Vous souvenez-vous de la série « Lady Oscar » ? Ce dessin animé japonais adapté du manga « La rose de Versailles » fut diffusé pour la première fois en 1986 sur Antenne 2. Il raconte l’histoire d’Oscar de Jarjayes, une jeune femme élevée comme un garçon par son père, qui est capitaine de la garde royale à Versailles et qui se charge plus particulièrement de la protection de Marie Antoinette.
Au fil des épisodes, en toile de fond, les premiers grondements qui mèneront à la Révolution et à la destitution de Louis XVI et Marie Antoinette.
massi
7 août 2015 @ 06:52
Lady, Lady Oscar elle est habillé comme un garçon, Lady, Lady Oscar personne n ‘oubliera jamais son nom….chanson du générique interprété par Marie Dauphin.
Lisabé
7 août 2015 @ 08:38
Grand bonjour à vous,chère Massi!!…Ce n’était pas Goldorak qui était chanté par Marie Dauphin?? ;-)))…Je plaisante,c’est un clin d’oeil…comme le chantait Lenorman:
« Moi le gentil Dauphin,je n’y comprends rien,pourquoi me lâche-tu la main?….. »
Comment oublier Lady Oscar,Candy et Terry,Albator le capitaine Corsaire,Les mondes engloutis,et Goldorak,bien sûr et toujours,Roi incontesté….Actarus ;-))
J’avoue,oui,sans honte aucune,tout uniment,que j’étais fan de Candy,que je vivais Candy,que je respirais Candy… ;-)) NOSTALGIE!
Je trouve que cela forgeait un bel imaginaire aux enfants…des feuilletons toujours moraux,purs,sans violence qui pouvait s’identifier et s’exporter dans la réalité….Les jeux vidéos et les séries animées d’aujourd’hui,à côté,personnellement,quand je vois des tout-petits absorbés dessus,cela me fait peur….
Lisabé
7 août 2015 @ 08:39
Oh sorry,perdu dans mes souvenirs,l’essentiel j’oublie:
Excellente journée à vous,chère Massi !!
massi
7 août 2015 @ 12:54
Merci Lisabé, le matin je me réveil et mon premier geste est pour N&R, je vous rejoint dans votre commentaire, tout ces dessins animés en passant par sandy et candy amoureuse Therence (pour ma part j ‘était amoureuse d’Actarus) mais chut, ne le dites à personne ;-)
Bonne journée les amis hier j ai passé une belle journée à Biarritz aujourd’hui je vais à la plage au vieux boucau pour ceux qui connaissent.
Lisabé
8 août 2015 @ 08:37
Amoureuse d’Actarus,ma Mie Massi??!!….Mais moi aussi (ok-ok,que personne ne panique,j’avais six ans…;-)) mais bref…Nous avons notre Actarus ici aussi!!….Taïaut-taïaut !!On le charge nous les deux,chère Massi,vos voulez??Allez!…MDR! ;-))
Oh bel Actarus…. »Et si on t’aime,prends garde à toi !! »….^^J’en vois d’ici un détaler fissa avec tout ce qu’il a pu emmener sous le bras! LOL!!
Enfin,ensuite,j’ai rencontré Albator,et de le voir,si beau,si noble,avec toute ses cicatrices,cela titillait mon instinct maternel…donc…Ce fut la première fois que je fus infidèle…;-)))
Freud avait bien raison,ma chère Massi,quand il avançait que le sentiment amoureux commence au berceau! ;-))
Bonne suite de vacances,chère Massi,à la plage au vieux boucau!
(Euh,sans vouloir insister,je crois qu’on en a aussi,ici,des…vieux boucs-hauts!)
Actarus
8 août 2015 @ 17:00
C’est normal, elles sont toutes amoureuses de moi.
Ils le sont tous aussi.
LOL
massi
8 août 2015 @ 21:33
MDRRR Lisabé je crois que vous avez tout dit :-D
Lisabé
9 août 2015 @ 09:37
Qui ça,Actarus,m’Ami,les jeunes biquettes ou les vieux-boucs-hauts??
Et les chevilles,ça va?^^
Et le melon,’l’est bon?? ;-)))
Bon Dimanche à Dame Modestie qui semble s’être subitement endormie!!
Ce n’est pas votre copine,celle-ci,si moi je le suis… ;-))
Jeune biquette?Non pas…Plutôt Vieille Renaude que Jeune Blanchette,comme dans »La chèvre de Monsieur Seguin »…Hélas,jeunes ou vieilles,le loup arrive toujours à ses fins au matin,le mâtin! ;-))
Lisabé
9 août 2015 @ 10:34
Allez,ma Mie Massi,on les aime bien aussi,nos vieux biquets…La preuve,pour eux,je monte au taquet! ;-))
Rien qu’à voir leur »barbiche de sous-officier »….Quelque part,ils ont tous un côté »noble-bélier »!
Bien à vous,Chère Massi,un Dimanche vacancier de toute beauté et bien mérité!
Actarus
10 août 2015 @ 23:16
Sans doute l’ignorez-vous, mais c’est l’acteur qui incarnait Anthony Brown dans « Candy » qui a interprété le rôle de Lady Oscar quelques années plus tard ! ^^ Ça crève les yeux.
Belle performance qui méritait un Oscar, d’ailleurs. ;-)
mg
7 août 2015 @ 07:26
Que de souvenirs !!!!! Enfant , avec ma soeur, nous le regardions à la télé…..
En chantant à tut tête le générique !!!
Claude-Patricia
7 août 2015 @ 07:44
Bonjour à tous!!
Merci de nous rappeler notre jeunesse!! En tout cas, grâce à Dorothée et son équipe, nous avons eu notre quota de dessins animés japonais. Maintenant quand je vois la diversité des chaînes pour les enfants, c’est fou. J’aime regarder avec mes neveux en vacances celui avec les légos animés.
Si vous avez l’occasion, allez voir Le petit prince, avec les plus jeunes. Très beau!!
Et pour conclure, là, j’ai la grande fierté de vous dire que le film « Coup de chaud » qui sort le 12 août sur les écrans français a été tourné dans le petit village lot et garonnais dont est issus une partie de ma famille!! J’ai pu rencontrer un de nos plus célèbres acteurs, très souriant et disponible pour photos et autres dédicaces. La ferme filmée appartient à notre plus proche voisin. La gendarmerie se situe dans un immeuble de la ville où ma maman est première adjointe. Attention, le sujet est sensible, et pourrait en heurter certains. Mais je suis heureuse de vous faire partager cette information!!
Lisabé
9 août 2015 @ 10:37
Chère Claude -Patricia,pour couronner cette info-extra,il nous faudrait,sans indiscrétion,le nom de l’acteur en question!…Un monsieur un peu « roussi »,dixit Wiki ? ;-))
Claude-Patricia
10 août 2015 @ 09:22
Bonjour à tous,
Oui, Lisabé, il s’agit bien de Jean-Pierre Darroussin!!
Dame Tartine
7 août 2015 @ 08:12
Faut pas dire du mal des séries. Grâce à celle-ci, ma gamine était tout à fait partante pour aller visiter Versailles.
Murielle
7 août 2015 @ 09:02
oh oui ! le bonheur de mes années d’enfance et j’aurais toujours plaisir à regarder cette série
juliette1807
7 août 2015 @ 09:13
un de mes dessins animés préférés :)))
Guyard
7 août 2015 @ 09:29
Jean-Clément Martin, professeur d’histoire de la Révolution française à l’université Paris I-Panthéon-Sorbonne et directeur de l’Institut d’histoire de la Révolution française, avait dit lors d’un de ses cours qu’il était tombé sur cette série animée japonaise et qu’il s’inquiétait de ce que pour beaucoup de ses étudiants cette série soit la seule source de leurs connaissances sur la période.
Dame Tartine
7 août 2015 @ 14:47
Il a tort de s’inquiéter, parce que l’important c’est l’éveil de la curiosité. On veut en savoir plus.
Gibbs
9 août 2015 @ 11:33
Merci Guyard.
flabemont8
7 août 2015 @ 11:06
Est-ce qu’il y a aussi Actarus dans ce dessin animé ?
Claude-Patricia
7 août 2015 @ 13:04
Coucou petit chat,
Hélas non. Et il n’y a pas eu de cross-over.
Vicky
7 août 2015 @ 21:04
Il faudrait le leur proposer. Je le verrais assez essayant de sauver Marie-Antoinette !
Gibbs
7 août 2015 @ 12:07
Je n’ai jamais été fan des dessins animés japonais.
Actarus
7 août 2015 @ 12:12
Franchement, je préférais Tom Sawyer ! ^^
Les paroles du générique étaient détestables, un véritable turn-off, en particulier celle-ci :
« Un beau jour elle choisit son camp,
Et chassa les tyrans !… »
Là je me suis dit : ok, c’est de la merde.
Je n’ai jamais regardé ce dessin animé. ;-)
Lisabé
8 août 2015 @ 08:46
Actarus,ici cher Poète (« c’est de la merde »,délicat,cela….;-)),si vous avez aimé le générique de Tom Sawyer: »Il n’a peur de rien,c’est un américain! »,et bien j’avoue que là,je « choisis mon camp,je préfère encore chasser les tyrans »….
Ah m’Ami,pas grave….Rendez-vous pris en terrain neutre….sur » l’Ile aux enfants »!
;-))
Claude-Patricia
8 août 2015 @ 10:33
Bonjour Lisabé,
Vous avez raison, l’île aux enfants est un peu notre paradis. Vive Casimir!!
Lisabé
9 août 2015 @ 10:41
J’adorais aussi…à quatre ans,je sais….Etait-on,selon vous,très purs ou très niais?? ;-))…Quand je vois ce que regarde les petits aujourd’hui….
J’avoue que j’ai envie de me cacher sous mon lit(oui,pas dedans,on pourrait m’y trouver!;-))…
Ok,ok,je vous entends d’ici…Lisabé, »Restes-y »!
Claude-Patricia
10 août 2015 @ 09:28
Non, non, Lisabé, restez parmi nous!!
Pour répondre à votre question, nous étions enfants purs et innocents!!
Quand je vois mes neveux, il est normal d’avoir son petit monde imaginaire qui nous sécurise!!
Bon, enfin, si vous vous étiez « planquée sous le lit » lol!! La seule fois où j’ai été derrière le canapé fut lors d’un épisode de San Ku Kai avec des yeux de cyclopes partout sur les héros!!
Marcel
7 août 2015 @ 17:33
Voici le vrai Oscar de Jarjayes.
Fils de Jean-Antoine Reynier, seigneur de Jarjayes, et de demoiselle Marguerite Nicollet, François-Augustin Reynier, chevalier et futur comte de Jarjayes, naît le 2.10.1745 à Upaix en Dauphiné.
Dans sa carrière militaire, il commence par collaborer aux travaux topographiques du lieutenant-général Bourcet qui avait une réputation d’écrivain militaire. En 1769, il devient l’aide de camp du général, poste qu’il conservera jusqu’en 1779. Le 11.9.1770 épouse la nièce du général Bourcet, Marie-Anne Louise Bourcet de la Saigne, de 9 ans sa cadette. Ils auront deux enfants.
En 1779, il est promu à l’état-major de l’armée avec le grade de colonel.
En 1786, il devient veuf et se remarie un an plus tard avec une des 12ères femmes de chambre de la reine Marie-Antoinette : Louise Marguerite Émilie Henriette Quetpée de Laborde, elle-même veuve de Philippe-Joseph Hinner, harpiste de la reine, et mère de Louise Antoinette Laure Hinner, future Laure de Berny, amie d’Honoré de Balzac.
En 1791, décoré de l’Ordre de Saint-Louis, il est nommé par Louis XVI maréchal de camp et directeur adjoint au dépôt de la guerre. Ayant su gagner la confiance des souverains, le chevalier est chargé par eux de diverses missions secrètes en France ou à l’étranger : dès 1790 à Turin auprès du comte d’Artois, à partir de juillet 1791 auprès de Barnave, auprès d’Axel de Fersen entre 1790 et 1793.
En 1793, après la mort du roi, il organise avec Toulan et Lepitre une tentative d’évasion de la famille royale enfermée au Temple qui prévoyait son embarquement au Havre à destination de l’Angleterre. Prévu pour début mars, ce plan échouera par la faute de Lepitre.
En mai 1793, il rejoint Turin, chargé des reliques laissées par Louis XVI et de diverses lettres, que la reine le charge de remettre au comte de Provence et au reste de sa famille, alors à Hamm. Le 6.5.1793 nommé aide de camp par Victor-Amédée III, roi de Sardaigne et beau-frère de Louis XVI. À la suite de cette nomination, il participe à la campagne militaire de 1793, dans l’armée sarde.
Le complot de l’œillet, qui visait à faire évader la reine de la Conciergerie dans la nuit du 2 au 3.9.1793, prévoyait que celle-ci rejoigne Madame de Jarjayes au Grand Berceau, propriété de Hérault de Séchelles (Livry-Gargan), avant de partir avec elle pour l’Allemagne. Ce plan a, comme les précédents, échoué.
Sous le Consulat, il rentre en France et obtient le poste de vice-président de la compagnie des Salines de l’Est. Sous la Restauration, le chevalier de Jarjayes reçoit de Louis XVIII le grade de lieutenant-général, par ordonnance du 4.2.1815.
François Augustin Reynier de Jarjayes meurt à Fontenay-aux-Roses, près de Paris, le 11.9.1822.
La vie du personnage de Lady Oscar, dans le manga du même nom, est basée sur la vie du chevalier.
Le blason de la famille Pélisson de Jarjayes porte de gueules au pélican d’argent dans sa piété du même.
Claude-Patricia
8 août 2015 @ 10:35
Merci beaucoup, Marcel.
Marcel
7 août 2015 @ 19:55
François-Augustin Reynier de Jarjayes était un général français, né dans les Hautes-Alpes en 1745, mort à Fontenay-aux-Roses le 11 septembre 1822.
Fils de Jean-Antoine Reynier, seigneur de Jarjayes, et de demoiselle Marguerite Nicollet, François-Augustin Reynier, chevalier et futur comte de Jarjayes, naît le 2 octobre 1745 à Upaix en Dauphiné[réf. nécessaire].
Dans sa carrière militaire, il commence par collaborer aux travaux topographiques du lieutenant-général Bourcet qui avait une réputation d’écrivain militaire. En 1769, il devient l’aide de camp du général, poste qu’il conservera jusqu’en 1779. Le 11 septembre 1770, il épouse la nièce du général Bourcet, Marie-Anne Louise Bourcet de la Saigne, de 9 ans sa cadette. Ils auront deux enfants ensemble.
En 1779, il est promu à l’état-major de l’armée avec le grade de colonel.
En 1786, il devient veuf et se remarie un an plus tard avec une des douze premières femmes de chambre de la reine Marie-Antoinette : Louise Marguerite Émilie Henriette Quetpée de Laborde, elle-même veuve de Philippe-Joseph Hinner, harpiste de la reine, et mère de Louise Antoinette Laure Hinner, future Laure de Berny, amie d’Honoré de Balzac.
En 1791, décoré de l’Ordre de Saint-Louis, il est nommé par Louis XVI maréchal de camp et directeur adjoint au dépôt de la guerre. Ayant su gagner la confiance des souverains, le chevalier est chargé par eux de diverses missions secrètes en France ou à l’étranger : dès 1790 à Turin auprès du comte d’Artois, à partir de juillet 1791 auprès de Barnave, auprès d’Axel de Fersen entre 1790 et 1793.
En 1793, après la mort du roi, il organise avec Toulan et Lepitre une tentative d’évasion de la famille royale enfermée au Temple qui prévoyait son embarquement au Havre à destination de l’Angleterre. Prévu pour début mars, ce plan échouera par la faute de Lepitre.
En mai 1793, il rejoint Turin, chargé des reliques laissées par Louis XVI et de diverses lettres, que la reine le charge de remettre au comte de Provence et au reste de sa famille, alors à Hamm. Le 6 mai 1793, il est nommé aide de camp par Victor-Amédée III, roi de Sardaigne et beau-frère de Louis XVI. À la suite de cette nomination, il participe à la campagne militaire de 1793, dans l’armée sarde.
Le complot de l’œillet, qui visait à faire évader la reine de la Conciergerie dans la nuit du 2 au 3 septembre 1793, prévoyait que celle-ci rejoigne Madame de Jarjayes au Grand Berceau, propriété de Hérault de Séchelles (sur le territoire de Livry-Gargan), avant de partir avec elle pour l’Allemagne. Ce plan a, comme les précédents, échoué.
Sous le Consulat, il rentre en France et obtient le poste de vice-président de la compagnie des Salines de l’Est. Sous la Restauration, le chevalier de Jarjayes reçoit de Louis XVIII le grade de lieutenant-général, par ordonnance du 4 février 1815.
François Augustin Reynier de Jarjayes meurt à Fontenay-aux-Roses, près de Paris, le 11 septembre 1822.
Littérature
La vie du personnage de Lady Oscar, dans le manga du même nom, est basée sur la vie du chevalier.
Héraldique
Le blason de la famille Pélisson de Jarjayes porte « de gueules au pélican d’argent dans sa piété du même ».
lilou
7 août 2015 @ 21:37
qui se souvient de Molierissimo?
flabemont8
7 août 2015 @ 22:14
J’ajoute que je n’y connais rien , ce n’est pas ma génération , moi, c’est plutôt Zorro et Rintintin et….Thierry la Fronde !!
Lisabé
8 août 2015 @ 08:51
Maman m’en parlait,ils étaient bien aussi,vos chouchous,ma Mie-chérie! ;-))
Zorro repassait sur Disney,le seul Zorro que j’ai vraiment aimé:Guy Williams.
Au moins,il y avait de l’héroïsme au salon et chez les belles ibères,du monde au balcon!….
^^
Grand coucou à notre Zorro d’ici…Et oui,quand même:Nous avons Actarus et Zorro en nos pages…Ce n’est pas rien,N&R tout en images! ;-))
Claude-Patricia
8 août 2015 @ 10:37
J’ai apprécié Antonio Banderas en Zorro. Avant de le redécouvrir chez Bob l’éponge cette année en pirate fou.
flabemont8
8 août 2015 @ 15:10
Il nous manque un Thierry la Fronde , que j’adorais , cela va sans dire ..!!!
Lisabé
9 août 2015 @ 09:45
Eh oui,ma tendre Mie Flabemont,Jean-Claude Drout,qui fut aussi l’inoubliable interprète de Rodolphe Vernet dans »Les gens de Mogador »…Vous en souvenez-vous aussi??Quelle histoire merveilleuse que le récit de ces vies de femmes de la haute bourgeoisie provinciale,dans toute la noblesse du terme….Elisabeth Barbier avait su merveilleusement nous restituer cette époque et les sentiments de ses personnages.
Les six livres(Julia,Ludivine,Dominique)sont des chefs-d’oeuvre de délicatesse et de psychologie.
Bon Dimanche,ma Mie.
Claude-Patricia
10 août 2015 @ 09:30
Oh les gens de Mogador, que c’est beau!! Il me manque la dernière partie avec Dominique-Brigitte Fossey, mais grâce au livre, j’ai pu avoir la fin de l’histoire.
Claude-Patricia
10 août 2015 @ 09:37
J’ai une grande pensée pour Ludivine, incarnée par Marie-France Pisier. Très grande actrice.
Vicky
8 août 2015 @ 09:22
C’est tout mignon, Flabemont ! Pour information donc, Actarus est un personnage issu du dessin animé Goldorak. On y trouve des extra terrestres, des soucoupes volantes et d’affreux monstres. Très futuriste donc ! Tandis que Lady Oscar est inspiré d’un manga dont l’action se déroule sous la révolution. Mais, avec un peu d’imagination, il faut reconnaître que Goldorak au Temple se pourrait être assez croustillant !
lilou
8 août 2015 @ 19:51
Guy Williams! Mon premier amour d’enfant!
Lisabé
9 août 2015 @ 10:42
Pareil,Lilou…On avait le coeur grand,voyez-vous! ;-))
Bon Dimanche à vous!
Claudia
8 août 2015 @ 09:39
Moi aussi ! j’étais amoureuse du beau Thierry…..
fanie
8 août 2015 @ 01:53
Manga largement inspiré de Charles de Beaumont, chevalier d’Éon, non?
Alain Golliot
8 août 2015 @ 10:16
Lady Oscar, n’est ce pas aussi une pièce de théâtre, interprétée par amanda lear, qui semble avoir prêté ses traits aussi au dessin animé..?
Alain Golliot
8 août 2015 @ 10:26
Mais s’il y a un feuilleton au sujet de la révolution, c’était, est et sera à jamais, le Chevalier de Maison Rouge, Michel le Royer, si beau et, si je me souviens, Annie Ducaux, en Marie Antoinette et que battait Michel Piccoli….mon enfance bercée par l’histoire des historiens et non des bateleurs Bern et Ferrand qui n’ouvrent que des portes déjà ouvertes (alors les « suivez moi » de l’un ou de l’autre, me font, au mieux, sourire, au pire, pleurer)….enfin, on a la TV qu’on mérite
Claude-Patricia
10 août 2015 @ 09:35
J’ai eu le grand plaisir de rencontrer Michel Le Royer, grâce au Rotary, et j’en garde un excellent souvenir. A l’époque j’étais très jeune et ne le connaissais pas, ni la série, mais il est venu prendre son dessert à côté de moi et nous avons eu une grande discussion sur le théatre et le cinéma. Je me souviens surtout que ces dames étaient sous le charme de l’acteur!!
Violette
8 août 2015 @ 13:37
Ah, comment prendre un coup de vieux !
Je regardais « Bonne nuit les petits » avec Nicolas et Pimprenelle, et je n’ai pas oublié la poignée de sable doré qui tombait sur les enfants endormis.
Puis, comme Flabemont, « Zorro », « Rintintin », mais Thierry La Fronde ne m’a jamais fait le moindre effet ! :)
Je préférais « au nom de la loi » avec le séduisant Steve McQueen….
Actarus
8 août 2015 @ 17:02
Finalement, Lady Oscar est un dessin animé LGBT, le chevalier d’Eon à l’envers, en somme. ;-)
Anne-Cécile
8 août 2015 @ 18:10
Déjà le travestissement et le genre enseignés aux petites têtes blondes??
Je ne regardais pas ces dessins animés comme mes enfants par désaffection de ce type d’esthétisme.
Marcel
9 août 2015 @ 20:09
J’aimerais avoir la descendance complète du vrai Oscar de Jarjayes.
Marcel
9 août 2015 @ 20:13
Voici une partie de la descendance de Jarjayes.
François Augustin Reynier de jarjayes
Né le 2 octobre 1745 – Upaix, 05300, Hautes-Alpes, Provence-Alpes-Côte d’Azur, France
Baptisé le 4 octobre 1745 – Upaix. Décédé le 11 septembre 1822 – Fontenay aux Roses, 92260, Hauts-de-Seine, Île-de-France, France , à l’âge de 76 ans
Lieutenant-Général
Parents
Jean Antoine REYNIER de JARJAYES 1713-1779
Marguerite NICOLET †1762
Union(s) et enfant(s)
Marié le 11 septembre 1770, Fontaine, 38600, Isère, Rhône-Alpes, France, avec Marie Anne Louise de BOURCET de la SAIGNE 1755-1786 (Parents : Jean Baptiste de BOURCET de la SAIGNE 1713-1771 & Marguerite de LOVAT 1730-1789) dont
H Jean Antoine Pierre Marie Victoire REYNIER de JARJAYES 1771-
F Marie Anne REYNIER de JARJAYES ca 1774-1815 mariée avec Claude Joseph BAUD 1750-1806
Marie Anne REYNIER de JARJAYES ca 1774-1815 mariée avec Jean Sebastien Gautier d’Allevard
Marié le 26 septembre 1787, Livry Gargan, 93190, Seine-Saint-Denis, Île-de-France, France, avec Marguerite Louise Emilie QUELPÉE de LABORDE 1760-1837 (Parents : Louis,Mathieu QUELPÉE de LABORDE 1743- & Marie Louise PECQUET) dont
F Claudine Augustine Anne REYNIER de JARJAYES 1796-1847 mariée le 26 mai 1817 avec Pierre Armand Joseph Gilbert de BOURCET de la SAIGNE 1783-1836