La presse nippone laisse désormais clairement entendre que le report du mariage de la princesse Mako du Japon avec Kei Komuro est dû à la situation financière du jeune homme. Sa mère avait en effet contracté un emprunt auprès de son ancien compagnon pour la somme de 30.000 euros. Cet argent avait servi à financer les études de Kei. Après l’annonce des fiançailles de Kei Komuro avec la fille aînée du prince Akishino, la presse avait éventé cette affaire dont la Cour n’avait pas connaissance.
Il ne s’agit pas non plus d’une somme exorbitante et qui plus est, cet argent avait servi à financer les études universitaires du jeune homme mais à la Cour impériale du Japon, on ne badine pas avec ce genre de « détails ».
Le prince Akishino et la princesse Kiko du Japon ont rencontré le fiancé de leur fille et l’ont invité à régulariser sa situation avant le mariage.
Kei Komuro a quitté le Japon pour continuer un cursus à New York pour une période de trois ans. On ne peut que s’interroger sur le financement de ce séjour américain au vu de la situation économique de sa mère.
Des amis proches des jeunes gens affirment qu’ils sont toujours en contact et que leur volonté est bien de se marier…un jour. La Cour avait indiqué qu’en raison de l’abdication de l’empereur Akihito en 2019, les noces ne devaient pas être attendues avant 2020. (Merci à Anne)
Cosmo
14 août 2018 @ 08:27
Si cela est vrai, la cour impériale japonaise est encore plus stupide et rétrograde que l’on peut penser.
De toutes façons pour ce couple, seul l’amour peut justifier leur union, car elle perdra son statut de princesse impériale et tous ses avantages financiers. Et lui ne gagnera rien à épouser une princesse déchue de son rang.
Toupie Carrée
14 août 2018 @ 09:12
Si la mère du fiancé a fait un emprunt, c’est qu’elle peut rembourser, petit à petit ? De même, le jeune homme peut rembourser par son travail, même si ça prend un peu de temps.
Je comprends que la famille impériale ne tienne pas à ce que la dot serve en partie à acquitter la dette.
Il ne leur reste plus qu’à échanger des haïkus sur ce thème, de les faire éditer ensuite…contribuant ainsi à solder le compte !
Les soucis d’argent
Polluent le thé de l’amour
Frelons bourdonnants
Voilà, je leur offre le premier, pour ce qu’il vaut ?
Olivier d'Abington
16 août 2018 @ 02:54
Chère Toupie carrée,
Le souci, dans l’histoire, c’est que la mère du jeune homme clame depuis le début que l’argent reçu n’est pas un emprunt, mais un don. En d’autres termes qu’il n’était pas question de remboursement entre les deux partis.
Mais, une question reste en suspens… Que personne n’a posée (ni ne pose): pourquoi est-ce que cette affaire est sortie APRÈS l’annonce des fiançailles?
Est-ce que l’ex compagnon aurait finalement décidé de « récupérer ses billes » (sur lesquelles ils ne comptaient pas jusqu’alors, puisqu’il s’agissait de financer les études du fils de sa compagne) grâce à la dote de la princesse?
Ou est-ce qu’il y a vraiment eu entourloupe de la mère? Ce qui me parait peu probable…
Je ne connais pas les protagonistes personnellement, mais étant donné que la mère de Kei Komuro s’est séparée de ce compagnon, qui a financé les études d’un garçon qui n’était pas son fils à lui, je ne serais pas étonné qu’il essaie de mettre des batons dans les roues de son ancienne compagne et surtout de son ancien beau-fils.
aubert
16 août 2018 @ 12:16
Y a-t-il beaucoup de domaines où l’argent n’est pas en toile de fond ou de fonds ?
Une solution, que tout ce « beau » monde se fasse hara kiri.
septentrion
17 août 2018 @ 10:41
Mary?
Mary
17 août 2018 @ 15:58
Bravo Septentrion ! Vous m’avez trouvée !
Je ne suis revenue sur cet article qu’après avoir déjà répondu en tant que Toupie Carrée sur quelques articles de ce jour…
Mais je vais y retourner pour y annoncer votre » victoire » :-)))
J’en utiliserai un autre mardi prochain…
Marie de Cessy
14 août 2018 @ 09:18
Alors eux je ne crois pas du tout à leur couple…
Olivier d'Abington
16 août 2018 @ 02:55
Ah, vous avez des infos que nous n’avons pas qui prouveraient que c’est un « fake »?
Mary
14 août 2018 @ 09:49
Tout cela parait bien mesquin, mais il fallait sans doute expliquer clairement les choses. Cela doit être bien triste pour Mako, au moment ou d’autres fiancailles sont annoncées dans la famille.
Mary
14 août 2018 @ 13:13
S’il vous plaît, Mary, rajoutez quelque chose à votre nom ,un numéro par exemple,pour que l’on ne nous confonde pas ,j’invoque le privilège de l’ancienneté : 1968 !!!
Merci !
Mary
14 août 2018 @ 13:25
Cette Mary – là n’est pas la Mary habituelle…
S’il vous plaît , voudriez- vous avoir la gentillesse d’ajouter un petit quelque chose pour vous distinguer ?
C’est la courtoisie usuelle sur le site.
Merci d’avance.
Karabakh
14 août 2018 @ 09:54
« à la Cour impériale du Japon, on ne badine pas avec ce genre de détails »
Oh bah non, alors! Comprenez bien, des fois que le petit gars aurait dans l’idée de se marier pour rembourser ses dettes. C’est affreux et au Japon, on ne joue pas à ce petit jeu!
Le passage sur les demandes formulées par Akishino et Kiko est édifiant. Comme s’ils disposaient de coudées franches sur le sujet…
Bref.
Danielle
14 août 2018 @ 09:57
L’argent est vraiment le nerf de guerre de la société actuelle et encore pire dans ce pays pour une telle situation, quelle tristesse !!!
Souhaitons vivement que ces jeunes gens se marient et soient heureux.
Jean Pierre
14 août 2018 @ 10:02
Je n’ai rien compris.
L’ex compagnon n’est pas le père du fiancé ?
Il faut que la famille du fiancé épure touts ses dettes ?
Régine
14 août 2018 @ 11:12
Non l’ex-compagnon n’est pas le père. Il faut en effet au préalable lui rendre les 30.000 euros avant d’espérer un mariage
Delphine
14 août 2018 @ 13:51
@Jean Pierre : vous avez bien raison de ne rien comprendre car comme vous j’en perds mon latin par ce genre d’explications d’un autre siècle et complétement ridicule. C’est donc vouloir dire que les membres de cette famille ne peuvent s’amouracher que de personnes n’ayant pas de dettes ça promet. A cette allure là ces princesses japonaises finiront un jour vielles filles car ce n’est pas parce qu’on a des dettes de 30.000 euros que pour autant on est un escro ou j’en passe!
L'Alsacienne
14 août 2018 @ 10:51
« J’attendrai… la nuit et le jour,
j’attendrai toujours, ton retour ».
Au vu de la situation professionnelle future du jeune homme, la régularisation de cette somme devrait se faire sans difficulté.
Si tel est leur souhait, je suis à ce couple de pouvoir se marier avant 2020.
Philibert
18 août 2018 @ 13:05
Pour ma part, je crois que ces fiançailles s’évanouiront dans les brumes du temps et l’éloignement des protagonistes.
Pour être clair, ce mariage n’aura jamais lieu et on n’entendra bientôt plus parler de ce Kei.
L'Alsacienne
14 août 2018 @ 10:52
Veuillez m’excuser et lire : je souhaite
Bambou
14 août 2018 @ 10:54
Quelle joie que d’être princesse au Japon…!!!
Robespierre
14 août 2018 @ 10:56
En voilà des chinoiseries, ou plutôt des japonaiseries. Ces royaux nippons n’ont vraiment pas peur du ridicule.
Cosmo
14 août 2018 @ 14:35
30 000€, ce n’est même pas le prix d’une belle voiture. Et ils font tout un foin pour une somme ridicule qui en plus s’est avéré utile. Si cela avait été une dette de jeu, on aurait pu comprendre, mais là, j’en perds mon japonais ( qui n’est pas très grand )
Amitiés
Cosmo
Marie de Cessy
15 août 2018 @ 10:20
Japoniaiseries vous voulez dire !
Robespierre
15 août 2018 @ 11:54
oui, japoniaiseries est mieux ! Merci.
septentrion
14 août 2018 @ 10:59
Oh que c’est moche! surtout s’ils s’aiment vraiment.
Il est bien normal que des parents veuillent protéger leur fille. J’imagine encore plus au Japon et à la cour impériale.
Françoise
14 août 2018 @ 12:45
S il était vrai que les noces sont retardées pour cause de changement d’empereur , pourquoi l’autre princesse peur de mariet
Mayg
14 août 2018 @ 13:25
Donc si je suis bien le raisonnement de la cours impériale du Japon, elle est prête à sacrifier le bonheur de la princesse seulement pour 30 000 € ???!
Olivier d'Abington
16 août 2018 @ 03:06
Non, chère Mayg,
C’est bien plus complexe que ça!
Allez relire les épisodes précédent de cette histoire (car ce n’est pas le montant en soi qui pose problème!).
Mais, ne vous formalisez pas de mon conseil, il semblerait que beaucoup de lecteurs de N&R n’aient pas bien suivi les épisodes précédents non plus. ;-)
Chichemary
14 août 2018 @ 13:54
Pas vraiment charitable la cour impériale du Japon.
Soit ces jeunes prennent la poudre d’escampette et vont vivre leur amour loin de cette cour (version romantique) soit ils arrêtent là les « frais » et tout le monde s’y retrouve.
Mary
15 août 2018 @ 17:44
Oh le joli pseudo !
Brigitte- Anne , est-ce vous ?
:-))
septentrion
19 août 2018 @ 11:11
Leonor, est-ce vous?
Mary
26 août 2018 @ 15:33
Ou Sarita ?
samiafathia
14 août 2018 @ 16:18
A leur place j’aurais félicité la maman et le fils pour cet effort déployé pour que ce dernier continue ses études, mais il y’a peut être des us que je connais pas
Carolus
14 août 2018 @ 17:16
Je commence à me faire du sushi pour eux…
CAROLINE VM
14 août 2018 @ 18:17
Les pauvres…je les plains. Le jeune homme n’à plus qu’à jouer à là loterie!…et les études aux USA, elles sont financées comment?… pas très cohérente cette explication…on dirait qu’on l’a exilé. …
Yannick
14 août 2018 @ 18:51
La Cour impériale est vraiment rétrograde.
j21
14 août 2018 @ 20:05
Je comprends les inquiétudes des parents de la princesse Mako. Pour l’instant ce jeune homme n’a pas de situation et ses parents n’ont pas de fortune Qui va assumer l’entretien de la princesse qui ne fera plus partie de la famille impériale après le mariage ? Je pense que le prince Akishino a pris la bonne décision . Cela montre qu’il se préoccupe du bien être de sa fille. Dans la société actuelle l’amour survit rarement aux soucis financiers.
Anne-Cécile
15 août 2018 @ 14:37
Et la jeune femme ne peut avoir une situation? Plutôt que le futur marié assure seul un train de vie princier ?
Anna Claudia
15 août 2018 @ 11:02
Voilà des considérations financières japonaises qui nous échappent et nous dispensent de juger. Tout ce qui se rapporte à la cour est trop complexe pour notre entendement.
Claude Patricia
15 août 2018 @ 12:40
Même la famille impériale ne peut leur avoir la tête…
Claude Patricia
15 août 2018 @ 12:39
Bonjour à tous,
Bon, les pauvres devraient demander un micro crédit à la reine Maxima, qui aide déjà moralement tante Masako…
Philippe Gain d'Enquin
15 août 2018 @ 13:35
Le pauvre garçon; qu’il se retire…
Olivier d'Abington
16 août 2018 @ 03:16
Je trouve se reportage plein de sous-entendus qui n’ont pas lieu d’être!
Les dernières informations données par Kyodo News tendent à montrer que, justement, les parents de la princesse Mako avaient connaissance de la dette avant la décision de l’Agence Impériale de repousser les fiançailles.
Une source proche du couple l’a confirmé aux journalistes.
Par ailleurs, il est aussi clairement expliqué dans les journaux que les études américaines du jeune homme sont financées d’une part par une bourse d’étude d’un an de l’Université et, d’autre part, par l’entreprise japonaise qui emploi le jeune homme depuis 2016.
Enfin, pour revenir sur la dette, ce n’est pas le montant le souci (quoi que quand on n’a pas encore d’avenir professionnel cela peut tout de même être un sacré handicap… Et donc les princes d’Akishino essaient de protéger leur fille!), mais le caractère ambigu de celle-ci.
Elle a été présenté comme une dette par certains média, juste après l’annonce des fiançailles par le jeune couple, alors que la mère du jeune homme clame depuis le début qu’il ne s’agit nullement d’une dette, mais d’un don de son ancien compagnon pour les études de son fils (qui n’est donc pas le père de Kei Komuro).
Qui dit vrai, et comment régler ce dilemme?? Là se pose le vrai souci pour la famille impériale (et surtout l’Agence Impériale…).
Cosmo
16 août 2018 @ 14:03
Olivier d’Abington,
La quasi totalité des étudiants britanniques débutent avec au moins 30000£ de dettes.
En effet, les bourses ont été supprimées au Royaume-Uni, depuis fort longtemps, et remplacées par des prêts que les étudiants sont obligés de souscrire, si leur famille ne peut subvenir en totalité à leurs études.
Les frais de scolarité, seuls, s’y élèvent à 9000£ par an. Il faut y ajouter la vie quotidienne.
Cordialement
Cosmo
belle...isa
16 août 2018 @ 04:13
Quelle histoire étrange!
Corsica
17 août 2018 @ 16:35
Puis-je suggérer à ces presque fiancés qu’ils pourraient vite fait bien fait s’adresser à GoFundMe et récolter en un clignement de clavier les 30 000 euros de la discorde. Ils cloueraient le bec du Kunaicho et pourraient convoler illico presto. Mais bon, ça c’est simplement possible dans la vie du commun des mortels…
septentrion
19 août 2018 @ 11:15
Corsica,
J’avais pensé qu’un milliardaire japonais admirateur de la cour impériale aurait pû les aider mais je crois que le problème est plus compliqué que cela.
Corsica
20 août 2018 @ 21:50
Septentrion, je le pense aussi. Malheureusement pour ce jeune couple.