C’est le magazine « Point de Vue » qui s’en faisait récemment l’écho. Ernesto Ballatin dirige la trattoria da Arturo à Venise dans le quartier San Marco depuis 1973. De nombreuses personnalités y sont venues dont la reine Fabiola. Sa spécialité ? Les viandes qui viennent de la région de Trévise et les légumes (il y a un menu pour les végétariens). Voici la recette de côtelettes de porc au style vénitien
agnes
15 janvier 2017 @ 06:51
J’appelle cela des Wiener Schnitzel, les viennois en font des succulentes.
maman monique
15 janvier 2017 @ 17:13
C est aussi mon avis.
un plat que nous avons dégusté à Vienne
DEB
15 janvier 2017 @ 07:58
Mon mari avait découvert ce restaurant, en se promenant dans Venise au début des années 2.000.
Le décor n’est pas beau mais la cuisine y est excellente et j’y suis souvent retournée.
Je me souviens de la seiche à l’encre et des antipasti maison, absolument délicieux.
J’y ai toujours croisé une clientèle locale et motivée.
Roselila
15 janvier 2017 @ 08:44
Affreux plat. Rien à voir avec une présentation légère et belle au regard. Pourvu que le goût soit bien présent.
Jean Pierre
15 janvier 2017 @ 09:14
Fabiola aimait donc les côtelettes de porc panées. De là à courir à Venise pour en manger.
Marie-Françoise
15 janvier 2017 @ 10:52
cette photo ne me donne pas envie ; le morceau de viande est trop gros et où sont les légumes promis ????
Muscate-Valeska de Lisabé
15 janvier 2017 @ 15:44
C’est vrai que ce n’était plus un cochon de lait,vue la taille de la côte qui nécessite une assiette du format d’un plat!^^
lidia
15 janvier 2017 @ 11:47
C’est selon mon coeur, il y a suffisamment pour se régaler !
Juliette d
15 janvier 2017 @ 15:15
Si je retourne à Venise, je ne ferai pas le détour pour manger cette friture. Très peu pour moi.
Mary
15 janvier 2017 @ 21:29
A Venise,on sert aussi d’exquis beignets … dont j’ai oublié le nom ! Certains sont natures,d’autres fourrés à la crème, d’autres encore crème,raisins secs et rhum. On les trouve dans les pâtisseries ou même dans de petites échoppes. J’y étais l’hiver dernier et comme nous avons passé des heures à marcher…j’en ai grignoté sans remords. !
Muscate-Valeska de Lisabé
16 janvier 2017 @ 13:35
Notre Mary-gourmande…qui a bien raison de l’être!♡
Mary
22 janvier 2017 @ 20:05
J’ai fait une exception,chère Muscate,je ne mange que rarement des trucs frits…
Berthold
17 janvier 2017 @ 15:08
Des bombolinis Mary? Pis vous avez bien raison comme dit Muscate!
Mais tout comme vous Muscate! ?
J.B.
Mary
22 janvier 2017 @ 20:04
Non Berthold,j’ai demandé et les vénitiens les appellent simplement » fritelle « , c’est à dire « beignets » .
Gérard St-Louis
15 janvier 2017 @ 23:35
Ouache: gras et frit. On se croirait aux USA.
Je préfère nettement à Venise du carpaccio, des huitres accompagnés d’un Bellini.
Juliette d
16 janvier 2017 @ 04:23
Vous pensez au poulet à la Kentucky Gérard? Moi aussi. Ouache et re-ouache.
Corsica
16 janvier 2017 @ 07:34
Je prends moi aussi le carpaccio, les huîtres et des sphagettis à l’encre de seiche mais certainement pas ce plat qui n’a rien vraiment rien d’appétissant.
marielouise
16 janvier 2017 @ 13:49
Il y a tant de meilleures adresses à Venise…
ml
Carole 007
16 janvier 2017 @ 14:11
Ce n’est pas ce plat qui va me donner envie d’y aller, ni son adresse qui est « Calle Degli Assassini » :)