A Madrid, la reine Sophie d’Espagne et sa soeur la princesse Irene de Grèce ont applaudi le récital de l' »orchestre du recyclage » composé de musiciens issus de milieux défavorisés et jouant avec des instruments recyclés. Les bénéfices de la soirée seront reversées aux banques alimentaires avec les quelles la fondation de la reine collabore.
Lucia
28 décembre 2024 @ 03:41
Bel exemple de recyclage que de jouer sur un Guarneri de 1737 ou sur un Stradivarius de 1721 !
Bambou
28 décembre 2024 @ 07:16
On se demande en voyant cette photo si Irène parle encore et a toutes ses facultés ? Mais c’est bien que sa soeur continue à l’associer à certaines de ses sorties culturelles.
particule
28 décembre 2024 @ 10:23
L’affection des deux soeurs est admirable.
Robin des Bois
28 décembre 2024 @ 10:23
C’est très bien une « charity » dont les rentrées vont immédiatement aux nécessiteux.. Sans qu’il faille payer séjours d’hôtel, des voyages en avion à des personnalités pour assister à un diner de gala, du personnel souvent inutiles.
Les deux dames ici viennent assister à une soirée qu’elles veulent honorer de leur présence. Ensuite elles rentrent chez elles et on donne la recette à qui de droit. Et je parle aussi pour d’autres évenements charitables des derniers jours. Qu’on a vus sur ce site.
Ce n’est pas comme l’Ordre italien qui fait venir des VIP a New York pour une charity pour des pauvres du Bronx et de Harlem. Tout le monde sait qu’en Italie il n’y a pas de pauvres. Non, l’Ordre italien doit aller en Amérique secourir des malheureux.
Après ses pizzerias, Emanuele Filiberto s’est lancé dans la promotion d’Ordres de toutes sortes. Pour des Américains en Amérique. Et l’Italie dans tout ça ?
Finalement, au lieu de décerner des médailles, il ferait mieux de travailler. Que sont devenues les pizzerias ? Maintenant il file partout avec ses Ordres, emmène parfois sa fille, endosse des toges flottantes et s’agite. Il veut faire le prétendant italien mais en fait organise tout un cirque où le lion court en rond en mordant sa queue. Finalement, j’aime encore mieux William qui met un tablier et epluche les pommes de terre. Au moins il n’y aura pas de mystérieux frais de fonctionnement. Et les déshérités sont au même endroit que les bienfaiteurs.
Personne n’a réagi quand j’ai ecrit ce que je pensais des festivités à New York alors je me répète, ce n’est pas tant mes sarcasmes que mon appel au bon sens.