Du 21 décembre 2019 au 5 janvier 2020, les salles Napoléon de l’aide du Midi au château de Versailles seront ouvertes au public. (Copyright photo : T.Garnier)
Salles Napoléon à Versailles
10 Comments
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7 décembre 2019 @ 10:39
On, a envie de dire : c’est » jaune » et ça ne sait pas !
7 décembre 2019 @ 14:03
Une des deux couleurs de l’abeille impériale ?
7 décembre 2019 @ 13:09
Intéressant. J’aurais bien aimé savoir qui se trouve sur les portraits accrochés au mur.
7 décembre 2019 @ 13:30
Vendredi surtout moche
7 décembre 2019 @ 14:12
Que cnest triste et monotone
7 décembre 2019 @ 15:01
Les plafonds rappellent ceux de bureaux des années 70.
7 décembre 2019 @ 16:52
Jaune pisseux. Pas terrible.
8 décembre 2019 @ 04:16
Ces salles occupent en partie l’appartement de la princesse de Chimay et ont été transformées par Frédéric Nepveu en vue d’établir un musée du temps de Louis-Philippe mais le chantier ne fut pas terminé et l’aménagement actuel date des années 1950 sous la direction du conservateur Gérard Van der Kemp. Nous sommes au-dessus du grand appartement de la reine dans ce qui est appelé l’attique de Chimay parce qu’au-dessus de l’appartement de la reine la princesse de Chimay disposait d’un appartement d’une douzaine de pièces donnant au midi ; la princesse fut dame d’atours puis après sa mère en 1775 dame d’honneur de la reine Marie-Antoinette sa dernière dame d’honneur. Louise de Fitz-James, princesse de Chimay (1744-1814) était fille de Victoire Louise Sophie de Goyon Matignon et de Charles quatrième duc de Fitz-James et maréchal de France.
8 décembre 2019 @ 15:54
Très belle salle : Il semble qu’elle soit consacrèe à des portraits de la famille Bonaparte .
9 décembre 2019 @ 14:15
Pas vraiment :
– A droite, on reconnait Xavier Bichat (portrait de Delafontaine), puis Antoine Parmentier (portrait de François Dumont), puis Madame Antoine Arnault (portrait de Regnault)…
– A gauche, on reconnait le portrait de Louis-Philippe de Ségur, puis celui de Germaine Necker, alias madame de Staël (portrait de Godefroid Marie Eleonore), puis celui de Juliette Récamier, puis celui de Fouché…