En digne héritière des soeurs Mitford (sa grand-mère était la duchesse de Devonshire), Stella Tennant s’engage dans la vente des vêtements de charité. En Grande-Bretagne, il est de bon ton d’acheter des vêtements d’occasion dans des friperies tenues par les organismes de charité. Non seulement on s’habille pour peu cher, mais on trouve toutes les grandes marques. Et, en plus, on fait une bonne action. Stella Tennant et sa fille Iris (Stella est mère de quatre enfants) sont désormais les visages de l’ong Oxfam et leur campagne de pub fleurit sur tous les abribus du pays. (Merci à Bertrand Meyer)
CatherineA
29 août 2019 @ 07:38
Elle n’a quasiment pas changé en 20 ans !
Si ce n’était sa grande fille ,à ses côtés qui témoigne que le temps a passé ,on jurerait que la photo date de la fin des années 90 .
Baboula
29 août 2019 @ 07:52
J’avais été surprise par le grand nombre de « charity shops » que l’on voit même dans de petites villes , boutiques modestes mais parfaitement agencées . Excellente initiative de Stella Tenant ,mais si ces dames s’installaient derrière les comptoirs cela boosterait les ventes .
I
Leonor
29 août 2019 @ 08:55
Depuis le temps que je prêche qu’il faut s’habiller en second hand ! Depuis ma jeunesse désargentée, et je n’ai pas attendu que ça devienne de bon ton ou que Stella Tennant s’en mêle.
Bon, mais c’est très bien qu’une modeuse le proclame . Ca convaincra peut-être quelques fashionistas récalcitrantes à s’y mettre.
Bémol : Oxfam, c’est la plus chère des charities. A éviter. Il y en a quantité d’autres.
Et, en effet, on y fait de fabuleuses trouvailles.
caroline-mathilda
29 août 2019 @ 11:59
leonor : je vous suis!
Cela fait des années que je n’ai plus acheté de vêtements ..(ou tellement peu que ils tiennent en 3 ans sur les doigts d’une main)
(non je mens …j’ai acheté quelques vêtements pendant ma grossesse!)
généralement à chaque changement de saison on se réunit à 6-8 amies et copines d’amies pour faire un grand échange de vêtements.
C’est toujours le bonheur parce que
on n’abuse pas (c’est souvent 5-6 pièces avec lesquelles on repart)
Ou alors il arrive que dans la famille ,on reparte avec un pull chez unen en laissant un etc …
le troc c’est vraiment bien et ça ne génère pas d’achat superflus .
Pour les filles , il y a tellement de personnes qui ont des vêtements d’enfants (parfois non portés ) stockés pour rien que nous ne voyons pas pourquoi nous devrions consommer plus encore .
(et puis …ma maman adorait tricoter c’était son grand plaisir détente ..et il y a encore pas mal de belles robes etc )
Et puis repriser .
C’est quelque chose qui semble « revenir »
je n’ai jamais jeté de chaussettes avec UN trou !
(parfois si il y en a une de totalement morte …je dépareille )
Alors OUI leo ,il faut le dire haut et fort .
la seconde main c’est bien ,vraiment bien …..
Arielle
31 août 2019 @ 10:48
Avec vous, c’est toute l’industrie du textile qui se flanque la figure par terre. C’est pourtant elle qui crée des emplois, pas les charities, qui travaillent avec les aristocrates modeuses.
Pascal
2 septembre 2019 @ 15:02
J’ai lu le début de votre commentaire avec une certaine sympathie mais dépareiller les chaussettes !!!
Je vous suggère plutôt de faire comme moi ou comme M Balladur : achetez les toutes de la même couleur (à moins que vous ne le fassiez déjà?)
Claude Patricia
29 août 2019 @ 14:21
Vous me trouvez nulle mais ça je sais faire.
Une amie tient un dépôt vente que je vais voir quand je peux et effectivement il y a de quoi se vêtir pour pas trop cher.
Sinon les collections outlet des marques ou magasins sur Internet.
Claude Patricia
29 août 2019 @ 15:15
Le soucis est que les nouveautés font travailler aussi beaucoup de monde.
Et il faut qu un vêtement soit neuf en premier lieu pour passer en seconde vie…
En regardant les reines du shopping, certaines vont dans ce type de boutique et c est très bien.
Alors il faut de tout pour faire un monde.
Vous m avez fait beaucoup souffrir à croire que je suis inqualifiable…j aurai pu faire beaucoup, beaucoup aussi pour les autres.
Quand je filais un coup de main aux braderies du secours catholique auquel j achetais pour aider j étais heureuse de le faire, comme trier les vêtements quand c était possible.
Je ne vais plus m excuser d exister en tant que personne handicapée.
Arielle
31 août 2019 @ 10:48
Pas de quoi se vanter.
Baboula
29 août 2019 @ 11:55
J’ai découvert le grand hall de vente de l’Armée du Salut à Paris vers 1960. C’était une caverne d’Ali Baba . Les donateurs étaient des gens aisés et comme le prêt-à-porter existait peu les vêtements féminins sentaient la couturière ou la confection maison de très belle qualité. Les caracos de dentelle,les cache-corsets,les jupons brodés ,toute la lingerie du début du siècle étaient d’une abondance hallucinante . Autre chose abondante : les Bibles,toutes superbes, reliées ,ouvragées . A 16 ans j’y ai trouvé mes premiers manteaux de femme dont je me souviendrais toujours .
Elisabeth-Louise
29 août 2019 @ 14:44
Le « chapeau » ( est-ce un chapeau ? DES chapeaux ? peut-être, empilés les uns sur les autres ?) ne plaide pas en faveur d’une « seconde vie » pour les tenues chicissimes et hors de prix…..
Plus modestement, je n’ai pas attendu la gentry britannique pour pourchasser les jolies fringues griffées de seconde main; et pas que moi; et cela ( ici, en France) fait plusieurs décennies que toute femme « bon ton » en a fait son sport favori; pour les enfants ( alibi imparable « ILS » grandissent si vite) pour Monsieur ( alibi imparable « IL » tache tous ses vêtements à chaque repas d’affaire) et pour elle ( alibi imparable » JE » – moi, pauvre Cosette- n’ai PLUS RIEN à me mettre !)
STIERNON
29 août 2019 @ 15:11
J’ai quasiment toujours habillé mes enfants avec des vêtements d’occasion et donc de bonnes marques. Je continue avec ma petite-fille et mes enfants continuent aussi.
Le gros problème avec les friperies, c’est trouver des vêtements au dessus du 48 ou alors, c’est affreux ou informe.
L'Alsacienne
29 août 2019 @ 16:20
En effet, Leonor, des boutiques de second hand s’ouvrent même dans des villes moyennes. Boutiques de différentes catégories. On peut y trouver son bonheur, c’est tant mieux. Et contrairement à un certain fromage, ce n’est pas écrit dessus.
septentrion 🎄🎄🎄
23 décembre 2020 @ 22:35
Stella Tennant est décédée brutalement hier le 22 décembre à l’âge de 50 ans.