La semaine dernière, les abonnés de Paris Match ont reçu cette « Une » avec la sheikha Mozah, mère de l’émir du Qatar, qui était en visite à Paris où elle a été reçue à l’Elysée, a rencontré la mairé de Paris et le président de l’Institut du monde arabe. Cette « Une » n’était toutefois pas au final celle qui s’est retrouvée dans les kiosques.
La sheikha évoque l’engagement d’accroître la scolarité des enfants en zones de conflits et les défis relevés grâce à l’apport de l’UNESCO et de l’UNICEF.
La sheikha, elle-même, a entrepris des études universitaires en sociologie après son mariage en 1986. (Merci à Guizmo)
William
19 mars 2018 @ 08:12
Comme traits, y a pas plus figés. J’ai failli avoir les shakes là! Mais ça reste la grande Mozah.
Silvia
19 mars 2018 @ 08:22
Une très jolie femme.
Bonne journee
Gatienne
19 mars 2018 @ 12:08
Jolie ???
Voilà bien le dernier mot que j’aurai utilisé pour qualifier la Sheikha:
la « joliesse » implique une forme de fraîcheur et de naturel que cette personne a perdu depuis longtemps, ce qui est fort logique au regard de son âge et en dépit des nombreux travaux d’entretien auxquels elle s’est livrée !
merlines
19 mars 2018 @ 09:18
cette tenue est affreuse!!!!
Noriko
19 mars 2018 @ 10:26
On dirait qu’elle est en cire …
Clémence
19 mars 2018 @ 11:19
D’habitude, je trouve les toilettes de la sheikha somptueuses. Ici, c’est catastrophique! Je partage l’avis de Noriko: son visage est tellement figé qu’on dirait une statue de chez Madame Tussaud.
Gatienne
19 mars 2018 @ 13:25
Ici, elle est en France, évoquons plutôt le musée Grévin !
Annmaule
19 mars 2018 @ 11:50
Visage de cire et propos tellement vagues et generaux…
Quelle est sa formation initiale?
Que vaut son expertise?
Est elle uniquement dans la representation? Ou aussi dans l action…
Muscate-Valeska de Lisabé
19 mars 2018 @ 12:45
On a connu des clichés de la belle beaucoup plus flatteurs.
Jacqueline
19 mars 2018 @ 12:51
Je comprends que la une ait été changée. Cette tenue est épouvantable et ne rend pas justice au charisme indéniable de cette femme.
Gérard
19 mars 2018 @ 12:59
Espérons que les examinateurs n’ont pas été trop durs pour elle dans ses études de sociologie.
Esquiline
19 mars 2018 @ 13:14
Superficiellement l’on peut dire qu’elle est moins élégante que d’habitude, pour le fond, on peut souligner qu’une fois de plus elle soutient une belle cause, ce qui tout en son honneur.
garance
19 mars 2018 @ 13:41
Si elle mène avec sincérité, conviction et ténacité son combat pour la scolarisation des enfants dans les zones de conflits, alors c’est tant mieux, je préfère focaliser sur ce qu’elle fait de positif plutôt que sur sa tenue.
JAY
19 mars 2018 @ 13:46
Cette photo n est pas réussie et sa tenue est plutôt moche.
Elisabeth-Louise
19 mars 2018 @ 14:15
Vraiment, ou alors, j’ai bien mauvais goût, le choix de cette tenue n’est pas heureux…..Tee-shirt ? rose fraise à pois avec robe salopette ? grenat ( en velours ?) …..Je suis perplexe…….Est-ce le « symbole » d’une tenue « enfantine » ??
framboiz 07
19 mars 2018 @ 14:33
Il me semble que la couverture fut finalement Julie Gayet , plus bankable, je n’ai pas encore lu l’article sur la sheikha , c’était une interview, il me semble …
Francois
19 mars 2018 @ 15:07
Vraiment figée au dernier degré
C’est impressionnant
valerie
19 mars 2018 @ 15:34
elle degage une mauvaise impression
particule
19 mars 2018 @ 16:14
Pour tout vous dire, je trouve qu’on la voit un peu trop …. la « chèque « A » !
ciboulette
19 mars 2018 @ 16:15
Je la trouve très mal vêtue , et cela m’étonne , car d’habitude elle est très élégante .
Je n’ai pas eu cette « une » entre les mains .
Leonor
19 mars 2018 @ 17:03
» La scolarité des enfants en zone de conflits »….. !
On croit rêver, là, à lire des trucs pareils.
En zones de conflits,il est déjà bien heureux que quelques enfants puissent y survivre .
La sheika s’imagine-t-elle vraiment qu’elle peut jeter ainsi de la poudre aux yeux, pour pousser sous le tapis le rôle complexe du Qatar dans le conflit en Syrie ? C’est vraiment prendre les gens pour des imbéciles.
Carolus
20 mars 2018 @ 15:06
Parfait commentaire Leonor !
Quel cynisme.
Michèle Lobre
19 mars 2018 @ 18:10
Au choix une robe tablier comme Sylvette dans la bd de mon enfance Sylvain et Sylvette, ou robe Petite Maison dans la prairie et encore. Vraiment posséder des millions et être fagotée n’importe quoi.
Gérard
19 mars 2018 @ 19:59
Son père Sheikh Nasser bin Abdullah bin Ali Al-Misned appartenant à une famille connue de commerçants de la côte, était un parlementaire et professeur, opposant politique de l’émir d’alors Ahmad bin Ali Al Thani (qui sera destitué en 1972 au profit de son cousin, le futur beau-père de Mozah), qu’il avait alors osé interpeller publiquement, il souhaitait une meilleure répartition des richesses dans l’émirat, et, libéré de prison, Nasser dut s’exiler avec sa famille et son clan en Égypte et au Koweït en 1964. L’exil dura jusqu’en 1977 où la famille rentra au Qatar et où Nasser donna sa fille de 18 ans en mariage à l’héritier présomptif du trône Hamad bin Khalifa Al Thani qui avait été l’instrument de son retour. Elle était sa deuxième épouse. La jeune femme suivait alors les cours de l’Université du Qatar et elle devait obtenir un BA en sociologie en 1986. Mais elle eut aussi tout de même six fils et deux filles, le premier Jasim en 1978, qui de 1996 à 2003 fut le prince héritier. On a dit que sa mère aurait craint sa forte personnalité.
Le clan familial est celui des Al Muhannadi, une confédération de tribu d’origine bédouine vivant essentiellement sur le Golfe Persique et surtout au Qatar autour de la ville côtière d’Al Khor, où est née Mozah le 8 août 1959, la plupart des membres du clan appartiennent à la tribu Bani Hajer très influente au Koweït et les Al-Misned sont la famille principale. Nasser bin Abdullah bin Ali Al-Misned est mort en 2007.
Caroline
19 mars 2018 @ 23:02
C’est une photo ratée, on dirait qu’elle a rapetissé!
mariejeanne
21 mars 2018 @ 01:49
Et…au dernier moment, on a changé la photo de la couverture de Match pour celle de…Johnny ! plus vendeur, surtout en ce moment…