A Sheffield, la reine Elizabeth et le duc d’Edimbourg ont assisté au Royal maundy service qui a lieu le jeudi qui précède le lundi de Pâques. (Copyright photos : getty images)
Oui le mandé des papes, des empereurs, des rois en France, en Angleterre qui lavaient les pieds des pauvres comme le faisaient saint Louis ou Louis XIV de 4 ans à sa mort.
Le terme mandé viendrait de commandement, le commandement nouveau du Christ : aimez-vous les uns les autres.
Le jeudi qui précède le lundi de Pâques s’appelle le Jeudi Saint et dans ce cas pas besoin de préciser « qui précède le lundi de Pâques » et pourquoi le « lundi de Pâques » au lieu de Pâques ? Est-ce une particularité en Grande-Bretagne ?
Il y a 60 ans certains prétendaient que les chapeaux de la reine Mary étaient une casserole sur laquelle la souveraine drapait des tissus.
On finira par avoir une idée semblable des chapeaux de sa petite-fille car la créativité n’étouffe pas sa modiste.
A la lecture de N&R on peut penser qu’ Elizabeth II a bien raison de ne pas se casser la tête, dans ce cas elle ne pourrait plus porter de chapeaux et, parce qu’ au moins sur ce site, la majorité la trouve merveilleuse avec ces galurins-là.
Ce n’est pas la reine qui reçoit. En ce jeudi saint, elle donne de l’argent sous forme de pièces placés dans une aumôniere, à des gens âgés. Ce rôle relève plus de son titre de Chef de l’église anglicane. Joyeuses Pâques aux gens de Lotbiniere.
C’est la dame qui reçoit le « Maundy Money »
sont choisis avec le diocèse : nombre d’hommes récipiendaires du même âge que la reine = nombre femmes récipiendaires du même âge que la reine = âge de la reine.
les bourses rouges contiennent £5,50 ; cette année la pièce de £5 était la pièce commémorative du 50ème annif de la mort de Churchill et les £0,50 les 75ans de la bataille de GB
Cette année c’est la 60e fois que la reine Élisabeth II poursuit la tradition du Royal Maundy depuis 1952 (60e seulement et non 64e car elle fut remplacée quatre fois). Tradition qui était donc celle des papes, des empereurs du Saint-Empire, des rois de France, des rois d’Angleterre, et dont les origines remontent au IVème siècle lorsque les évêques ont commencé à laver les pieds des fidèles selon ce que le Christ avait fait en signe d’humilité et en signe d’amour.
En Angleterre c’est vraisemblablement au XIIIe siècle que les souverains ont commencé à laver les pieds de fidèles, comme le faisait Saint Louis si fréquemment, pour rappeler que ceux qui dirigent sont au service de ceux qui sont dirigés. En même temps on leur remettait des cadeaux et de l’argent pour obéir au commandement d’amour du Christ et faire preuve d’humilité. C’est depuis le règne d’Henri IV au début du XIVe siècle que l’on donne autant de monnaies que le souverain compte d’années. Le lavement des pieds par les rois d’Angleterre s’est poursuivi jusqu’au XVIIIe siècle.
Tous les Jeudis Saints la reine remet donc deux bourses contenant des pièces de monnaie ayant cours légal à des personnes âgées, cette année à Sheffield, mais en principe chaque année dans des cathédrales différentes d’Angleterre et une année à la cathédrale irlandaise d’Armagh, aussi à Westminster Abbey, à St Albans Abbey (qui est cathédrale), à Tewkesbury Abbey, à la St George’s Chapel de Windsor. Les jeunes choristes de la Chapelle royale dans leur magnifique livrée rouge et or accompagnent la reine dans ces déplacements.
Lorsque la reine était en voyage lointain ou jeune accouchée, elle fut remplacée par le lord grand aumônier ou la reine mère (deux fois) ou la princesse royale Mary.
Les pièces constituent une édition limitée du Royal Mint. Ce sont des pièces d’une, de deux, de trois et de quatre pence. Elles portent à l’avers le profil à droite et lauré de Sa Majesté entouré de la légende « Elizabeth II. Dei. Gratia. Regina. F : D. + » et au revers les chiffres 1, 2, 3 ou 4 surmontés de la couronne impériale et entourés d’une couronne de chêne et de l’année d’émission.
Ces monnaies sont en argent sterling (c’est-à-dire à 92,5 %), ce fut toujours le cas sauf sous le règne d’Henri VIII ou en 1920 du fait de problèmes liés à la valeur de la monnaie. Depuis 1971 date de la décimalisation on est passé au nouveau penny.
Les premières monnaies spéciales datent du règne de Charles II en 1662 et n’étaient pas datées. C’étaient des pièces de 4, 3, 2 ou 1 penny. Elles sont datées depuis 1670. Avant 1662 on utilisait la monnaie ordinaire d’argent sous les Tudor ou sous les Stuart.
Cette année un nouveau portrait de la reine figure sur les monnaies. C’est le cinquième depuis son accession au trône en 1952. Mais ceci n’affecte en rien les monnaies spécifiques du Maundy qui portent toujours le portrait de la reine par Mary Gillick (1881-1965) qui fut exécuté pour le sacre en 1953.
Les récipiendaires sont des hommes et des femmes dont le nombre équivaut au nombre d’années de la reine. Autant d’hommes et autant de femmes que l’âge de la reine. Ils sont choisis à cause des services qu’ils rendent à l’Église et à la communauté. Aujourd’hui ils le sont parmi des Chrétiens de toutes confessions par une commission œcuménique. Ces 89 hommes et ces 89 femmes viennent de tout le comté dans la cathédrale de Sheffield. Le doyen de la cathédrale, le Very Reverend Peter Bradley, souligne que beaucoup étaient des héros méconnus. La reine pendant ce premier service du Jeudi Saint (le soir a lieu la messe au cours duquel l’évêque lave les pieds de fidèles) leur remet deux bourses que lui tend le grand aumônier, lequel est suivi par les Yeomen de la Garde qui portent les six plateaux d’argent datant de Charles II (et dont l’un est conservé parmi les Royal Regalia à la Tour de Londres) sur lesquels on a disposé les bourses. Chacun reçoit une bourse rouge et une bourse blanche tenues par des lanières. La bourse de cuir blanc liée de rouge contient des monnaies pour une valeur de 89 pence en référence à l’âge du souverain, et la bourse de cuir rouge liée de blanc contient des monnaies ordinaires, une monnaie de cinq livres et une de 50 pence. Cette année exceptionnellement les 5,50 £ sont versées sous la forme d’une pièce de cinq livres d’argent commémorant le 50e anniversaire de la mort de Sir Winston Churchill et d’une pièce de 50 pence commémorant le 75e anniversaire de la Bataille d’Angleterre.
Ce sac rouge représente depuis le XIXe siècle l’équivalent des cadeaux et des vêtements que l’on remettait jusqu’alors aux pauvres.
La cérémonie comporte également la présence de six huissiers appelés les wandsmen qui tiennent une grande baguette, et de quatre enfants, deux garçons et deux filles, dits de l’Aumônerie royale, les Maundy Children, qui reçoivent eux aussi des Maundy Coins comme le grand aumônier, et qui portent comme celui-ci et ses assistants des serviettes de lin blanc en sautoir qui rappellent le temps où le souverain lavait effectivement les pieds des pauvres et c’est pourquoi aussi l’on remet un bouquet de fleurs ou d’herbes odoriférantes à la reine et au duc d’Édimbourg notamment, en souvenir de ce temps.
Comme chaque fois, la reine est accueillie avec le duc d’Édimbourg par le doyen de la cathédrale et par l’évêque (ici The Rt Revd Dr Steven Croft), le lord grand aumônier, John Geoffrey Inge, évêque de Worcester, et le lieutenant du comté (ici David Moody). La cérémonie comptait bien sûr les familles des récipiendaires et il y avait un millier d’invités spéciaux au premier rang desquels le lord-maire le conseiller Peter Rippon. Des milliers de personnes étaient dans les rues et l’étendard de la reine flottait sur la cathédrale.
Sheffield est une grande ville du nord de l’Angleterre dans le comté du Yorkshire du Sud. Elle compte deux cathédrales, la cathédrale Saint-Pierre et Saint-Paul, la plus ancienne, dans laquelle la reine s’est rendue, et qui est la cathédrale anglicane, et la cathédrale catholique Sainte-Marie. À l’issue de la cérémonie religieuse un déjeuner était donné à l’hôtel de ville.
Elle a toujours les gants de caoutchouc que Maggy lui offrit parce qu’elle lavait les assiettes de piquenique à mains nus au lodge..
Mais c’est vrai que même le pape ne met pas de gants et même le Roi Soleil à la grande époque.
Gérard st-louis
2 avril 2015 @ 16:09
Curieuse tradition où la souveraine fait l’aumône aux vieux indigents. Il est vrai qu’on le verrait pas laver les pieds des mendiants…
Gérard
3 avril 2015 @ 04:36
Oui le mandé des papes, des empereurs, des rois en France, en Angleterre qui lavaient les pieds des pauvres comme le faisaient saint Louis ou Louis XIV de 4 ans à sa mort.
Le terme mandé viendrait de commandement, le commandement nouveau du Christ : aimez-vous les uns les autres.
Zeugma
2 avril 2015 @ 18:58
La reine est merveilleuse.
aubert
3 avril 2015 @ 11:49
c’est la huitième merveille du monde et son inscription au patrimoine mondial de l’humanité est en cours.
aubert
3 avril 2015 @ 11:53
…ce commentaire pour que ma bien-aimée Caroline puisse écrire que je ne respecte rien.
Caroline
3 avril 2015 @ 13:40
A.,je ne la respecte pas moins que vous!!!C’est une reine ‘intouchable’ et redoutable!
Blouin
3 avril 2015 @ 09:27
Le jeudi qui précède le lundi de Pâques s’appelle le Jeudi Saint et dans ce cas pas besoin de préciser « qui précède le lundi de Pâques » et pourquoi le « lundi de Pâques » au lieu de Pâques ? Est-ce une particularité en Grande-Bretagne ?
nathetvoila
3 avril 2015 @ 16:43
Je me pose la même question ??
Danielle
3 avril 2015 @ 11:46
La reine est élégante vêtue de turquoise.
aubert
3 avril 2015 @ 12:05
Il y a 60 ans certains prétendaient que les chapeaux de la reine Mary étaient une casserole sur laquelle la souveraine drapait des tissus.
On finira par avoir une idée semblable des chapeaux de sa petite-fille car la créativité n’étouffe pas sa modiste.
A la lecture de N&R on peut penser qu’ Elizabeth II a bien raison de ne pas se casser la tête, dans ce cas elle ne pourrait plus porter de chapeaux et, parce qu’ au moins sur ce site, la majorité la trouve merveilleuse avec ces galurins-là.
Francine du Canada
3 avril 2015 @ 13:20
Merci Régine; sur la troisième photo, une dame lui offre quelque chose… quelqu’un sait-il de quoi il s’agit? FdC
Gérard st-louis
3 avril 2015 @ 14:49
Chère compatriote,
Ce n’est pas la reine qui reçoit. En ce jeudi saint, elle donne de l’argent sous forme de pièces placés dans une aumôniere, à des gens âgés. Ce rôle relève plus de son titre de Chef de l’église anglicane. Joyeuses Pâques aux gens de Lotbiniere.
Francine du Canada
4 avril 2015 @ 20:27
Merci Gérard st-Louis (et aussi Cathy de Cambridge et JAusten); j’avais oublié cette tradition du Royal Maundy. FdC
Cathy de Cambridge
3 avril 2015 @ 18:22
Je crois que c’est plutôt la dame qui vient de recevoir la petite pochette avec l’aumône.
JAusten
4 avril 2015 @ 10:33
C’est la dame qui reçoit le « Maundy Money »
sont choisis avec le diocèse : nombre d’hommes récipiendaires du même âge que la reine = nombre femmes récipiendaires du même âge que la reine = âge de la reine.
les bourses rouges contiennent £5,50 ; cette année la pièce de £5 était la pièce commémorative du 50ème annif de la mort de Churchill et les £0,50 les 75ans de la bataille de GB
Cathy de Cambridge
3 avril 2015 @ 18:17
‘le lundi de Pâques’ ??
Le Dimanche de Pâques est le jour J, pas le lundi
Happy Easter one and all.
Gérard
4 avril 2015 @ 14:29
Cette année c’est la 60e fois que la reine Élisabeth II poursuit la tradition du Royal Maundy depuis 1952 (60e seulement et non 64e car elle fut remplacée quatre fois). Tradition qui était donc celle des papes, des empereurs du Saint-Empire, des rois de France, des rois d’Angleterre, et dont les origines remontent au IVème siècle lorsque les évêques ont commencé à laver les pieds des fidèles selon ce que le Christ avait fait en signe d’humilité et en signe d’amour.
En Angleterre c’est vraisemblablement au XIIIe siècle que les souverains ont commencé à laver les pieds de fidèles, comme le faisait Saint Louis si fréquemment, pour rappeler que ceux qui dirigent sont au service de ceux qui sont dirigés. En même temps on leur remettait des cadeaux et de l’argent pour obéir au commandement d’amour du Christ et faire preuve d’humilité. C’est depuis le règne d’Henri IV au début du XIVe siècle que l’on donne autant de monnaies que le souverain compte d’années. Le lavement des pieds par les rois d’Angleterre s’est poursuivi jusqu’au XVIIIe siècle.
Tous les Jeudis Saints la reine remet donc deux bourses contenant des pièces de monnaie ayant cours légal à des personnes âgées, cette année à Sheffield, mais en principe chaque année dans des cathédrales différentes d’Angleterre et une année à la cathédrale irlandaise d’Armagh, aussi à Westminster Abbey, à St Albans Abbey (qui est cathédrale), à Tewkesbury Abbey, à la St George’s Chapel de Windsor. Les jeunes choristes de la Chapelle royale dans leur magnifique livrée rouge et or accompagnent la reine dans ces déplacements.
Lorsque la reine était en voyage lointain ou jeune accouchée, elle fut remplacée par le lord grand aumônier ou la reine mère (deux fois) ou la princesse royale Mary.
Les pièces constituent une édition limitée du Royal Mint. Ce sont des pièces d’une, de deux, de trois et de quatre pence. Elles portent à l’avers le profil à droite et lauré de Sa Majesté entouré de la légende « Elizabeth II. Dei. Gratia. Regina. F : D. + » et au revers les chiffres 1, 2, 3 ou 4 surmontés de la couronne impériale et entourés d’une couronne de chêne et de l’année d’émission.
Ces monnaies sont en argent sterling (c’est-à-dire à 92,5 %), ce fut toujours le cas sauf sous le règne d’Henri VIII ou en 1920 du fait de problèmes liés à la valeur de la monnaie. Depuis 1971 date de la décimalisation on est passé au nouveau penny.
Les premières monnaies spéciales datent du règne de Charles II en 1662 et n’étaient pas datées. C’étaient des pièces de 4, 3, 2 ou 1 penny. Elles sont datées depuis 1670. Avant 1662 on utilisait la monnaie ordinaire d’argent sous les Tudor ou sous les Stuart.
Cette année un nouveau portrait de la reine figure sur les monnaies. C’est le cinquième depuis son accession au trône en 1952. Mais ceci n’affecte en rien les monnaies spécifiques du Maundy qui portent toujours le portrait de la reine par Mary Gillick (1881-1965) qui fut exécuté pour le sacre en 1953.
Les récipiendaires sont des hommes et des femmes dont le nombre équivaut au nombre d’années de la reine. Autant d’hommes et autant de femmes que l’âge de la reine. Ils sont choisis à cause des services qu’ils rendent à l’Église et à la communauté. Aujourd’hui ils le sont parmi des Chrétiens de toutes confessions par une commission œcuménique. Ces 89 hommes et ces 89 femmes viennent de tout le comté dans la cathédrale de Sheffield. Le doyen de la cathédrale, le Very Reverend Peter Bradley, souligne que beaucoup étaient des héros méconnus. La reine pendant ce premier service du Jeudi Saint (le soir a lieu la messe au cours duquel l’évêque lave les pieds de fidèles) leur remet deux bourses que lui tend le grand aumônier, lequel est suivi par les Yeomen de la Garde qui portent les six plateaux d’argent datant de Charles II (et dont l’un est conservé parmi les Royal Regalia à la Tour de Londres) sur lesquels on a disposé les bourses. Chacun reçoit une bourse rouge et une bourse blanche tenues par des lanières. La bourse de cuir blanc liée de rouge contient des monnaies pour une valeur de 89 pence en référence à l’âge du souverain, et la bourse de cuir rouge liée de blanc contient des monnaies ordinaires, une monnaie de cinq livres et une de 50 pence. Cette année exceptionnellement les 5,50 £ sont versées sous la forme d’une pièce de cinq livres d’argent commémorant le 50e anniversaire de la mort de Sir Winston Churchill et d’une pièce de 50 pence commémorant le 75e anniversaire de la Bataille d’Angleterre.
Ce sac rouge représente depuis le XIXe siècle l’équivalent des cadeaux et des vêtements que l’on remettait jusqu’alors aux pauvres.
La cérémonie comporte également la présence de six huissiers appelés les wandsmen qui tiennent une grande baguette, et de quatre enfants, deux garçons et deux filles, dits de l’Aumônerie royale, les Maundy Children, qui reçoivent eux aussi des Maundy Coins comme le grand aumônier, et qui portent comme celui-ci et ses assistants des serviettes de lin blanc en sautoir qui rappellent le temps où le souverain lavait effectivement les pieds des pauvres et c’est pourquoi aussi l’on remet un bouquet de fleurs ou d’herbes odoriférantes à la reine et au duc d’Édimbourg notamment, en souvenir de ce temps.
Comme chaque fois, la reine est accueillie avec le duc d’Édimbourg par le doyen de la cathédrale et par l’évêque (ici The Rt Revd Dr Steven Croft), le lord grand aumônier, John Geoffrey Inge, évêque de Worcester, et le lieutenant du comté (ici David Moody). La cérémonie comptait bien sûr les familles des récipiendaires et il y avait un millier d’invités spéciaux au premier rang desquels le lord-maire le conseiller Peter Rippon. Des milliers de personnes étaient dans les rues et l’étendard de la reine flottait sur la cathédrale.
Sheffield est une grande ville du nord de l’Angleterre dans le comté du Yorkshire du Sud. Elle compte deux cathédrales, la cathédrale Saint-Pierre et Saint-Paul, la plus ancienne, dans laquelle la reine s’est rendue, et qui est la cathédrale anglicane, et la cathédrale catholique Sainte-Marie. À l’issue de la cérémonie religieuse un déjeuner était donné à l’hôtel de ville.
Corsica
4 avril 2015 @ 18:01
Gérard, merci pour vos explications fouillées et intéressantes . Joyeuses Pâques .
Gérard
6 avril 2015 @ 04:54
Merci Corsica et joyeuses Pâques !
aubert
5 avril 2015 @ 13:19
savez-vous pourquoi Gérard, la souveraine ne lave plus les pieds ?
parce qu’elle devrait quitter ses gants.
Gérard
6 avril 2015 @ 21:50
Elle a toujours les gants de caoutchouc que Maggy lui offrit parce qu’elle lavait les assiettes de piquenique à mains nus au lodge..
Mais c’est vrai que même le pape ne met pas de gants et même le Roi Soleil à la grande époque.
Huguette
4 avril 2015 @ 15:33
Avec une broche qui lui a été offerte à l’occasion de son jubilé de diamant par Mappin & Webb.
http://bijoussimo.centerblog.net/548-la-reine-elizabeth-ii
Francine du Canada
4 avril 2015 @ 20:47
Merci Huguette; cette broche est vraiment très belle. FdC