Sur son blog personnel, Carmen Martinez-Bordiu, mère du prince Louis de Bourbon, duc d’Anjou, se souvient avec émotion de son fils aîné le prince Francisco/François que tous appelaient Fran qui perdit la vie dans un grave accident de la route à l’âge de 11 ans, accident au cours duquel son père le prince Alphonse et son frère le prince Louis furent grièvement blessés.
Carmen Martinez-Bordiu fait part avec pudeur de cette douleur qui ne cesse jamais (éventuellement s’atténue avec le temps) de la perte d’un être cher, qui plus est d’un fils. Fran était un jeune garçon sympathique, qui avait toujours du répondant et une belle personne selon sa mère qui dit malgré tout remercier la vie d’avoir pu le connaître et ensuite d’avoir toujours à ses côtés ses enfants Louis et Cynthia (née après le décès de Fran), ses beaux-enfants Marguerite et Benjamin ainsi que ses petits-enfants Eugénie, Louis et Alphonse et bientôt un quatrième (chez sa fille Cynthia).
Fran repose auprès de son père le duc d’Anjou et de Cadix au monastère de las Descalzas Reales de Madrid.
marielouise
6 novembre 2016 @ 09:25
Une magnifique photo…
La douleur de la perte d’un enfant est incommensurable…
Ce couple à l’époque était The couple glamour , beau et si élégant!
ml
adriana
6 novembre 2016 @ 09:46
quelle tragédie pour cette famille;
sur cette photo de je trouve que carmen à des faux airs de la princesse Marie de Danemark; bon dimanche à tous
Corsica
6 novembre 2016 @ 17:12
Tout à fait.
Muscate-Valeska de Lisabé
6 novembre 2016 @ 18:45
Pour Marie,j’ai eu la même impression.
Auberi
6 novembre 2016 @ 09:49
La douleur de cette mère comme toute autre qui vit la pire des tragédies de notre condition humaine ne peut pas ’s’atténuer’. Elle n’est plus exteriorisée donc plus partagée. C’est encore plus terrible, et cela sera ainsi jusqu’à son dernier souffle
Auberi
8 novembre 2016 @ 08:31
Si je mets de côté la terrible symbolique de cette photo, ce cliché est vraiment superbe ! La posture de Carmen Martinez-Bordiu vient presque de la danse classique bien qu’elle soit assise. Son visage est tourné vers son fils alors que son corps ne l’est pas encore, ses mains se lèvent et s’apprêtent à saisir son enfant. J’aime beaucoup cette photo, étrange et magnifique
Augustine
6 novembre 2016 @ 09:57
Perdre un enfant est terrible
daniel
6 novembre 2016 @ 11:11
une mère,belle mère et une grand mère comblée
il faut lui souhaiter pleins de bonnes choses
jul
6 novembre 2016 @ 11:25
Merci pour ce lien Régine
Triste pour Carmen
Zeugma
6 novembre 2016 @ 11:46
Au cimetière Montparnasse, il y a quelques années, une dame qui – comme moi – entretenait sa tombe familiale m’a sorti une phrase qui m’a marqué :
« il y a des morts qui ne passent pas ».
Le passage sur cette terre de certains êtres reste dans la mémoire d’une manière indélébile, une mémoire où la douleur de la séparation alterne avec la joie d’avoir partagé son existence.
Kalistéa
6 novembre 2016 @ 13:12
Je suis bien d’accord avec ce que vous dites , chère Zeugma.Il y a des êtres qui ont eu une telle présence, une telle importance pour vous , que même disparus depuis longtemps , ils sont toujours avec vous , auprès de vous…parfois il vous semble les entendre rire ou faire une réflexion toute personnelle…cette présence qui perdure atténue le chagrin de la perte et permet une certaine gaieté pendant la vie qui continue , sans l’autre!
clement
6 novembre 2016 @ 14:47
Je comprends le chagrin de cette mère , les autres joies de la vie apportent du réconfort mais ne comblent pas le vide laissé par un enfant disparu !
Martine
6 novembre 2016 @ 18:38
Je suis totalement de votre avis Zeugma !!! j’ai vécu la même chose ….
spotlostie
6 novembre 2016 @ 18:39
Je suis d’accord avec vous , Zeugma !!! J’ai vécu la même chose …
LOUISE
6 novembre 2016 @ 20:37
La douleur de la perte d’un enfant ne passe jamais………….je sais………la première pensée du matin est pour lui la dernière pensée du soir est pour lui et ce depuis 14 ans…….Mais personne n’est à l’abri d’une telle douleur………tous les jours des parents perdent leur enfant et apprennent à vivre avec ou avec sans.
AnneLise
7 novembre 2016 @ 20:50
Comme je l’ai dit plus haut ou plus bas, Louise, c’est un drame dont on ne se remet jamais, mais avec le temps je reprends ma phrase la douleur devient douceur, on finit par ne plus penser qu’aux moments de bonheur et l’horreur de la séparation s’estompe.
Je sais….
Germain
7 novembre 2016 @ 11:41
« qui plus est, d’un fils »… Je ne suis pas particulièrement porté sur les « Najat-itudes » mais la perte d’un fils n’est pas plus affreuse que celle d’une fille. Non ?
Mayg
7 novembre 2016 @ 13:23
En parlant d’un « fils », je crois qu’il faut lire ici la perte d’un enfant. Car la perte d’un être cher peut aussi concerner une autre personne proche.
AnneLise
7 novembre 2016 @ 13:59
Je pense comme vous qu’il eut été plus judicieux de parler de la perte d’un enfant. Fille ou garçon où est la différence ?
C’est un drame dont on ne se remet jamais, on continue à vivre il le faut bien.
Avec le temps, la douleur s’atténue et devient douceur.
Trianon
7 novembre 2016 @ 15:26
la phrase n’indique pas qu’un garçon ait plus d’importance qu’une fille, mais plutot qu’un fils a plus d’importance qu’un autre être cher dont le lien serait moins proche/ fort.
c’est ainsi que je comprends la phrase…
AnneLise
7 novembre 2016 @ 18:14
Oui, on peut le comprendre ainsi, je n’y avais pas pensé et à la réflexion, je pense que vous avez raison, ne pas prendre cette phrase par opposition à une fille mais à un autre membre de la famille, bien que perdre un être cher soit toujours une épreuve.
Marie de Bourgogne
7 novembre 2016 @ 15:49
Oui, j’ai également trouvé cette précision « légèrement » choquante.