Rencontre entre la sheikha Mozah et l’acteur américain Forest Whitaker, représentant spécial des Nations Unies pour le développement durable. La sheikha et l’acteur ont évoqué des synergies possibles entre leurs fondations pour la scolarité au Sud-soudan et en Ouganda. (Merci à Guizmo)
Pascal
30 mai 2016 @ 11:35
Par ses tenues , ses déplacements et son apparente liberté , il est difficile de voir en cette au demeurant belle femme , autre chose que la vitrine du Qatar à usage de propagande envers les pays occidentaux.
A moins qu’il ne s’agisse d’une personnalité vraiment exceptionelle et qui aurait su s’imposer à son émir de mari , ou que tout cela ne soit une conradiction qu’à nos yeux européens .
J’ai quand même un doute….
framboiz 07
30 mai 2016 @ 12:06
Effectivement, difficile de la cerner …
Leonor
30 mai 2016 @ 14:14
Un gros doute….
beji
30 mai 2016 @ 12:06
Elle ne peut pas laisser la place à sa belle-fille,elle n’est plus que sheikha mère.
Pendant ce temps son mari peut se consacrer à ses autres femmes!
framboiz 07
30 mai 2016 @ 21:37
IL est malade & on le voit peu …
Muscate
31 mai 2016 @ 08:18
Sa belle-fille n’a pas sa prestance ni son charisme, et la superbe Sheikha Mozah,femme de tête bien faite et bien pleine,a encore de beaux jours devant elle.
Wilhelmine
30 mai 2016 @ 14:30
Comme chaque fois que je la vois sur votre site qui me plaît tant , je pense que cette femme n’a rien à y faire ; elle n’a absolument rien du tout de royal donc : Beurk !!!!!
Muscate
31 mai 2016 @ 08:20
C’est votre avis,permettez que d’autres ne le partage pas et passez la page si ça vous écoeure trop…
Duchesse de Bourgogne
1 juin 2016 @ 17:03
Bonjour Mascate,
Je suis suis du même avis que vous sur le fait que certains lecteurs devraient arrêter de parler pour tout le monde au sujet de la sheikha Mozah. Si certaines personnes pensent qu’elle n’a pas sa place sur ce blog ce n’est pas le cas de tout le monde. Les informations la concernant m’intéressent et c’est bien dommage qu’on ne parle que de cette princesse dans cette région alors qu’il y en a d’autres qui doivent jouer un rôle important.