Les femmes et filles de l’époque, les époques d’avant aussi jusqu’au années ’70 étaient bcp plus minces que maintenant, l’alimentation était moins grasse, de plus elles bougeaient plus, tout se faisait à pied, on ne prenait pas la voiture pour un oui ou pour un non…elles travaillaient plus physiquement aussi.
Tout cela influençant la mise bien sûr, de là cette magnifique robe de la Tsarine, superbe !
Très belle robe.
J’ai une représentation mentale en noir et blanc (ou plutôt en nuances de gris) de la tsarine comme des autres personnages de cette époque… du coup, ça m’a paru étrange de l’imaginer dans cette robe !
Presque toute les femmes avaient la taille fine due au port du corset. Pour celles qui ne l’avaient pas vraiment, le « surplus » remontait au-dessus ! 😏 Mais les femmes s’habillaient en sur mesure et chacune avait sa couturière qui faisait des merveilles pour camoufler le trop plein,
La dentelle pourrait être de la Chantilly, en principe toujours noire – tout au moins aux débuts de sa fabrication .
Ceci dit, je ne suis pas un crack en matière de dentelle.
Contrairement à ce qui s’est passé durant la révolution française, les révolutionnaires russes ont conservé les biens personnels des souverains déchus et de leurs enfants trouvés dans leurs demeures: photos, jouets, vêtements, cahiers d’écoliers etc. La tsarine a brûlé avant son départ ses journaux intimes qu’elle tenait quotidiennement depuis l’enfance et divers papiers, mais je crois que ceux de Nicolas II ont été conservés. Les bijoux qui avaient une vraie valeur marchande ont pour la plupart été vendus.
Tout cela se trouve archivé ou exposés dans des musées.
After the Russian revolution, almost everything in the Palaces was preserved. Even down to imperial underwear. There are mountains of personal items of the Imperial Family in storage in the museums there.
@JAY
En visitant l’exposition « At the Russian Court », au Musée Hermitage d’ Amsterdam en 2009, j’en fus comme vous fasciné de voir un nombre des toilettes de l’Imperatrice, comme une foule d’unifomes et de traines de Cour, dans un état de conservation inouie.
Tout est concervé, chaussures, accessoires jusqu’aux costumes du fameux Bal du Tricentenaire (des Romanov) de 1903, évidemment sans les gemmes qui y etaient cousues pour ce soir: Ces costumes étaient exposés à coté les photos des personnages prises spécialement pour l’occasion.
J’ai toujours eu une faible pour ces robes dites végétales. En revêtir une c’est se métamorphoser en Flora dans Primavera de Botticelli : femme fleur, femme féconde, l’origine du monde en quelque sorte. Mon avis est que parfois, la femme et le végétal cohabitent mal : une robe composée de grosses fleurs en relief (robes de Stella di Libero) noie la femme sous trop d’exubérance. Et quand le feuillage ou les tiges prennent le pas sur les fleurs, ce genre de robe transforme la femme en support de plantes grimpantes qui peut tourner en vision de cauchemar, prisonnière de l’enchevêtrement de végétaux qui l’étouffent. Le film ‘L’Invasion des Profanateurs’ de 1978 avait admirablement présenté cette mutation quand de support, le corps est phagocyté par la végétation chercheuse de vie à tout prix, quitte à tuer son support (ce n’était pas le seul thème du film, très regardable encore aujourd’hui pour d’autres raisons). Parmi les plus belles créations contemporaines de robes-fleurs, j’aime Alexander McQueen, Dolce&Gabbana, Valentin Yudaskin, Marchesa, et, last but not least, les robes de ‘In the Mood for Love’.
Je suis surprise de la « modernité » du motif de la jupe. Avec un autre corsage elle pourrait parfaitement être portée par une holywoodienne lors d’un évènement tapis rouge sans que personne ne s’imagine un instant que le modèle a 120 ans. Très belle pièce de couture. La Tsarine avait du goût ;)
septentrion
7 décembre 2020 @ 01:42
Cette robe semble avoir été bien conservée.
DEVOGELEER
8 décembre 2020 @ 16:51
Les femmes et filles de l’époque, les époques d’avant aussi jusqu’au années ’70 étaient bcp plus minces que maintenant, l’alimentation était moins grasse, de plus elles bougeaient plus, tout se faisait à pied, on ne prenait pas la voiture pour un oui ou pour un non…elles travaillaient plus physiquement aussi.
Tout cela influençant la mise bien sûr, de là cette magnifique robe de la Tsarine, superbe !
Mer Limpide 🌊
7 décembre 2020 @ 02:15
Comme j’aurais aimé la porter.👍💝
Idem, même couleur, forme, accessoires,tissus. 💚
Avec le collier de David Weeb d’émeraudes 💚
Françoise
7 décembre 2020 @ 04:33
Magnifique
Mary
7 décembre 2020 @ 04:49
A part le fait qu’elle semble recouverte d’épinards, c’est une belle robe.
Vitabel
7 décembre 2020 @ 17:13
C’est donc à ça que ressemblent les épinards chez vous ? Eh ben…
Roxane
7 décembre 2020 @ 09:31
Très belle robe.
J’ai une représentation mentale en noir et blanc (ou plutôt en nuances de gris) de la tsarine comme des autres personnages de cette époque… du coup, ça m’a paru étrange de l’imaginer dans cette robe !
Claudia
7 décembre 2020 @ 10:13
Elle avait vraiment une taille de guêpe !
Gatienne
7 décembre 2020 @ 18:26
Presque toute les femmes avaient la taille fine due au port du corset. Pour celles qui ne l’avaient pas vraiment, le « surplus » remontait au-dessus ! 😏 Mais les femmes s’habillaient en sur mesure et chacune avait sa couturière qui faisait des merveilles pour camoufler le trop plein,
Leonor
7 décembre 2020 @ 11:34
La dentelle pourrait être de la Chantilly, en principe toujours noire – tout au moins aux débuts de sa fabrication .
Ceci dit, je ne suis pas un crack en matière de dentelle.
Muscate-Valeska de Lisabé
7 décembre 2020 @ 15:48
Moi je dis bingo,Léo.
Mais je ne suis pas experte non plus 😉.
JAY
7 décembre 2020 @ 12:19
Comment cette robe peut elle être arrivée jusqu’à nous ?
Galetoun
7 décembre 2020 @ 12:49
Contrairement à ce qui s’est passé durant la révolution française, les révolutionnaires russes ont conservé les biens personnels des souverains déchus et de leurs enfants trouvés dans leurs demeures: photos, jouets, vêtements, cahiers d’écoliers etc. La tsarine a brûlé avant son départ ses journaux intimes qu’elle tenait quotidiennement depuis l’enfance et divers papiers, mais je crois que ceux de Nicolas II ont été conservés. Les bijoux qui avaient une vraie valeur marchande ont pour la plupart été vendus.
Tout cela se trouve archivé ou exposés dans des musées.
ciboulette
7 décembre 2020 @ 15:28
Les dames de cette époque étaient corsetées , ce qui leur faisait la taille très fine .
Montferrat
7 décembre 2020 @ 16:25
After the Russian revolution, almost everything in the Palaces was preserved. Even down to imperial underwear. There are mountains of personal items of the Imperial Family in storage in the museums there.
Iankal21
8 décembre 2020 @ 10:19
@JAY
En visitant l’exposition « At the Russian Court », au Musée Hermitage d’ Amsterdam en 2009, j’en fus comme vous fasciné de voir un nombre des toilettes de l’Imperatrice, comme une foule d’unifomes et de traines de Cour, dans un état de conservation inouie.
Tout est concervé, chaussures, accessoires jusqu’aux costumes du fameux Bal du Tricentenaire (des Romanov) de 1903, évidemment sans les gemmes qui y etaient cousues pour ce soir: Ces costumes étaient exposés à coté les photos des personnages prises spécialement pour l’occasion.
aubepine
7 décembre 2020 @ 13:36
Les femmes portaient à cette époque des corsets à leur couper le souffle d’où une taille très fine mais pas de confort !
Danielle
7 décembre 2020 @ 13:49
Une très belle robe que la princesse Victoria pourrait porter lors du prix Nobel.
Baboula
8 décembre 2020 @ 17:13
Importable sans corset et là je doute que la princesse doit d’accord . Surtout pour rester assise avec les baleines qui lui percent la couenne .
Claude
7 décembre 2020 @ 15:00
J’ai toujours eu une faible pour ces robes dites végétales. En revêtir une c’est se métamorphoser en Flora dans Primavera de Botticelli : femme fleur, femme féconde, l’origine du monde en quelque sorte. Mon avis est que parfois, la femme et le végétal cohabitent mal : une robe composée de grosses fleurs en relief (robes de Stella di Libero) noie la femme sous trop d’exubérance. Et quand le feuillage ou les tiges prennent le pas sur les fleurs, ce genre de robe transforme la femme en support de plantes grimpantes qui peut tourner en vision de cauchemar, prisonnière de l’enchevêtrement de végétaux qui l’étouffent. Le film ‘L’Invasion des Profanateurs’ de 1978 avait admirablement présenté cette mutation quand de support, le corps est phagocyté par la végétation chercheuse de vie à tout prix, quitte à tuer son support (ce n’était pas le seul thème du film, très regardable encore aujourd’hui pour d’autres raisons). Parmi les plus belles créations contemporaines de robes-fleurs, j’aime Alexander McQueen, Dolce&Gabbana, Valentin Yudaskin, Marchesa, et, last but not least, les robes de ‘In the Mood for Love’.
COLETTE C.
7 décembre 2020 @ 15:34
Dans un musée en Russie ?
Muscate-Valeska de Lisabé
7 décembre 2020 @ 15:47
Exquise.
Framacesar
7 décembre 2020 @ 16:14
Superbe robe avec sa dentelle de Chantilly magnifique
Marquise
8 décembre 2020 @ 10:42
Je suis surprise de la « modernité » du motif de la jupe. Avec un autre corsage elle pourrait parfaitement être portée par une holywoodienne lors d’un évènement tapis rouge sans que personne ne s’imagine un instant que le modèle a 120 ans. Très belle pièce de couture. La Tsarine avait du goût ;)
DEVOGELEER
8 décembre 2020 @ 16:52
La mode…