pense qu’il ne faut pas voir le mal partout, et simplement reconnaître une certaine forme d’excellence chez ces jeunes femmes :)
Auberi
13 juin 2016 @
09:09
Mathilde totalement d’acord avec vous !!
Quant à Mazarine Pingeot, on est là dans un profil d’excellence, une agrégation de philosophie ne se fait pas en une année que je sache. Ses cours à la fac d’Aix étaient toujours très prisés quand elle y enseignait. Aujourd’hui, sa présentation et ses réflexions dans l’excellente émission ’Les Grandes questions’ de F5, sont toujours très intelligentes
Une petite suggestion : il est possible que Charlotte ait passé les examens en 2005, 2006, et 2007 avec succès, à la fac obtenant ainsi sa licence, parallèlement à ses prépas.
J’espère que vous allez bien.
Meilleures salutations.
Il est possible que si Charlotte a passé deux ans, voire 3 si elle a cubé, en prépa, un an d’études de philo suffise pour obtenir la licence, grâce aux équivalences. 1ere année de prépa = L1, et ainsi de suite. C’est très courant en France avec les prépas, étant donné que l’on pousse les bons élèves à les intégrer, et à courir après le rêve de Normale Sup’… Pour se casser les dents, malheureusement. Le concours est loin d’être équitable, égalité des chances bla bla.
Bonsoir, en France et au niveau européen je pense, la licence se fait en 3 ans. Charlotte a fait 2 ans de classes préparatoires littéraires après le Bac (Hypokhagne et Khagne) et la 3° année à la fac. Elle n’a pas intégré Normale Sup (concours très sélectif) mais peut parfaitement avoir validé une licence, si elle a eu ses examens de fin de 3° année.
Curieuse, j’ai cherché à m’informer, mais je ne vois rien qui s’appelle aujourd’hui licence en Belgique, ni graduat ? J’ai l’impression que la licence française correspond à votre bachelier.
Vous avez raison et je l’ai ajouté hier.
Le système a changé et ne vivant plus en Belgique et n’étant plus en contact avec des jeunes scolarisés : j’ai débranché !
Mais vous pourrez lire que ce que j’ai écrit était puisque je l’ai vécu.
chiffonnette
11 juin 2016 @
20:14
En France la licence correspond a un cursus universitaire de 3 ans. Les classes préparatoires d’hypokhâgne et khâgne peuvent permettre d obtenir une équivalence pour les deux premières années de la licence.
La licence, c’est 3 années après le Bac : mais si vous avez fait d’autres études, vous pouvez avoir des équivalences, et « sauter » la première ou même les deux premières années, et passer directement à la troisième. Ceci pourrait expliquer que Charlotte ait eu seulement la dernière année de licence à faire.
Pour les équivalences, si vous avez deux années de candidature et deux ou trois années de licence dans une matière, il existe aussi des passerelles afin d’éviter de bisser les candis.
Une connaissance a ainsi fait cinq années d’interprétariat (2 + 3) et a ensuite entrepris et réussi le journalisme avec une passerelle.
Par contre, une Française qui a obtenu une licence en biologie en trois ans (fille d’une collègue belge), a ensuite obtenu son diplôme de vétérinaire en Belgique (Liège) mais a fait le cursus complet.
une licence c’est bac plus 3. A la fin de sa prépa, elle avait certainement un bon niveau pour finir la licence en 3 ans, même si elle n’a pas intégré Normale Sup’.
Bonjour Gibbs, deux années de classes préparatoires valent les deux premières années de licence. Par ailleurs, le fait d’être sous-admissible à l’ENS, ce qui a été son cas de mémoire, permet d’avoir la licence complète.
Bon… Khâgne, licence, admissible ENS, on a tout explicité. OK.
Mais , dites, Charlotte ou pas, qu’est-ce que c’est encore qu’une licence aujourd’hui ?
Ca va peut-être choquer, et loin de moi l’idée de mépriser qui n’a aucun diplôme ou peu , il est bien d’autres qualités et qualifications.
Mais enfin, dans le système universitaire, avec une licence » seulement », vous n’allez plus bien loin aujourd’hui.
Ni hier ni avant-hier d’ailleurs.
Quand jadis, toute fiérote de ma toute fraîche première licence, je m’en ouvrais à un enseignant, je fus gentiment mais fermement ramenée aux réalités ( bien le seul des prof’s, d’ailleurs, à parler de façon réaliste). « Mademoiselle, mais ce n’est rien, une licence. « . Pof. Tombée de haut. Mais grâce à lui et à cette baffe , je suis repartie pour un tour.
Alors non. Charlotte ou pas Charlotte, avec une licence , il n’y a pas à crier au génie du siècle.
Et pour ce qui est de la philosophie, toute importante et estimable qu’elle soit, allez donc gagner votre vie avec …
Ceci dit, je suis d’accord qu’un peu plus de réflexion, de sagesse, et de méthode de pensée ne serait pas un luxe dans les temps où nous vivons.
d’accord avec vous, Leonor et Gibbs!
maintenant, c’est minimum bac+5 ( donc un master 2)
et encore j’en connais des bataillons qui n’ont rien avec ça, surtout en lettres ou autres matières littéraires
C’est quand même assez « ironique »,ce que vous dites ,quand certains « bac +8 » se retrouvent à « faire » Hôtesse de Caisse quand d’autres avec de « simples » licences (bac + 3 donc),ont un emploi correctement rémunéré.Et loin de moi l’idée de mépriser les caissières ….-;)
Si c’est normal; une licence en un an.
Il faut savoir que suivre des classes préparatoires donne des équivalences en faculté. Et ce sans y mettre les pieds.
1ere année de classe préparatoire = équivalence de première année de faculté ( si les notes sont bonnes et si les appréciations des professeurs le permettent. C’est en général le cas pour les élèves des classes préparatoires, même avec des notes très basses, ce sont des élèves hyper sérieux)
2eme année de classe préparatoire = équivalence de seconde année de faculté.
En cas d’échec aux concours, les anciens éleves de classe préparatoires rentrent ainsi directement en 3 eme année de faculté. Et ne perdent donc pas trop leur temps.
Cela a été le cas d’ami(e)(s) de mon fils, après deux ans au lycée Henri IV.
Brownie gemmologue, hors de sa spécialité.
Toujours en Belgique, je peux vous assurer qu’à l’université, si vous n’avez pas un nombre de jours de présence suffisant, vous ne pouvez passer les examens.
Il y a des enseignants qui s’en moquent mais ce n’est pas le cas de tous.
Certains étudiants me l’ont confirmé.
Les Belges semblent plus exigeants que les Français.
En France aussi, il faut un minimum de jours de présence pour passer les partiels et continuer à avoir les bourses. Seulement, ici on ne vous parle pas du cursus classique d’un étudiant inscrit simplement à la faculté, mais du système d’équivalence qui existe pour les élèves inscrits en CPGE (classe préparatoire aux grandes écoles). Ces derniers sont étudiants dans des classes de 40 élèves environs, même s’il s’agit bien d’études supérieures, les CPGE se trouvent au sein des lycées. La CPGE est un cursus très exigeant, qui se déroule en 2 ans après le baccalauréat et qui visent à intégrer, selon les filières, des grandes écoles d’ingénieurs, de commerce, école de vétérinaire, IEP, magistère, ENS et quelques autres établissements plus spécifiques qui délivrent également une très bonne formation. Les étudiants en CPGE, qui sont sélectionnés sur leur bulletin scolaire avant d’y entrer (contrairement à ceux de la FAC), ont bien plus de travail que ceux inscrits en L1 ou L2 à l’université, ils ont en moyenne 35h de cours + 4h de devoir surveillé + 3h de khôlles (interrogation orale avec un professeur) par semaine + beaucoup de travail perso à la maison (minimum 3h par jour en semaine et 6h le semaine). Il est donc évident qu’avec au minimum 70h de travail à fournir par semaine, ils n’ont pas le temps de mettre les pieds à la FAC, mais on considère qu’au vu de la quantité de travail fourni, de l’exigence de la CPGE, ils peuvent obtenir des crédits d’équivalence ECTS (60 par année de CPGE) permettant en cas d’échec aux concours (ou plus rarement par choix) de poursuivre leurs études à la FAC sans reprendre tout à 0.
Je vais me répéter mais en Belgique, à l’exception d’une année de math intensive, il N EXISTE PAS de classes préparatoires comptabilisées comme année universitaire.
Vous parlez des vétérinaires.
Pourquoi croyez-vous la personne française dont je parle est-elle venue faire son cursus en Belgique : il n’y a pas de concours d’entrée. Il faut savoir qu’il y a peu, cette faculté vétérinaire de Liège était fréquentée par 75% d’étudiants français.
Savez-que nous avons toujours en Belgique, beaucoup d’étudiantes infirmières : il n’y a pas de concours.
Il y avait (existent-ils toujours ?) un concours d’entrée pour l’interprétariat et un, je le pense, pour l’entrée en fac de médecine.
Point barre. Très très peu de concours d’entrée en Belgique et AUCUNE classe préparatoire entrant dans le cursus officiel.
Je sais : c’est complexe mais je n’ai pas autorité sur les ministères de l’Education Nationale français et belge.
Nous en avons d’ailleurs plusieurs.
Donc, j’ai compris comment cela se déroule en France et si les accords de Bologne tendent vers une uniformité européenne, dans les faits, elle n’existe pas encore.
Pourquoi croyez-vous que la personne française dont je parle soit venue…
Nettement plus correct !
HRC
13 juin 2016 @
13:57
Gibbs,
vous refusez d’admettre que les prépas sont très exigeantes en travail et en niveau de travail.
ce système est critiqué par certains en France parce qu’élitiste. Rien n’est parfait, mais je le défends.
votre conclusion (message de 12h54) est une erreur, un manque d’information plutôt.
Les diplômes peuvent aussi être obtenus dans des pochettes surprise quand on a un nom ! Vous et moi ne pourront que travailler s’arrache pie nuit et jour pour peut être rater l’examen
Je suis perplexe autant que Gibbs…..ici en Suisse pour obtenir un bachelor, il faut avoir suivi trois années de cours dans une université et pour l obtention d un Master, soit une spécialisation, il faut ajouter à ces trois années, encore deux ans! Au total, donc, il faut cinq longues et dures années d études pour obtenir un diplôme dans une université en Suisse et dans n importe quelle faculté on choisi de fréquenter!!! Quant à Charlotte, je crains fort que l on ait forcé le tout vu son rang princier!
Maman Caroline rayonne et Charlotte me semble toujours comme ça triste……..
Elles sont vraiment splendides toutes les deux…Caroline suit physiquement une maturité exemplaire.Sa fille est magnifique. Deux femmes qui donnent envie de leur ressembler…c’est sans doute cela, les « icônes »,les »égéries »…
En Belgique, après l’équivalent du Bac, il existe des années de cours intensifs dans des matières telle que les mathématiques mais elles ne donnent aucune équivalence si vous aller à l’université.
Je redis : deux années de candidature, suivies de deux ou trois années pour obtenir une licence.
Ce n’est pas un échec en soi que de n’être pas admissible au concours de Normal Sup !
Mathilde , je passe votre message , il me fait tellement plaisir
++++++
Mathilde
12 JUIN 2016 @ 09:38
Quand on est en prépa au Lycée Fénelon je doute qu’on ait besoin d’acheter une licence..
Vous ne savez sans doute pas que l’admissibilité à Normale Sup est très difficile à avoir. Pour avoir même été élève en hypokhagne puis en khagne, je peux vous dire qu’etre admissible à l’ENS sans khûber (refaire une seconde khâgne) est le signe d’un énorme travail et d’un grand talent de la part de Charlotte.
++++++
L’un de mes jeunes a été admis à l’ENS sans Khûber , je retiens donc le talent de mon ouistiti car il n’est pas du genre stakhanoviste (rire)
Sa soeur, bûcheuse hors pair, elle , est doctorante à Sciences Po
Je rassure tout un chacun , ils ne tiennent pas de moi cette intelligence brillante vous l’aurez constaté – (rire)
POUR ETRE COMPLET.
Voici les changements appliqués en Belgique (que j’avais déjà quittée à cette époque)
Le bachelier professionnalisant ou de transition en Belgique, aussi appelé bachelor en Belgique néerlandophone, est le diplôme de l’enseignement supérieur universitaire ou non-universitaire sanctionnant la réussite d’un 1er cycle de trois années d’études. Le cycle comprend au moins 180 crédits ECTS. Cette désignation fait suite au processus de Bologne entré en application l’année académique 2005-2006.
En Belgique, il remplace ainsi :
le diplôme de candidature, un diplôme universitaire sanctionnant la réussite d’un premier cycle de 2 ans ;
le graduat, un ancien grade de l’enseignement supérieur en Belgique. Il conduisait au terme de trois années d’études au titre de gradué. Il a lui aussi été remplacé par le grade de bachelier (bachelor), tel qu’il est dispensé dans les écoles d’enseignement supérieur de type court non universitaire en Belgique.
On distingue deux types de bacheliers :
les bacheliers professionnalisants (anciens graduats, régendats, etc.), délivrés par l’enseignement supérieur de type court, qui permettent directement l’accès à une profession;
les bacheliers de transition (anciennes candidatures), qui ne forment pas à un métier, mais donnent accès aux masters.
Le principe 3 + 2 + 3 caractérise le système des accords de Bologne :
3 ans pour le bachelier (professionnalisant et de transition)
+ deux années supplémentaires pour le master
+ trois années supplémentaires pour le doctorat
En Belgique si les appellations ont changé le nombre d’année d’études reste le même à savoir :
2 candi ou prépa (comme vous préférez) + 2 licences pour (liste non exhaustive) :
– licence en sciences économiques appliquées;
– …
2 candi + 3 licences pour :
– ingénieur commercial
– dentistes LSD (licencié en science dentaire)
– psychologues
– interprètes
– traducteurs
– polytechniciens toutes matières
– journalistes
– études de droit
– philologie romane
– philologie classique
– sciences consulaires
– …
– …
Mais en France aussi cela fait bien 5 ans, Gibbs ! Par exemple, pour être psychologue, vous devez avoir le Master (donc 3 années de licence + 2 années de maîtrise). La licence seule ne donne rien du tout, sur le plan professionnel !
Marnie
14 juin 2016 @
14:37
Pardon, je synthétisais à partir de votre conclusion sur les accords de Bologne, qui, eux, correspondent au système français en place depuis très longtemps.
Charlotte n’exerce aucune profession me semble-t-il, mais reconnaissez, à la suite des explications fort justes que tout le monde vous a données, qu’elle n’a pas à avoir honte d’une licence obtenue le plus normalement du monde et dont elle peut se prévaloir même si bac + 3 c’est, dans l’absolu, moins bien que bac + 5. Que vous le vouliez ou non, être admis, faire et réussir 2 ans de classes préparatoires littéraires c’est le signe d’un esprit brillant et travailleur.
Master (Belgique)
Page d’aide sur l’homonymie Pour les articles homonymes, voir Master.
À la suite du processus de Bologne (entré en application l’année académique 2005-2006), le terme master désigne le diplôme de l’enseignement supérieur universitaire et de l’enseignement supérieur de type long sanctionnant la réussite d’un cycle de 2 années d’étude universitaire. Le master « classique » comporte 120 crédits, mais une formule en 60 crédits (1 an) est également disponible (pour un accès direct à un emploi).
En Belgique, il remplace ainsi :
Les licences, décernées après la réussite d’un cycle de 2 ou 3 ans d’études universitaires consécutif à 2 ans de premier cycle.
Les maîtrises ou/et l’ingéniorat (de gestion), décernées après la réussite d’un cycle de 3 ans d’études universitaires consécutif à 2 ans de premier cycle. Le schéma de 2 ans « candidature » + 3 ans « maîtrise » est ainsi devenu 3 ans « baccalauréat » + 2 ans « master ».
Les techniques, deuxième cycle des études de sciences appliquées (ingénieur industriel ou civil). Le schéma de 2 ans « candidature » + 2 ou 3 ans « technique » est devenu 3 ans « baccalauréat » + 2 ans « master ».
À la suite du processus de Bologne (entré en application l’année académique 2005-2006), un doctorat désigne en Belgique le diplôme de troisième cycle universitaire, sanctionnant une expérience de recherche. Sa durée, consécutive à une formation de minimum 300 crédits, est de minimum 2 ans (120 crédits). L’étudiant doit en outre défendre une thèse.
En tant que formation de troisième cycle, il existe également une formation doctorale de 60 crédits, sanctionnée par un certificat de formation à la recherche.
Le diplôme d’études approfondies DEA, précédemment de troisième cycle, fut remplacé par le « master à finalité approfondie », en deuxième cycle complémentaire (voir master).
Le processus de Bologne est un processus de rapprochement des systèmes d’enseignement supérieur européens amorcé en 1998 et qui a conduit à la création en 2010 de l’Espace européen de l’enseignement supérieur, constitué de 47 États. Cet espace concerne principalement les États de l’Espace économique européen ainsi que, notamment, la Turquie et la Fédération de Russie. L’enseignement supérieur africain et celui de l’ancienne Union soviétique a été aussi réformé en raison des liens historiques, politiques et linguistiques qui unissent certains pays avec leur zone d’influence. Amorcé en 1998 par la déclaration de la Sorbonne du 25 mai 1998, le processus de Bologne vise à faire de l’Europe un espace compétitif à l’échelle mondialisée de l’économie de la connaissance, l’espace européen de l’enseignement supérieur.
Je serai très intéressée de connaitre les parcours des princesses du gotha … Marie Cavallier, Alexandra du danemark, Marie Chantal de Grece par exemple…
Arielle
11 juin 2016 @ 11:00
Deux femmes distinguées, cultivées, parfaites dans le rôle. Caroline et Charlotte élèvent quelque peu le niveau général de leur entourage.
valerie
11 juin 2016 @ 14:26
ah bon c est vrai que Caroline est une référence question niveau et le reste…
marielouise
11 juin 2016 @ 17:35
Je vous approuve, Arielle!
Charlotte sur la deuxième photo est d’une grande beauté, toute naturelle!
ml
marielouise
11 juin 2016 @ 11:05
Voilà une autre facette de Charlotte… qui lui ressemble plus…Derrière l’image cherchez la vraie personnalité!
On peut être belle, fashion et avoir une tête bien faite aussi……elle en est un bel exemple!!!!!
Superbes la mère et la fille!
Caroline est un soutien indispensable pour ses enfants, son frère et la Principauté!
ml
etalors60
11 juin 2016 @ 11:08
Contente de les voir ensemble, je les aime bien et aussi toute la famille Grimaldi
Lili.M
11 juin 2016 @ 12:09
La princesse Caroline est rayonnante !
Mère et fille dont on ressent le lien fusionnel .
La princesse Caroline , ma princesse préférée, semble épanouie actuellement dans ses activités officielles : tant pis je suis une inconditionnelle de la famille princière de Monaco ???
marielouise
11 juin 2016 @ 17:40
Moi aussi Lili.M et surtout de Caroline et ses enfants…comme beaucoup le savent ici!!!
Je suis si heureuse de les voir ici réunies pour une manifestation qui les honore et amène un peu de hauteur d’esprit dans ce Monaco parfois très bling!!!
ml
corentine
11 juin 2016 @ 12:10
Charlotte, le portrait de Caroline au même âge
Leonor
11 juin 2016 @ 12:18
Bon. Je n’aurai plus aucun complexe à sortir faire mes courses avec les cheveux en bataille dans une barrette, et mon vieux chemisier adoré.
framboiz 07
11 juin 2016 @ 13:33
Charlotte , bien mieux , sauf les cheveux …Qui a eu ce prix ?
Marie1
11 juin 2016 @ 18:18
Vinciane Despret une philosophe des sciences belge, actuellement en poste à l’Université de Liège.
D’autres photos de cette remise de prix.
http://www.monacochannel.mc/Chaines/Culture-Channel/News-Photos/Vinciane-Despret-recoit-le-1er-Prix-du-Colloque-International-Les-Rencontres-Philosophiques-de-Monaco
Gibbs
12 juin 2016 @ 12:34
Merci Marie 1
Voici : Wiki
« Vinciane Despret ( née en novembre 1959) est une philosophe des sciences belge, actuellement en poste à l’Université de Liège.
Aperçu biographique
Vinciane Despret a obtenu le diplôme de Licence en Philosophie avant d’entreprendre des études de Psychologie. Elle découvre les éthologues au cours de ces études et se passionne pour leurs recherches. Elle s’orientera alors vers la philosophie des sciences. Inspirée dans sa démarche par Isabelle Stengers et Bruno Latour, elle se propose de suivre les scientifiques sur leurs terrains, dans leur pratique, et de comprendre comment ils rendent leurs objets d’études intéressants.
En 2015, elle a été élevée au rang de chevalier du Mérite wallon. »
JACKES
12 juin 2016 @ 15:32
Marie1,
L’idée de cette rencontre est due à Charlotte et non du gouvernement. Elle est quo-présidente de l’association. Sur la photo on voit le tampon de la communication. Caroline dirige le domaine culturel avec l’accord de son frère. Elle montre les projets au gouvernement et celui-ci donne son aval ou refuse. Rainier a toujours reconnu le travail de sa fille concernant l’art. Caroline est présidente de plusieurs fondations consacrées à l’art. Si elle n’avait aucune décision à prendre. Elle ne viendrait pas aux vernissages et premières. Albert et le Gouvernement écoutent la Princesse Caroline car la Culture amène de l’argent (entrées, restaurant, hotel, etc..). A mon avis elle doit avoir un très bon carnet. Idem pour sa sœur (présidente Festival du Cirque), elle va voir les artistes de cirque dans le monde pour le Festival du Cirque. C’est Stéphanie qui décide. Stéphanie l’a reconnu. A moins que le gouvernement choisit les numéros et que Stéphanie fasse la potiche.
Marie1
13 juin 2016 @ 09:32
Jackes
Personne ne vous a dit que ces rencontres philosophiques ne sont pas l’idée de Charlotte…
Par contre à mon avis vous êtes en train de faire un « doux » mélange, d’un côté vous avez l’opéra, l’orchestre, les ballets, le musée, etc…qui ont chacun leur directeur, ces entités sont sous la tutelle du gouvernement (Direction des Affaires Culturelles). La Princesse Caroline apporte son soutien actif à ces entités (promotion lors de diner par exemple), mais chaque directeur propose les programmations, et organise les manifestations, direction artistique , mise en scène etc…en toute indépendance heureusement pour eux.
Les Fondations sont des entités distinctes avec leur propre conseil d’administration et ne sont pas gérées par le gouvernement. Dans ce cas les décisions sont prises lors de ces conseils. ( Amade, Fondation Princesse Grace Monaco etc…).
Le Festival du Cirque n’est pas sous la tutelle du gouvernement, la Princesse Stéphanie décide avec un comité des numéros à présenter lors du festival…
Auberi
13 juin 2016 @ 08:41
Merci Marie1 pour ce lien. Assez dubitative sur ce prix décerné à Vinciane Despret, grande exploratrice du lien entre les morts et les vivants…
Je découvre sur ces photos la présence de Laure Adler, croisée il y a quelques années à un cocktail aux ’Ecrivains du Sud’ de Paule Constant à Aix en Provence. Tout en convenant de son intéressante rhétorique littéraire, snob est un mot faible pour la définir car je n’ai jamais rencontré quelqu’un d’aussi infatué de sa propre personne
JACKES
11 juin 2016 @ 14:28
Leonor,
Encore une pique sur Charlotte.
Leonor
12 juin 2016 @ 19:21
Bien sûr. Et il y aura des piques tant que ce sera Gucci, amants à la chaîne et pseudo-philo pour la galerie.
Charlotte Casiraghi fait ce qu’elle veut, c’est normal … actuellement. Il est donc normal aussi qu’on en pense et qu’on en dise ce qu’on veut. Non ?
Mais libre à d’autres de chanter ses louanges, par exemple : chacun ses critères, Jackes.
Gibbs
13 juin 2016 @ 07:40
Gucci mais pour la ligne hippique !
Précision.
Marnie
13 juin 2016 @ 09:38
« Amants à la chaîne » ! 3 compagnons connus depuis que Charlotte est médiatisée… je n’appelle pas ça enchaîner les amants… vous savez, Leonor, les femmes qui ont aujourd’hui entre 25 et 40 ans sont très nombreuses à avoir été en couple avec au moins 3 hommes… cela n’en fait pas des collectionneuses d’hommes pour autant. Je vous apprécie beaucoup Leonor et je rejoins très souvent vos commentaires, mais là-dessus, je n’aime pas trop votre « leçon de morale ». Quant à la philo, au moins a-t-elle le mérite de s’impliquer pour autre chose (et une chose qui n’est pas du tout glamour) que la mode ou le sport ou rien du tout comme d’autres nobles ou assimilées de son âge…
Je précise que je ne suis pas spécialement une fan de Charlotte dont je n’aime pas du tout le style vestimentaire par exemple.
marielouise
13 juin 2016 @ 12:28
Bravo Marnie pour votre objectivité!!!
ml
leonor
14 juin 2016 @ 09:46
Bonjour Marnie,
Merci pour votre appréciation pour mes commentaires, si gentiment énoncée, cela éclairera un peu ma journée chargée de corvées administratives à effectuer !
Merci aussi d’énoncer votre réticence ici, de façon aussi mesurée.
Mais, vous savez, quelques petites choses :
– à y regarder précisément , mon commentaire n’est pas une « leçon » de morale, dans la mesure où il ne fait qu’indiquer mon avis, sans pour autant l’imposer à d’autres;
– je sais bien que les amants ou compagnons d’un temps ou d’une nuit sont devenus monnaie courante, et aussi … que ce n’est pas neuf , voir les années 20-30 , 60 et 70 du XXe siècle;
– mais, Marnie, ce n’est pas pour autant , parce que c’est devenu courant, que je trouverai cela intelligent, pensé, sensé, de bonne conduite même et surtout si on n’inclut pas ds l’expression » bonne conduite » une notion de morale moralisante .
Je parle de la conduite d’une vie. Surtout quand, dans la non-conduite de sa vie, on fabrique un enfant avec le premier zigoto venu, enfant qui se retrouve vite, de facto, avec un père lointain voire non-présent dans sa vie.
Ca, c’est de l’irresponsabilité crasse, dictée par l’hédonisme et la dictature du plaisir immédiat.
Je n’ai vraiment rien contre le plaisir, Marnie, bien au contraire.
Mais je suis farouchement opposée à sa dictature.
Dictature qu’on veut nous imposer en cette fin de civilisation comme le fin du fin de la réalisation de soi humaine.
Enfin et , mais c’est moins important, quoique :
Si la jeune Charlotte est en droit de vivre sa vie comme elle l’entend , au vu et au su de tous de manière très médiatisée en plus, d’autres sont bien en droit eux aussi de penser et de vivre comme ils l’entendent, même si ce n’est pas dans le droit fil de l’air du temps délétère du moment, n’est-ce pas ?
Cordialement, Marnie
Marnie
14 juin 2016 @ 14:25
Leonor, merci beaucoup pour votre réponse très complète :) et merci pour la discussion. Toutes mes excuses pour le terme « leçon de morale » qui ne correspondait pas exactement à ce que je pensais de votre commentaire, mais un mot plus juste ne m’est pas venu, j’aurais dû dire « votre côté moralisateur sur ce commentaire » car en effet, vous ne donniez pas de leçon.
Je persiste à penser que 3 compagnons sur environ 10 ans pour Charlotte ça n’a rien de honteux. Quand vous dites « compagnons d’un temps ou d’une nuit », pour moi 3 compagnons en 10 ans ce ne sont pas des compagnons d’un temps ou d’une nuit. Pour une personne de moins de 30 ans je ne trouve pas que ce soit un signe de mauvaise vie, surtout chez une personne qui doit être très sollicitée en raison de son nom, de sa fortune (je suppose), de son physique et sans doute, je l’espère pour elle, de sa personnalité. Parmi mes amies (qui ont certes plutôt entre 35 et 45 ans), je ne connais pas de femme dont je pourrais dire qu’elle a eu une mauvaise conduite mais toutes ont eu plusieurs hommes (successivement) dans leur vie. Je dirais au moins 2, parfois 3 ou plus. C’est juste la vie qui est comme ça. Je ne connais peut-être que 2 femmes de ma génération (35/40 ans) qui sont toujours avec le même homme depuis l’adolescence. Les autres se sont fait quitter ou se sont séparées d’un commun accord ou ont quitté. Pas à la première dispute, mais parfois parce que les chemins se séparaient tout simplement. Et avoir plusieurs hommes dans sa vie ne veut pas dire tromper ou piquer le mari d’une autre ou se donner au premier venu, ce sont juste des histoires qui se succèdent. Je ne vois rien de délétère là-dedans, rien d’immoral, pas une mode. Bref, je ne jetterai pas la pierre à Charlotte parce que je sais que mener une vie sentimentale réussie n’est pas facile, ne dépend pas que de vous et de nos jours, où on est plus corseté dans les traditions, la religion, on n’est plus obligé de rester en couple pour sauver la face ou par convention sociale (même si certains le font encore).
En revanche, je mets à part la question de l’enfant = là-dessus, je vous rejoins quasi entièrement. A moins de ressentir le besoin viscéral d’avoir un enfant (et là-dessus personne n’est dans la tête de Charlotte), je ne comprends pas comment et pourquoi, avec les moyens de contraception actuels, on peut faire un enfant aussi vite dans une histoire, surtout quand on n’a pas 30 ans et qu’on est pas rattrapé par son horloge biologique. ça, je trouve ça léger comme conduite, même dans un contexte matériel confortable voire très aisé.
Bien cordialement, Leonor.
Baboula
12 juin 2016 @ 15:17
Leonor ,que si c’est un Gucci .
Gibbs
11 juin 2016 @ 12:43
Voici ce que je lis concernant Charlotte sachant que j’ai déjà lu ici même qu’elle n’a que le bac… Ce qui n’a rien d’honteux.
Ma question est donc la suivante, comment obtient-on une licence en philosophie en une année de cours ?
En Belgique, les licences sont de quatre ou cinq années à savoir deux années de candidature (dites candi) et ensuite la licence.
Je n’ai pas écrit qu’une manne de diplômes universitaires suffisait à faire d’un être un érudit (je ne citerai personne) mais je constate combien les CV peuvent être agrémentés s’agissant de personnages connus.
Je pense à celui de Marie Cavallier qui a été revu à la baisse car un peu trop forcé (devenue Marie de Danemark).
Merci
Merci
« En 2000, Charlotte Casiraghi intègre le lycée François-Couperin de Fontainebleau, où elle suit des cours en philosophie de Robert Maggiori. Elle y passe son baccalauréat en juillet 2004 et obtient alors la mention très bien. Elle poursuit ensuite ses études en classe préparatoire aux grandes écoles, au lycée Fénelon, dans le but d’intégrer Normale Sup’. Elle échoue au concours d’entrée à la prestigieuse école, en juin 20065.
Par la suite, Charlotte obtient, en 2007, une licence de philosophie à l’université Paris Sorbonne-Paris IV ».
Gibbs
11 juin 2016 @ 12:46
J’ai omis de mettre mon texte ! Sic
« En 2000, Charlotte Casiraghi intègre le lycée François-Couperin de Fontainebleau, où elle suit des cours en philosophie de Robert Maggiori. Elle y passe son baccalauréat en juillet 2004 et obtient alors la mention très bien. Elle poursuit ensuite ses études en classe préparatoire aux grandes écoles, au lycée Fénelon, dans le but d’intégrer Normale Sup’. Elle échoue au concours d’entrée à la prestigieuse école, en juin 2006.
Par la suite, Charlotte obtient, en 2007, (elle avait 21 ans), une licence de philosophie à l’université Paris Sorbonne-Paris IV ».
Gibbs
11 juin 2016 @ 12:48
Je reprends : désolée pour mes étourderies.
Juliette
11 juin 2016 @ 15:22
L’explication est très simple, Gibbs.
En France, l’inscription en classe préparatoire aux grandes écoles, hypokhâgnes et khâgne en l’occurrence, donne une équivalence à l’université. Il est souvent demandé une inscription cumulative, mais quoi qu’il en soit, le principe est le suivant:
– l’hypokhagne correspond à une première année de licence,
– la khâgne correspond à une deuxième année de licence,
donc si un étudiant n’intègre pas de grande école (Sciences Po, Normale Sup…) à l’issue de ces deux années, il peut, de droit, intégrer une troisième année de licence à l’université.
Alb
11 juin 2016 @ 19:57
Gibbs, en fait les deux années de prepa à Fenelon constituent un bac+2. Elle intègre donc directement la troisième année à la Sorbonne et obtient une licence si elle valide cette troisième année. Je ne sais pas si j’ai été claire …!
Fande
11 juin 2016 @ 20:49
C’est très simple. A la suite de l’année de khâgne, elle a obtenu l’équivalence des 2 premières années de philo, ce qui lui a permis d’embrayer directement sur la 3ème année de licence. Je le sais, pour avoir été exactement dans son cas.
marielouise
12 juin 2016 @ 09:43
Merci mesdames Juliette, Alb, Fande et Sylvia2 de remettre les choses à leur place…que de débats inutiles sur une licence qu’a obtenu effectivement Charlotte en 2007 et qui prouve son beau et rapide parcours universitaire!
ml
Gibbs
12 juin 2016 @ 11:44
Merci infiniment à toutes pour vos réponses très précises.
Le système est différent de la Belgique.
@marie-louise,
Si vous adoration pour sainte Caroline et sa descendance vous fait prendre des vessies pour des lanternes, je n’aime pas que l’on me raconte des bobards.
J’ai donc posé une question à laquelle de nombreuses et très sympathiques internautes ont répondu à la Belge que je suis.
Connaissez-vous les équivalences du système scolaire belge ?
J’en doute très fort donc…
Il n’y a pas de bêtes questions mais bien de sottes gens.
JACKES
12 juin 2016 @ 14:41
Fande, Juliette, Alb, Sylvia2,
Merci beaucoup pour vos post.
marielouise
13 juin 2016 @ 07:11
J’ai simplement senti Gibbs, dans votre com une pointe de moquerie…voilà tout!
Veuillez m’excuser si tel ne fut pas le cas…mais on prête tant de mauvaises intentions à Charlotte, ses frères et leur mère, voilà pourquoi!
J’ai toujours bien aimé Caroline, bien avant les sites et je ne vois pas pourquoi, tant de fois, mon intérêt pour elle, passe pour de l’idolâterie ???
Je ne crois pas avoir fait de remarques à quiconque qui aime telle ou telle autre princesse…par contre je me défends lorsque mes coms sont malmenés ou incompris!
Excellente journée Gibbs, en effet le système scolaire belge ne m’intéresse aucunement!
ml
Sylvia2
12 juin 2016 @ 07:24
En France c’est normal. Charlotte à fait 2 années de classes préparatoires grandes écoles donc on intègre après soit une grande école en cas de succès au concours, soit par équivalence on peut intégrer la 3eme année universitaire donc l année de licence .
marielouise
12 juin 2016 @ 09:46
…et toutes les autres internautes aussi-ici plus bas-qui ont répondu et réajusté des faits parfois faussement retranscris, ici!
ml
Gibbs
12 juin 2016 @ 12:39
marielouise,
Je ne suis pas née Française et mon parcours scolaire s’est déroulé en Belgique tout comme mon parcours professionnel.
Do you know understand this ?
Ma non appréciation de Mathilde est bien minuscule en rapport de votre idolâtrie qui doit frôler la pathologie avec sainte Caroline !
valerie
11 juin 2016 @ 14:28
c est sur une licence se passe pour le commun des mortels en trois ans
mais pour Charlotte casiraghi c ‘est un an et on en parle plus…
Arielle
12 juin 2016 @ 10:48
Vous avez tout faux dans votre com hargneux, lisez les précisions données ci-dessus sur le parcours de Charlotte Casiraghi : 2 années de prépa = équivalence de bac + 2 ; 3e année de licence effectuée à la Sorbonne. Licence obtenue dans les meilleures conditions !
Gibbs
12 juin 2016 @ 11:47
valerie,
Si je ne connais pas tout des cursus français, je sais qu’une licence s’obtient au bout de trois années d’études contre quatre ou cinq en Belgique.
Voilà la raison de ma remarque et vous me suivez.
Merci
JACKES
12 juin 2016 @ 14:45
valerie,
Charlotte n’est pas idiote. Elle aime les Arts. Elle reprendra la succession de sa mère concernant les Arts.
Sarita
12 juin 2016 @ 22:39
Franchement Valérie, quand on ne sait pas il vaut mieux se taire. Le cursus de Charlotte est tout ce qu’il y a de plus normal et les 2 années de prépa sont nettement plus difficiles que 2 années de DEUG.
C’est incroyable que des femmes jettent des suspicions dès qu’une femme jolie a le malheur de ne pas être trop bête.
marielouise
13 juin 2016 @ 07:18
C’est en effet toujours le même refrain…elles sont riches et célèbres donc idiotes…quel raccourci mesquin!
C’est pourquoi j’ai ressenti la question de Gibbs comme une petite pique envers Charlotte, encore et toujours!
Mais Gibbs mérite encore qu’on lui réponde par contre il est totalement inutile pour d’autres!
ml
miumiu
11 juin 2016 @ 14:39
voyez le CV de RIBERY!!!!! du vernis cela ne coute pas trop cher!!!!!voir le temps d’endurance.
Mathilde
11 juin 2016 @ 14:42
Dans le système français, chaque année de classe préparatoire littéraire donne lieu à une équivalence dans le système universitaire où l’étudiant est inscrit en parallèle, afin de permettre à ceux qui abandonnent la prépa de pouvoir continuer leur cursus à la fac. Ainsi, l’hypokhâgne équivaut à une première année de licence, la khâgne à une deuxième année de licence. Ayant passé le concours de l’École Normale Supérieure à la fin de sa khâgne, Charlotte a validé deux années de licence, il ne lui restait plus qu’une année à effectuer à la Sorbonne pour obtenir sa licence de philosophie ;)
Gibbs
12 juin 2016 @ 11:49
Mathilde,
Selon ce que vous écrivez, Charlotte n’aurait donc pas terminé et obtenu sa licence…
Merci
Mathilde
13 juin 2016 @ 20:58
Je ne vois pas le problème avec mon commentaire. Si on ne fait que deux années de prépa on valide seulement deux années de la licence (qui en compte 3). Charlotte a fait deux ans de prépa, elle a validé deux ans, puis est allée à la Sorbonne, pour valider sa L3. Elle est donc bien titulaire d’une licence de philosophie, je n’ai jamais dit le contraire
framboiz 07
11 juin 2016 @ 17:07
La licence se fait en 3 ans , mais si elle a fait hypokhagne & khagne , elle a une équivalence (méritée ), pour les 2 années de licence, qu’elle a validée à la Sorbonne :Tout est normal !
Par contre, Gibbs , quel est le cursus de Marie Cavalier ?Je n’ai jamais su, au juste .Je crois que pour sa belle- soeur Mary , on nous a aussi enjolivé les choses …Mais , on peut faire le job avec un peu d’intelligence , du cœur &du savoir-être …
Gibbs
12 juin 2016 @ 12:45
framboiz07,
Pour vous qui êtes Française, Marie Cavallier l’étant aussi (de naissance), je maintiens le double « l ».
J’ai lu son CV au moment du mariage.
Croyez-vous, même si je garde des archives, que le sien figure parmi celles-ci ?
Ma réponse est non car cette personne ne m’intéresse pas.
Avez-vous lu ma réponse, avec l’assistance de Larousse, concernant « savoir » et « pouvoir » verbe ?
laure2
12 juin 2016 @ 07:27
C est un cursus normal , le bac à 18 ans la licence à 21 (‘maintenant cela a changé)
Si on etait un peu perfide on pourrait souligner que c’est le parcours typique des khagneux qui ont raté tous leurs concours . La prépa dure 2 ans après quoi si on a raté tous ses concours on a une équivalence pour la fac, elle a validé sa licence l’année d’après , rien d’hors norme , pas de passe droit la dedans . Pas de quoi en faire une intellectuelle de haute volée non plus
HRC
12 juin 2016 @ 11:47
Laure, vous sous-estimez le niveau des khâgnes, surtout celle de Fénelon, et l’étroitesse du concours d’entrée à Normale Sup’. Beaucoup font hypokâgne sans espoir réel d’intégrer mais pour conforter leur niveau avant de choisir définitivement leur discipline. On peut avoir voulu faire lettres et finalement préférer la philo, par exemple.
Leonor
12 juin 2016 @ 19:37
Permettez-moi d’apprécier votre commentaire équilibré :
Rien d’hors norme et pas de passe-droit ( apparent) dans ce parcours, mais rien d’extraordinaire non plus.
J’ajouterai quand même qu’il aurait été bien étonnant que Fénelon , à Fontainebleau où résidait la princesse Caroline, n’ait pas admis la fille de la princesse.
Pour les concours et admissions en tous genres, je peux vous garantir que des pressions et des passe-droit, il y en a. Que ce soit dans les institutions d’enseignement ou dans les recrutements administratifs ( les autres, on n’en parle même pas).
Et si les enseignants ou autres membres du jury tentent de s’y opposer , les directeurs, eux, soucieux du prestige de leurs institutions etc etc, vont éventuellement user de leur double voix dans les cas nombreux où cela existe, voire de leur pouvoir de décision souverain .
Disons que c’est … du vécu. Moult fois.
Ceci dit, je ne sais évidemment pas si c’est le cas ici, mais bon, il ne faut pas non plus prendre les enfants du Bon Dieu pour des canards sauvages.
Gibbs
13 juin 2016 @ 07:44
laure2,
Et le système a changé aussi en Belgique mais je l’ignorais.
J’ai donc mentionné les différents changements.
HRC
12 juin 2016 @ 09:16
oubli
le passage en deuxième année de prépa équivaut à une première année de fac, et quand le lycée est Fénelon ce n’est guère discutable ! Pareil en gros pour la seconde année.
Gibbs
11 juin 2016 @ 12:47
Il faut lire « 2006 » – Wiki
Sarita
11 juin 2016 @ 13:53
Il me semble que les années de prépa littéraire apres le bac compte comme l’équivalent de 2 années universitaired. Donc à leur sortie on peut intégrer un cursus de licence.
francesca
11 juin 2016 @ 14:29
Les deux années de « prépa » aux grandes écoles (ici Normale Sup ») donnent une équivalence dans la matière dominante (ici la philo). Charlotte est donc passé en 3° et dernière année de licence de philo.en 2006/2007.
Lena
11 juin 2016 @ 15:17
Bonjour,
Je ne connais pas le cursus de Charlotte Casiraghi. Ce que je sais par contre c’est qu’en France, après une classe préparatoire, on peut intégrer une année de licence 3, par équivalence. J’ai personnellement bénéficié de ce type de passerelle.
Trianon
11 juin 2016 @ 23:58
Gibbs, en France, apres deux annees de prepa litteraire , et à conditions que les notes aient été correctes , on obtient une equivalence de deux annees universitaires.j’imagine que c’est cette equivalence quî lui a permis d’intégrer une licence, et qu’elle L’ à validée
Trianon
11 juin 2016 @ 23:58
Condition sans s…
Myriam
11 juin 2016 @ 14:35
Ne pensez-vous pas qu’une licence peut s’acheter?
Avec l’argent on fait beaucoup de choses!
Mathilde
12 juin 2016 @ 09:38
Quand on est en prépa au Lycée Fénelon je doute qu’on ait besoin d’acheter une licence..
Vous ne savez sans doute pas que l’admissibilité à Normale Sup est très difficile à avoir. Pour avoir même été élève en hypokhagne puis en khagne, je peux vous dire qu’etre admissible à l’ENS sans khûber (refaire une seconde khâgne) est le signe d’un énorme travail et d’un grand talent de la part de Charlotte.
Leonor
12 juin 2016 @ 19:42
Oui et non, Mathilde.
S’acheter, avec de l’argent, dans l’Education Nationale, non.
Mais il est d’autres types de pression.
La fille de Mitterrand a même été admise à l’ENS.
Quand on lit ses bouquins, on reste …. euh… … pour une fois, je ne trouve pas mes mots.
Ca vaut juste le pilon.
Mathilde
13 juin 2016 @ 21:02
Les concours d’entrée à l’ENS sont strictement anonymes, je ne vois pas – mais sans doute suis-je naïve- comment les correcteurs peuvent être influencé dans la correction d’une copie. De plus les oraux de l’ENS sont semi-publics, alors je ne pense pas qu’elle ait eu un passe droit. Bref, je pense qu’il ne faut pas voir le mal partout, et simplement reconnaître une certaine forme d’excellence chez ces jeunes femmes :)
Auberi
13 juin 2016 @ 09:09
Mathilde totalement d’acord avec vous !!
Quant à Mazarine Pingeot, on est là dans un profil d’excellence, une agrégation de philosophie ne se fait pas en une année que je sache. Ses cours à la fac d’Aix étaient toujours très prisés quand elle y enseignait. Aujourd’hui, sa présentation et ses réflexions dans l’excellente émission ’Les Grandes questions’ de F5, sont toujours très intelligentes
marielouise
14 juin 2016 @ 19:13
Très juste Mathilde et Auberi!
ml
Trianon
12 juin 2016 @ 10:59
Myriam, il faut arrêter les sous entendus infamants!!
et pour répondre à votre question, la réponse est NON!!!
marielouise
13 juin 2016 @ 07:21
Bien Exact Trianon!
ml
septentrion
11 juin 2016 @ 15:54
Bonjour Gibbs,
Une petite suggestion : il est possible que Charlotte ait passé les examens en 2005, 2006, et 2007 avec succès, à la fac obtenant ainsi sa licence, parallèlement à ses prépas.
J’espère que vous allez bien.
Meilleures salutations.
Gibbs
12 juin 2016 @ 12:46
Bonjour septentrion,
Je suis ravie de vous lire.
Je vais bien; je vous remercie et je souhaite qu’il en soit de même pour vous.
Bien à vous,
Eos
11 juin 2016 @ 19:30
Il est possible que si Charlotte a passé deux ans, voire 3 si elle a cubé, en prépa, un an d’études de philo suffise pour obtenir la licence, grâce aux équivalences. 1ere année de prépa = L1, et ainsi de suite. C’est très courant en France avec les prépas, étant donné que l’on pousse les bons élèves à les intégrer, et à courir après le rêve de Normale Sup’… Pour se casser les dents, malheureusement. Le concours est loin d’être équitable, égalité des chances bla bla.
Plein sud
11 juin 2016 @ 20:07
Bonsoir, en France et au niveau européen je pense, la licence se fait en 3 ans. Charlotte a fait 2 ans de classes préparatoires littéraires après le Bac (Hypokhagne et Khagne) et la 3° année à la fac. Elle n’a pas intégré Normale Sup (concours très sélectif) mais peut parfaitement avoir validé une licence, si elle a eu ses examens de fin de 3° année.
Gibbs
12 juin 2016 @ 12:49
Plein sud,
Pas en Belgique pour la licence !
En 3 ans, on parle alors de graduat : bac + 3; niveau non-universitaire.
La durée pourrait être augmentée.
Anne-Onyme
13 juin 2016 @ 10:53
Curieuse, j’ai cherché à m’informer, mais je ne vois rien qui s’appelle aujourd’hui licence en Belgique, ni graduat ? J’ai l’impression que la licence française correspond à votre bachelier.
Gibbs
13 juin 2016 @ 12:32
Anne-Onyme,
Vous avez raison et je l’ai ajouté hier.
Le système a changé et ne vivant plus en Belgique et n’étant plus en contact avec des jeunes scolarisés : j’ai débranché !
Mais vous pourrez lire que ce que j’ai écrit était puisque je l’ai vécu.
chiffonnette
11 juin 2016 @ 20:14
En France la licence correspond a un cursus universitaire de 3 ans. Les classes préparatoires d’hypokhâgne et khâgne peuvent permettre d obtenir une équivalence pour les deux premières années de la licence.
emy
11 juin 2016 @ 20:23
La licence, c’est 3 années après le Bac : mais si vous avez fait d’autres études, vous pouvez avoir des équivalences, et « sauter » la première ou même les deux premières années, et passer directement à la troisième. Ceci pourrait expliquer que Charlotte ait eu seulement la dernière année de licence à faire.
Gibbs
12 juin 2016 @ 13:00
emy,
Pour les équivalences, si vous avez deux années de candidature et deux ou trois années de licence dans une matière, il existe aussi des passerelles afin d’éviter de bisser les candis.
Une connaissance a ainsi fait cinq années d’interprétariat (2 + 3) et a ensuite entrepris et réussi le journalisme avec une passerelle.
Par contre, une Française qui a obtenu une licence en biologie en trois ans (fille d’une collègue belge), a ensuite obtenu son diplôme de vétérinaire en Belgique (Liège) mais a fait le cursus complet.
Gibbs
12 juin 2016 @ 13:01
licence en biologie effectuée en France !
Gibbs
13 juin 2016 @ 07:47
Les deux personnes citées sont respectivement nées en 1971 et 1977.
Le système a changé depuis leurs cursus.
HRC
11 juin 2016 @ 21:50
une licence c’est bac plus 3. A la fin de sa prépa, elle avait certainement un bon niveau pour finir la licence en 3 ans, même si elle n’a pas intégré Normale Sup’.
Jacqueline
12 juin 2016 @ 08:26
Bonjour Gibbs, deux années de classes préparatoires valent les deux premières années de licence. Par ailleurs, le fait d’être sous-admissible à l’ENS, ce qui a été son cas de mémoire, permet d’avoir la licence complète.
Leonor
12 juin 2016 @ 19:55
Bon… Khâgne, licence, admissible ENS, on a tout explicité. OK.
Mais , dites, Charlotte ou pas, qu’est-ce que c’est encore qu’une licence aujourd’hui ?
Ca va peut-être choquer, et loin de moi l’idée de mépriser qui n’a aucun diplôme ou peu , il est bien d’autres qualités et qualifications.
Mais enfin, dans le système universitaire, avec une licence » seulement », vous n’allez plus bien loin aujourd’hui.
Ni hier ni avant-hier d’ailleurs.
Quand jadis, toute fiérote de ma toute fraîche première licence, je m’en ouvrais à un enseignant, je fus gentiment mais fermement ramenée aux réalités ( bien le seul des prof’s, d’ailleurs, à parler de façon réaliste). « Mademoiselle, mais ce n’est rien, une licence. « . Pof. Tombée de haut. Mais grâce à lui et à cette baffe , je suis repartie pour un tour.
Alors non. Charlotte ou pas Charlotte, avec une licence , il n’y a pas à crier au génie du siècle.
Et pour ce qui est de la philosophie, toute importante et estimable qu’elle soit, allez donc gagner votre vie avec …
Ceci dit, je suis d’accord qu’un peu plus de réflexion, de sagesse, et de méthode de pensée ne serait pas un luxe dans les temps où nous vivons.
Gibbs
13 juin 2016 @ 07:48
Leonor,
Commentaire partagé même si triste constat.
Trianon
13 juin 2016 @ 13:21
d’accord avec vous, Leonor et Gibbs!
maintenant, c’est minimum bac+5 ( donc un master 2)
et encore j’en connais des bataillons qui n’ont rien avec ça, surtout en lettres ou autres matières littéraires
Milena K
14 juin 2016 @ 09:22
C’est quand même assez « ironique »,ce que vous dites ,quand certains « bac +8 » se retrouvent à « faire » Hôtesse de Caisse quand d’autres avec de « simples » licences (bac + 3 donc),ont un emploi correctement rémunéré.Et loin de moi l’idée de mépriser les caissières ….-;)
Laus'Anne
14 juin 2016 @ 12:04
Caissières : bac + 8 ??????? = niveau médecin généraliste ?????
Pourquoi écrire cela ?
JAusten
11 juin 2016 @ 13:12
Plus aucune rencontre aujourd’hui ne finit sans une distribution de prix …. vanité vanité
Lorena
11 juin 2016 @ 13:22
Belles, naturelles, épanouies et charismatiques, Caroline et charlotte restent indispensables à Monaco.
Leonor
12 juin 2016 @ 19:56
Caroline, oui. Charlotte, on ne voit pas à quel titre. On a dit » titre ».
brownie
11 juin 2016 @ 14:26
Si c’est normal; une licence en un an.
Il faut savoir que suivre des classes préparatoires donne des équivalences en faculté. Et ce sans y mettre les pieds.
1ere année de classe préparatoire = équivalence de première année de faculté ( si les notes sont bonnes et si les appréciations des professeurs le permettent. C’est en général le cas pour les élèves des classes préparatoires, même avec des notes très basses, ce sont des élèves hyper sérieux)
2eme année de classe préparatoire = équivalence de seconde année de faculté.
En cas d’échec aux concours, les anciens éleves de classe préparatoires rentrent ainsi directement en 3 eme année de faculté. Et ne perdent donc pas trop leur temps.
Cela a été le cas d’ami(e)(s) de mon fils, après deux ans au lycée Henri IV.
Brownie gemmologue, hors de sa spécialité.
Gibbs
12 juin 2016 @ 12:54
brownie,
Toujours en Belgique, je peux vous assurer qu’à l’université, si vous n’avez pas un nombre de jours de présence suffisant, vous ne pouvez passer les examens.
Il y a des enseignants qui s’en moquent mais ce n’est pas le cas de tous.
Certains étudiants me l’ont confirmé.
Les Belges semblent plus exigeants que les Français.
Anne-Onyme
13 juin 2016 @ 11:14
En France aussi, il faut un minimum de jours de présence pour passer les partiels et continuer à avoir les bourses. Seulement, ici on ne vous parle pas du cursus classique d’un étudiant inscrit simplement à la faculté, mais du système d’équivalence qui existe pour les élèves inscrits en CPGE (classe préparatoire aux grandes écoles). Ces derniers sont étudiants dans des classes de 40 élèves environs, même s’il s’agit bien d’études supérieures, les CPGE se trouvent au sein des lycées. La CPGE est un cursus très exigeant, qui se déroule en 2 ans après le baccalauréat et qui visent à intégrer, selon les filières, des grandes écoles d’ingénieurs, de commerce, école de vétérinaire, IEP, magistère, ENS et quelques autres établissements plus spécifiques qui délivrent également une très bonne formation. Les étudiants en CPGE, qui sont sélectionnés sur leur bulletin scolaire avant d’y entrer (contrairement à ceux de la FAC), ont bien plus de travail que ceux inscrits en L1 ou L2 à l’université, ils ont en moyenne 35h de cours + 4h de devoir surveillé + 3h de khôlles (interrogation orale avec un professeur) par semaine + beaucoup de travail perso à la maison (minimum 3h par jour en semaine et 6h le semaine). Il est donc évident qu’avec au minimum 70h de travail à fournir par semaine, ils n’ont pas le temps de mettre les pieds à la FAC, mais on considère qu’au vu de la quantité de travail fourni, de l’exigence de la CPGE, ils peuvent obtenir des crédits d’équivalence ECTS (60 par année de CPGE) permettant en cas d’échec aux concours (ou plus rarement par choix) de poursuivre leurs études à la FAC sans reprendre tout à 0.
Gibbs
13 juin 2016 @ 12:58
Anne-Onyme,
Je vais me répéter mais en Belgique, à l’exception d’une année de math intensive, il N EXISTE PAS de classes préparatoires comptabilisées comme année universitaire.
Vous parlez des vétérinaires.
Pourquoi croyez-vous la personne française dont je parle est-elle venue faire son cursus en Belgique : il n’y a pas de concours d’entrée. Il faut savoir qu’il y a peu, cette faculté vétérinaire de Liège était fréquentée par 75% d’étudiants français.
Savez-que nous avons toujours en Belgique, beaucoup d’étudiantes infirmières : il n’y a pas de concours.
Il y avait (existent-ils toujours ?) un concours d’entrée pour l’interprétariat et un, je le pense, pour l’entrée en fac de médecine.
Point barre. Très très peu de concours d’entrée en Belgique et AUCUNE classe préparatoire entrant dans le cursus officiel.
Je sais : c’est complexe mais je n’ai pas autorité sur les ministères de l’Education Nationale français et belge.
Nous en avons d’ailleurs plusieurs.
Donc, j’ai compris comment cela se déroule en France et si les accords de Bologne tendent vers une uniformité européenne, dans les faits, elle n’existe pas encore.
Gibbs
13 juin 2016 @ 13:00
Sorry !
Pourquoi croyez-vous que la personne française dont je parle soit venue…
Nettement plus correct !
HRC
13 juin 2016 @ 13:57
Gibbs,
vous refusez d’admettre que les prépas sont très exigeantes en travail et en niveau de travail.
ce système est critiqué par certains en France parce qu’élitiste. Rien n’est parfait, mais je le défends.
votre conclusion (message de 12h54) est une erreur, un manque d’information plutôt.
maman monique
11 juin 2016 @ 14:30
Rayonnantes mère et fille
Anna1
11 juin 2016 @ 21:04
Les diplômes peuvent aussi être obtenus dans des pochettes surprise quand on a un nom ! Vous et moi ne pourront que travailler s’arrache pie nuit et jour pour peut être rater l’examen
vero
12 juin 2016 @ 07:07
Je suis perplexe autant que Gibbs…..ici en Suisse pour obtenir un bachelor, il faut avoir suivi trois années de cours dans une université et pour l obtention d un Master, soit une spécialisation, il faut ajouter à ces trois années, encore deux ans! Au total, donc, il faut cinq longues et dures années d études pour obtenir un diplôme dans une université en Suisse et dans n importe quelle faculté on choisi de fréquenter!!! Quant à Charlotte, je crains fort que l on ait forcé le tout vu son rang princier!
Maman Caroline rayonne et Charlotte me semble toujours comme ça triste……..
Valerie
12 juin 2016 @ 10:21
Moi perso pour obtenir mes diplômes j ai bosse jusqu a ce que mort s en suive
Gibbs
13 juin 2016 @ 13:01
vero,
Je pense qu’il existe toujours des différences.
Muscate
12 juin 2016 @ 09:08
Elles sont vraiment splendides toutes les deux…Caroline suit physiquement une maturité exemplaire.Sa fille est magnifique. Deux femmes qui donnent envie de leur ressembler…c’est sans doute cela, les « icônes »,les »égéries »…
Gibbs
12 juin 2016 @ 11:53
MERCI à toutes et à tous !!!
En Belgique, après l’équivalent du Bac, il existe des années de cours intensifs dans des matières telle que les mathématiques mais elles ne donnent aucune équivalence si vous aller à l’université.
Je redis : deux années de candidature, suivies de deux ou trois années pour obtenir une licence.
Gibbs
12 juin 2016 @ 13:03
!!! si vous allez à…
Gibbs
12 juin 2016 @ 11:54
telles !
Gibbs
12 juin 2016 @ 13:04
Je retiendrai que si nos pays sont proches (idem pour la Suisse), les systèmes sont différents.
Je vais archiver toutes vos informations.
Ghislaine
12 juin 2016 @ 15:52
Ce n’est pas un échec en soi que de n’être pas admissible au concours de Normal Sup !
Mathilde , je passe votre message , il me fait tellement plaisir
++++++
Mathilde
12 JUIN 2016 @ 09:38
Quand on est en prépa au Lycée Fénelon je doute qu’on ait besoin d’acheter une licence..
Vous ne savez sans doute pas que l’admissibilité à Normale Sup est très difficile à avoir. Pour avoir même été élève en hypokhagne puis en khagne, je peux vous dire qu’etre admissible à l’ENS sans khûber (refaire une seconde khâgne) est le signe d’un énorme travail et d’un grand talent de la part de Charlotte.
++++++
L’un de mes jeunes a été admis à l’ENS sans Khûber , je retiens donc le talent de mon ouistiti car il n’est pas du genre stakhanoviste (rire)
Sa soeur, bûcheuse hors pair, elle , est doctorante à Sciences Po
Je rassure tout un chacun , ils ne tiennent pas de moi cette intelligence brillante vous l’aurez constaté – (rire)
Sarita
13 juin 2016 @ 13:23
Ghislaine, merci pour votre humour ;-) et bravo à vos enfants!
Gibbs
12 juin 2016 @ 16:18
POUR ETRE COMPLET.
Voici les changements appliqués en Belgique (que j’avais déjà quittée à cette époque)
Le bachelier professionnalisant ou de transition en Belgique, aussi appelé bachelor en Belgique néerlandophone, est le diplôme de l’enseignement supérieur universitaire ou non-universitaire sanctionnant la réussite d’un 1er cycle de trois années d’études. Le cycle comprend au moins 180 crédits ECTS. Cette désignation fait suite au processus de Bologne entré en application l’année académique 2005-2006.
En Belgique, il remplace ainsi :
le diplôme de candidature, un diplôme universitaire sanctionnant la réussite d’un premier cycle de 2 ans ;
le graduat, un ancien grade de l’enseignement supérieur en Belgique. Il conduisait au terme de trois années d’études au titre de gradué. Il a lui aussi été remplacé par le grade de bachelier (bachelor), tel qu’il est dispensé dans les écoles d’enseignement supérieur de type court non universitaire en Belgique.
On distingue deux types de bacheliers :
les bacheliers professionnalisants (anciens graduats, régendats, etc.), délivrés par l’enseignement supérieur de type court, qui permettent directement l’accès à une profession;
les bacheliers de transition (anciennes candidatures), qui ne forment pas à un métier, mais donnent accès aux masters.
Le principe 3 + 2 + 3 caractérise le système des accords de Bologne :
3 ans pour le bachelier (professionnalisant et de transition)
+ deux années supplémentaires pour le master
+ trois années supplémentaires pour le doctorat
Marnie
13 juin 2016 @ 09:41
Et bien, donc, au total, le système est le même en France et en Belgique :
En France = 3 ans pour la licence + 2 ans de masters + 3 ans de doctorat.
Gibbs
13 juin 2016 @ 12:48
Reprenez toutes ceci s’il vous plaît.
En Belgique si les appellations ont changé le nombre d’année d’études reste le même à savoir :
2 candi ou prépa (comme vous préférez) + 2 licences pour (liste non exhaustive) :
– licence en sciences économiques appliquées;
– …
2 candi + 3 licences pour :
– ingénieur commercial
– dentistes LSD (licencié en science dentaire)
– psychologues
– interprètes
– traducteurs
– polytechniciens toutes matières
– journalistes
– études de droit
– philologie romane
– philologie classique
– sciences consulaires
– …
– …
Gibbs
13 juin 2016 @ 12:49
Le doctorat vient après et en dernier lieu.
Gibbs
13 juin 2016 @ 13:03
Marnie soit 5 ans pour une majorité de profession et pas 3 comme pour Charlotte.
Gibbs
13 juin 2016 @ 13:04
C’est mieux avec « s » : professions.
emy
14 juin 2016 @ 17:20
Mais en France aussi cela fait bien 5 ans, Gibbs ! Par exemple, pour être psychologue, vous devez avoir le Master (donc 3 années de licence + 2 années de maîtrise). La licence seule ne donne rien du tout, sur le plan professionnel !
Marnie
14 juin 2016 @ 14:37
Pardon, je synthétisais à partir de votre conclusion sur les accords de Bologne, qui, eux, correspondent au système français en place depuis très longtemps.
Charlotte n’exerce aucune profession me semble-t-il, mais reconnaissez, à la suite des explications fort justes que tout le monde vous a données, qu’elle n’a pas à avoir honte d’une licence obtenue le plus normalement du monde et dont elle peut se prévaloir même si bac + 3 c’est, dans l’absolu, moins bien que bac + 5. Que vous le vouliez ou non, être admis, faire et réussir 2 ans de classes préparatoires littéraires c’est le signe d’un esprit brillant et travailleur.
emy
13 juin 2016 @ 16:11
Exactement. On appelle en France « licence » ce qu’on appelle « bachelor » en Belgique, si j’ai bien suivi l’explication de Gibbs.
Tandis qu’en France, le bachelier est celui qui a tout simplement le Bac.
Juliette
13 juin 2016 @ 20:04
Merci de ces précisions très instructives, Gibbs.
Gibbs
12 juin 2016 @ 16:20
Master (Belgique)
Page d’aide sur l’homonymie Pour les articles homonymes, voir Master.
À la suite du processus de Bologne (entré en application l’année académique 2005-2006), le terme master désigne le diplôme de l’enseignement supérieur universitaire et de l’enseignement supérieur de type long sanctionnant la réussite d’un cycle de 2 années d’étude universitaire. Le master « classique » comporte 120 crédits, mais une formule en 60 crédits (1 an) est également disponible (pour un accès direct à un emploi).
En Belgique, il remplace ainsi :
Les licences, décernées après la réussite d’un cycle de 2 ou 3 ans d’études universitaires consécutif à 2 ans de premier cycle.
Les maîtrises ou/et l’ingéniorat (de gestion), décernées après la réussite d’un cycle de 3 ans d’études universitaires consécutif à 2 ans de premier cycle. Le schéma de 2 ans « candidature » + 3 ans « maîtrise » est ainsi devenu 3 ans « baccalauréat » + 2 ans « master ».
Les techniques, deuxième cycle des études de sciences appliquées (ingénieur industriel ou civil). Le schéma de 2 ans « candidature » + 2 ou 3 ans « technique » est devenu 3 ans « baccalauréat » + 2 ans « master ».
Gibbs
12 juin 2016 @ 16:21
À la suite du processus de Bologne (entré en application l’année académique 2005-2006), un doctorat désigne en Belgique le diplôme de troisième cycle universitaire, sanctionnant une expérience de recherche. Sa durée, consécutive à une formation de minimum 300 crédits, est de minimum 2 ans (120 crédits). L’étudiant doit en outre défendre une thèse.
En tant que formation de troisième cycle, il existe également une formation doctorale de 60 crédits, sanctionnée par un certificat de formation à la recherche.
Le diplôme d’études approfondies DEA, précédemment de troisième cycle, fut remplacé par le « master à finalité approfondie », en deuxième cycle complémentaire (voir master).
Gibbs
12 juin 2016 @ 16:21
Le processus de Bologne est un processus de rapprochement des systèmes d’enseignement supérieur européens amorcé en 1998 et qui a conduit à la création en 2010 de l’Espace européen de l’enseignement supérieur, constitué de 47 États. Cet espace concerne principalement les États de l’Espace économique européen ainsi que, notamment, la Turquie et la Fédération de Russie. L’enseignement supérieur africain et celui de l’ancienne Union soviétique a été aussi réformé en raison des liens historiques, politiques et linguistiques qui unissent certains pays avec leur zone d’influence. Amorcé en 1998 par la déclaration de la Sorbonne du 25 mai 1998, le processus de Bologne vise à faire de l’Europe un espace compétitif à l’échelle mondialisée de l’économie de la connaissance, l’espace européen de l’enseignement supérieur.
Gibbs
12 juin 2016 @ 16:23
Cette « licence » m’aura permis de mettre à jour mes connaissances.
Gibbs
12 juin 2016 @ 16:26
marielouise,
Pas de cocorico car je suis comme saint Thomas, je ne crois que ce que je vois.
Laurene
12 juin 2016 @ 18:43
Je serai très intéressée de connaitre les parcours des princesses du gotha … Marie Cavallier, Alexandra du danemark, Marie Chantal de Grece par exemple…
Cosmo
13 juin 2016 @ 11:59
Pour Marie-Chantal de Grèce, facile : elle a suivi l’université du Bling-Blog…Et elle en est sortie avec la mention d’excellence.