Ce lundi 21 mars 2022, Noblesse et Royautés vous proposera sous la plume de Patrick Germain un article consacré aux demeures de la comtesse de Ségur dont le château de Voronovo.
Ce lundi 21 mars 2022, Noblesse et Royautés vous proposera sous la plume de Patrick Germain un article consacré aux demeures de la comtesse de Ségur dont le château de Voronovo.
FloV
19 mars 2022 @ 01:18
Quand on voit sa tombe à Pluneret (56), on peut pas imaginer la vie qu’elle a eu !!
Beque
19 mars 2022 @ 10:38
Il me semble qu’elle est enterrée avec son fils Mgr de Ségur, non ?
Ghislaine
20 mars 2022 @ 09:35
Beque voici un lien où l’on voir la tombe qui n’est quand même pas une désolation à priori .
http://www.communes.com/photo-pluneret,28667
Beque
21 mars 2022 @ 12:15
Merci, Ghislaine, depuis le temps que je voulais voir cette tombe ! J’en parle régulièrement à une amie qui habite juste à côté mais n’a jamais été au cimetière en question. Je connaissais la vie de Mgr de Ségur qui était une très belle figure de prêtre, comme je l’ai écrit.
Antoine
19 mars 2022 @ 11:02
C’est une belle tombe sans ostentation, très souvent fleurie. Elle repose près de son fils Mgr de Ségur mort en odeur de sainteté. Beaucoup de personnes viennent déposer des intentions de prières dans les insterstices de la dalle du prélat. Son gendre Armand Fresneau, député du Morbihan puis sénateur, habitait près de Pluneret.
Beque
20 mars 2022 @ 09:37
Gaston de Ségur (1820-1881) fit des études de droit et fut nommé attaché d’ambassade auprès du Saint-Siège. Il séjourna un an à Rome (1842-1843) puis se sentit appelé au sacerdoce. De retour à Paris, il entra au séminaire Saint-Sulpice et fut ordonné prêtre, le 17 décembre 1847. Dès lors, il consacre son zèle à exercer le ministère auprès des petits et des délaissés. Il emploie ses loisirs à composer « Réponses aux principales objections contre la religion », qui obtiennent un succès inouï. Le prince-président Louis-Napoléon lui confère la haute fonction d’auditeur de Rote pour la France : en cette qualité il séjourne à Rome de 1852 à 1856, également apprécié du pape Pie IX. Il reçoit le titre de » Monsignor « , c’est à dire qu’il devient prélat de L’Eglise. Il semblait destiné à l’épiscopat, quand il perdit la vue en 1854. Pie IX le nomme protonotaire apostolique. Mgr de Ségur rentre à Paris et et vit au 39, rue du Bac, où il passe les vingt-cinq dernières années de sa vie.
Parmi ses très nombreux écrits, « La piété et la vie intérieure », en 8 volumes et « La piété enseignée aux enfants ».
Beque
20 mars 2022 @ 20:26
Il mourut le 9 juin 1881. Dans son testament il demandait qu’il n’y ait ni pompe ni dépense inutile. Ses funérailles furent célébrées au milieu de l’émotion universelle : une foule considérable d’ouvriers et de pauvres accompagna celui qui les avait tant aimés et si efficacement secourus.
Pour le Saint Père « sa mort fut un vrai désastre pour la société catholique de l’Eglise ». Le comte de Chambord dit du prélat qu’il « aura ajouté encore un nouvel éclat au nom de sa famille déjà illustre par tant de vertus et de services rendus aux lettres et à la cause du bien ».
Ghislaine
19 mars 2022 @ 13:22
C’est un monument assez impressionnant pour l’endroit et les tombes qui l’entourent – Elle y repose ainsi que son fils .
Il est certain que le monument il y a deux ans méritait une rénovation mais je crois que les amis de la Comtesse de Segur ont fait une souscription – Il existe une arrière-petite-fille qui, il me semble , a appelé à l’aide pour ce faire .
La mairie fleurit chaque année sa tombe à la Toussaint et la petite ville ravive le souvenir de la Comtesse avec des décorations murles rappelant sa vie .
Elle n’a pas laissé dans la m »moire collective un souvenir dans le style de celui de la Bonne Dame de Nohant (George Sand)
josaint vic
19 mars 2022 @ 13:28
Oui quel parcours de saint Petersbourg a pluneret , décédée a Paris elle avait souhaité être enterrée a Pluneret en Bretagne où elle venait souvent visiter ses enfants au manoir de kermadio ..
framboiz07
19 mars 2022 @ 13:49
Oui,FLO , il faudrait l’entretenir, cette tombe , d’ailleurs !
🌺 MIKA 🕊🕊🕊🍀
19 mars 2022 @ 16:37
C’est vrai, mais c’est ainsi pour beaucoup…
Bételgeuse70
19 mars 2022 @ 21:15
J’ai vu l’endroit en 2012 et c’est vrai qu’il y avait de quoi être déçu en arrivant sur place. Il parait que depuis le site est davantage mis en valeur.
miloumilou
19 mars 2022 @ 06:42
Me réjouis! Merci!
Bambou
19 mars 2022 @ 06:45
Chouette….!
Lunaforever
19 mars 2022 @ 07:27
Vivement lundi alors !
Charlotte (de Brie)
19 mars 2022 @ 07:36
Voilà un sujet qui nous fera certainement rêver en ces temps où nous sommes hélas plus accoutumés à voir des ruines fumantes. Merci Patrick Germain de nous donner la possibilité de croire que rien n’est jamais tout moche.
En parlant de ruines fumantes, je vais si Régine le permet, faire un hors sujet.
Chacun se souvient de ce 15 avril 2019 où j’ose dire le monde entier a vu avec horreur brûler Notre Dame.
Le chantier avance et quelques surprises ont été réservées aux nombreux corps de métier qui y travaillent.
Des fouilles ont été menées pour diverses raisons sous les décombres pour stabiliser les reconstructions certainement.
Dans le dallage intercalé entre les canaux de briques ayant servi à installer le chauffage, parmi d’autres tombes a été mis à jour un sarcophage anthropomorphe en plomb datant vraisemblablement du XIVè c’est à dire en gros lors de la construction de la cathédrale. Ce sarcophage contient un squelette dont on ignore l’identité, aucune plaque funéraire.
Ce dont on peut être certain est qu’il s’agit d’un haut personnage, laïc ou religieux ? ce genre d’inhumation étant de toute façon réservée à une élite.
Une caméra endoscopique introduite à l’intérieur a permis de distinguer des cheveux, des matières organiques et des végétaux.
Une autre surprise attendait les artisans du chantier « sous le niveau du dallage actuel, des éléments sculptés polychromes identifiés comme appartenant à ‘ancien jubé construit vers 1230 et détruit au début du XVIIIè » précise le ministère de la Culture.
Ces morceaux de sculptures de pierre représentent des grappes de raisin, des mains. Viollet le Duc qui a restauré l’édifice au milieu du XIXè avait lui aussi retrové des fragments du jubé qui sont aujourd’hui exposés au Louvre.
Sources : Le Parisien Aujourd’hui en France du 17 mars 2022
Aldona
19 mars 2022 @ 11:27
Merci Charlotte pour cette information passionnante
Ciboulette
19 mars 2022 @ 18:01
Merci , Charlotte , de nous rappeler ces découvertes inattendues , dont moi aussi j’ai suivi la mise au jour . Par ailleurs , je me réjouis de voir ce que notre cher Patrick Germain va nous dire sur la comtesse de Ségur . Elle est en effet inhumée à Pluneret , près d’Auray , à côté de son fils Mgr de Ségur , et sur sa tombe est écrit : » Dieu et mes enfants » .
Baboula
20 mars 2022 @ 06:30
merci Charlotte de permettre cette digression https://www.lefigaro.fr/culture/les-premiers-secrets-du-sarcophage-de-notre-dame-devoiles-grace-a-une-camera-20220315
Robespierre
20 mars 2022 @ 10:38
Je m’invite chère Charlotte dans votre post pour vous dire mon plaisir à lire votre réponse à une admiratrice de Poutine. J’ai aussi dit ce que je pensais à ce sujet. Cette dame m’a répondu, en continuant à vilipender Zalinsky. C’était dans « Concert pour la paix en Ukraine » du 16 mars. Il se trouve loin en arrière mais il était bon de remettre à jour.
Cosmo, j’en suis sûr, répondra à la pourfendeuse de Zalinsky,. Et quoi qu’en dise la dame, il n’y a pas que la France qui admire ce grand patriote courageux, je lis la presse étrangère et l’encens envers Poutine je ne l’ai pas encore rencontré. La tuerie aveugle des civils et enfants est une honte et ce n’est pas le fait de Zalinsky.
Anastasie
19 mars 2022 @ 08:24
Je me réjouis car les livres de la Comtesse de Ségur, née Rostopchine, ont enchanté mon enfance.
Katellen
19 mars 2022 @ 13:41
Moi aussi ! J’ai lu et relu les romans de la Comtesse de Ségur !
Kamila
19 mars 2022 @ 14:15
Idem pour moi. Que de réjouissances en perspective!
Ciboulette
19 mars 2022 @ 18:02
La mienne aussi ! Et celle de nombreux enfants de l’époque .
Guillaume
19 mars 2022 @ 08:33
Ses romans ont marqués ma jeunesse et puis j’ai commencé à lire
Le Club des 5
Tout ces ouvrages pour les » jeunes » m’ ont donné le goût de la lecture
Merci à ces auteurs de talent
Bambou
19 mars 2022 @ 11:18
Tout comme moi. Le premier livre que j’ai lu, Les Petites Filles Modèles, je l’ai eu à l’occasion de ma première distribution de prix (pour ceux qui ont connu), à la sortie de mon CP en juin 1964.
Ce premier livre m’a donné envie de lire. Puis il y a eu les Oui-oui, le Club des Cinq, les Six Compagnons, la famille Tant-Mieux et les Fantômettes. Que de beaux et merveilleux souvenirs de ma toute jeune enfance.
Ah, j’oubliais Alice et tous les Martine…!!! 😂
Menthe
20 mars 2022 @ 14:06
…. et les Caroline, qui nous faisait voyager en Europe avec son petit zoo.
Rainette
20 mars 2022 @ 17:01
Comme vous Bambou, je dévorais toutes les séries que vous avez citées plus une qui était, avec le Club des cinq, ma préférée : Puck, une petite héroïne danoise.
Katellen
19 mars 2022 @ 13:43
J’avais toute la série du Club des 5 ! J’étais spécialement fan de Claude 😊. La littérature jeunesse ouvre un monde d’imagination et d’aventure. Un réel tremplin pour donner envie de découvrir ensuite les ouvrages classiques et contemporains.
Benoite
19 mars 2022 @ 15:05
oui, entre le club des 5, la série des « Alice » pour les filles, et les autres livres enfants et adolescents , on avait du choix. Pour les cadeaux de Noël ou les communions on découvrait toujours que les présents étaient les derniers sortis de la collection. Jamais en double : les mamans tenant soigneusement les listes de livres déjà détenus, et surveillant les librairies… dûment mandatées pour les éditions suivantes. Et nous on n’y comprenait rien, ravi(e)s de se plonger dans les aventures inédites de nos héros (ines) favori(e)s.
Ciboulette
20 mars 2022 @ 16:22
Et puis , il y avait la presse pour petites filles , des hebdomadaires qui avaient pour nom Lisette , Fillette , Bernadette , où l’on apprenait beaucoup de choses .
Beque
21 mars 2022 @ 10:12
Il y avait aussi « La semaine de Suzette ».
StellaNK
19 mars 2022 @ 09:11
On plongera dans la littérature de notre enfance. Merci Patrick Germain.
Pierre-Yves
19 mars 2022 @ 09:20
Ca va être bien !
Marcelline
19 mars 2022 @ 09:24
J’ai hâte… c’est grâce à la Comtesse de Ségur que j’ai (enfin) aimé la lecture. Je garde toujours la collection complète que j’avais reçue enfant.
Robespierre
19 mars 2022 @ 10:17
Tiens, moi aussi ! C’est la comtesse qui m’a mis le pied à l’étrier, pour la lecture, et m’a fait entrer dans un monde enchanté. On ne se remet jamais des livres de la comtesse. J’applaudis à l’initiative de P. Germain. Et j’ai toujours dit que l’intérêt pour N et R participe un peu de notre enfance où grâce à Sophie et le Général Dourakine, Madame de Fleurville, nous avons baigné dans la noblesse sans le savoir. Châteaux, comtesses, particules, nous avons commencé notre vie ainsi, et je pense qu’on en reste marqué. Même quand on est n’est pas monarchiste, comme moi.
La vie de la Comtesse, évidemment, un jour j’ai voulu en savoir plus. Un vrai roman. J’ai eu l’occasion aussi de lire les réflexions du comte Rostopchine qui était un homme peu ordinaire. Il avait dit à sa fille à propos d’Octave de Ségur « Il est trop beau, tu ne seras pas heureuse avec lui ».
Ah oui, il y aurait bcp à dire sur ce sujet. La belle-mère xénophobe Ségur. Le suicide du beau-père. Les absences du bel Octave qui ne revenait que l’été pour, selon les paysans « faire les bébés ». La gourmandises de la comtesse. Les amis. La mortalité dans la descendance, parmi les petits-enfants adorés.
Il y a deux périodes dans les oeuvres de la Comtesse. Celle où les enfants s’amusent, font des bêtises, et nous enchantent, et celle où influencée par son fils prêtre aristocratique et aveugle, lui même endoctriné par la comtesse Rostophine catholique fanatique, l’auteur verse dans la bondieuserie et les histoires sont trop larmoyantes, bien pensantes et prêchi prêcha. Gide a raison de dire qu’avec les bons sentiments on fait de la mauvaise littérature.
Enfant, j’aimais moins certains livres, et j’ai compris pourquoi longtemps après.
Antoine
19 mars 2022 @ 10:56
Moi aussi, Marcelline, je l’ai conservée. C’était la collection Hachette reliée en toile jaune avec des illustrations charmantes de Pécoud ou Lorioux.
Rose
19 mars 2022 @ 09:39
Quelle bonne idée! Merci de ce partage Cosmo, vos articles sont toujours intéressants et bien écrits. Un plaisir d’avance!
Belle journée
Rose
Annie
19 mars 2022 @ 09:39
J’ai hâte ! J’aime beaucoup les articles de Mr Germain, et je ne compte plus mes re-lectures des oeuvres de la comtesse de Ségur !
Suzanne
19 mars 2022 @ 11:47
Moi non plus Annie! Je me suis replongée récemment dans « L’auberge de l’ange gardien » et je cherche frénétiquement dans mes bibliothèques « Le général Dourakine » !!
Je me réjouis d’être à lundi aussi.
Jean Pierre
19 mars 2022 @ 10:16
Est-elle encore lue ?
Gérard
19 mars 2022 @ 10:28
Merci Patrick.
Lady Mary
19 mars 2022 @ 10:57
Je vous invite à lire l’excellent ouvrage d’Hortense Dufour sur la vie de la comtesse de Ségur chez Flammarion.
Agnese
19 mars 2022 @ 11:03
J’ai également gardé tous mes livres d’enfance de la Comtesse de Ségur. Nous avions à l’époque la Bibliothèque Rose qui nous a fait découvrir la littérature puis le Club des Cinq qui me passionnait.
Comme nous n’avions pas le droit de regarder la télévision sauf le mercredi soir, il restait la lecture et je me souviens même du prix….c’était 3 francs le livre.
Monique
20 mars 2022 @ 20:52
Merci 😊
PATRICIA
19 mars 2022 @ 11:11
La comtesse de Ségur, ode à une oeuvre qu’il serait bien de remettre à l’ordre du jour. Certes, un peu triste parfois (souvent) , elle rappelle aussi les valeurs sûres et relativise les préoccupations actuelles. Beaucoup de douceur, de beaux sentiments, de l’élégance aussi, de l’amour, de la générosité,…
Baia
19 mars 2022 @ 11:34
Trop bien ! Moi aussi j’ai hâte …
Catherine
19 mars 2022 @ 12:24
Merci d’avance cher Cosmo , je vais me régaler j’en suis certaine.
L’œuvre de la comtesse de Ségur a enchantée mon enfance . L’ été dernier j’ai relu les mémoires d’un âne à de jeunes enfants … j’ai eu un franc succès ! ( grâce soit rendue à la comtesse).
Nana
19 mars 2022 @ 12:37
Merci Patrick Germain. Je me réjouis de lire bientôt votre article. Les livres de la comtesse de Ségur ont enchanté mon enfance. J’avais toute la collection dans la Bibliothèque Rose (hélas perdue dans les déménagements familiaux) . La tombe des « Petites filles modèles » et de leur gouvernante se situe dans le village de Verfeil, tout près de chez moi, et la dernière des petites-filles, Madeleine, est morte à Toulouse en 1930.
Marie-Saintonge
19 mars 2022 @ 12:58
Les livres de cette chère comtesse ont enchantés mon enfance. Mais sa vie ne fût pas des plus faciles. Merci monsieur Germain pour vos articles toujours passionnants à venir.
Alix-Emérente
19 mars 2022 @ 13:31
Comme beaucoup ci-dessus, les ouvrages de la Comtesse de Ségur m’ont fait passer le longues heures de lecture qui ont enchanté mon enfance et m’ont appris à aimer les livres très tôt…
Danielle
19 mars 2022 @ 13:58
Des articles intéressants à venir, merci Régine et Patrick Germain.
Anna1
19 mars 2022 @ 14:08
Par avance je sais que je vais avoir grand plaisir a vous lire. Merci Mr Germain
COLETTE C.
19 mars 2022 @ 14:17
J’ai vu sa tombe à Pluneret. On ne peut plus simple.
Michelle
19 mars 2022 @ 14:20
Je pense que c est le premier livre que j ai lu et cela m a donne le goût de toujours continuer, merci a l avance a M. Germain
Martine
19 mars 2022 @ 14:23
Enfant elle fut une petite fille maltraitée par sa mère, elle en a fait le socle de son œuvre pour mieux les dénoncer
beji
19 mars 2022 @ 14:33
Merci Patrick Germain pour vos articles intéressant.J’attends avec impatience votre
livre sur l’archiduchesse Sophie qu’on connaît peu;dans une interview Jean Des Cars
indiquait concernant un livre sur le couple Sissi-François que de nouvelles archives avaient été ouvertes.
beji
19 mars 2022 @ 14:33
intéressants
Trianon
19 mars 2022 @ 15:08
Hâte de le lire !!
Merci par avance
Karabakh
19 mars 2022 @ 15:45
Cela va nous changer des potins. Merci Patrick.
Mireille
19 mars 2022 @ 16:41
J’attends cet article avec impatience. En attendant, on peut écouter en podcast sur France Culture une intéressante série de 5 émissions d’une heure, proposée par Mathieu Garrigou-Lagrange et intitulée « La comtesse de Ségur, sans manière » (première diffusion en août 2021, émission La Grande Traversée).
Clarisse
19 mars 2022 @ 18:26
Sa tombe est toujours fleurie à Pluneret dans le Morbihan
Rainette
19 mars 2022 @ 19:28
Hâte également. Grâce à votre article, en faisant quelques recherches sur le net, je viens de découvrir une version BD des malheurs de Sophie : parfait pour ma famille suédoise qui parle très bien le français mais a moins l’habitude de le lire.
Liardet Monique
19 mars 2022 @ 20:58
Ces livres on berser ma jeunesse
Florence Bouchy-Picon
19 mars 2022 @ 22:50
Pas un livre qui évoque plus les vacances que justement son roman « Les Vacances » qui commence par cette phrase pour moi inoubliable : « Tout était en l’air au château de Fleurville »….
Mary 🐇
20 mars 2022 @ 16:34
Excellente idée ! J’espère que nous saurons tout sur la descendance actuelle de la comtesse de Ségur ?
Danielle
20 mars 2022 @ 19:03
Ces livres étaient beaucoup lus et j’en garde d’excellents souvenirs.
Monique
20 mars 2022 @ 20:51
Merci. Merci infiniment.