Quelques informations sur l’interlocutrice du roi.
Preca est le nom de son époux.
« Marie-Louise Coleiro Preca, née le 7 décembre 1958 à Qormi, est une femme politique maltaise, membre du Parti travailliste et présidente de la République depuis le 4 avril 2014.
Biographie
Marie-Louise Coleiro Preca est diplômée de l’Université de Malte en Droit et Relations Internationales ainsi qu’en notariat public. Membre du Parti travailliste, Marie Louise Coleiro Preca est membre de la Chambre des députés à partir de 1998. Elle est ministre de la Famille et de la Solidarité sociale en 2013 dans le gouvernement de Joseph Muscat.
Le 1er avril 2014, elle est élue présidente de la République par le Parlement à l’unanimité et entre en fonction le 4 avril. »
Gibbs,
Merci pour cette biographie complète!
Je me rappelle d’elle parce qu’elle avait dignement reçu la reine Elizabeth et son mari lors de leur dernière visite à l’Ile de Malte pour un sommet du Commonwealth en Novembre 2015 !
La belgique est un magnifique pays qui est malheureusement déchiré entre les flamand et les wallons ,seul le roi peut encore tenir ce pays même si certain belges préféreraient une république …
La Belgique est un Etat qui compte deux nations « fabriquées » de toute pièce (car la Flandre et la Wallonie ne sont pas des régions qui correspondent à une entité historique, ni une unité linguistique) par les élites politiques, sociales, associatives et aussi religieuse des deux côtés de la frontière linguistique depuis la Première guerre mondiale, en gros.
Ce qui tient la Belgique aujourd’hui, c’est la Constitution, le gouvernement fédéral, la monarchie (et accessoirement l’équipe de foot, la bière, les moules frites et les gaufres). La dette publique « fédérale » (astronomique) verrouille pour l’instant ce système.
Les forces centrifuges sont le patronat flamand, le Boerenbond flamand, les nationalistes flamands, les syndicats wallons, l’enseignement et les manuels scolaires, les familles politiques etc. Les médias verrouillent ce système dichotomique.
Malheureusement, en Belgique, il n’y a pas d’élite intellectuelle, ni de site d’information subversive capables de contester cette vision des choses.
Les belges connaissent très très très mal leur histoire. Il faut bien avouer que le Belge, en général, se préoccupe des aspects de la vie quotidienne, genre, nous revendiquons avec une certaine fierté : « Nous sommes des bons vivants qui ne se prennent pas la tête ». Résultat : on se fait entubé par une élite politique travaillant pour leurs intérêts personnels (une carrière à l’Europe est le summum de l’ambition des politiciens belges).
Gibbs ?
17 janvier 2017 @ 10:29
Quelques informations sur l’interlocutrice du roi.
Preca est le nom de son époux.
« Marie-Louise Coleiro Preca, née le 7 décembre 1958 à Qormi, est une femme politique maltaise, membre du Parti travailliste et présidente de la République depuis le 4 avril 2014.
Biographie
Marie-Louise Coleiro Preca est diplômée de l’Université de Malte en Droit et Relations Internationales ainsi qu’en notariat public. Membre du Parti travailliste, Marie Louise Coleiro Preca est membre de la Chambre des députés à partir de 1998. Elle est ministre de la Famille et de la Solidarité sociale en 2013 dans le gouvernement de Joseph Muscat.
Le 1er avril 2014, elle est élue présidente de la République par le Parlement à l’unanimité et entre en fonction le 4 avril. »
Caroline
17 janvier 2017 @ 14:59
Gibbs,
Merci pour cette biographie complète!
Je me rappelle d’elle parce qu’elle avait dignement reçu la reine Elizabeth et son mari lors de leur dernière visite à l’Ile de Malte pour un sommet du Commonwealth en Novembre 2015 !
Dior
17 janvier 2017 @ 20:51
La belgique est un magnifique pays qui est malheureusement déchiré entre les flamand et les wallons ,seul le roi peut encore tenir ce pays même si certain belges préféreraient une république …
Zorro
18 janvier 2017 @ 13:59
La Belgique est un Etat qui compte deux nations « fabriquées » de toute pièce (car la Flandre et la Wallonie ne sont pas des régions qui correspondent à une entité historique, ni une unité linguistique) par les élites politiques, sociales, associatives et aussi religieuse des deux côtés de la frontière linguistique depuis la Première guerre mondiale, en gros.
Ce qui tient la Belgique aujourd’hui, c’est la Constitution, le gouvernement fédéral, la monarchie (et accessoirement l’équipe de foot, la bière, les moules frites et les gaufres). La dette publique « fédérale » (astronomique) verrouille pour l’instant ce système.
Les forces centrifuges sont le patronat flamand, le Boerenbond flamand, les nationalistes flamands, les syndicats wallons, l’enseignement et les manuels scolaires, les familles politiques etc. Les médias verrouillent ce système dichotomique.
Malheureusement, en Belgique, il n’y a pas d’élite intellectuelle, ni de site d’information subversive capables de contester cette vision des choses.
Les belges connaissent très très très mal leur histoire. Il faut bien avouer que le Belge, en général, se préoccupe des aspects de la vie quotidienne, genre, nous revendiquons avec une certaine fierté : « Nous sommes des bons vivants qui ne se prennent pas la tête ». Résultat : on se fait entubé par une élite politique travaillant pour leurs intérêts personnels (une carrière à l’Europe est le summum de l’ambition des politiciens belges).