Francesco Procopio dei Coltelli, un gentilhomme de Palerme vint s’installer à Paris en 1686. Il ouvrit un café qui devint rapidement un lieu prisé pour y consommer des boissons mais aussi des sorbets.
C’est en fait le début du café littéraire car les « esprits » de la capitale aimaient s’y retrouver. Jean de La Fontaine, Victor Hugo, Honoré de Balzac ou encore Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais fréquentèrent le « Procope ».
Pendant la révolution française, Robespierre, Marat, Danton s’y réunissent régulièrement et le futur Napoléon I laissa au Procope son chapeau en gage ! On peut le voir à l’entrée de l’établissement.
Situé en plein Saint-Germain des Prés au n°13, rue de l’Ancienne Comédie à Partis, Le Procope propose sa recette historique de « Tête de veau en cocotte »
marielouise
22 décembre 2016 @ 06:38
Le Procope est l’un des plus anciens restaurants de Paris!
Il est le café des littéraires surtout!
Une adresse incontournable pour les touristes…et si on aime les lieux à histoires mais les plats sont trop lourds et copieux, maintenant, pour moi!
ml
Guewagram
22 décembre 2016 @ 08:56
Décor historiquement intéressant. Les petites salles permettent les réunions-repas familiaux. L’appartenance à un groupe de restaurants à un peu banalise la carte…hélas souvent le cas maintenant.
Muscate-Valeska de Lisabé
22 décembre 2016 @ 09:16
J’ai dîné au Procope…C’est beau et c’était bon….Mais je n’aurais pas essayé la tête de veau,ni là,ni ailleurs.
Parigots……… ;-))
Ghislaine
22 décembre 2016 @ 09:45
La tête de veau à la façon de ma grand-mère c’était un monument .
Hélas , nos cuisiniers actuellement à trop vouloir en faire rendent ce plat complètement indigeste avec « vieux » légumes dont certains de triste souvenir et me garde bien d’en commander dorénavant .
Lars de Winter
22 décembre 2016 @ 09:54
Delicieux!
Danielle
22 décembre 2016 @ 10:31
Un restaurant chargé d’histoire où il fait bon prendre un repas, les salles valent vraiment le détour.
Francky
22 décembre 2016 @ 10:58
C’est un musée à lui tout seul…
L’entrée par la cour du Commerce-Saint-André est beaucoup plus authentique: on y est replongé hors du temps et des bruits de la capitale…
Et des surprises à chaque étage: outre le chapeau de Napoléon, on y trouve aussi le bureau de Voltaire, sans oublier au dernier étage, sous les toits, l’imprimerie clandestine de Marat avec tous ses caractères accrochés aux murs….
J’y allais à chacune de mes visites à Paris, y ai même fêté un de mes anniversaires… Mais le lieu est devenu victime de son succès, bondé de touristes et d’Asiatiques selon les jours et les arrivages, et la gastronomie s’est adaptée au flux et a perdu en qualité…. C’est bien dommage….
Seul reste le souvenir d’antan…
Robespierre
22 décembre 2016 @ 11:47
La cuisine n’est pas terrible là-bas. Je n’ai pas été impressionné. Même pas vu le fantôme de Robespierre.
Caroline
22 décembre 2016 @ 11:50
Qui d’entre vous a osé mangé la tete de veau dans ce restaurant historique en plein Paris?
bianca
22 décembre 2016 @ 15:09
Je n’ai jamais voulu manger cela par dégoût à l’idée de ce que j’allais manger comme la triperie en général, je dois être comme les américains, LOL !!!
Dominique d'amico
22 décembre 2016 @ 17:41
Apres 30 annees a paris, je dois dire que je n’ai pas eu l occasion d’aller au procope, mais apres tous ces commentaires si j y vais,je pense que cela sera surtout pour son. Côté historique et non pour la tête de veau
Alienor
22 décembre 2016 @ 18:31
Ma cantine à Paris mais sans la tête de veau que je n’ai jamais testée !!!
olivier Kell
23 décembre 2016 @ 10:30
Devenu beaucoup trop cher par rapport à l’offre proposée et surtout une usine à touristes.
ALLASSEUR
28 novembre 2018 @ 21:54
Un cadre surprenant mais une cuisine décevante et en aucun cas en rapport avec le prix.
La joue de bœuf est bonne mais sans plus. Le poisson est parfaitement cuit mais la sauce est commune, quant à la tête de veaux elle est a éviter. sèche et une sauce sans saveur même pas digne d’une école de cuisine de première année. Ajouter à cela un service lent et des prix en aucun rapport avec la qualité
decevant
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