Dès le 10 mai prochain, la Galerie des Carrosses du château de Versailles qui est située dans la Grande Écurie du roi et qui était fermée depuis 2007, ouvrira à nouveau ses portes grâce au mécénat de la Fondation d’entreprise Michelin. Récemment restaurée, cette collection de carrosses, l’une des plus importantes d’Europe mais encore largement méconnue du public, sera présentée dans un nouvel espace muséographique. Ici, le carrosse du roi Charles X. (Source et copyright photo : Château de Versailles)
framboiz07
7 mars 2016 @ 07:01
Carrosse particulièrement beau , appartenant à Napoléon .Pour les amateurs du genre , signalons Compiègne & si vous préférez les voitures ou les motos ,de Compiègne, gagnez Reims …
FILOSIN
7 mars 2016 @ 17:47
Ce carrosse appartenait à Charles X ? Ah bon ? Avec le « N » de Napo ?
Décidément j’ai dû louper un épisode de notre histoire.
Gérard
7 mars 2016 @ 22:03
C’est le carrosse du sacre de Charles X modifié pour le baptême du prince impérial en ce qui concerne les armoiries et les symboles.
clementine1
7 mars 2016 @ 08:07
Tant pis, aujourd’hui je me défoule : « les musées, les églises ouvrent envain leurs portes, je suis déjà si vieille ».
PEKI
7 mars 2016 @ 09:09
Bonjour, je ne connais pas le musée des carrosses de Versailles, qui doit être magnifique, mais j’ai visité celui de Vienne en Avril 1989, qui est splendide, et en entrant, le premier carrosse exposé était le corbillard qui avait servi la semaine d’avant pour les obsèques de l’Impératrice ZITA. Cette visite était émouvante, surtout que la veille nous avions visité la Crypte des Capucins au centre de Vienne, nécropole de la Famille de Habsbourg, et le cerceuil de l’Impératrice était posé sur le sol, en attente de l’inhumation. Bonne journée.
Antoine
7 mars 2016 @ 18:05
A propos de corbillard, celui de Louis XVIII a été restauré entièrement il y a quelques années. Dans le genre, c’est assez spectaculaire. Je présume qu’il fait partie de la collection de Versailles ..?
Gérard
8 mars 2016 @ 18:04
Oui le corbillard de Louis XVIII est bien dans la galerie des carrosses de Versailles.
Laurent F
7 mars 2016 @ 22:23
Le cercueil de Zita est toujours posé par terre
laurent
8 mars 2016 @ 11:23
non
Antoine
7 mars 2016 @ 10:11
Un peu plus loin, mais présentant une collection somptueuse, le musée des carrosses de Lisbonne, dans une dépendance du monastère des Jeronimos, si je me souviens bien.
Baboula
7 mars 2016 @ 16:21
C’est plus près de la pâtisserie des pasteis de Belem .Incontournable !
Zeugma
7 mars 2016 @ 21:13
J’ai bien connu cette pâtisserie à l’époque de Salazar et dans les années qui suivirent la révolution des Œillets.
C’était une boutique à l’ancienne avec des bouteilles de Porto un peu poussiéreuses dans des vitrines.
Il n’y avait personne.
J’y suis retourné il y a environ deux ans et n’ai pas reconnu l’établissement qui s’est étendu sur une surface considérable.
C’est devenu une gargote à touristes qui n’a plus aucune charme.
Heureusement, il y a encore quelques belles et bonnes pâtisseries à Lisbonne. Il suffit de les chercher pour déguster des Pasteis de Belém ou – je préfère – des torradas épaisses très légèrement beurrées accompagnées d’un verre de Galao (du lait chaud avec une pointe de café.)
A Lisbonne, je loge toujours à l’Avenida Palace – qui était un nid d’espions pendant la seconde guerre mondiale – resté très longtemps complètement décati et qui a été très bien restauré il y a quelques années.
Il est magnifiquement situé en plein centre de Lisboa, en bas de l’avenue de la Liberté à proximité du funiculaire qui mène au Bairro Alto.
Francine du Canada
8 mars 2016 @ 21:50
Merci pour les adresses Zeugma; je prends note et j’adore les « Pastel de nata ». Un de mes employés (d’origine portugaise) nous en fabriquait (pour toute l’équipe) deux fois par mois et je fournissais les cafés et chocolats chauds. Miam, miam, personne ne manquait à l’appel ces journées là! FdC
Gérard
7 mars 2016 @ 22:09
Avec aussi les tabards des hérauts d’armes portugais. Splendide.
Leonor
7 mars 2016 @ 10:24
Pour ne rien vous cacher , je roule en 2CV.
A mon grand désespoir, c’est devenu très snob.
Baboula
7 mars 2016 @ 20:28
Forgez vous les pièces détachées vous même ?
Leonor
8 mars 2016 @ 11:06
Non, pas moi. Mais mon homme, oui ! ;)
Et puis, il en a un stock, de pièces détachés. Et s’il n’a pas la pièce qu’il faut, ses copains pareillement fêles, eux , l’ont . Parce qu’ils ont pris soin, , auparavant, de strip-teaser d’autres véhicules.
Chacun son grain.
Mais, remarquez bien, j’aime autant qu’il s’occupe de ce genre de carrosserie que d’un autre genre de carrosseries …
Baboula
8 mars 2016 @ 15:23
Allons allons votre châssis n’est pas une simple carrosserie .
Leonor
9 mars 2016 @ 23:46
Ce n’est pas de mon châssis à moi que je parlais, Baboula … ;-)
Francine du Canada
8 mars 2016 @ 21:53
Coquine! ;-)) FdC
Mélusine
7 mars 2016 @ 16:13
Quelle belle limousine !
Lady Chatturlante
7 mars 2016 @ 21:09
Quelle belle limousine de mariés !
ciboulette
7 mars 2016 @ 17:58
J’ai envie de monter dedans et de vous saluer tous , chers internautes et amis , cela me donnera l’impression d’être la mascotte du site !!! :-))
Danielle
7 mars 2016 @ 18:39
Un musée qui ravira les visiteurs du château, j’ai visité celui de Vienne, il est superbe.
Marc
7 mars 2016 @ 20:13
Ce carrosse utilisé pour le sacre de Charles X en 1825 a été utilisé de nouveau en 1856 par Napoléon III pour le baptême du prince impérial, ce qui explique la présence du N (de Napoléon III bien sûr), dans l’écusson surmontant le carrosse.
(Pardon si je n’utilise pas les termes exacts !)
http://roulezcarrosses.versaillesarras.com/index.php/fr/oeuvres-salles/8-les-oeuvres/15-le-carrosse-du-sacre-de-charles-x-1825
http://roulezcarrosses.versaillesarras.com/index.php/fr/oeuvres-salles/8-les-oeuvres/3-le-carrosse-du-sacre-de-charles-x-a-la-loupe-1825
framboiz07
8 mars 2016 @ 08:09
Les panneaux de caisse originaux , marqués du C de Charles X , utilisés pour le sacre sont au Musée du Tau , à Reims, près de la cathédrale , où l’on peut aussi admirer le manteau du sacre du Roi , une salle entière est réservée à ce sacre .
ARAMIS
7 mars 2016 @ 21:14
Excellente nouvelle… une belle occasion encore d’aller à Paris (Versailles/Paris c’est tout comme…), puisqu’il n’y a déjà plus de places pour la pièce avec Vincent Perez…
Pierre-Yves
8 mars 2016 @ 09:37
Je vous la raconterai, Aramis, puisque j’y vais demain soir !
Mélusine
8 mars 2016 @ 13:04
Bof, il a vieilli, Vincent. Fut marié, est père de trois enfants, ex-compagnon de Carla Bruni et Jacqueline Bisset…. fin du rêve !
Mais la galerie des carosses à Versailles, c’est pas mal non plus, à défaut. :):)
Leonor
9 mars 2016 @ 23:48
Ah ! Je ne connaissais pas cet élément -là au tableau de chasse de Carla Bruni.
Laurent F
7 mars 2016 @ 22:21
J’ai visité le musée avant sa fermeture en 2007, il y a de belles pièces, ce carrosse construit pour le couronnement de Charles X et réutilisé sous Napoléon III d’où le N, le char funèbre de Louis XVIII, quelques berlines de gala de Napoléon, un traîneau du temps de Louis XV, une collection qui rivalise avec celle de Schönbrunn et du museu nacional dos coches de Lisbonne
Annie DurThé
7 mars 2016 @ 23:17
Ces carrosses (ou quelques uns) ont été exposé à Arras il y a quelques années ! c’était magnifique !
Gérard
8 mars 2016 @ 18:12
Ce qui avait également donné le jour à un très bel ouvrage : Roulez carrosses ! : Le château de Versailles à Arras. Exposition au musée des Beaux-Arts d’Arras, Skira Flammarion de Béatrix Saule, Jean-Louis Libourel et Hélène Delalex (2012).
Philippe Gain d'Enquin
11 mars 2016 @ 17:34
La qualité des pièces montrées, une excellente scénographie et une exemplaire présentation, en ont fait une exposition unanimement louée.
Caroline
7 mars 2016 @ 23:26
Magnifique!
J’espère que ces carrosses sont aussi beaux que ceux des Ecuries Royales ‘ Royal Mews’ du palais de Buckingham à Londres!
Marie1
8 mars 2016 @ 07:34
Belle idée de sortie en complément du spectacle de Bartabas au grand manège et de la visite des grandes écuries.
JACQUES
8 mars 2016 @ 13:39
J’ai eu l’occasion de les voir lors d’une magnifique exposition à Arras.
Cela permet aussi de prendre conscience de leur taille impressionnante.