Au Palais des Arts Reine Sophie à Valence, la reine Sophie d’Espagne a applaudi la représentation de « La Traviata » de Verdi. La scénographie est de Sofia Coppola et les costumes de Valentino. Ici avec le ténor Arturo Chacon Cruz. (Copyright photo : Casa real)
Caroline
10 février 2017 @ 12:10
C’est la distraction préférée de la reine Sofia d’Espagne!
Olivier d'Abington
10 février 2017 @ 12:37
Mon opéra préféré…
J’aurais aimé voir ça!
JAY
10 février 2017 @ 12:47
C est bien c est un rôle officiel et en plus un plaisir. De plus ca donne encore davantage de prestige au concert :
Jean Pierre
10 février 2017 @ 12:56
A quell’amor ch’è palpito
dell’universo intero,
misterioso, altero,
croce e delizia al cor!
j21
10 février 2017 @ 13:13
La reine a certainement été ravie de revoir son grand ami Placido Domingo, présent à cette représentation.
Danielle
10 février 2017 @ 14:06
La Traviata est un très bel opéra dont la reine ne doit pas se lasser.
Pour les parisiens, il repasse à l’opéra Bastille la saison prochaine.
Pierre-Yves
10 février 2017 @ 14:16
Arturo Chacon Cruz est mexicain, comme Placido Domingo et Ramon Vargas qui ont parrainé ses débuts. Il a assez souvent, au début de sa carrière, été comparé à Rolando Villazon. C’est dire que sa voix est assez loin de celle d’un Jonas Kaufmann, pour faire référence au plus fameux ténor du monde actuellement (et que j’ai eu l’immense bonheur d’aller voir et écouter tout récemment à la Bastille dans Lohengrin, une soirée de rêve soit dit en passant !!! ).
Jean Pierre
11 février 2017 @ 11:40
Kaufman a d’autres atouts que sa voix.
Leonor
13 février 2017 @ 23:57
Précisez.
Ou votre intervention ne vaut pas.
Leonor
11 février 2017 @ 17:48
Pierre-Yves, vous avez eu cette chance, d’entendre Jonas Kaufmann live !
Chance que je ne me suis pas encore donnée, mais ça viendra. Question de calendrier.
Le sien et le mien ne sont pas toujours compatibles ! ;-)
Ce type est » un OVNI », selon des critiques d’opéra. De surcroît, il parle quatre langues absolument couramment. Et sa voix est absolument – parfaitement maîtrisée.
Mélusine
10 février 2017 @ 18:18
La reine mélomane a dû apprécier cette « Traviata » en mode haute couture.
framboiz 07
11 février 2017 @ 02:33
Mon opéra préféré ! Avec sa sœur ?
adriana
11 février 2017 @ 09:12
un plaisir de revoir sofia
Leonor
11 février 2017 @ 09:31
Ici, Arturo Chacon Cruz dans la Traviata ‘ I miei bollenti spiriti’, mais dans une autre mise en scène ( Bolchoï 2012).
https://www.youtube.com/watch?v=HYT35VdturE
Chacon Cruz est mexicain. Comme Rolando Villazon …. Décidément, le Mexique produit d’excellents ténors !
Jean Pierre
11 février 2017 @ 11:42
J’ai vu Villazon dans la Traviata à Berlin, il y a 15 ans à ses débuts. A l’époque il ne hurlait pas et envoyait la musique et le texte naturellement. Puis il en a trop fait.
Leonor
14 février 2017 @ 00:01
Vous savez, Pavarotti, Carreras, Domingo … ils en ont tous, à un moment, trop fait .
Villazon est un immédiat, un physique.
Kaufmann un intellectuel.
Pavarotti était piètre musicien.
Carreras peinait pas mal.
Domingo, lui, ah, Domingo…
bianca
11 février 2017 @ 13:09
Fan d’Opéra italien, en particulier, je suis ravie que la Reine d’Espagne ait pu assister à cette représentation, je vais me faire un intermède musical et vocal pour me consoler des jours gris ! Bon week end à Tous et Toutes !!!
clement
11 février 2017 @ 19:04
Le plus abouti des opéras avec un bal masqué ,il me semble !
AnneLise
12 février 2017 @ 13:44
La Traviata est régulièrement donnée dans le cadre des représentations « Opéra en plain air » qui ont lieu l’été dans différents châteaux de la région parisienne, notamment Vaux le Vicomte, Fontainebleau, le parc de Sceaux etc
Nous avons eu l’occasion d’y assister à Vaux, la cantatrice, dont j’ai oublié le nom, portait les bijoux portés par Callas lorsqu’elle interprétait Violetta.
En plain air, de nuit, c’est un spectacle fabuleux et un souvenir inoubliable, d’autant que pour les artistes cela reste une performance car ils ne bénéficient pas de l’acoustique de salles de spectacle ni de celle du théatre d’Orange.
AnneLise
14 février 2017 @ 21:51
Pourquoi ai je écrit en plain air ?
PLEIN AIR évidemment !
Allez, repos !