Au Palais de La Zarzuela, le roi d’Espagne a reçu Pedro Sanchez, chef du parti socialiste qu’il a chargé de former un gouvernement. (Copyright photos : www.ppe-agency.com- merci à Pafoume)
Sarita, votre beau prénom est aussi une belle publicité pour la femme espagnole. Je ne peux m’empêcher de penser à Sarita Montiel et sa Violètera. On dit que Juan Carlos ne fût pas insensible au charme de cette croqueuse d’hommes. Revoir d’urgence Vera Cruz.
Bonne chance à cet homme, pour mener à bien le projet.. Deux hommes de la même génération, c’est bien. Un peu comme le roi Juan Carlos, quand il a investi Adolfo Suarez dans la même « directive ».
Pedro Sánchez, hélas, n’a rien à voir avec Adolfo Suárez, je vous assure. Il n’a même pas l’appui de la majorité de son propre parti PSOE à cause de sa rancune envers le PP(droite) et son désir de faire des pactes « contre nature » avec la gauche extrème et -encore pire-, avec le nationaliste séparatiste qui veut la destruction de l’Espagne.
Ciudadanos 40 députés ( centre) et PP 123 députés ( droite) qui ont obtenu 45% des voix l’ont demandé de faire une grande coalitionavec lui ( PSOE 80 députés)….. Et il a réfusé grossièrement. Il préfère le chaos????
Buenos dias Nania
La mission dont il est investi et l’intérêt supérieur de l’Espagne devraient le conduire à faire abstraction de considérations personnelles.
La stabilité et la conduite d’objectifs supérieurs sont autrement plus primordiaux.
Con cariño
socialistes, gauche radicale et républicaine, et indépendantistes ,le nouveau tournant de l’Espagne, sortie des urnes
pas d’autre choix, certes mais attention à ce coktail qui peut s’avérer explosif
En effet, il lui faudra de la chance car même s’il est investi, il lui incombera la noble tâche de gouverner avec une coalition plutôt hétéroclite et fragile. C’est peut-être ce genre de gouvernement qui convient le mieux pendant des périodes de crise, allez savoir, ça fait tellement longtemps que nous n’en avons pas connu !
Pedro Sanchez va donc s’atteler à trouver une coalition qui ne vole pas en éclat au premier désaccord, et quand on voit que toute tentative achoppe depuis maintenant six semaines, ça n’est pas gagné.
J’ai lu quelque part que la visite d’Etat en Grande Bretagne programmée en mars pourrait être remise en question si l’Espagne n’avait toujours pas de gouvernement en état de marche.
C’est exact, Pierre-Yves…. Sans gouvernement, la visite en Grande Bretagne, et celle du Japon plus tard, seront sans doute reportées.( Cela a été publié sur le journal monarchiste ABC la semaine dernière).
– La situation donne un rôle politique au roi que la constitution de 1978 ne lui donne pas.
Il se retrouve peu dans la situation du roi des Belges qui nomme un « formateur » pour constituer le gouvernement après les élections législatives.
Personne ne semble reprocher à Philippe de jouer les bons offices puisque c’est dans l’intérêt du pays.
– Le leader de la droite, Mariano Rajoy, ayant annoncé qu’il renonçait à former un gouvernement faute de majorité – et parce qu’il a une majorité absolue contre lui – le roi ne pouvait que se tourner vers le Parti Socialiste (PSOE).
Cela dit, le PSOE devra s’allier avec Podemos : bonne chance !
Le retrait de Rajoy est d’ailleurs ambigu et nous verrons comme cela va évoluer.
– Pedro Sanchez est un très bel homme de 43 ans. Son charme et sa beauté virile ne suffiront pas pour constituer une majorité au Parlement Espagnol.
C’est exact !!
Tant d’efforts, et maintenant qu’on commençait à s’en sortir de la crise, voilà l’arrivée possible d’un gouvernement extremise qui jettera tout à la poubelle, parce qu’ils croient aux politiques économiques du Venezuela. ( En fait les dirigeants de PODEMOS ont été les conseillers économiques de Chávez et Maduro pendant les dernières années….Cela me donne des frissons!)
Des physiques d’acteur de cinéma mais hélas, la situation espagnole, sans être une tragédie, n’est pas non plus une comédie. Il est probable que ces deux hommes ont conscience de leurs rôles respectifs à un moment où l’Espagne est à la croisée de chemins constitutionnels et la monarchie en danger. Si Felipe VI a autant de charisme et d’intuition politique que son père, et Pedro Sanchez qu’Adolfo Suarez, cela devrait bien se passer.
Déjà il faut en trouver un beau ce qui n’est pas gagné,
dynamique il y’en a au moins deux,
fringant ça reste à trouver,
plein de bonne volonté oui certes…
d’énergie à revendre il y’en a chez certains mais ils ne savent pas l’utiliser correctement.
Deux beaux gosses à la tête de l’Espagne, et pour affronter les tempêtes de 2016 !Les coeurs des Manolitas vont flamber cette année et même…ceux des mariquitas!
L’Espagne, le Portugal, la France.. aiment changer de côté : une fois à droite, une fois à gauche et toujours le même résultat au final ! aucun changement ! les riches sont toujours plus riches, les pauvres toujours plus pauvres …
au moins, sur un site royal, on admire les parures, les belles robes ….cela nous fait rêver
LOL!!!!
Cher Actarus,
Si Monsieur Sánchez cherche une alliance avec PODEMOS (-Et je suis sûre qu’il le fera-) Felipe sera plus Santrone que jamais…..( Comme Figaro, « je me presse de rire de tout avant d’être obligé d’en pleurer » !!)
Cdt.
Sarita
3 février 2016 @ 06:48
Eh bien, sI ça c’est pas une belle publicité pour l’homme espagnol … ;-)
Baboula
3 février 2016 @ 07:14
Il lui faudra plus qu’un physique avantageux pour mener sa tâche à bien
Jean Pierre
3 février 2016 @ 09:01
Sarita, votre beau prénom est aussi une belle publicité pour la femme espagnole. Je ne peux m’empêcher de penser à Sarita Montiel et sa Violètera. On dit que Juan Carlos ne fût pas insensible au charme de cette croqueuse d’hommes. Revoir d’urgence Vera Cruz.
Cosmo
3 février 2016 @ 14:51
Jean Pierre,
Sa « Violetera » est absolument fantastique et elle est était très belle. Far Vallone n’était pas mal non plus.
Cordialement
Cosmo
Sarita
3 février 2016 @ 18:05
:-) merci Jean Pierre!
FILOSIN
3 février 2016 @ 18:16
Il porte bien ses..43 ans! ah ah ah
Sylvie-Laure
3 février 2016 @ 06:50
Bonne chance à cet homme, pour mener à bien le projet.. Deux hommes de la même génération, c’est bien. Un peu comme le roi Juan Carlos, quand il a investi Adolfo Suarez dans la même « directive ».
Nania
3 février 2016 @ 17:56
Pedro Sánchez, hélas, n’a rien à voir avec Adolfo Suárez, je vous assure. Il n’a même pas l’appui de la majorité de son propre parti PSOE à cause de sa rancune envers le PP(droite) et son désir de faire des pactes « contre nature » avec la gauche extrème et -encore pire-, avec le nationaliste séparatiste qui veut la destruction de l’Espagne.
Ciudadanos 40 députés ( centre) et PP 123 députés ( droite) qui ont obtenu 45% des voix l’ont demandé de faire une grande coalitionavec lui ( PSOE 80 députés)….. Et il a réfusé grossièrement. Il préfère le chaos????
Pafoume
4 février 2016 @ 10:35
Buenos dias Nania
La mission dont il est investi et l’intérêt supérieur de l’Espagne devraient le conduire à faire abstraction de considérations personnelles.
La stabilité et la conduite d’objectifs supérieurs sont autrement plus primordiaux.
Con cariño
Nania
4 février 2016 @ 16:55
En total accord avec vous, Pafoume!
Con cariño también…
ML
4 février 2016 @ 13:02
Je crains fort qu’il n’y ait aucune comparaison possible entre Adolfo Suarez et Pedro Sanchez .
Nania
4 février 2016 @ 17:22
Je vous approuve, ML…
framboiz07
3 février 2016 @ 08:10
Le Roi ne doit pas être mécontent d’avoir trouvé un volontaire …Ouf !
chantal
3 février 2016 @ 08:23
socialistes, gauche radicale et républicaine, et indépendantistes ,le nouveau tournant de l’Espagne, sortie des urnes
pas d’autre choix, certes mais attention à ce coktail qui peut s’avérer explosif
Nania
3 février 2016 @ 18:04
En total accord avec vous, Chantal….Ce coktail explosif c’est une vraie catastrophe!
cyril-83
3 février 2016 @ 09:54
En effet, il lui faudra de la chance car même s’il est investi, il lui incombera la noble tâche de gouverner avec une coalition plutôt hétéroclite et fragile. C’est peut-être ce genre de gouvernement qui convient le mieux pendant des périodes de crise, allez savoir, ça fait tellement longtemps que nous n’en avons pas connu !
Pierre-Yves
3 février 2016 @ 09:55
Pedro Sanchez va donc s’atteler à trouver une coalition qui ne vole pas en éclat au premier désaccord, et quand on voit que toute tentative achoppe depuis maintenant six semaines, ça n’est pas gagné.
J’ai lu quelque part que la visite d’Etat en Grande Bretagne programmée en mars pourrait être remise en question si l’Espagne n’avait toujours pas de gouvernement en état de marche.
Nania
3 février 2016 @ 18:01
C’est exact, Pierre-Yves…. Sans gouvernement, la visite en Grande Bretagne, et celle du Japon plus tard, seront sans doute reportées.( Cela a été publié sur le journal monarchiste ABC la semaine dernière).
Zeugma
3 février 2016 @ 10:05
– La situation donne un rôle politique au roi que la constitution de 1978 ne lui donne pas.
Il se retrouve peu dans la situation du roi des Belges qui nomme un « formateur » pour constituer le gouvernement après les élections législatives.
Personne ne semble reprocher à Philippe de jouer les bons offices puisque c’est dans l’intérêt du pays.
– Le leader de la droite, Mariano Rajoy, ayant annoncé qu’il renonçait à former un gouvernement faute de majorité – et parce qu’il a une majorité absolue contre lui – le roi ne pouvait que se tourner vers le Parti Socialiste (PSOE).
Cela dit, le PSOE devra s’allier avec Podemos : bonne chance !
Le retrait de Rajoy est d’ailleurs ambigu et nous verrons comme cela va évoluer.
– Pedro Sanchez est un très bel homme de 43 ans. Son charme et sa beauté virile ne suffiront pas pour constituer une majorité au Parlement Espagnol.
Caroline
3 février 2016 @ 22:02
Zeugma, merci pour votre analyse claire!C’est toujours un peu compliqué de comprendre la politique en Espagne!
Milena K
3 février 2016 @ 10:13
Relativement jeunes et séduisants tous les deux.
Voilà l’alternance politique en Espagne.
j21
3 février 2016 @ 12:45
Le précédent premier ministre Mariano Rajoy a fait du bon travail. Stabilité, baisse du chômage… Les Espagnols vont vite le regretter.
Nania
4 février 2016 @ 17:31
C’est exact !!
Tant d’efforts, et maintenant qu’on commençait à s’en sortir de la crise, voilà l’arrivée possible d’un gouvernement extremise qui jettera tout à la poubelle, parce qu’ils croient aux politiques économiques du Venezuela. ( En fait les dirigeants de PODEMOS ont été les conseillers économiques de Chávez et Maduro pendant les dernières années….Cela me donne des frissons!)
Nania
4 février 2016 @ 17:34
Oups! j’ai voulu écrire « extrémiste »
Danielle
3 février 2016 @ 14:20
Cet homme aura beaucoup de pain sur la planche ! je lui souhaite bon courage dans ses nombreuses heures de travail.
Cosmo
3 février 2016 @ 14:59
Des physiques d’acteur de cinéma mais hélas, la situation espagnole, sans être une tragédie, n’est pas non plus une comédie. Il est probable que ces deux hommes ont conscience de leurs rôles respectifs à un moment où l’Espagne est à la croisée de chemins constitutionnels et la monarchie en danger. Si Felipe VI a autant de charisme et d’intuition politique que son père, et Pedro Sanchez qu’Adolfo Suarez, cela devrait bien se passer.
Marie de Cessy
3 février 2016 @ 18:51
Beau gosse le nouveau premier ministre.
Souhaitons lui bonne chance pour former un nouveau gouvernement.
JAusten
3 février 2016 @ 20:17
Ce n’est pas encore demain la veille qu’un beau jeune, dynamique, fringant, plein de bonne volonté, d’énergie à revendre sera président chez nous ……
Marie de Cessy
4 février 2016 @ 22:39
Coucou Jausten
Vous avez parfaitement raison !!
Déjà il faut en trouver un beau ce qui n’est pas gagné,
dynamique il y’en a au moins deux,
fringant ça reste à trouver,
plein de bonne volonté oui certes…
d’énergie à revendre il y’en a chez certains mais ils ne savent pas l’utiliser correctement.
Moralité il y’a encore du boulot
Bonne soirée !
JAusten
5 février 2016 @ 19:24
et on part de tellement loin ….. :)
kalistéa
3 février 2016 @ 20:26
Deux beaux gosses à la tête de l’Espagne, et pour affronter les tempêtes de 2016 !Les coeurs des Manolitas vont flamber cette année et même…ceux des mariquitas!
prado 74
3 février 2016 @ 22:13
L’Espagne, le Portugal, la France.. aiment changer de côté : une fois à droite, une fois à gauche et toujours le même résultat au final ! aucun changement ! les riches sont toujours plus riches, les pauvres toujours plus pauvres …
au moins, sur un site royal, on admire les parures, les belles robes ….cela nous fait rêver
Actarus
4 février 2016 @ 10:44
Tous les deux sont obligés de se tenir debout, car Pedro est Sanchez et Felipe Santrone.
Je sors…
Nania
4 février 2016 @ 17:06
LOL!!!!
Cher Actarus,
Si Monsieur Sánchez cherche une alliance avec PODEMOS (-Et je suis sûre qu’il le fera-) Felipe sera plus Santrone que jamais…..( Comme Figaro, « je me presse de rire de tout avant d’être obligé d’en pleurer » !!)
Cdt.